Une arme blanche

En analysant les chroniques du néoconservateur Christian Rioux à propos de la mort de George Floyd, Jean-Pierre le Glaunec, historien de l'esclavage, des États-Unis, d'Haïti et des Amériques noires, professeur à l'Université de Sherbrooke, montre comment cet événement a pu être instrumentalisé, tout en utilisant l'histoire comme arme idéologique, pour servir des convictions politiques, contre les gauchistes, le politiquement correct, le racisme anti-blancs, le multiculturalisme,…
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Excellente analyse de quelques discours d'un « penseur du déclin » parmi d'autres, pour en extraire quelques grands principes méthodologiques et idéologiques, pour mettre en lumière une rhétorique qui dissimule un système de valeurs : « Leur philosophie est fondée sur des crises dont ils grossissent à outrance les traits ou qu'ils fantasment pour mieux les faire exister. Ils aiment se dire censurés, mais sont invités sur les plateaux de télévision et dans les studios de radio à l'heure de grande écoute. Ils se lisent entre, se citent, se répètent. » Jean-Pierre le Glaunec retourne contre eux, contre leurs discours, l'arme qu'ils prétendent utiliser : l'histoire.

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L'arme blanche propose l'hypothèse que la mort de l'afro-américain Georges Floyd au main d'un policier blanc à influencer un tout nouveau genre de discours des néoconservateurs. L'auteur se base sur les textes que Christian Rioux a pu écrire dans le Devoir en tentant de démontrer que ses textes ont influencer négativement les lecteurs.
J'aime lire des essais parce que les divers point de vue exprimer m'aide à consolider ou à faire tomber mes idées sur un sujet donner. Ma lecture de l'arme blanche ne m'a toutefois pas donner l'impression que l'auteur tentait d'exprimer son opinion véritable mais plutôt de s'évertuer à prouver que Christian Rioux n'était qu'un polémiste profitant de sa tribune à de mauvaise fins. J'aurais aimée apprendre ce que sont les nouveaux discours des néoconservateurs et ce, depuis la mort de Georges Floyd mais finalement le titre de cet ouvrage n'a servi qu'à appâter les lecteurs comme moi qui ont été très toucher par une mort tragique.