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3,6

sur 45 notes
Je découvre la maison d'édition « Antidata » et l'auteur Hervé Mestron. le petit format de cette nouvelle avec une couverture très en rouge et noir donne au texte un bel « emballage ».
Le sujet est très réaliste et actuel. Il n'est pas dénué d'humour malgré la noirceur du sujet.
Hervé Mestron nous transporte de la région parisienne au coeur de Paris en passant par Marbella. . On va presque avoir de l'empathie pour le narrateur et ces drôles de rêves.
Il nous parle de drogue et d'argent, de désillusions, de quête de reconnaissance et de guerre de pouvoir. le sexe et le m'as-tu vu…
Ces enfances sans naïveté, avec des rêves faits de violence et de mort. On joue avec la loyauté et la crainte.
Qu'est-ce qu'une vie au milieu ce système de gang. Un réseau avec toute une hiérarchie, ses codes et ses règles, qui joue sur les trahisons et les morts. Avant de s'attaquer à la tête il faut passer des étapes.
Mais que ce passe t-il quand on oublie certaines règles de base ?
Sortir de ce milieu de sa zone de « confort » où cela peut conduite ?
Je vous laisse découvrir cette nouvelle avec une chute ironique.
Lien : https://latelierderamettes.w..
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J'ai décidé de critiquer ce livre afin de mieux éclaircir la situation. Tout d'abord ce que j'ai aimé c'est la façon avec laquelle l'auteur a écrit le livre version adolescent , en réalité le narrateur joue un rôle dans les faits, et les comportement et langages des adolescents pour nous faire aimer le livre. La deuxième partie, qui pourrait être intéressante, c'est tout simplement le style de l'écriture envers le lecteur mais c'est aussi le registre de langue adopté par l'auteur puis lu par le lecteur. La troisième chose qui pourrait nous inspirer, c'est que l'auteur essaye de nous rejoindre comme s'il voulait créer une société qui se nommerait la société d'adolescent(e) dans laquelle nous serons plongés sauf que cette fois nous serons plongés dans la jeunesse du livre voir dans la société. D'un point vu externe, cela nous fait illusion comme si nous étions en train de tourner un film, dont nous regardons l'action, se dérouler et d'interpréter le texte avec l'auteur qui y participe, dans un monde différent dans lequel il va essayer de retrouver sa jeunesse à l'aide du lecteurs. C'est pour ceci que ce livre m'as intéressé voir inspiré.
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L ‘oeuvre Cendres de Marbella est une nouvelle écrite par Hervé MESTRON et a été publiée en 2017 , l'auteur parle d'un dealer nommé Ziz qui est présent dans une banlieue parisienne, il vit dans celle-ci et y fait son marché. Son but est de sortir de cette galère et de gagner sa vie honnêtement. Pour cela il doit gravir les échelons dans sa cité mais pour cela il risque la prison.
J'ai bien aimé cette nouvelle car elle nous montre que les personnes qui participent à des activités illicites comme le protagoniste n'y participent pas par choix mais parce qu'elles en ont besoin pour subsister. Dans cette oeuvre il arrive à nous montrer qu'une personne considérée comme un fléau de la société, celle que tout le monde redoute ne choisit pas forcément d'atterrir dans ces trafics. On peut voir que Ziz ne veut plus rien avoir affaire avec ces pratiques et veut gagner son argent honnêtement. La compréhension de cette nouvelle est vraiment facile car le registre de langue est familier et parfois même vulgaire. le thème abordé est d'actualité et est très présent à notre époque. le vocabulaire utilisé est courant, ce qui permet une meilleure compréhension du texte. le texte est vraiment court vu que c'est une nouvelle et se lit vraiment rapidement. Il est vraiment bien écrit et quand on commence à lire, on se met à la place du personnage principal. Je conseille beaucoup ce livre car il est plutôt court pour ceux qui n'aiment pas forcément les livres hyper longs et il est facilement compréhensible.
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N'aimant pas la lecture, ce livre ne m'a pas aidée.
Je n'ai pas apprécié les expressions utilisées, le langage et le thème qui dénigrent les populations vivant dans les cités, en faisant des cas bien trop généraux. J'ai trouvé ce livre vraiment pénible, incompréhensible à la première lecture.

Il raconte le parcours d'un jeune dealer qui essaie de gravir les échelons. Ce type de vie ne me met pas à l'aise. le fait qu'il soit écrit de manière familière ne me plaît pas, la lecture en devient difficile et parle de choses que je ne pense pas avoir besoin de connaître en détail, c'est violent ! En particulier la mort d'un individu par balle, un enfant.
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Hervé Mestron écrit Cendres de Marbella qui est une nouvelle à l'accent urbain. Langages grossiers et langages d'aujourd'hui nous font plonger dans le livre. Ca donne plus envie de lire que les anciens romans au langage soutenu, surtout pour quelqu'un qui a comme moi, à 15 ans et qui ne supporte pas de lire les livres datant d'avant les années 2000. Bref l'histoire parle de Ziz qui vit dans la banlieue parisienne et qui a un frère qui est en prison… Ziz est en quelque sorte en bas de l'échelle professionnelle. C'est pourquoi avant d'être agent de sécurité il exercer le métier de guetteur.
En effet j'ai bien dit métier car son but n'était pas seulement de vendre traficoter etc mais de grimper en échelons. « La thune ne poussait pas dans ma poche. Je suis entré dans le bizness parce que je voyais des gens bien sapés autour de moi. Frères Armani et Hugo Boss, je vous salue. Dans la rue, le Gaulois, il va se planquer pour fumer, pour rouler son pétard. le mec de la barre Ravel, il va sortir son matos au grand air légal, comme un paquet de Granolas. La seule chose dont tu dois te cacher, c'est la famille, les anciens. C'est eux, pour nous, la police. Mais perso, comme je suis orphelin, je n'ai peur de rien. »
Tout cela est du à son patron qui, à force de le voir faire bon boulot, l'envoie dans les beaux quartiers parisiens ou bourgeoisie et luxe sont omniprésent. Ziz avale ce bonheur ce qui lui donne l'idée que tout est possible.
Pour conclure qui est un véritable film vivant, qui parle du mal social, des cités etc. Il se lit très facilement car c'est fluide et le narrateur nous fait part de ses émotions, de son ressenti. Bon voyage !

Gary
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Dans ce livre le narrateur est le personnage principal et il nous raconte sa vie depuis son enfance et nous explique comment la vie se passe dans les cités.
J'ai beaucoup aimé la façon dont le narrateur retrace son histoire car il nous la relate comme s'il était devant nous et que l'on était en pleine conversation avec lui ; ce qui, je trouve, nous fait beaucoup plus accrocher à l'histoire.

« Mon phone est au nom de Sébastien Schmit. C'est là que mes clients peuvent me joindre.
Si un inconnu m'appelle sur cette ligne, je raccroche. Quand un mec vient me voir en soirée, je lui dis qu'il se trompe et que je ne vends pas. Au préalable, faut un RDV ; J'ai une liste de 250 personnes et je reçois entre 10 et 15 appels par jour ».

Voilà un exemple de la façon dont Mat ou plutôt « Ziz » parle.
Je trouve en revanche, que dans certains passages, Ziz se répète ce qui nous donne envie de passer à autre chose.

Mais le livre reste surprenant jusqu'au final et je vous conseille de le lire jusqu'à cette fin.

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J'ai choisi de faire ma critique littéraire sur la nouvelle Cendres de Marbella, elle a été écrite par Hervé Mestron en 2016 et a été publiée en 2017. Ce n'est pas le premier roman de cet auteur, il écrit des nouvelles et des romans depuis les années 1990. Hervé Mestron est né en 1963 à Valence et a fait ses études au conservatoire national supérieur de musique de Lyon ainsi qu'au Canada. Sa carrière est d'abord destinée à la musique. Il vit aujourd'hui en région parisienne à Aubervilliers. Romancier mais surtout nouvelliste, il a écrit une trentaine d'oeuvre. Son registre va de la littérature de jeunesse jusqu'au roman noir, il a donc un style d'écriture assez vaste. Il écrit aussi beaucoup de fictions pour la radio telle que France Inter. Pour lui la musique tient une place très importante dans ses oeuvres car elle est selon lui toujours prête à servir la cause des hommes. Il déjà reçu plusieurs prix pour ses nouvelles comme : le prix Real en 2016 pour Génération Mur ; le prix littéraire de la citoyenneté en 2013 pour Soupçons. Et de plus, un de ses textes a été joué au festival d'Avignon en 2017.
Pour ma part, j'ai plutôt bien aimé l'histoire et comment l'intrigue a été montée. En effet, il y a une certaine chronologie dans la nouvelle, car on a au début le personnage principal, Ziz, qui est un simple jeune de banlieue et petit à petit il va franchir des étapes, et j'ai trouvé que la façon dont ont été racontées ces étapes est bien faite. Les rapports entre les personnages ont, eux aussi, était bien fait, puisque il y'a une certaine hiérarchie que les personnages respectent. On a le chef qui dirige les opérations puis plusieurs niveaux en dessous. En ce qui concerne l'histoire en elle-même je l'ai trouvé à certains moment un peu monotone, il ne se passait pas grand-chose pendant plusieurs pages. Mais bien heureusement cette monotonie ne durait jamais longtemps car l'auteur trouvait toujours un moyen de relancer l'histoire par des évènements qui avait plus ou moins d'importance. C'est donc ces évènements qui donnaient à la nouvelle un caractère intéressant qui vous pousse à vouloir connaître la suite de l'histoire, j'ai personnellement mis une heure à lire la nouvelle, ce qui montre qu'on veut savoir le dénouement. D'ailleurs, je ne m'attendais pas forcément à une telle fin d'histoire, elle m'a surprise car elle ne finit pas forcément très bien et la situation est un peu floue. Je me suis donc demandé si une suite à cette nouvelle n'existait pas déjà. Concernant le style d'écriture, j'ai trouvé que d'avoir utilisé un langage de « banlieue » ou plus simplement un langage familier et parfois vulgaire à donner encore plus d'authenticité à la nouvelle, il fallait oser utiliser les bons mots pour décrire les situations correspondantes.
Je recommande la lecture de cette nouvelle aux personnes n'ayant pas d'avis fixe ou plutôt flou sur ce que être la vie en banlieue. Certes l'histoire ne traite pas de tous les sujets loin de là je pense, mais elle permet de se faire une idée du milieu que cela peut être et quelles difficultés rencontrent les gens qui y vivent. Si on prend vraiment le temps de bien lire la nouvelle, on peut l'apprécier malgré un langage plutôt truculent et pas toujours compréhensible pour tout le monde. Je pense que l'histoire a pour vocation, à travers un jeune de banlieue, d'apprendre aux gens la vie parfois difficile qu'ils peuvent avoir. Je recommande donc vivement la lecture de ce livre.
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Né à Valence, Hervé Mestron auteur de Cendres de Marbella est diplômé du Conservatoire national supérieur de musique de Lyon, et est l'auteur d'une cinquantaine de livres, principalement à destination de la jeunesse. Prix des Jeunes Lecteurs 2010 avec Embrouilles à la cantine, Prix littéraire de la Citoyenneté 2013, pour son roman Soupçons, il reçoit en 2016 le Prix REAL pour Génération mur. Écrit à la première personne dans une langue truculente, Cendres de Marbella est le récit d'une trajectoire éclair au ras du bitume. Celle d'un jeune dealer de hasch, Ziz, malin mais enfermé dans ses schémas de pensée, qui voudrait bien s'extirper de sa banlieue en déliquescence autogérée, pour être quelqu'un d'autre, du bon côté du périphérique.

Cette histoire se lit très vite et d'une lecture. L'auteur écrit à la première personne avec un jargon familier assez vulgaire afin que le langage soit lié à l'histoire. En effet, l'intégralité de l'histoire se passe dans les pensées et paroles de Ziz, beau garçon et mineur. Celui-ci s'exprime à l'oral familièrement ainsi que dans ses pensées, malgré cela il a parfois des pensées plus intelligentes et réfléchies. le style d'écriture m'a beaucoup plu, je l'ai trouvé original et bien en accord avec le thème de l'histoire. L'histoire est prenante, elle permet de s'intéresser à un milieu normalement inconnu. On y découvre la vie dans les quartiers sensibles et le domaine dangereux du trafic de drogue. Cette nouvelle suscite à la fois du dégoût et de l'empathie pour le personnage principal, Ziz. On découvre au fil de l'histoire qu'il n'a pas la vie facile, entre le fait qu'il soit mineur, qu'il ait un frère en prison ainsi que les embrouilles meurtrières avec les autres citées. Cependant on ne peut pas être en accord avec tout ce qu'il fait, Ziz menace des personnes, parfois les tue, il en manipule d'autres et surtout il est lié à un trafic illégal et dangereux, celui de la drogue.

En conclusion, je recommande cette oeuvre car selon moi Cendres de Marbella est une nouvelle qui peut être lue par tout le monde. C'est une oeuvre assez courte et rapidement lisible. L'histoire est prenante, le personnage est intéressant et tout ceci fait de cette nouvelle une très bonne oeuvre écrite dans un langage familier qui fait son originalité.
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Le livre
Cendres de Marbella est une nouvelle parlant du milieu du trafic de drogue en banlieue à travers le regard d'un personnage dont on ne connait pas le prénom mais seulement le surnom, « Ziz ». Celui-ci n'est même pas majeur mais fait partie d'un de ces organisations, cependant il veut dans le futur retrouver une vie « clean ».
L'auteur
Hervé Mestron est l'auteur d'une cinquantaine de livres et a déjà obtenu trois prix littéraires différents : le Prix des jeunes lecteurs en 2010, le Prix littéraire de la citoyenneté en 2013 et le Pris REAL en 2016
Mon avis
L'auteur écrit à la première personne avec un jargon familier assez vulgaire afin que le langage soit lié à l'histoire. En effet, l'intégralité de l'histoire se passe dans les pensées et paroles de Ziz. Celui-ci s'exprime à l'oral familièrement ainsi que dans ses pensées malgré cela il a parfois des pensées plus intelligentes et réfléchies. le style d'écriture m'a beaucoup plu, je l'ai trouvé original et bien en accord avec le thème de l'histoire.
Les personnages de l'histoire ont peu d'importance, on ne nous les décrit que brièvement et tout reste centré sur Ziz qui vit sa vie indépendamment des autres. J'ai trouvé cela plutôt bien de ne pas s'attarder sur les personnages secondaires car c'est une nouvelle qui accord peu d'importance aux détails, ce qui la rend rapide et facile à lire.
L'histoire est prenant, elle permet de s'intéresser à un milieu normalement inconnu. On y découvre la vie dans les quartiers sensibles et le domaine dangereux du trafic de drogue. J'avais parfois l'impression d'être dans un roman policier mais du côté du criminel.
Cette nouvelle suscite à la fois du dégoût et de l'empathie pour le personnage. On découvre au fil de l'histoire qu'il n'a pas la vie facile, entre le fait qu'il soit mineur, qu'il ait un frère en prison ainsi que les embrouilles meurtrières avec les autres cités. Cependant on ne peut pas être en accord avec tout ce qu'il fait, Ziz menace des personnes, parfois les tue, il en manipule et surtout il est lié à un trafic illégal et dangereux.
En conclusion, selon moi Cendres de Marbella est une nouvelle qui peut être lue et comprise de tout le monde. L'histoire est bien écrite, prenante, le personnage est intéressant et tout ceci fait de cette nouvelle une très bonne oeuvre. Je trouve cependant un point regrettable, le titre est très peu rattaché à l'histoire. Marbella est un lieu qui n'est cité que brièvement vers la fin du livre et qui n'est pas si important dans l'histoire.
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"Un dealer dans le cendar" Cendre de Marbella :

Hervé Mestron écrit Cendres de Marbella une nouvelle à l'accent urbain.Cendres de Marbella c'est la rue son langage (de part son écriture), ses codes et ses réalité qui font prendre conscience au grand publique des motivations de ces jeunes, ces "minos" qui recherche reconnaissance de leurs quartiers et la réussite symboliser par l'argent.
Bien que qu'un peu lent et poussif Cendres de Marbella reste une très bonne nouvelle par les réalités qu'elle véhicule.

Hormis ces idées Cendres de Marbella est l'histoire d'un jeune : Ziz qui comme plein d'autres se lance dans le deal
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