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Cet énorme pavé de près de 1 200 pages, autobiographiques, masochistes et égolâtre, a obtenu, au premier tour, le Renaudot. Abandonnons au jury le choix de amours et de ses détestations et écoutons Yann Moix porter un jugement lucide :“La vie de Yann Moix racontée par Yann Moix est insupportable à lire. Une écriture illisible qui raconte une vie invivable, cela est trop pour moi. La vie est trop courte pour lire la vie trop longue de quelqu'un comme Moix.”
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ENFIN !!! J'ai enfin terminé ce monstre... Monstre de débilités, inepties, lieux communs et autres longueurs. Yann Moix y raconte, avec toute la simplicité qu'on lui connait, sa venue au monde, dans une famille pas vraiment aimante, entre une mère impuissante, un père dégénéré etun parrain à moitié fou (le personnage de Marc-Astolphe, absolument insupportable). On sent bien qu'il y a un peu d'autobiographie là-dedans, mais l'auteur aurait dû plutôt faire une thérapie, cela aurait fait économiser du temps à tout le monde. Et pourtant ce livre a obtenu le prix Renaudot en 2013. Et je pense sincèrement que les membres du jury ne l'ont pas lu, ils n'ont pas pu le lire entièrement. 1200 pages d'égocentrisme nombriliste, de vomissements religieux, de listes de vocabulaire sur 3 pages, et j'en passe et des meilleurs, non, ce n'est pas possible. Alors pourquoi qu'elle l'a lu la DD me direz-vous ? Parce que je voulais aller jusqu'au bout, voir s'il y avait quelque chose. Ca m'a pris presque 9 mois, comme une naissance, mais ça a été beaucoup plus douloureux ! Bref, comme disait Gandalf, "fuyez, pauvres fous !".
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Lire le monstrueux ouvrage de Yann Moix, ce pavé dans la marre de la rentrée littéraire, m'a demandé une véritable préparation. Parce que je n'avais jamais lu monsieur Moix et que je le détestais par principe. Tout en cet homme m'était insupportable. Il suffisait qu'il apparaisse au coin d'un article ou sur mon écran, pour qu'enfle en moi un agacement titanesque.

Il a donc fallu que j'accepte de me livrer à ma lecture en mettant de côté mes sentiments personnels. Lire franchement donc, pour que seule l'oeuvre me préoccupe. Il m'aura fallu une dizaine de jours pour arriver à bout de ma lecture. Et voilà. Je me retrouve devant mon écran et il faut que je garde ma franchise pour essayer de partager mon point de vu sur Naissance.

Non, pour moi Naissance n'est pas un chef d'oeuvre, et non, je ne fais toujours pas parti des admirateurs de monsieur Moix. Mais je ne le déteste plus.

Dans son ouvrage, l'auteur nous offre toute sa démesure et tente de créer un monument littéraire en free-style. Je le reconnais, Moix a du talent. Dommage qu'il s'en serve mal. Ce qu'il nous sert ici, c'est du vomi de fin lettré. Il a donc du talent mais il semble tourner en rond dans sa névrose sans que ses diatribes donnent naissance à autre chose qu'à des jeux de mots. le livre d'un lecteur cultivé qui nous livre tout ce qu'il a digéré.

Il manque une théorie au livre, une fondation, un objectif. Moix semble seulement adopter les ruptures littéraires qu'il a retenues. le Nouveau Roman déjà, qui a voulu déconstruire le genre romanesque. Mais là où Butor a admirablement tordu, malmené et déconstruit le roman, Moix tente de tout détruire, il ne laisse rien. C'est jeter la littérature avec la boue de la tradition littéraire. Et lorsque l'auteur joue avec les mots, les énonciations, l'argot, le vocabulaire, la langue, il a la verve facile, certes, mais surtout la verve veine. Même son nihilisme sent le renfermé.

Monsieur Moix tente de construire une cathédrale sur du sable. Même sa volonté de ne pas être aimé (alors qu'on sent à quel point il voudrait le contraire) retombe sans panache. N'est pas Nabe qui veut. Pour cela il ne suffit pas d'aimer le Jazz et la provocation.

Naissance a, pour moi, pris la forme de préliminaires interminables qui tournent autours de l'orgasme sans jamais m'y amener. L'éloge ultime de la frustration littéraire. Une masturbation sans éjaculation.

Et pourtant, à cause ou grâce à cette lecture, je ne déteste plus Yann Moix. Comme je l'ai déjà, je reconnais enfin qu'il a du talent. Mais plus que cela, j'ai entrevu son humanité. Et comment haïr ce que l'on parvient à comprendre ? Car ce que je vais retenir de Naissance, c'est l'ego boursouflé et abîmé de son auteur. C'est sa névrose talentueuse qui n'a pas su aller au bout de son Art. Et je comprends. Je comprends cette haine de soi, et cet ego rendu monstrueusement important par le renflement de cicatrices trop nombreuses. Je comprends sa haine de l'époque et des autres. Je comprends son amour pour la littérature qui est finalement son seul instinct de survie.

Alors bien que je ne puisse pas adhérer à l'oeuvre que je viens de lire, je suis contente que cette dernière ait obtenu le prix Renaudot. Parce que l'empathie a presque totalement remplacé mon agacement. Ce n'est pas lui-même que Moix aime, c'est sa haine de soi. Il idolâtre cette dernière, la porte aux nues, la nourrie de musique et de littérature.

Que ce prix le console de ne pas être plus. de ne pas avoir choisi de vivre au lieu de mourir sans cesse. Et lui permette d'enfin de se créer une naissance par la reconnaissance. Ainsi, un jour peut-être, l'oeuvre de monsieur Moix sera à la hauteur de son intelligence et de sa souffrance. Il se pourrait alors que je fasse partie des ses plus fervents admirateurs.
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En lisant les critiques sur cette oeuvre , il me vient le sentiment que peu de personnes qui se disent lecteurs , ont lu dans leur vie d'oeuvres " folles , inclassables .... " , comme Ulysse , ou le " fameux " , Voyage au bout de la nuit ...
J'avais lu du Moix au préalable ,,j'avais aimé mes lectures , cette oeuvre je l'ai lu parce que j'aime le style de Moix , sa culture , son amour pour la litterature , la vraie , celle qui déroute , qui emporte le lecteur vers des rives qui lui sont inconnues .
Que dire ....
Dès les premières pages j'ai eu l'impression que je lisais un texte unique , peut être l'un des plus brillants de ma vie de lecteur .
Dès les premières pages , Moix attaque , ne laissant aucun repis au lecteur mainstream , il conduit un véhicule fou , et le voyage va être terrible et magnifique .
Terrible , parce que Moix plonge le lecteur dans l'odyssée de la vie sns fioritures , sans aucune gentillesse , ni goût pour l'espèce humaine . Nihiliste Moix ? Peut être .
Mais me concernant , je le trouve bien davantage réaliste , d'un réalisme qui fait mal , parce qu'il est expurgé de la moindre connotation tendre .
Moix est un fin connaisseur de jazz , son livre c'est comme si un ensemble de jazz déchaîne , avait décidé de partir dans un délire extrême , sans limites ....
Le voyage est rude , il ne plaira pas à tout le monde , mais bon sang que c'est bon d'être ainsi malmené , triture , comme un boxeur au prise avec une tornade ...
Cette oeuvre , c'est un léviathan , un tsunami littéraire , qui emporte tout sur don passage ....
Oui , c'est une expérience , mais si l'on attend que la litterature nous prenne par la main , toute gentille , alors l'on aime pas la litterature ....
L'on aime les produits manufacturés , sans saveur , que l'on voit comme le livre qui va changer notre vie , enfin , l'idée que l'on se fait de notre vie .
Moix propose ici un voyage au Coeur de ce qu'est la litterature , cet art qui nous laisse exsangue de connaissance , de jubilation , de jouissance intellectuelle , qui peut refuser cela bon sang !!!
A l'image d'un Joyce ou d'un Bolano , Moix nous propose un voyage au coeur de la folie créatrice , de cet univers ou plus rien de ce qui nous est familier n'est présent , où les frontières qui nous conditionnent en êtres robots sont atomisées , une folie furieuse qui fait mal , certes , mais dont l'on sort grandis de l'avoir fréquentée .
Et cela avec une langue .... L'on dis chez les adulescents que King , Loevenbruck , sont des écrivains qui maîtrisent la langue , mais bon sang , qu'ils se taisent ces amateurs de Marvel et de Casimir !!
Moix est l'un des plus grands dans l'usage des mots , de la création de phrases folles mais géniales , tel ces artistes de jazz qu'il adore , il compose avec un amour immodéré de la langue , de la musique de celle ci , et son texte est un regal pour les esthetes.
L'on ne peut que faire mention egalement de l'humour très noir , mais hilarant , omniprésent dans cet opus .
A ce titre , le passage de l'accouchement est à pleurer de rire , et sans aucune honte .
Moix s'avère être un poète également , ces suites de mots , d'expressions , qui souvent sont une page entière , sont à ce titre de vrais poemes , qu'il faut prendre le temps de savourer ....
Au final , voila une oeuvre qui ne plaira pas à tout le monde , c'est normal , et triste en même temps ,,parce que ce texte est peut être l'un des plus grands depuis 2666 de Bolano , et il a sa place aux côtés du Ulysse de Joyce ....
C'est dire le niveau de cette oeuvre , qu'un véritable écrivain à su hisser au niveau des œuvres de jazz geniales qu'il adore .
Cette oeuvre est un chef d'œuvre completement fou , mais génial .
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J'aime l'écriture, ses courtes phrases, le rythme qu'il impose, sa façon de s'adresser au lecteur. Après cet éloge, pourquoi je referme son livre, oui pourquoi alors qu'une part de moi voudrait continuer sa lecture ? Il y a trop d'injures, trop de listes qui n'apportent rien, Yann Moix dégoise tant et tant que trop c'est trop ! Pourtant je respecte son Prix Renaudot, je dois me raisonner pour ne pas continuer la lecture de Naissance, est-ce cela, entre autres, qu'ont ressenti les membres du jury de ce prix ?
Pour mon confort, le livre est trop volumineux, mille cent quarante-trois pages, cela compte et c'est lourd !
Et pourtant, tant qu'il est en ma possession, je l'ai emprunté, j'en grappillerai quelques chapitres.
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Lecture arrêtée après 500 pages - je suis fier d'avoir tenu si longtemps. J'envie l'amour qu'il faut se porter à soi-même pour dédier un tel pavé à son propre nombril.

Pronfondément soporifique. Et même pas bien écrit.
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Ce livre est un monument et un gisement à fois. Il monte aussi haut qu'il racle profond.
J'en suis à la moitié (page 522) , et chaque page me transporte : style, imagination, burlesque ( quelle merveille ce personnage de Marc-Astolphe Oh ! Il fallait le dénicher, ce génial Cyrano, outrecuidant et sentimental), poésie, rythme, jazz, théologie, galimatias, envolées de très haute volée. Ce mec a un cerveau presque monstrueux avec une capacité hallucinante à créer, réfléchir, exprimer, inventer, développer, expliquer, confondre les pusillanimes et les laids mauvais méchants. Je n'en reviens pas et je classe illico cette oeuvre aux côtés d'Ulysse de James Joyce dont personnellement je n'ai jamais pu dépasser la moitié. Ce qu'il y a de plus chez Moix ? La pêche, la passion, un délire encore plus délirant que le délire joycien, un rien pantouflard (un jour quand même pour traverser Dublin !)
Le défaut de l'auteur ? Etre un contemporain : nul n'est prophète en son époque et en son pays. Et aussi : être un petit peu difficile. L'oeuvre ne se donne pas au premier venu comme un roman de Marc Levy ou d'Olivier Adam. Quand vous l'ouvrez, les clés ne sont ni dans la boîte à gants, ni incrustées sur la page. A vous de les trouver.
Je reviendrai sur ce commentaire quand j'aurai fini. Ou peut-être je n'y reviendrai pas.
En tous cas, salut, j'y retourne.
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Lu en plusieurs fois, tout y est ENORME, SURDIMENTIONNE, le nombre de pages, les dialogues, les personnages ; c'est obsédant, obsessionnel, difficile à lire mais aussi difficile d'en parler, on est envahi par des bouffées d'émotions différentes … il faut le lire mais il faut du temps, s'en extraire et y revenir à nouveau…
C'est une oeuvre brillante, drôle, complètement déjantée, un tsunami d'émotions.

« Les parents nous ont donné la vie ? A nous de la leur reprendre. le plus tôt possible ».
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Actuellement nous pouvons lire plein d avis différents sur le livre "Naissance"
Tant que vous n avez pas lu ce livre vous ne pouvez émettre de jugements car l interprétation de celui ci sera différent en fonction de votre vécu , de votre propre naissance... Bien sur ce "pavé" de plus de mille pages pourrait en effrayer plus d un.. Moi même d ailleurs 
étant blonde et belge j ai hésité avant de l acheter..mais n ayez crainte, il peut se lire par parcimonie, partout, on peut le laisser le reprendre, relire un passage, passer les passages qui nous plaisent moins..seul inconvénient son poids et taille car je l ai emmené lors de mes différents voyages et il prend un peu de place.. 
Ce roman est complètement différent et original, c est un concentré de démesure, cela nous change des romans bien lisse..moi qui aime les spectacles humoristique, le théâtre, l opéra, le cinéma, j ai découvert un spectacle littéraire burlesque! 
Monsieur Moix a choisi l humour pour nous parler de choses ignobles tout en gardant le plaisir du bon mot... 
Dans ce monde où tout doit aller très vite, où nous sommes tous accros à nos écrans de Smartphone de télévision, quel bonheur de se plonger dans ce pavé où notre imagination peut vagabonder, quel délice de prendre le temps d une pure stimulation intellectuelle et au final aussi revivre notre naissance et commencer notre renaissance.. 
A consommer sans modération..
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Pour le punir d'avoir écrit un si gros roman, je vais faire un petit compte rendu. de toute façon, il m'est impossible de décrire toutes les sensations ressenties en lisant naissance de façon exhaustive, alors soyons bref, ce que Moix ne sait pas faire que ce soit en littérature ou en sa qualité de chroniqueur télé. Bon, alors, naissance de quoi s'agit-il ? le narrateur Yann Moix raconte sa naissance et son enfance d'enfant battu. L'accouchement proprement dit est interminable et se réalise sous le regard haineux du père qui nous rabâche d'interminables monologues sur le fait que ce fils n'est pas désiré et une fois qu'il est né que c'est un monstre qui ne mérite pas de vivre, idée que partage la maman ainsi que le personnel de l'hôpital. Seul un certain Marc-Astolphe Oh, voisin du couple a une autre idée du nourrisson et constatant la haine des parents décide d'être l'ange protecteur du petit. N'empêche que Oh ou pas, l'enfant va connaître une enfance en enfer (qu'il vit avec philosophie). Ses parents le frappent, le privent, le détestent et participent même à un salon de la maltraitance où l'on explique comment molester au mieux son enfant. La partie salon est interminable et on a le droit à tous les détails avec des stands consacrés au fouet, d'autres à la mise en cage ou d'autres à l'écartèlement.

La seconde partie du roman met Marc-Astolphe Oh sur le devant de la scène. S'occupant toujours du petit Moix, ce personnage excentrique et haut en couleur qui est une encyclopédie ambulante, raconte sa vision décalée du monde, ses exploits sexuels dans de longs monologues hilarants par moments, redondants parfois.

Yann Moix a pris le parti pris de l'exagération et du burlesque alors comme on dit dans ces cas, le lecteur doit suspendre son incrédulité. En voulant critiquer la société de l'enfant-roi, l'écrivain décrit une situation totalement inverse (mais jamais ne nous explique comment ces enfants maltraités - qu'on voit au salon- puissent survivre ou pire devenir adultes sans garder de grosses séquelles). Évidemment, pour que le tout soit possible, il faut faire abstraction du fait que la police et les autorités sanitaires puissent intervenir. Pourtant, nous vivons bien dans notre monde et il est par exemple question de la canicule de l'année 1976 qui est l'année charnière du roman (qui se déroule, j'ai oublié de le préciser mais est-ce important, à Orléans). Ceci dit, la société dans laquelle évolue l'action est peu évoquée si bien qu'on a l'impression d'être en vase clos.

Donc, il ne faut pas avoir peur des pavés,ne pas avoir l'âme sensible et pour les femmes, bien s'accrocher pour ne pas être dégoûté de la place qui leur est donnée car on frise la misogynie (femme objet) mais comme tout est exagéré et improbable, je pense qu'il vaut mieux en rire que de s'offusquer. On rit beaucoup dans ce roman dans lequel tous les personnages (à part le narrateur) portent des noms ridicules, certaines séquences sont à tomber par terre (comme la vente aux enchères à laquelle assiste Marc Astolphe Oh où non seulement on vend des choses abstraites mais surtout lorsque Oh tombe sous le charme d'une participante et imagine tout ce qu'il pourrait faire avec elle, au plumard bien entendu). La deuxième partie est plus intéressante que la première où l'on a souvent l'impression de relire la même page quand il s'agit de décrire les supplices qu'endure le pauvre Yann.

C'est quand même une belle expérience de lecture et quand un roman vous suit presque deux mois, forcément, il commence à faire un peu partie de votre vie. Je n'ai pas parlé du style Moix. Évidemment, c'est de la grande littérature et comme c'est un grand auteur, il a le droit de créer des néologismes, ce dont il ne se prive pas, grande littérature certes mais gâchée par le côté un peu déballage lorsque pendant des pages entières, l'auteur va faire défiler comme un pelote de laine tout ce qui a trait au sujet évoqué. A chaque fois, l'auteur tente d'épuiser un thème en y présentant tout ce qu'il induit et ce sont donc des listes à n'en plus finir ( comme par exemple les 50 tableaux préférés de Marc Astolphe oh).

On ne doute pas une seconde que le tout est assumé par l'auteur qui a voulu frapper un grand coup, un coup d'épée dans l'eau diront certains mais en tout cas, personne ne peut nier le génie de Moix, un génie qui a bossé quand même puisque toutes ces descriptions précises de concepts a dû nécessiter un travail de documentation assez conséquent.

Flamboyant, agaçant, grandiloquent...les 1200 pages de ce roman ne peuvent en tout cas pas laisser indifférent. Personnellement, même si en cours de roman, je commençais à sérieusement m'agacer je ne regrette pas de l'avoir lu. Il sort quand même des sentiers battus (pardon du jeu de mots) et ça nous change un peu de la littérature sans estomac que nous inflige trop souvent les auteurs français (qui en plus se contentent souvent de 150 pages...même si quantité ne signifie pas forcément qualité).

Ecrit d'un trait de plume, le 19.04.2016 à 02:00. Des fautes sont possibles.Je corrigerai en me relisant.

Loïc LT

lecture mars-avril 2016, sur kindle, 1200 pages, éditions Grasset, parution en 2013, édition Grasset, prix Renaudot. note : 4/5
Lien : http://doelan.blogspirit.com
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