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EAN : 9782754816434
136 pages
Futuropolis (08/04/2016)
4.02/5   66 notes
Résumé :
Alors âgé de 77 ans, Albert Cohen publie un livre qui révèle l’événement marquant qui a dévasté son enfance et marqué toute sa vie : sa rencontre avec l’antisémitisme. Le jour de ces dix ans (en 1905), le jeune Albert arpente les rues marseillaises à la recherche d’un petit présent pour sa mère. Il est ébloui par le bagout d’un camelot qui s’adressera pourtant à lui, en le traitant, de « sale youpin ! » Dans ce livre intense, triste sans virer au pessimisme, Albert ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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♫Quand les larmes montent, quand le moral descend
Quand on rame de honte, quand on sourit aux passants[...]
Quand arrive le soir, quand tout est noir
Quand on vit l'ordinaire, quand on est seul sur la Terre
Quand on regarde le ciel, quand tout est éternel
Quand le jour sera fini, quand tout sera fini
Quand on jette le tout, quand la Terre se désassemble
Je me jette à ton cou, c'est mon île d'être ensemble♫
-Gaetan Roussel-2021-
----♪---♫---😧---🚽---😧---♫---♪----

"Un enfant juif rencontre la haine [...]
J'ai été cet enfant." signé Albert Cohen (1895-1981) écrivain, dramaturge et poète suisse romand dont l'oeuvre est fortement influencée par ses racines juives.

J'ai dix ans
Le mercredi je m'balade
Une paille dans ma Suze
(C'est sur l'affiche dessinée par Luz)
Je me fais embêter par un cam'lot
"sale youpin", longtemps j'l'entends crier
l'angoisse, W-C, j'me noie dans ces propres maux
Je deviens fou du chocolat Meunier
J'en parle à l'oreille des chevaux
Effet miroir, dix ans criés avec une encre noire
Ô rage, Ô désespoir
je deviens le roi des juifs...
(Tiens, c'est pas comme ça que finit Nietzsche !?)
Ô Vous, frères humains
Ne pas haïr importe plus que l'amour du prochain
Oeil pour oeil, dent pour dent
Sourire aux passants, libérer les méchants
Contre les antisémites, un gentil s'imite
si tu m'crois pas, tar ta gueule à la récréation
Dure mais poétique, une cavale avec les mots Sion 😉
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Hier soir, au MAHJ, exposition des planches originales de Luz , celles de son album transposant, dans le registre graphique et quasi muet , -à l'exception de trois chapitres majeurs , transcrits intégralement - les célèbres pages du livre d'Albert Cohen "Ô vous, frères humains ".

En présence de Luz, avec qui était organisée une rencontre dans l'auditorium du musée.

Double choc: retrouver ce livre puissant, cette prière lucide adressée aux "haïsseurs" par un vieil homme bouleversé par la perte d'innocence et la fin de la joie de l'enfant de dix ans qu'il a été. Et le retrouver à travers la sensibilité meurtrie d'un rescapé de la haine, d'un éternel survivant du massacre du 7 janvier 2015.

D'ailleurs Luz a précisé lui-même cette filiation dans l'interview qui a suivi. La tuerie de Charlie a fait de lui un grand frère du petit Albert Cohen de 10 ans : innocence et tranquillité à jamais perdues.

Un album qu'on pouvait croire moins personnel que celui de Catharsis, puisque placé sous le haut patronage du grand écrivain, mais qui, tout en permettant à Luz de prendre de la distance, a redonné au dessin tout son pouvoir d'exorcisme.

Celui-ci est magnifique : libéré des cases, jouant sur la force du trait, les mille nuances du noir, expressif et même expressionniste, il plonge dans un univers de fantasme et de noirceur à la Fritz Lang- M le Maudit - on pense aussi au Troisième homme d'Orson Welles... C'est Stephen King revisité par Frantz Kafka. ..

Le discours antisémite qui jaillit de la bouche de l'immonde camelot- du roi?- est comme une inextinguible vomissure qui souille de ses mots obscènes les murs de Marseille, et le petit doigt accusateur de l'enfant qui tente d'attirer sur eux l'attention des passants se heurte à leur indifférence -la forme ordinaire de l'amour du prochain...

Quant au Christ, interrogé par l'enfant en détresse, il prend les traits du musicien des rues jouant de l'orgue...de barbarie:il est aveugle comme le musicien ambulant...

Des doigts vengeurs semblent chasser de partout l'enfant qui se sentait français et se découvre juif.

Dans la rencontre qui a suivi l'exposition, Luz a dit combien il se sentait proche, aujourd'hui, de cet enfant de dix ans qui se réfugie dans les toilettes d'une gare pour pleurer de désespoir : lui aussi a connu cela deux fois. La première fois, il avait 10 ans aussi, et des enfants lui avaient cassé ses lunettes en lui jetant le ballon en pleine face.

La seconde, c'était à l'enterrement de Cabu.

La voix de Luz s'est alors étranglée, il n'a pu finir sa phrase. Plus personne n'a osé lui poser de question.

J'ai pensé aux larmes du Petit Prince." C'est si mystérieux le domaine des larmes" écrivait l'aviateur.

Nous sommes tous des frères dans la mort disait sombrement Cohen. Devant les larmes de Luz et celles du petit Albert, je veux croire que nous sommes tous les frères des enfants qui pleurent, les petits enfants de dix ans, les grands enfants rigolards de Charlie, et même les vieux enfants, comme Cohen, qui voulut rééditer son livre en 1972, parce que la bête immonde, malgré les cheminées d'Auschwitz, avait , en 1972, repointé sa sale gueule.

C'est le sens du dernier dessin de Luz dans ce magnifique et terrible album. Je vous laisse le soin de le découvrir.
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« Un enfant juif rencontre la haine le jour de ses dix ans. J'ai été cet enfant. » (Albert Cohen)

Après « Catharsis », un album intime que Luz avait réalisé après les attentats de Charlie Hebdo en janvier 2015, l'auteur revisite le roman d'Albert Cohen.
« Ô vous frères humains » est un texte autobiographique, donc les faits se sont passés en 1905, édité à quelques occasions avant d'être publié intégralement en 1972. Albert Cohen est alors âgé de 77 ans.

Entrée douce dans ce récit intimiste. En quelques pages muettes, on observe Albert Cohen aller et venir dans son appartement. Il est chez lui, cherche visiblement l'inspiration mais bute sur une page blanche. Les mots ne venant pas, il se place devant la fenêtre et observe la vie qui s'agite dans les rues de la ville. Puis, il vaque et trouve le manuscrit de son roman. Sur la couverture « le jour de mes 10 ans ». L'envie d'écrire l'envahit mais il bute sur la page blanche. Que dire ? Par quoi commencer ? Ses pensées s'échappent vers ses souvenirs, il se revoit enfant… ce jour-là, il sort de chez lui, descend les escaliers et suit le chemin qui le mène à l'école. Il est joyeux. En fin d'après-midi, après les cours, il se met en quête de trouver un cadeau pour sa mère. Il voit une petite foule. Un attroupement s'est formé autour d'un vendeur à la sauvette qui vante les mérites d'une marque de produits d'entretien. L'enfant est ravi et s'approche de l'homme pour acheter un lot de son produit.
" Toi, tu es un youpin ! "
Les premiers mots de l'album sont posés, nos yeux buttent dessus à l'instar de l'enfant qui a du mal à mesurer l'intérêt de cette affirmation, la portée qu'elle peut avoir… en quête de sens. Que vient faire-là cette réflexion gratuite, discriminatoire… antisémite.
(...)
Des lavis, pages en noir et blanc baignées de gris, l'émotion de Luz quand il explique la relation qu'il a tissée avec cette oeuvre. L'émotion qui le gagne, qui nous gagne lorsqu'on parcourt ces planches silencieuses. Luz construit des passerelles entre passé et présent. La mise en abyme d'Albert Cohen – tantôt adulte tantôt enfant – sur ces pages de papier montre le chemin parcouru par cet homme. Si le passage des années lui a permis de comprendre le monde dans lequel il évolue, le traumatisme vécu pendant l'enfance reste réel. Une souffrance due à l'incompréhension… en partie. Cohen est mélancolique. Il a perdu précocement son innocence enfantine de façon trop brutale.
(...)
Lire l'article complet sur le site : https://chezmo.wordpress.com/2016/04/25/o-vous-freres-humains-luz/
Lien : https://chezmo.wordpress.com..
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Cet album graphique est volontairement sans pagination et donne une perspective graphique homogène.
C'est rude et très interpellant ! LUZ y traite à sa façon bien à lui (depuis qu'il a vécu ce qu'il faut bien appeler le massacre du 7 janvier 2015, victimes de fanatiques en religion...), de la duplicité dualiste de la rhétorique du “religiosisme” dans un état d'être fonctionnant “en ghetto”, traitant de “l'amour”/“compassion” universel.
LUZ, dans un graphisme tourmenté, nous donne à voir ce que Hannah Arendt décrivait comme la “Banalité du mal” dans une forme de “légalisme conventionnel” dans la médiocrité d'être où gît l'absence de réflexion, cultivant l'inculture et développant sa stupidité, éludant tout esprit de “résistance civile” ; cela a toujours fait des ravages … !
Le vieil homme “habité” par lui-même enfant (j'ai bien aimé le rendu des dessins exprimant cela) prend tout en mesure l'effroyable dimension de ce qu'a subi, cet enfant …
Ceux et celles qui se sont confrontés dans leur vie depuis l'enfance aux « haïsseurs » pour quelque raison que ce soit trouverons dans cet ouvrage la seule réponse qu'il y a à apporter pour pouvoir poursuivre son existence dans la résilience, dans un appel du fin fond de l'être à la fraternité humaine. Et celle-ci doit, par une détermination irréductible, toujours être privilégiée dans les cultures et ne jamais laisser le terrain tant qu'un souffle de Vie nous habite, laisser le terrain donc, aux « haïsseurs » !

...
Frères humains, qui après nous vivez,
N'ayez les coeurs contre nous endurcis,
Car, si pitié de nous pauvres avez,
“Dieu” en aura plus tôt de vous mercis.
Vous nous voyez ci attachés, cinq, six :
Quant à la chair, que trop avons nourrie,
Elle est piéça dévorée et pourrie,
Et nous, les os, devenons cendre et poudre.
De notre mal personne ne s'en rie ;
Mais priez “Dieu” que tous nous veuille absoudre !
...
(début de « L'Épitaphe de François Villon »)

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" Un enfant juif rencontre la haine le jour de ses dix ans. J'ai été cet enfant. " A. COHEN

Le dessinateur Luz reprend le crayon.
Après Catharsis, paru en 2015 aux Editions Futuropolis, l'illustrateur adapte cette fois-ci l'oeuvre d'Albert Cohen " Ô vous, frères humains".
C'est un homme vieillissant que l'on retrouve dans son appartement. Il retrouve un manuscrit qu'il a lui-même écrit lorsqu'il avait dix ans.
Ce roman graphique est tourmenté, noir.
C'est l'histoire de la souffrance d'un enfant qui prend soudainement conscience de la haine antisémite : "toi, tu es un youpin ! Je le vois à ta gueule ! " Cela se produit en 1905, dans une France plongée dans l'affaire Dreyfus.
Les mots sont violents. La puissance des illustrations démontrent toute la souffrance et l'incompréhension de l'enfant. Cette innocence perdue.
On assiste à l'effet destructeur de la puissance des mots. La haine du camelot est comme "crachée" sur la page, parmi ces mille nuances de noir.
C'est un album quasiment exclusivement en images. Les rares textes de Cohen sont manuscrits, d'une écriture fébrile, mis représentent un véritable manifeste pour la tolérance.
Une oeuvre bouleversante d'actualité, une réflexion sur l'absurdité, la violence et la folie humaine.
Lien : https://missbook85.wordpress..
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critiques presse (1)
BoDoi
20 avril 2016
L’auteur du formidable Catharsis habite merveilleusement l’espace : son trait protéiforme envahit les pages en se passant de cases, déroule ses hachures.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Oui, frères, ne plus haïr, par pitié et fraternité de pitié et humble bonté de pitié, ne plus haïr importe plus que “l'amour du prochain”, amour auquel j'ai cru dans ma jeunesse, et j'en ai la nostalgie, et j'en sais l'attrait et le charme, et il me tente parfois cet amour, émouvant de beauté, mais comment le prendre au sérieux, comment y croire ? Comment d'amour véritable, amour prêt au renoncement et à la privation, amour plus fort que l'attachement à soi-même, amour plus fort que la mort, car sans cesse je pense à l'aimée après ma mort, et saura-t-elle se défendre lorsque je ne serai plus auprès d'elle, comment de cet amour que tu as pour ceux que tu aimes en vérité, de cet amour qui est vrai, car tu vis avec tes aimées, tu les connais, et ton âme s'est attachée à leur âme, et en vérité tu les chéris, et ils sont tes prochains, comment de cette sublime “préférence de l'autre”, de cet amour qui est constant tremblement de perdre l'être aimé, de le perdre par sa mort ou par ta mort, comment d'un tel amour, seul digne de ce nom, comment de cet “l'amour sacré” sincèrement aimer des inconnus par milliers ou millions ? En vérité, il y a deux “amours”, le vrai pour “les bien-aimés”, et le faux pour “les autres”, “l'amour dit du prochain”. Ah, comme ils aiment peu et comme ils se contente de peu, les aimants du prochain.
En vérité, je vous le dis, par pitié et fraternité de pitié et humble bonté de pitié, ne pas haïr importe plus que l'illusoire “l'amour du prochain”, imaginaire amour, mensonge à soi-même, amour dilué, esthétique amour tout d'apparat, léger amour à tous donné, c'est à dire à personne, amour indifférent, “angélique” cantique, théâtrale déclaration, amour de soi et quête d'une présomptueuse sainteté, vanité et poursuite du vent, dangereux amour mainteneur d'injustice, d'injustice par ce trompeur amour fardé et justifié, ô affreuse coexistence de “l'amour du prochain” et de l'injustice, stérile amour qui au long de deux mille années n'a empêché ni les guerres et leurs tueries, ni les bûchers de l'inquisition, ni les pogroms, ni l'énorme assassinat allemand, ô affreuse coexistence de “l'amour du prochain” et de la haine...
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Sans le camelot et ses pareils en méchanceté, ses innombrables pareils d’Allemagne et d’ailleurs, il n’y aurait pas eu les camps allemands et le peuple décharné de mes frères encore vivants dans leurs couches de bois, léthargiques à peine remuants qui attendaient en leurs guenilles rayées, ou nus déjà et les os démesurés sous les flasques peaux vides, attendaient leur tour dans les couches étagées, attendaient leur tour de mourir, attendaient avec l’indifférence de la prostration, attendaient cachectiques et détachés, attendaient, clochards de Dieu et oubliés des hommes, attendaient, desséchés, attendaient, avec parfois un geste malade, un geste sans but et très lent, attendaient, étendus ou accroupis en leurs couches dures, attendaient, indifférents à la vermine, attendaient, leurs yeux encore vivants, dans leurs vastes orbites effrayantes, yeux d’oiseaux nocturnes, yeux agrandis dans les faces creusées, attendaient, avec parfois un malade regard vers les suicidés de la nuit, piètres pantins pendus, attendaient, se souvenant des temps heureux, attendaient leur mort et la savaient proche, attendaient, respirant encore, respirant les effrayants relents annonciateurs, relents sortis des cheminées allemandes, longues cheminées des crématoires allemands, attendaient leur tour de tomber les uns sur les autres, avec les souillures de la peur, de tomber dans les chambres sifflantes de gaz Cyclone, chambres allemandes et gaz allemands. A cause de qui allaient-ils tomber, étiques dénudés, tomber les uns sur les autres, les yeux ouverts ? A cause du blond camelot et de ses pareils en méchanceté, ses innombrables, pareils d’Allemagne et d’ailleurs, tous les haïsseurs de juifs.
Commenter  J’apprécie          40
Pourtant la pertinence universaliste était toujours là. La complainte lucide d'Albert Cohen à l'égard de ses semblables ("ne plus haïr importe plus que l'amour du prochain") était toujours là. Le petit Albert était toujours là, en couverture, l'enfant prostré, dessiné par André Verret, cachait toujours son visage des deux mains. Mais cette fois, je voulais voir les yeux de cet enfant. Alors je l'ai dessiné afin qu'il me regarde. Qu'il nous regarde. Et que l'écrivain qu'il était devenu nous interroge encore.
Luz (préface )
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Ô vous, frères humains, vous qui pour si peu de temps remuez, immobiles bientôt et à jamais comparses et muets en vos raides décès, ayez pitié de vos frères en la mort, et sans plus prétendre les aimer du dérisoire amour du prochain, amour sans sérieux, amour de paroles, amour dont nous avons longuement goûté au cours des siècles et nous savons ce qu'il vaut, bornez-vous, sérieux enfin, à ne plus haïr vos frères en la mort. Ainsi dit un homme du haut de sa mort prochaine.
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Dites, vous, antisémites, haïsseurs que j'ose soudain appeler frères humains, fils des bonnes mères et frères en nos mères, frères aussi en la commune mort, frères qui connaîtrez l'angoisse des heures de mort, pauvres frères en la mort, mes frères par la pitié et la tendresse de pitié, dites, antisémites, mes frères, êtes-vous vraiment heureux de haïr et fiers d'être méchants ? Et est-ce là vraiment le but que vous avez assigné à votre pauvre courte vie ?
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