Comment ne pas être émue quand un fils aimant, raconte l'histoire et le travail de son père à la mine. Il fallait avoir une très bonne santé pour être mineur, en effectuant les descentes qu'arrivé au fin fond de ces mines. Malheur à ceux qui ne l'avaient pas et qui n'atteignaient pas l'âge de la retraite.
La préface écrite par l'écrivain
Stephane Nolhart est complète et je retrouve mes ressenties dans son texte.
Bien qu'il y eut des termes techniques sur lesquels je devais me concentrer, la lecture de cette histoire fut passionnante. D'ailleurs, les premiers mots du livre m'ont fait sourire quand tu rapportes l'incompréhension d'une jeune fille sur les terrils, en demandant au professeur de Géographie si c'était des montagnes.
Bien sûr, chacun sait que les terrils sont des collines artificielles construite par accumulation de résidus miniers. Je laisse les lecteurs aller de l'avant dans ton ouvrage pour d'avantage d'explications.
J'ai bien aimé également l'anecdote avec le chien et toute la nuit passé à ses côtés, blotti contre sa fourrure pour avoir plus chaud, quand ton père avait trouvé porte clause.
Ainsi que celles faites quand ton père fit l'armée.
Guillaume Létienne en effet nous conte toute la vie de son père pas seulement celle dans la mine, bravo !
Tu as fait un merveilleux travail d'écriture Guillaume, j'ai plongé et suis descendue dans la mine moi aussi, tant les descriptions étaient précises. Les photos à la fin du livre sont sublimes et démontre comme ce travail était exigeant et pénible. Ces photos rajoutent une émotion supplémentaire.
J'ai été touchée comme je le disais et tu peux être fier de toi, car voici un très joli cadeau fait à ton père, pour ses 80 ans.