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3,54

sur 1900 notes
Sous des dehors légers, ce livre parle de sujets graves de société.
J'ai été agréablement surprise.
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Katherine Pancol est l'auteure phare de mon adolescence. Il y a bientôt dix ans, j'avais dévoré sa célèbre trilogie Les yeux jaunes des crocodiles, La valse lente des tortues et Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi, qui a également connu un retentissement médiatique considérable. Puis j'avais essayé de lire quelques one-shot de l'auteure, je pense notamment à Encore une danse, J'étais là avant ou Et monter lentement dans un immense amour…, qui ont tous les trois étaient de profondes déceptions. Sans doute la barre de la trilogie était-elle trop haute et les histoires suivantes bien peu de choses face à elle. Mais je ne m'avoue pas vaincue et replonge avec impatience dans la dernière trilogie en date de Katherine Pancol : Muchachas.

Ce premier tome met en avant des femmes, aux histoires divergentes. L'une est une femme battue, totalement soumise à son mari, un homme puissant, qui exerce une véritable omerta sur elle et son entourage ; l'autre a été violée et tire encore des conséquences psychiques de cette agression. Les thématiques abordées sont dures, crues, violentes ; néanmoins, j'ai trouvé que Katherine Pancol les traite avec beaucoup trop de distance et avec quelques maladresses. Les personnages présentés sont de parfaites caricatures, qui manquent cruellement de consistance, dans le sens où ils n'ont pas assez de caractère, de personnalité, d'élément singulier qui pourrait les différencier, les rendre unique et sympathiques auprès des lecteurs. Ce sont des coquilles vides, communes, qui ont même tendance à agacer par leur inaction, leur indolence. Je me suis profondément ennuyée avec cette histoire.

Enfin, bien que Muchachas soit une nouvelle trilogie, de nombreuses références sont faites à la trilogie phare de l'auteure ; bien que cela n'ait pas forcément peiné ma lecture, j'ai été passablement agacée de ne pas comprendre toutes les subtilités des références (ma lecture de sa précédente trilogie remontant à près de dix ans). Un coup commercial et marketing, sans doute, pour créer du liant, donner envie et faire acheter le lecteur.

Seulement deux jours après avoir fermé la dernière page de ce livre, je ne me souviens presque pas de l'histoire. Autant vous dire qu'elle est bien plus que légère ; c'est une lecture futile, dans laquelle il ne se passe pas grand chose, que l'on peut parcourir si l'on n'a rien d'autre à se mettre sous la main. le style est plat, mou, Katherine Pancol se perd en bavardages qui s'étirent sur la longueur sans rien apporter de concret au récit. Au contraire, cela le dessert : je me suis souvent retrouvée perdue au milieu des introspections proférées par les uns et les autres. Je suis allé au bout de ma lecture tout de même, mais une chose est sûre : je ne lirai pas la suite !

Un roman plat, sans grand intérêt, aux personnages caricaturés et vides. Je n'ai pas accroché : l'aventure Muchachas s'arrêtera là pour moi.
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Katherine Pancol m'avait laissé un excellent souvenir avec sa trilogie précédente. Et c'est sans hésitation que je me suis plongée dans cette nouvelle trilogie.
La couverture me laissait présager une histoire assez légère, en tout cas joyeuse. Idée confirmée par la lecture de la 4ème de couverture: les muchachas qui dansent, dansent, dansent...
(le titre n'est pas terrible par contre. On était habitué à mieux, à plus poétique).
Première surprise : on retrouve Hortense et Gary. Si je veux résumer: une pimbèche qui veut devenir une star de la mode et un petit con qui court après ses notes de musique. 50 pages qui m'ont presque fait détester l'ancienne trilogie. Ils sont devenus ça les personnages???
Après paf, surgit une stella et une Léonie. Et bien là j'ai pris une sacrée claque. Adieu légèreté, histoire d'amour et cie. Maltraitance, viol, inceste, peur... On plonge dans l'horreur . Quand j'ai commencé à accrocher à cette histoire. Paf on retrouve joséphine et son homme en voyage en Italie. Vas-y que je doute, que je déprime. Il m'aime mais je ne mérite pas son amour. Mon dieu mais c'est quoi ça????
Paf on retrouve Stella et sa mère et on en prend encore plein la tête. Même si je n'ai pas pu lâcher le livre.
Je ne m'attendais pas à ce que ces thématiques soient abordées dans le bouquin surtout avec une telle construction narrative (même si Pancol tire une ficelle pour faire un lien entre les deux trilogies) et des passages avec les personnages de l'ancienne trilogie qui paraissent complètement superficiels. Ils m'ont d'ailleurs passablement ennuyée.
j'ai mis 3.5 parce que c'est bien écrit (à part quelques phrases un peu bizarres) et que l'histoire de Stella m'a touchée.
Par contre, je trouve que la 4ème de couverture n'est vraiment pas assez explicite. Je pensais souffler avec cette lecture et ça n'a pas été le cas. Surtout que le livre s'achève sur le meurtre du chien de stella. La fin est angoissante. le pire n'est peut être pas encore arrivé alors qu'on a déjà eu une grosse dose de souffrance.
Je ne comprends pas trop la démarche de Katherine Pancol.
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Bien mais
Je n'ai pas accroché a L'histoire de Stella je m'attendais a une suite de la famille Cortés je ne pense pas téléchargés les deux autres tomes car les prix sont trop élevés et les commentaires ne me donne pas envie
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Je terminais la lecture d « Opium Poppy » d'Hubert Haddad totalement bouleversée au point de me demander en refermant le livre : « que vais-je pouvoir lire maintenant ? ».
J'avais besoin d'une lecture facile, sans prise de tête et Katherine Pancol avec la légèreté de son écriture est parvenue grâce à « Muchachas » à me distraire.
Ecrire des romans « populaires » au sens le plus noble du terme, sans tomber dans la vulgarité ni la mièvrerie demande un talent certain et Katherine Pancol n'en manque pas.


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Je ne trouve pas grand chose à en dire: au bord de la piscine ou au coeur de la nuit pour vaincre l'insomnie, ça se lit, "ça distrait" comme dirait l'autre.
Sauf peut être que la ficelle est un peu grosse: présenter ce livre comme la suite de la trilogie des "Yeux jaunes..." pour attirer toutes ses lectrices (il ne doit pas y avoir beaucoup de lecteurs) n'est pas très honnête. En fait il n'arrive rien aux personnages récurrents mais elle en parle quand même pendant 50 pages, avant de nous raconter l'histoire de Stella, vivant en Bourgogne, dont la mère est une femme battue. le thème est racoleur, mais on a tout de même envie de savoir si elles s'en sortent: et ben on ne le sait pas à la fin !!! Faudra lire le prochain ! Aaarrrggghhh...
Ben moi je ne crois pas que je lirai le prochain. Et toc.
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J'ai découvert cet auteur grâce Aux yeux jaunes des crocodiles et à ses deux suites (La valse lente des tortues et Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi). Ce sont des livres que j'ai dévorés, même si certaines petites choses m'ont déçue dans le deuxième et certaines grandes choses m'ont déçue dans le troisième. J'avoue que j'ai acheté Muchachas par curiosité surtout, d'autant plus que le fait de le sortir en trois volumes sur un trimestre m'a rendue plus que dubitative, voire un brin énervée (marketing quand tu nous tiens !). Et bien mes curieux, j'ai tout bonnement a-do-ré ce livre ! Je l'ai dévoré en quelques jours. L'écriture de Pancol chante dans la tête, on y retrouve un florilège de bons mots, tout en gradation, comme sur une partition, les nouveaux personnages sont hyper attachants, c'est dur et doux à la fois. Je ne tarderai certainement pas à lire le deuxième tome !
Lien : http://mesmotsenblog.blogspo..
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Reprendre les mêmes personnages que la trilogie précédente alors que nous étions nombreux à en avoir soupé, il fallait oser! Rajouter un zeste de paranormal sur le jeune Junior, et voilà comment on perd des lecteurs; j'ai eu envie de mettre une claque à tout ce petit monde! Terminé Katerine, tu ne me verras plus!
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J'ai eu ce livre pour mon anniversaire, sinon je ne l'aurais pas acheté.
Je n'ai vraiment pas compris pourquoi Katherine Pancol a écrit les 60 premières pages sur cette peste d'Hortense. Qu'est-ce qu'elle vient faire dans cette histoire ? Elle croit toujours et encore qu'elle va devenir la star de la mode et que le monde ne tourne qu'autour de son nombril. On aurait pu espérer qu'elle avait grandi un peu Hortense !
Si vous commencez avec la page 61, vous ne louperez rien dans l'histoire. Et puis la partie où Joséphine file le "presque" parfait amour avec Philippe et qui n'arrive toujours pas à être heureuse vraiment, n'a aucune valeur ajoutée dans ce roman à mon avis.
Des nouveaux personnages entrent heureusement dans ce livre : Stella et son fils Tom, sa mère Léonie et bien sûr il y aussi un méchant : Ray Valenti ainsi que d'autres personnes qui jouent toutes un rôle secondaire. L'histoire de Stella est douloureuse parce qu'il s'agit de violence conjugale que subit sa mère depuis des années et les abus que Stella a vécus en tant qu'adolescente. Je reste aussi un peu sur ma faim quant à la fin du livre. Il y a quelque chose en suspend : on a envie de savoir comment les choses vont finir pour Stella et son entourage. Donc on pense pas grave on lira dans le tome 2 comment cela se termine. Mais quand je lis dans les critiques sur le tome 2 que Pancol remet la couche Hortense & Gary et que Stella n'y est quasiment pas, cela me laisse un peu perplexe. Je n'achèterais pas les suites, mais puisque je suis curieuse et que je veux me faire ma propre opinion, je les emprunterais à la bibliothèque...
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Quelle déception ce roman ! J'avais pourtant beaucoup aimé la trilogie précédente...
Le livre démarre à New York avec Hortense, la jeune modiste ambitieuse que l'on est content de retrouver, ainsi que son petit ami Gary. Et puis soudain changement de décor : nous voilà avec une certaine Stella, qui vit dans une ferme avec son fils et ses trois chiens sous l'oeil protecteur de deux vieux, et dont la vie et le passé sordides nous plongent dans une sombre histoire de père violent et de femme battue (la mère de ladite Stella). Stella la rustre, qui s'habille comme un homme et fait un métier d'homme (conductrice de poids-lourd, elle charrie de la ferraille à longueur de journée), se débat avec les fantômes de son enfance qui empoisonnent son quotidien, la faisant évoluer dans une peur constante.
Entre deux, apparition de Joséphine en plein séjour romantique (on apprendra tout à la fin le lien entre les deux femmes). Mais d'Hortense, plus aucune nouvelle jusqu'à la fin des 400 et quelques pages !..

Alors certes Stella cache sous l'épaisseur de ses pulls une fragilité touchante. D'accord Katherine Pancol a été choquée par une scène de violence conjugale et elle a eu envie d'écrire sur cette thématique. Mais alors pourquoi la mêler aussi artificiellement à l'histoire de ses héros ? La brève présence d'Hortense apparaît comme un hameçon pour mieux accrocher son lectorat établi à une intrigue qui est à mille lieues du petit univers tissé dans les titres précédents... Et puis quelle atmosphère sordide vraiment (je ne trouve pas d'autre mot), et pesante, et quel art de diluer une intrigue dans la description interminable (et inutile) des personnages secondaires !.. J'en suis venue à sauter régulièrement des passages (chose que je fais très rarement)...
Mme Pancol, vous m'avez servi une belle entourloupe et je ne lirai donc pas la suite de votre "Muchachas" !
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