« Raymond Matabosch a-t-il le droit de se taire, de faire l'autruche ou de rester muet quand la chair des hommes sent l’odeur des brochettes grillées au nom d’un dieu vengeur ou d’un homme dieu ? Si dieu n’est ni vengeur ni homme, serions-nous possédés par le charme du diable, cet ange déchu, protéiforme qui incarne toutes les formes attrayantes, la chair, la femme, la sensualité que condamnent toutes les religions ? Baudelaire est-il dans le vrai lorsqu’il dit que ... >Voir plus