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3,8

sur 648 notes
Je n'avais pas lu de livre de cet auteur et encore moins Arsène Lupin que j'ai vu maintes fois en films ou feuilletons mais jamais je ne l'avais lu.
J'ai apprécié le style de l'écriture et le déroulé de l'histoire mais je reste sur ma faim. Je trouve qu'il n'y a pas assez d'actions. L'histoire n'est pas aussi approfondit que les films ou feuilletons, il n'y a pas assez de détails à mon goût.
Ce que j'ai le plus apprécié : les ruses d'Arsène Lupin et ce genre à provoquer son adversaire qui malgré tout n'est pas aussi teigneux qu'on veut bien le croire.

C'est bien le maître des cambrioleurs et des voleurs!
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J'ai profité des vacances pour sortir ce second tome des aventures d'Arsène Lupin qui traînait depuis plus d'un an dans ma PAL. Comme pour le premier, j'ai eu un peu de mal les premières pages à m'adapter à l'écriture mais ensuite, je n'ai pu m'empêcher de tourner les pages les unes après les autres, le sourire aux lèvres, me demandant ce qu'Arsène Lupin était en train de mijoter, ce qu'il allait encore inventer pour se tirer d'affaires.

Dans "Arsène Lupin contre Herlock Sholmes", notre gentleman cambrioleur préféré a enfin quelqu'un à qui se mesurer : Herlock Sholmès, célèbre détective britannique (à l'époque de l'écriture d'Arsène Lupin par Maurice Lupin, Sherlock Holmes était déjà bien célèbre en France mais une question de droits d'auteur ne lui a pas permis d'utiliser son nom). Un combat féroce, des rencontres surprenamment paisibles et deux ennemis qui se respectent au plus haut point, voilà de quoi nous offrir un livre palpitant.

Ce recueil comporte deux histoires "La dame blonde" et "La lampe juive" étroitement liées avec bien sûr comme point commun principal le jeu du chat et de la souris entre Arsène et Herlock. Quel est celui qui arrivera à pièger l'autre, à mieux le berner ? Un face à face électrique pour notre plus grand plaisir, nous poussant à réfléchir à toutes les hypothèses possibles pour savoir les pourquoi et les comment (et essayer de prédire leurs différentes actions).

Comme pour le premier j'ai vraiment été prise au jeu des machinations, des inventions et des devinettes. Je trouve que les aventures ont vraiment très bien vieillies et j'oublie parfois à quelle époque prend place notre histoire. Je vais attendre un petit peu mais il est sûr et certain que je vais enchaîner avec le troisième tome : "L'aiguille creuse".

Quelle est votre aventure préférée d'Arsène Lupin ?
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Si j'apprécie beaucoup les récits d'Arsène Lupin en général, Arsène Lupin contre Herlock Sholmès est loin d'être mon favori. Les personnages tombent dans des caricatures d'eux-mêmes et l'histoire est bien moins prenante que lorsqu'Arsène Lupin se retrouve pas contre le célèbre détective anglais. Une lecture agréable, mais pas indispensable.
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Il était une fois le plus génial des cambrioleurs, confronté au plus grand détective de tous les temps...

Ainsi pourrait se résumer « Arsène Lupin contre Herlock Sholmes », un recueil de deux aventures d'Arsène Lupin, signées Maurice Leblanc et parues en 1908 aux éditions Pierre Lafitte.

Ce recueil reprend deux nouvelles légèrement modifiées parues à partir de fin 1906 dans le magazine « Je sais tout » : « La dame blonde » et « La lampe juive ».

Ces deux aventures font suite à « Herlock Sholmes arrive trop tard » nouvelle parue dans le premier recueil des aventures d'Arsène Lupin, « Arsène Lupin, gentleman cambrioleur ».

Alors qu'Herlock Sholmes, le grand détective anglais, n'avait fait, jusque-là, que croiser Arsène Lupin, il est appelé en France pour enfin se confronter à un ennemi à sa hauteur.

Notons déjà, ce qui est amusant et en dit long sur Conan Doyle, que le détective anglais, à la première éditions de « Herlock Sholmes arrive trop tard », se nommait bien Sherlock Holmes. Mais, suite à l'intervention des avocats de Conan Doyle, Maurice Leblanc a été obligé de le renommer.

Le fait est d'autant plus notable et amusant, donc, lorsque l'on sait que le personnage de Sherlock Holmes, le vrai, celui de Conan Doyle est très inspiré (qui parle de plagiat ?) d'un personnage français, Maximilien Heller, né de la plume d'un écrivain, français lui aussi, Henry Cauvain. « Maximilien Heller » est paru 17 ans avant la première parution d'une aventure de Sherlock Holmes et, qu'apparemment, cela n'avait pas gêné Conan Doyle de reprendre ce personnage alors qu'il était froissé qu'un autre en fasse autant avec le sien...

Ceci mis à part, que Sherlock Holmes devienne Herlock Sholmes ne change pas grand-chose, bien au contraire serais-je tenté de dire puisque le ton de ces confrontations est de façon assumée parodique.

Parodie car Herlock Sholmes n'est pas aussi charismatique que Sherlock Holmes.

Parodie car Wilson, le pendant de Watson, est ridiculement abaissé à un affidé neuneu et désespérément fier de son maître.

Parodie car tout est parodique, depuis les actions d'Arsène Lupin jusqu'aux réactions d'Herlock Sholmes en passant par celles des policiers et même de Ganimard.

Parodie, enfin, car l'espièglerie, le cabotinage et le côté joueur et enfantin d'Arsène Lupin sont poussés à leurs paroxysme.

N'oublions pas que le magazine « Je sait tout » dans lequel sont parues, à l'origine, les aventures d'Arsène Lupin, était un magazine familiale, donc, adressé aussi bien aux enfants qu'aux parents et même plus aux enfants qu'aux parents.

Il ne faut donc pas s'étonner que les aventures d'Arsène Lupin soient aussi créées pour faire briller les yeux des jeunes lecteurs de l'époque (voilà plus d'un siècle).

Ceux et celles qui voudraient comparer les aventures d'Arsène Lupin avec le genre policier actuel se mettraient alors le doigt dans l'oeil jusqu'à l'omoplate.

Voilà pour répondre à quelques critiques acerbes (rares, heureusement) que j'ai pu lire sur cet ouvrage.

Passons maintenant au texte lui-même.

Pour les lecteurs habitués exclusivement à des romans policiers contemporains, la plume de Maurice Leblanc pourra sembler désuette. Pourtant, lorsque l'on lit régulièrement des récits policiers du début du siècle dernier, on trouvera, au contraire, une certaine modernité pour des histoires datant de 1907.

Bien évidemment, le but de l'auteur, ici, est de s'amuser et, surtout, d'amuser ses lecteurs à travers une confrontation entre deux grands personnages (en fait, entre un grand, le détective, et un autre appelé à devenir grand, le cambrioleur).

Malgré le ton émminement parodique, Maurice Leblanc, contrairement à d'autres auteurs s'étant lancés dans ce genre de parodie, ne ridiculise pas Herlock Sholmes (seul Wilson subit cet affront) et s'il fait toujours gagner son héros, il n'en réduit pas pour autant le détective à un faire valoir.

Herlock Sholmes, certes, dans certaines attitudes, peut sembler ridicules, notamment dans le peu de cas qu'il fait des affres que Wilson subit, mais dans sa lutte contre Lupin, il s'avère tenace et bien souvent dangereux.

On sent alors dans l'histoire, le respect mutuel que vont se porter les deux adversaires, chacun reconnaissant en l'autre le seul ennemi à sa hauteur.

Maurice Leblanc nous livre donc deux aventures rocambolesques, légères et drôles qui, bien que plus d'un siècle se soit passé, sont toujours aussi plaisantes à lire...

Au final, une confrontation mythique mais surtout sympathique entre deux légendes de la littérature populaire.
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Deux longues nouvelles (La dame blonde/La lampe juive) contant l'affrontement entre le super détective (malgré un pseudo transparent dû à des problèmes de droits) et le super voleur . Leblanc ne pouvait rater l'occasion d'affronter Conan Doyle en plein succès à ce moment-là. Bien entendu l'avantage reste au français (Leblanc est assez cocorico) mais le ton reste respectueux et quasi amical .Les histoires ont aussi une tonalité humoristique et sont agréables à lire.
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Un roman en deux grosses nouvelles basé sur l'antagonisme entre Lupin et un Sherlock Holmes parodié à l'extrême et rebaptisé Herlock Sholmes. C'est Watson qui est le plus écorné par Maurice Leblanc puisque de courageux docteur un peu trop petit doigt sur la couture du pantalon, il devient un genre de crétin souffre douleur qui prend les coups à la place de son maître et dont ce dernier se moque à longueur de pages. Les intrigues sont bien foutues mais les personnages de Holmes et Watson sont un tout petit trop parodiques pour les fans de Conan Doyle.
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Encore deux belles aventures de Lupin. D'autant plus impressionnantes que pour une fois les forces de l'ordre sont à la hauteur! Lupin ruse, Lupin amuse, et il s'en sort vainqueur malgré le brio de Sholmès qui n'a d'égal que son fair play!
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Alors déjà il faut savoir que j'en avais lu deux-trois critiques particulièrement élogieuse, je m'attendais donc à du grand art, un beau combat, un Sherlock (parce que bon Herlock = Sherlock bien sur) au top de sa forme, un Lupin tel que dans mon imaginaire et un Watson pas trop relégué au second plan.
Autant vous dire de suite que j'ai été très déçue par ce torchon!

Bon déjà ma première erreur a été de croire qu'il s'agissait d'un livre écrit par un illustre inconnu. N'ayant jamais lu d'Arsène Lupin avant j'ignorais, en bonne réfractaire aux auteurs francophones que j'étais, que Leblanc était le papa de Lupin. Je m'attendais à une écriture contemporaine ou qui au moins n'aurait pas trop mal vieillit, mais ce ne fut bien entendu pas du tout le cas. Leblanc a vécu au début du siècle et ça ce sent! Notez bien que Conan Doyle aussi et que pourtant je suis une grande fan de son oeuvre. Disons juste que les deux ne sont pas comparable, l'un ayant été un grand artiste reconnu à juste titre et l'autre un petit auteur qui se prit pour un grand.

Peut-être devrais-je aussi préciser qu'en plus d'être une grande fan de Conan Doyle je le suis aussi, et surtout, de Sherlock Holmes, qu'il s'agisse des récits originaux (que je n'ai pas encore tous lu, je l'admets) aussi bien que des adaptations plus récentes (enfin pas toutes non plus, mais les principales diront nous).

Dans ce roman, enfin les deux histoires qui le composent, Lupin mène la danse, évidement. Il a toujours une longueur d'avance sur le détective et ce sans que ce ne soit jamais plus développé que ça. On va se retrouver sans arrêt face à des situations du genre "Oh la la, Lupin est acculé mais comment va-t-il pouvoir s'en sortir? Oh ben il y a une porte cachée bien sur et POUF le voilà qui disparait" ou encore "Tiens ces personnes ressemblent quand même grave à celles du signalement que j'ai reçu... Mais bon ça peut pas être elles, elles sont pas sorties par la bonne porte."
Je vous passe aussi le dénouement final qui est RI-DI-CU-LE! Qu'on se joue des policiers dans ce genre de série c'est normal (!) mais qu'on considère que 500 d'entre eux sont aussi CONS, parce qu'il n'y a pas d'autre mots pour ça, c'est juste du foutage de gueule. Pas un seul n'a pensé que Lupin était en train de faire CA? Sérieux? J'étais sur depuis le début du chapitre que ça allait se terminer comme ça, et je peux vous assurer que je suis loin d'avoir les capacités de déduction de ce bon monsieur Holmes. Mais bon forcément l'histoire n'a pas été écrite par l'homme qui a donné son intelligence au détective anglais mais bien par un usurpateur qui se contente d'expliquer ses feintes par un "En fait Lupin est partout, il voit tout. C'est presque un magicien quoi! Trop cool. Yolo."

Les explications qui viennent après coup sont risibles et tellement... improbable.
Ce que j'aime dans un policier c'est de me dire "Oh mais ouiii! C'est tout à fait possible-réaliste-incroyable mais tellement bien amené". Si je veux voir des héros s'en sortir grâce à la magie je lis un livre de fantasy! Ou un livre pour enfant à la rigueur. Des explications de merde comme il en pleut à la fin de ces deux histoires ce ne sont, à mon gout, pas des explications de romans policiers. Tout au plus des bafouillages écrit tel qu'on pourrait en rencontrer dans la rédaction d'un élève du secondaire pas trop bien réveillé.


L'image que j'avais de Lupin, celle du Edgard Cambriolleur de mon enfance, n'avait rien de commun avec le Lupin arrogant que j'ai découvert dans ce roman.

Une autre chose que j'ai exécré dans ce livre c'est ce que l'auteur à fait du personnage de Watson (devenu Wilson pour l'occasion). Déjà il apparait comme un crétin fini alors que ce n'est absolument pas le cas dans l'oeuvre de Conan Doyle. Un petit gros stupide et heureux de servir de faire valoir qui va sortir connerie sur connerie. Jamais un homme de la trempe de Sherlock, ou même de ce décérébré vaniteux d'Herlock, ne se serait lié d'amitié avec l'idiot du village tel qu'il est représenté dans ce livre. Aussi, de toutes évidence, ce personnage dérangeait atrocement Leblanc vu que dans les deux nouvelles il se retrouve alité et dans l'incapacité d'enquêter avec son ami, très (trop) rapidement. Je l'ai vraiment ressentit comme un "Boooon, il fait chier le débile. Je suis un peu obligé de le mettre vu qu'il est toujours dans les histoires du rosbif mais il m'inspire méga trop paaaaas. Bon je vais lui coller une balle dans le bide. Hop 3 mois d'alitement obligatoire et vas y qu'on n'en parle plus."


Aussi, je ne sais pas à quel moment nous sommes censé trouver Lupin charmant. Dites moi si je me trompe mais il est bien censé être "le Gentleman cambrioleur" non? Alors pourquoi est-ce qu'à moi il m'a juste semblé être une petite raclure, un briguant sans foi ni loi qui utilise les gens de son entourage pour sa pomme? Un égoïste, un parfait connard, une racaille dont on aurait bien raison de se débarrasser une bonne fois pour toutes?
J'ai trouvé ce personnage antipathique au plus haut point! Ça m'était rarement arrivé.
Alors bien sur à la fin on apprend qu'il n'a pas commis ces affreuses choses dont on l'on accusait. Enfin, pas toutes. Mais bon ça n'en reste pas moins un voleur qui vole pour lui, juste pour lui et rien que pour lui. Pas du tout un Robin des Bois ou autre bienfaiteur anonyme ou non.
Bon c'est peut être le cas dans un autre des ses romans, je ne dis pas, mais je ne le saurais jamais. Parce que je n'ai aucune espèce d'envie de m'infliger à nouveau une telle lecture.

J'ai aussi lu que le papa de Sherlock a désapprouvé cette histoire quand il en a eu vent, ayant peur que Leblanc ne dénature et ne ridiculise son personnage. Hé ben honnêtement ça se comprend!
Heureusement l'histoire, pour une fois, aura d'avantage retenu Sir Arthur que son acolyte français. Et ça c'est une bonne note de fin malgré tout.

Points forts : Contrairement à la première nouvelle, qui elle n'a rien du tout pour elle, la seconde se laisse lire, même si la fin est plus téléphonée qu'aucune autre.
Points faibles : Une fois qu'on sait que c'est le créateur de Lupin qui écrit l'histoire on sait qui va gagner à la fin. Parce que Lebanc n'était visiblement pas capable de mettre son égo de coté en écrivant cette histoire. Et que son héros doit rester son héros. Tout le monde n'est pas capable de faire dans l'autocritique/dérision.
Lien : http://harcelemot.canalblog...
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Trois histoires sont à découvrir dans ce roman qui met en scène le célèbre gentleman cambrioleur Arsène Lupin.
D'abord la dame blonde, ensuite la lampe juive et pour finir l'aiguille creuse qui ont un point commun celui de relater des cambriolages assez rocambolesques du célèbre voleur mais se trouvent sur sa piste, le détective Herlock Sholmès référence à Sherlock Holmes tout aussi perspicace ou bien le jeune étudiant surdoué Isidore Beautrelet.
Face à ces vols surprenants il y a toujours une énigme à résoudre, les ménagent tournent à plein régime pour la trouver !
Ces intrigues nous emmènent dans les rues de Paris ou sur les routes de campagne normandes et des faits historiques agrémentent le récit. Avec un petit plus, cet humour qui égaye le tout et un Arsène Lupin au meilleur de sa forme, gai luron lyrique et plein de verve qui s'amuse et m'amuse.
Je remercie la masse critique de Babélio et les éditions Archipoche de m'avoir permise de continuer mon initiation sur ce personnage aux mille visages 😊
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Dans le cadre de Masse Critique : Mauvais Genre Octobre 2021, j'ai sélectionné ce livre dont j'en remercie les Editions Archipoche 75013 PARIS pour l'envoi.
Je ne vous cache pas que c'est un pavé à lire, plus de 500 pages, couverture agréable d'une réédition de six volumes.
Il m'a fallu arriver à atteindre le deuxième chapitre pour me mettre dans l'histoire mais dès que l'accroche fut prise, je ne l'ai plus lâché, j'ai fait la connaissance dans un premier temps de Monsieur Lupin en commençant par le vol d'un secrétaire acheté par un gentilhomme auprès d'un marchand de rue, voici le premier méfait de notre cher voleur.
Puis nous faisons la connaissance de Herlock Sholmès « âgé d'une cinquantaine année, ressemblant à un bourgeois qui aurait passé sa vie devant un bureau, à tenir des livres de comptabilité. Mais Herlock Sholmès est un phénome d'institution, d'observation, de clairvoyance, et d'ingéniosité… »
Au fil des pages, nous les voyons se confronter au travers de différents vols dont Herlock les déjoue avec grâce et espièglerie. Il ne pas oublier, Wilson, le pauvre, il lui arrivait d'être en retrait de l'histoire pour avoir été pris en partie dans une bagarre, d'un mauvais coup mais ce personnage est intéressant.
Puis, nous faisons la rencontre d'un autre personnage, étudiant, Isidore Beautrelet, par ressemblance à Herlock, va par déduction déjouer les stratagèmes de Lupin.
La série avec Omar Sy, redonne une nouvelle vision et remet au goût du jour, les aventures de Sherlock/Herlock.
D'une plume fluide et agréable, nous finissons le roman. Je me suis amusée à lire ce roman.
C'est mon premier livre sur Sherlock et je suis contente d'avoir eu celui-ci à lire pour découvrir l'univers de Sherlock/Herlock dont j'ai prévu de lire les autres volumes.
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