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EAN : 9782754812757
128 pages
Futuropolis (21/05/2015)
4.15/5   317 notes
Résumé :
Le 7 janvier 2015, le dessinateur Luz a perdu dans l'attentat commis à Charlie Hebdo, des amis, mais aussi l'envie de dessiner. Alors que la France s'est révélée "Charlie", Luz redevient auteur. Au début, il y a le drame, la douleur, la rage, la perte. Et puis, petit à petit, il y a le besoin de dessiner qui revient, l'envie non pas de témoigner, mais de se mettre à nu, de se libérer.
Alors naît Catharsis. Un livre thérapeutique où Luz nous livre par petites ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (55) Voir plus Ajouter une critique
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le 07 janvier 2015 j'ai pris ma naïveté en pleine gueule, comment imaginer qu'avec deux trois coups de crayon bien inspirés, on puisse prendre du plomb dans la tête, et faire voeux de maturité, c'est bon enfant le dessin, ce n'est pas un truc pour adulte fanatique, faut un putain de recul pour piger l'humour et le rire à satire déployé…

De toute façon j'y comprends que dalle moi au fanatisme, je suis resté un fan platonique, le genre de pecno qui aime se tripoter la bonne humeur en regardant pour la 100 ème fois le « Retour de Jedi », sans pour autant rêver de rouler des paloches à « Choubaka », et une fois le film terminé, je range mes trips de gosse, je fous mon pyjama je m'endors comme un Charlie, anonymement, le fanatisme platonique au bord des lèvres, et je reste moi en toute circonstance, rien à foutre des idéologies, chacun sa merde et ses délires, j'aime les gens, mais je fuis leur connerie… donc j'aime personne…

Du coup moi le 11 janvier 2015, je suis resté casanier dans mon canapé, la flemme au bout des pieds, aigri de part mon prochain, je cultive depuis toujours une sorte de désabusement, et voir tous ces gens ensemble mains dans la peine, j'en ai presque éprouvé une sorte de malaise : Mais combien connaissait « Charlie Hebdo », combien connaissait les victimes, combien comprenait cet humour si dessiné, combien condamnait cet humour si particulier, alors oui le symbole était légitime et beau quoi que j'en critique : descendre dans les rues crier son incompréhension, ça fait des trucs à se raconter, et des selfies à diffuser, chacun pourra se vanter et dire :

"j'y étais, tu t'en rends compte, j'y étais…j'ai foutu 4 heures pour y aller, et 8 heures pour rentrer mais putain ça valait le coup de kalachnikov tiens..."

- Heureusement que t'habites qu'à 10 bornes hein !

Et tous ces politiques accompagnant cette marrée humaine pour la liberté d'expression souvent fouettée au nom des droits de l'homme censuré…

Bien sur que je caricature, mais n'est ce pas la mine de crayon d'un journal satirique ?

alors ouais je n'aime pas trop quand il y plein de monde, alors des millions de personnes qui me marchent sur les godasses, et c'est la sale gueule assurée, et tout ça à cause de trois paumés perdus dans le monde étrange de l'absurdité, armés pour faire couler leurs drôles d'idées à coup de lâchetés….

Je suis pudique, mes larmes sont restées bloqués au bord de ma télé…

On nous répète à longueurs de morts que l'alcool est dangereux pour la santé, surtout sans modération, pourtant l'excès aura sauvé la vie d'un certain LUZ, mais à quel prix de culpabilité, un verres, deux verres, un anniversaire bien arrosé et le réveil reste une effluve de la veille, un songe irréel, un retard et c'est la douche froide, sanglante, déchirante, ses amis, sa famille, ses frères de crayon qui sont couchés sur un sol maculé d'un rouge meurtrier, juste pour un fou rire bien dessiné, juste pour un délire de plus condamné par une majorité de lacunes satiriques…

J'adore cet humour si scandaleux, insouciant, provoquant, tout ce qui ne fait pas l'unanimité, tout ce qui est tabou, gênant, et le CUL en fait parti pourtant le cul c'est marrant, jouissant, et bandant, et LUZ le dessine avec sentiment et satYrisme...

« Faites l'amour et non la guerre »… Un adage que je m'emploie à respecter du mieux que je baise… et du mieux que je ris…

LUZ nous dessine de manière émouvante avec son coup de crayon si personnel, son profond désespoir, son incompréhension, ses doutes, ses peurs, et sa PEINE insatiable…

Peut-on se remettre d'un tel traumatisme, aucune idée, je lui souhaite de tout mon humour et ma sympathie le meilleur dans ce monde chelou dans lequel nous survivons…

Faut pas rigoler avec Mahomet… Mais pour ce que j'en ai à branler…

A plus les Charlie…

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Mercredi 7 janvier, 18h, au 36 quai des orfèvres. On lui demande de raconter ce qu'il a vu. Mais peut-il seulement mettre des mots sur cette tragédie. Existent-ils, ces mots? A défaut de parler, Luz dessine. A sa manière. Avec sa rage. Son incompréhension. Sa douleur. Sa tristesse. Il ne peut dessiner qu'un petit bonhomme, figé, abasourdi, de grands yeux disproportionnés. Des dizaines de petits bonhommes qui ne semblent pas comprendre. Il se rappelle comment c'était avant le 7 janvier. C'est facile: c'est le jour de son anniversaire. Or, cette année, il est arrivé en retard dans les bureaux de Charlie Hebdo. Il a fêté son anniversaire la veille au soir. Il a un peu picolé. Alors pour se faire pardonner il a amené une galette, comme il le fait chaque année. Ce sera la dernière fois. Un simple retard qui lui aura sauvé la vie...

Qu'il est difficile de mettre des mots sur cet album... Album que l'on souhaite évidemment salutaire et bienfaiteur pour Luz. Il se livre ici, sans tabou, sans barrières, et couche ses émotions, son ressenti et son mal de vivre sur papier. Quelle rage et quelle tristesse dans ses dessins et dans ses mots! Et quelle envie de vivre aussi! Une envie qui le ferait presque rougir... Même si le désir de reprendre les crayons est revenue, elle est différente. Cet album nous émeut réellement. Une lecture éprouvante, émouvante et profondément humaine.

Catharsis... au-delà des mots...
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Luz et le double effet kiss-cool.

Première gueule de bois le 7 janvier, au réveil, suite à un anniversaire un peu trop arrosé, normal.
La seconde, beaucoup plus violente et durable, quelques heures plus tard, en découvrant tous ses potes sur le carreau. Lui qui aurait dû en être s'il n'avait pas vénéré Bacchus plus que de raison. Comme quoi l'alcool sauve des vies, Luz en est une preuve vivante. Survivante.
Il en a réchappé. Une chance et une malédiction pour celui qui porte désormais le syndrome de Lazare comme une croix, un boulet annihilant tout désir.
Dessiner, pour quoi faire ?
Aimer, comment ?
Vivre, pas envie...

Petit à petit, le bonhomme se relève.
Catharsis comme catharsis, lente résurrection par le prisme de l'image et du verbe qu'il affectionne depuis toujours.
Si le patient est encore convalescent, il semble vouloir relever la tête, avoir retrouvé le désir de se battre, d'avancer.
A mille lieues des dessins satyriques de Charlie Hebdo, Luz se fait ici poète nostalgique et désenchanté, perdu en un monde qu'il ne comprend plus.
Totalement largué sur tous les plans, il en est un qui pourrait bien lui redonner l'envie. Non, Johnny, tu te tais.
La parole est à Camille, sa muse, qui l'appelle régulièrement "mon ange", lui le survivant.
L'amour comme refuge, comme moteur, Luz-tu cru ?
Lui oui, plus que jamais...
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C'est l'histoire d'un mec qui arrive en retard à son boulot, le jour de son anniversaire.

La veille, il est allé dîner au restau. Ce matin-là, il a un peu traîné. C'est normal. C'est pas tous les jours qu'on fête son anniv'. Ça n'arrive qu'une fois par an. Il a envie de profiter de son amour.
Parce qu'il l'aime, parce qu'il s'en fout d'arriver en retard. Parce que baiser, c'est encore ce qu'il y a de mieux à faire, le jour de son anniversaire. Mais c'est surtout parce qu'ils s'aiment.

C'est l'histoire d'un mec qui en arrivant au boulot envoie des textos à sa femme pour lui dire :
C'est le carnage.

Comment tu veux continuer à vivre après ça ? Avec cette boule au ventre qui t'envahit, qui te suit partout, qui t'emmerde même quand tu lis tranquillement du Stephen King.
Comment tu peux continuer à vivre avec ça ? Avec ces flics qui envahissent ton quotidien, qui te suivent partout même quand tu passes un moment romantique qui donnerait presque envie de chialer avec ta femme au bord de la mer, à vous perdre tous les deux là-bas, loin, tout au bout de la ligne d'horizon.
Comment tu vas continuer à vivre avec ça ? Avec tous ces Charlie qui ont envie de te serrer dans leurs bras mais qui ont déjà oublié qu'ils étaient Charlie. Avec ces rêves qui n'en sont plus, qui transforment tes nuages en formes noires, terrifiantes, terrorisantes ...terroristes.
Comment tu vas continuer ? Sans tes potes.

Heureusement, ton amour est là. « Heureusement. » Merde ! Que vient donc faire ce fichu adverbe ici ? Il n'a pas honte de pointer le bout de son nez ? Peut-être qu'il fait bien d'arriver timidement.

Regarde, tes p'tites bites hébétées, on dirait bien qu'elles reprennent du poil de la bête. Elles sont comme des p'tits bonshommes maintenant et ...
... elles marchent.


(Merci à l'éditeur Futuropolis et bien sûr à Babelio pour l'envoi de ce livre. Celui-ci garde et gardera une place particulière dans mon cœur.)

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Pour des millions de français il y aura dorénavant un avant et un après 7 janvier 2015. Un après plein de crainte, de douleur, d'incompréhension et de révolte face à tant de haine, de bêtise, d'injustice et d'intolérance. Mais si la France a perdu ce jour-là quelques-uns de ses symboles les plus forts de la liberté d'expression, d'autres ont perdu en plus des amis, des proches, des membres de leur famille…

Pour Luz, la peine est double puisque en plus de porter le deuil de ses collègues et amis, il doit vivre avec l'obsession terrible et angoissante que, sans son retard, il aurait dû faire partie des victimes du massacre… Comment continuer à vivre et à avancer quand on vit avec la peur au ventre ? Peut-on continuer à dessiner et à s'exprimer librement quand plane au-dessus de soi la menace de mort ?


Avec « Catharsis », Luz nous livre un album exutoire dans lequel il se met en scène dans son quotidien d'après les attentats. En préambule, le dessinateur déclare « Un jour, le dessin m'a quitté. le même jour qu'une poignée d'amis chers. A la seule différence qu'il est revenu, lui. Petit à petit. A la fois plus sombre et plus léger. » « Catharsis », c'est la preuve que malgré l'angoisse, malgré la menace, malgré la tristesse, la vie continue. C'est la réconciliation d'un artiste, d'un penseur, avec lui-même et avec son art. Des planches tantôt inquiétantes, torturées mais bien plus souvent drôles, impertinentes, cocasses, voire tendres, qui nous offrent un regard singulier, à la fois juste et aiguisé sur « l'après ».

Pas de chronologie dans l'enchaînement des planches (ce n'est pas un journal intime !), même si l'ensemble forme un tout cohérent et intimement lié. Si le noir et blanc dominent, la couleur s'invite parfois pour souligner la violence d'un moment ou d'une émotion. le dessin au trait épais et au geste rapide, caractéristique de l'auteur, est particulièrement vivant et expressif. Difficile de donner un avis sur un ouvrage aussi intime et personnel. Tout ce que je peux dire c'est que j'ai été profondément émue et bouleversée par ce rappel à une actualité encore brûlante et par la manière dont Luz se confronte à la réalité. Un ouvrage nécessaire à l'auteur, mais qui l'est, je pense, tout autant pour ses lecteurs.


Un grand merci à Babelio et à Futuropolis pour ce partenariat !
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critiques presse (7)
BulledEncre
22 septembre 2015
Pensées plus ou moins nues d’un dessinateur brisé après une tragédie. À lire absolument.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
NonFiction
11 septembre 2015
Une plongée dans l'intime après le traumatisme du 7 janvier 2015 par l'un des principaux auteurs de Charlie Hebdo .
Lire la critique sur le site : NonFiction
LaLibreBelgique
16 juin 2015
"Catharsis" livre la douleur, le deuil, les peurs et ce qui, peu à peu, revit en Luz.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
BoDoi
22 mai 2015
Catharsis est le récit fragmenté, beau, poignant et troublant d’un homme ordinaire en situation extraordinairement dramatique. Et de la façon dont il tente d’en réchapper.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Liberation
21 mai 2015
Brut.
Lire la critique sur le site : Liberation
Culturebox
18 mai 2015
Dans l'attentat, il a perdu non seulement des amis chers mais aussi l'envie de dessiner. Seul le dessin est revenu pour le libérer de la douleur et de la sidération. Il le raconte dans "Catharsis".
Lire la critique sur le site : Culturebox
LaLibreBelgique
18 mai 2015
Luz, dessinateur de Charlie Hebdo, raconte comment il a peu à peu retrouvé la lumière après l'attentat du 7 janvier.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
Un jour, le dessin m'a quitté.
Le même jour qu'une poignée d'amis chers.
A la seule différence qu'il est revenu, lui.
Petit à petit. A la fois plus sombre et plus léger.
Avec ce revenant, j'ai dialogué, pleuré, ri, hurlé, je me suis apaisé à mesure que le trait s'épurait.
Tous deux, nous avons essayé de comprendre.
Nous nous sommes dit, le dessin et moi, que nous ne serions plus jamais les mêmes.
Comme tant d'autres.
Ce livre n'est pas un témoignage,
encore moins un ouvrage de bande dessinée,
mais l'histoire de retrouvailles entre deux amis qui ont failli un jour ne plus jamais se croiser.
Luz
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Puisque je suis toujours censé être Charb, je vais te lire l’éloge funèbre qu’il aurait fait à ta place…
« Luz, toi qui préférais la musique à Delerm, je t’offre malgré tout ce poème : et je peux dire qu’en 25 ans tu ‘as appris le respect ni du public ni des puissants mais celui dû aux canidés, ces petits êtres gambadant la queue en l’air et la rondelle au vent qui se reniflent le derrière et s’enfilent tendrement, jamais en reste pour soulager un chihuahua, un fox-terrier, quand bien même un berger allemand, tu resteras au firmament des zoophiles les plus marrants, Luz, mon wouah-wouah, mon amant. »

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J'ai une idée pour cette semaine... Valérie Trierweiler va sortir un film d'après son bouquin sur Hollande. On pourrait faire le casting... Ou même, mieux, dessiner les premières images exclusives ! Avec Depardieu dans le rôle de Trierweiler ! Marion Cotillard dans celui de Julie Gayet. On en fait une saga hollywoodienne qui raconte toutes les mesquineries de la politique française ! Je note... Ho-lly-wood ! Attends, on fait un truc de ouf ! On met George Clooney dans le rôle de Hollande. Il se rase la tête et prend 20 kg. "Thank you pour le moment", réalisé par Judd Apatown ! Et avec Michel Houellebecq dans le rôle des "sans-dents", ha ha ha ! Hahaha ! Houellebecq ! [...] Bon, Charb, Riss, je fais quoi ? La double ? Putain, vous êtes amorphes aujourd'hui. Vous vous êtes tous engueulés ou quoi ? Oncle Bernard, tu fais pas la gueule parce que je vais encore me moquer de ton pote Houellebecq, hein ? Ha ha ! Vous m'faites une blague, là...
(p. 9-10)
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- C'est quoi ça ?
Putain ça bouge... Ça grossit.. Ça devient énorme. C'est vivant ou quoi ?
- Salut mec ! On s'connait pas ! J'me présente, je suis ta boule au ventre !
Tu peux me tutoyer... Moi je ne vais pas me gêner, crois-moi, car on va vivre ensemble un bon bout de temps.
Je suis là pour t'empêcher d'oublier.
- Et si je veux oublier ?
- Haha ! "Oublier", tu es trop mignon !
Commenter  J’apprécie          330
Un jour le dessin m'a quitté, le même jour qu'une poignée d'amis chers. À la seule différence qu'il est revenu, lui. Petit à petit. À la fois plus sombre et plus léger. Ce livre n'est pas un témoignage, encore moins un ouvrage de bande dessinée, mais l'histoire de retrouvailles entre deux amis qui ont failli ne plus jamais se croiser.
Commenter  J’apprécie          320

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