La gameuse et son chat, tome 5

Dans "Capteur de désir", la gameuse organise le distributeur automatique de croquettes comme un jeu de loterie en y insérant des friandises pour chat sortant au hasard de chaque « tirage ».

Dans "Prise de vue", la gameuse prend un cliché parfait qui ressemble furieusement à la jaquette de World Fighters IV. Elle la met sur le compte twittan de ses félidés, et découvre l'enfer de la course aux « likes » donc au « buzz » sur les « réseaux numériques ». Je ne les qualifie pas de « réseaux sociaux », car il n'y a rien de social dans ces machins là qui ont apporté plus de mal que de bien à l'humanité (qui devrait être « parfaite » sous prétexte qu'elle est maintenant « connectée »)...

Dans "Donjons et chatons", Omusubi et Soboro imitent leur maîtresse en explorant les coins sombres de la maison, les fameux donjons, à la recherche d'un « boss de fin » qui finisse fatalement par trouver et affronter...

Dans "Nouveau talent", la gameuse découvre qu'Omusubi et Soboro se mettent à claquer des mâchoires par réflexe de prédateurs en regardant les insectes et les oiseaux par les fenêtres...

Dans "Félins de course", Omusubi et Soboro jouent au chat et à la souris, mais comme ils savent pas s'ils veulent jouer le rôle de la proie ou du prédateur ils se tirent la bourre dans toute la maison qui devient un champ de course avec moult obstacles à éviter ou à utiliser.

Dans "Copycat", Omusubi et Soboro imitent mutuellement leurs nouvelles poses pour mieux dormir. Et ils sont très forts en sieste synchronisée...

Dans "Jour de Fête", tout le monde pense que Riko Kozakura se prépare à fêter seule son 30e anniversaire. Mais en fait elle prépare l'anniversaire de sa franchise vidéoludique préférée avec la sortie de Dragon Fantasia 11 ("Dragon Quest" ou "Final Fantasy", faites votre choix)...

Dans "Leveling", Omusubi et Soboro passe du pelage d'été au pelage d'hiver et la gameuse se martel en tête de les brosser jusqu'au dernier poil. Qu'il est dur de chouchouter ses personnages préférés !

Dans "Premier Bain de Soboro", la gameuse tombe de haut. Tout s'était bien passé avec Omosubi, félin de type eau, mais avec Soboro c'est un vrai calvaire pour la gameuse comme pour la féline...


Ces tranches de vie mélangeant gaming et éducation féline sont toujours aussi cool et fun, mais le mangaka reprend beaucoup trop d'éléments de sa série précédente avec moins de personnages donc avec forcément moins de diversité.

Dans ce cinquième tome de la Gameuse et son Chat, la cohabitation se poursuit pour Kozakura, Omusubi et Soboro, les deux chats se montrant de plus en plus complices malgré leurs caractères bien différents.
Et mes impressions sont les mêmes que pour le précédent tome : il n'y a pas vraiment d'histoire derrière les petites scénettes qui se succèdent. C'est amusant, mais ça tourne un peu en rond entre l'obsession de la jeune femme pour les jeux vidéo et les facéties des chatons.
Je ne crois pas que j'irai plus loin dans la série...

Comme cette lecture est agréable, je crois que je ne m'en lasserais jamais. Sur certains moments, j'ai l'impression de me voir avec mes chats. C'est là qu'on se dit que tous les propriétaires de chats vivent plus ou moins la même chose avec les leurs! Ce genre d'histoire fait tellement de bien à lire. Comme je l'ai déjà dis dans mes chroniques précédents, c'est une histoire légère et drôle, qui nous fait passer un excellent moment, on se retrouve dans une bulle de bonheur. Chaque tome est différent même si la trame de fond est plus ou moins la même à chaque fois.

Dans ce cinquième tome, on continue de découvrir le quotidien de Kozakura qui vit désormais avec deux chats. Comme d'habitude son quotidien est rythmé par ses jeux vidéos, elle passe son temps à comparer ses chats et ce qu'ils font à ses jeux vidéos. Même lorsqu'ils se courent après, elle compare ça à une course. Elle continue de découvrir des choses qu'elle ne connaissait pas, comme par exemple les dents qui claquent quand les chats voient un oiseau ou autre chose…

Les chapitres qui sont du point de vues de Soboro et de Omu, ce sont clairement les chapitres que je préfère. J'aime trop découvrir ce qu'ils pensent vraiment surtout quand Kozakura pense complètement l'opposé. Et puis, j'aime tellement les suivre dans leur petit quotidien. J'ai particulièrement aimé les voir jouer et mettre le bazar le plus complet dans l'appartement le ce jour où Kozakura est parti en retard.. C'était si drôle de les voir se croire dans un jeu comme leur maîtresse! Ça m'a beaucoup fait rire aussi de les voir prendre les mêmes positions ou faire la même chose. On voit maintenant qu'ils s'apprécient l'un et l'autre. La fin m'a vraiment fait beaucoup rire également. La pauvre Soboro va découvrir les joies du bain et Kozakura est loin d'imaginer ce qui l'attend! En voyant la dernière phrase, je me demande bien ce qu'il va se passer par la suite!

Encore une fois, on a un tome plus qu'excellent ici. C'est toujours aussi drôle, d'ailleurs je trouve que plus on avance dans les tomes plus au final ça devient drôle. Et puis le fait que maintenant ils sont deux chats, ça fait double lot de bêtises! J'aime énormément cette histoire et plonger dans le quotidien de cette geek et ses deux chats, c'est mon petit péché mignon pour le coup. Je m'en vais de ce pas dévorer le tome suivant, il m'intrigue au plus au point, surtout lorsque l'on voit la dernière phrase de ce tome ci… Intriguant tout ça!
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Résumé :

Dans ce cinquième tome, on va continuer de suivre le quotidien de Kozakura, celle-ci se met à la méditation afin d'augmenter son taux de chance dans les jeux gâcha, une grosse répercussion sur le distributeur automatique de ses deux chats. Avec l'achat d'un nouveau jeux et d'une persévérance pour qu'ils l'essaient, notre héroïne obtient une photo digne d'un jeu de combat, au point de faire le buzz sur les réseaux sociaux. de ce fait, elle va totalement oublier son anniversaire, et fait la fête pour une raison digne d'une gameuse en compagnie de ses deux petits compagnons. D'ailleurs en parlant d'eux, quand Kozakura part au travail, ces deux chenapans vont se lancer dans une folle aventure, comme si la maison était un donjon bourré de quêtes.

Mon avis :

C'est un coup de coeur +++

L'histoire est captivante, on nous montre les bénéfices de la méditation, tel que la sérénité, se recentrer sur soi-même, n'en déplaise à nos deux petits chats. On peut voir d'autres facettes des réseaux, tel que faire le buzz avec une simple photo d'un chat en mode ninja, et quand on voit la rapidité à laquelle la plupart des personnes, ont pu observer cette photo, c'est juste pas croyable. Grâce aux divers point de vue, nous pouvons savoir ce que font nos compagnons lors de notre absence, un peu comme le film "Comme des bêtes", ce qui est juste très intéressant, ils nous apportent une compréhension, tel un guide pratique pour savoir s'occuper d'un animal en tout genre.

La plume de l'auteur est claire, agréable, rempli d'humour et de bienveillance, ce qui nous embarque bien plus dans le récit.

Les personnages sont caractériels, amusant, attachants, ce qui apporte de l'authenticité au récit, et permet de nous identifier aux divers protagonistes.

Les illustrations sont splendides, avec des traits fins, on a l'impression de vivre leurs aventures, ce qui apporte plus d'émotions ainsi qu'une certaine profondeur au récit.

En soit, c'est une lecture que j'ai adorée, tellement doudou, ce côté kawai qui nous fais sourire, et rire tel un bon thé noir aux épices.

Merci d'avoir lu ce post, n'hésitez pas à le découvrir et je vous retrouve pour un prochain avis lecture. Bye Bye les petits rêveurs😄
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Un manga dans la suite des précédents tomes : drôle, mignon, avec plein de références geeks pour plaire à tout le monde.

J'aime toujours autant la vision de Kozakura vis-à-vis de ses chats qu'elle souhaite faire monter au level up avec chacun leurs compétences. Je trouve ça plus chouette comme vision des choses et pour s'amuser avec nos propres chats.

La complicité qui lie nos trois héros est vraiment touchante et pleine de douceur. Chaque chapitre apporte son lot de surprises et de scènes du quotidien rigolotes. J'ai bien aimé aussi le cadran horaire que Kozakura met en place pour jouer au max ! C'est instructif.

La fin laisse sous-entendre quelque chose qui me tarde de découvrir dans le tome 6. J'espère que ce ne sera pas négatif. Comment on peut annoncer une fin pareille et nous laisser dans l'attente ??? Argh ! Vivement la suite !