Vous allez me dire, elle est un peu maso, elle a pas aimé le premier tome mais elle lit le second. C'est qu'à l'achat j'avais de fort espoirs pour cette série, et j'avais donc pris les deux tomes.
Ce qui n'est peux-être pas plus mal, car il y a du progrès (oui, une demi étoile de plus, ça compte).
Déjà, il y a une histoire qui se profile, j'arrive donc mieux à accrocher. C'est pas encore hyper prenant et je ne me pose pas encore trop de question, mais ça pourrait venir.
Kobayakawa est aussi plus présente et elle apporte à mon sens une touche d'humour un peu froid, qui colle plus avec l'ambiance Scary town, et qui équilibre le côté un peu grotesque du père de Kouichi, de son entreprise et des réactions limitées du public de Kuromachi. Mais peut-être pas assez pour que je devienne fan. Et surtout, était-il bien nécessaire de lui faire arpenter des souterrains en maillot de bain? Ça me titille un peu.
Parlant de l'ambiance de Scary Town, j'ai oublié d'aborder le graphisme. de ce point de vue, c'est fort réussi. Les personnages "normaux" sont assez classiques mais bien faits, il y a un effort sur le décor et franchement, certains monstres donnent juste envie de regarder la page de biais, ce qui ne devrais pas rebuter ceux qui se sont lancés dans l'aventure. Y'a qu'a regarder la couverture du tome 1 pour se douter du contenu graphique.
Je me laisserais donc sûrement tenter par le tome 3, histoire de voir si l'intrigue se développe de façon qui me satisfasse. Ce sera la tome de la dernière chance. Mais j'ai bon espoir.
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Etant moi aussi masochiste, j'ai acheté le tome 2 (ne faut-il pas toujours laisser une deuxième chance ?). Eh bien... J'ai bien fait ! Il y a du mieux. Des choses commencent à se mettre en place, dont les rôles des personnages que l'on arrive enfin à percevoir. Il a enfin réussi à attiser ma curiosité, j'achèterai donc les tomes suivants.
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Nettement moins d'humour dans ce second volume plus tourné vers l'horreur et l'absurde, faisant de plus en plus le parallèle entre les zombies et la horde habituelle des clients de supermarchés.
Lire la critique sur le site : Sceneario