Dommage que l'auteur se sente obligé de parsemer ses connaissances avec des mots comme : parangon, contumace, axiome, grivèlerie, cautèle, galimatias, exsuda, hallali, géhenne, etc. Ainsi que des adverbes et des détails qui alourdissent le texte. Exemple ? ‘ils se rendent au restaurant pour dîner' (ah bon pas pour un tennis ? comme dirait un certain humoriste) ‘Il allait s'arranger pour mettre des sièges supplémentaires dans son bureau afin que tous les trois puissent s'y installer. La taille du bureau le permettait' (sans commentaire). ‘Puis, François quitte Quimper avec la Mégane de service, il se sentait orphelin en l'absence de son collègue.' ‘ses agresseurs qui s'étaient éclipsés sans donner l'alerte.' (Ah bon !) J'ai continué quand même, pour le plaisir d'entendre parler de la Bretagne. Par contre, j'ai vraiment accroché à la conclusion de l'enquête qui s'avère originale et inattendue.
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Mais, avant tout, je voudrais vous faire connaître la devise de Roscoff : "A rei a skei atao", (Cogne dur, cogne fort, cogne toujours).