Dans ce neuvième tome, Yûko accepte enfin de se souvenir de sa mort et des raisons qui l'ont conduite à être enfermée vivante dans l'école plusieurs décennies auparavant. Elle fait face à la part d'elle-même remplie de haine, une haine justifiée lorsque les raisons de son meurtre et la souffrance qu'elle a endurée en étant emprisonnée vivante dans un bâtiment abandonné sont enfin révélées. Nous découvrons enfin l'identité de son meurtrier et les motifs. Même si je m'en doutais depuis quelques tomes, le lire et le voir m'ont profondément ébranlée.
Pour moi, ce tome a été le meilleur jusqu'à présent, de loin. L'émotion est palpable, la haine émane des planches de dessin, et l'horreur de la situation est parfaitement mise en page.
Je suis sortie de cette lecture émue aux larmes et bouleversée. Je me demande ce que le dernier tome va apporter à la saga, car celui-ci offrait déjà une fin très satisfaisante.
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