Alors que le tome précédent baignait totalement dans l'action, on découvre ici un tome beaucoup plus lent, mais riche en révélations.
C'est en propulsant Flavia Aetia et Attila au coeur même du soleil, que
Valérie Mangin va éclairer ses lecteurs. Flavia et Attila vont pénétrer au coeur de l'Olympe et y découvrir ceux qui tirent les ficelles de cette version galactique de l'histoire antique depuis quatre tomes.
Un tome explicatif, basé principalement sur la narration et qui vient élargir notre vision sur ce qui avait démarré comme un remake d'une tragédie antique. Les amateurs de rebondissements seront ravis par ce cocktail d'explications que
Valérie Mangin a nommé ‘Dei ex machina', et qui mélange savamment divinité et science.
Un tome graphiquement toujours aussi plaisant et à nouveau pourvu d'une révélation finale qui incite brillamment à la lecture du prochain tome.