Le grand retour d'une figure mythique de la dark fantasy !
La saga tragique d'Elric se poursuit dans ce nouvel épisode marqué par l'arrivée d'un dessinateur exceptionnel, Valentin Sécher, qui prend désormais les rênes de la mise en scène graphique. Une interprétation visuelle magistrale pour entamer un second cycle de quatre volumes, toujours respectueusement adapté – avec quelques aménagements – de l'oeuvre culte de Michael Moorcock avec la bénédiction de celui-ci. Plébiscitée par le public et la critique, LA référence de la bande dessinée de fantasy !
Découvrez Elric Tome 5 par Julien Blondel, Jean-Luc Cano et Valentin Sécher : https://www.glenat.com/24x32-glenat-bd/elric-tome-05-9782344057230
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Michael MoorcockLes Livres de Corum tome 0 sur 7
/5 49 notes
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Résumé :
Il y avait en ce temps-là des océans de lumière et des cités dans les cieux et de farouches bêtes volantes en bronze...
C'était le temps des dieux qui se manifestaient sur notre monde en tous ses aspects, le temps de la magie et des fantasmes...
C'était un temps de richesse et un temps d'obscurantisme. Le temps des Maîtres de l'Epée. Le temps où se mouraient les Vadhaghs et les Nhadraghs, ennemis de temps immémorial. Le temps où l'Homme... >Voir plus
C'était le temps des dieux qui se manifestaient sur notre monde en tous ses aspects, le temps de la magie et des fantasmes...
C'était un temps de richesse et un temps d'obscurantisme. Le temps des Maîtres de l'Epée. Le temps où se mouraient les Vadhaghs et les Nhadraghs, ennemis de temps immémorial. Le temps où l'Homme... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5)
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Surement la saga du "Champion éternel" la plus orthodoxe de Moorcock
Et, j'ose le dire, la plus solide dans l'écriture.
Corum est plus patrimonial, dans le sens Vieux Cru qui ne s'affadit pas, que bon nombre de cycle d'héroïque Fantasy qui lui ont succédé dans les années 80 et 90.
Je retiens quelques bonnes idées de départ dans l'utilisation de la figure fantasmée et tragique du peuple elfique pour la Trilogie des épées.
Pour ce qui est de la seconde trilogie (Les Chroniques de Corum), elle s'affirme dans la reprise de la mythologie guerrière celtique. Ce qui est une thématique qui peut en attiré plus d'un !
Et, j'ose le dire, la plus solide dans l'écriture.
Corum est plus patrimonial, dans le sens Vieux Cru qui ne s'affadit pas, que bon nombre de cycle d'héroïque Fantasy qui lui ont succédé dans les années 80 et 90.
Je retiens quelques bonnes idées de départ dans l'utilisation de la figure fantasmée et tragique du peuple elfique pour la Trilogie des épées.
Pour ce qui est de la seconde trilogie (Les Chroniques de Corum), elle s'affirme dans la reprise de la mythologie guerrière celtique. Ce qui est une thématique qui peut en attiré plus d'un !
Intégrale des aventures de Corum, un des avatars du Champion Eternel dans le multivers de Moorcock. A la fois facile à lire et un peu fastidieux, un peu prévisible, mais on a quand même envie de continuer pour savoir la suite, plaisant mais sans vraiment fasciner...
Michael Moorcock s'inscrit ici, comme dans la série des Hawkmoon et des Elric, dans la tradition des feuilletonistes du 19° siècle, les A. Dumas, P. Féval, E. Sue en France, ou A. Conan Doyle en Angleterre.
Michael Moorcock s'inscrit ici, comme dans la série des Hawkmoon et des Elric, dans la tradition des feuilletonistes du 19° siècle, les A. Dumas, P. Féval, E. Sue en France, ou A. Conan Doyle en Angleterre.
Michael Moorcock est connu pour sa saga d'Elric, et son épée démoniaque Stormbringer, et cette saga ci est moins connue. Et pourtant, c'est celle de lui que j'ai le plus appréciée. le style est toujours aussi léché, mais l'univers est plus intense. J'y ai trouvé quelque chose me rappelant celui de Tolkien, à la fin de ses âges, de l'Excalibur, le film, et de la chanson de geste. La fin de l'âge des "elfes" et de la magie, avec l'avènement des hommes.
Pour moi le meilleur ouvrage de cet auteur ! je l'ai lu il y a maintenant 20ans, et même si c'est un gros pavé, c'est juste un condensé d'héroic fantasy comme on n'en fait plus ! un régal pour ceux qui aiment l'imaginaire, les combats titanesque et les grandes sagas ! a lire une fois dans sa vie. minimum !
Un de mes best off. C'est subjectif mais j'ai adoré, la fin m'a marqué à vie. Je conseille évidemment.
Corum est un des derniers de sa race. le monde est envahi par les humains et le peuple de corum n'a pas vu le temps passer et est très edoniste. Cela causera leur perte. Mais est ce leur faute ou les maîtres de l'épée qui en sont la cause ? Ou autre chose encore?
Corum est un des derniers de sa race. le monde est envahi par les humains et le peuple de corum n'a pas vu le temps passer et est très edoniste. Cela causera leur perte. Mais est ce leur faute ou les maîtres de l'épée qui en sont la cause ? Ou autre chose encore?
critiques presse (1)
Un classique de plus pour Michael Moorcock, détaché de certains excès “psychédéliques” et autres longueurs.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (1)
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Il y avait en ce temps-là des océans de lumière, et des cités dans le cieux, et de farouches bêtes volantes en bronze. Il y avait des troupeaux d'animaux cramoisis, rugissants, qui se dressaient plus haut que les châteaux. Il y avait des choses vertes aux cris aigus qui hantaient les froides rivières.
Videos de Michael Moorcock (13)
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