J'ai demandé ce titre lors du dernier masse critique de chez Babelio car le "
vivre slow" m'intéresse en ce moment, surtout après les derniers confinements. J'avais bien vu, lors de mon choix, que ce livre était édité par les presses universitaires de Lorraine, mais rien ne me fait peur en matière de lecture, en général. Cependant, je dois avouer avoir eu un doute à réception, en le feuilletant, l'épaisseur du livre, la typographie sérieuse qui tient plus du mémoire que du livre de développement personnel. Bref, j'avoue avoir fait une erreur de casting avec ce livre, dont je n'ai lu en réalité que certains chapitres.
Le propos s'intéresse plus à la manière dont nous pourrions allier le "
vivre slow" et le tourisme, dans le respect de la nature, bien sûr, mais aussi de la culture et des habitants du lieu visité. le ralentissement de l'activité corporelle permet d'être plus en phase, en résonnance avec son environnement. Cette nouvelle façon de "lever le pied" annonce-t-elle une transition ?
J'attendais je crois autre chose de ce livre, des impressions et des études sur le "
vivre slow" plus que son impact sur le tourisme de masse. de plus, je crois que je m'attendais à une étude moins universitaire, plus abordable. Sa lecture n'en est pas aisée, même si certains intervenants ont une écriture plus fluide que d'autres.