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EAN : 9782843045660
170 pages
Zulma (18/08/2011)
3.59/5   143 notes
Résumé :

Encore et encore, on lui demande comment il s’appelle. La première fois, des gens lui avaient psalmodié tous les prénoms commençant par la lettre A. Sans motif, ils s’étaient arrêtés sur Alam. Pour leur faire plaisir, il avait répété après eux les deux syllabes. C’était au tout début, à Paris. On venait de l’attraper sur un quai de gare, à la descente d’un ... >Voir plus
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Dans Opium Poppy, Hubert Haddad relate le terrible destin d'un enfant afghan de douze ans qui a été arrêté sur un quai de gare, à la descente d'un train et conduit au Camir, Centre d'accueil des mineurs isolés et réfugiés.
Avant de se retrouver dans ce centre de rétention à Paris, celui à qui ils ont donné le nom d'Alam, était un petit garçon paysan né dans le désastre informe des guerres, dont on va découvrir la terrible histoire au fil du récit, dans ce pays en proie à la folie des hommes et à l'obscurantisme.
On le découvre sous le sobriquet de « l'évanoui », sobriquet qui lui a été donné parce qu'il a perdu connaissance lors de sa circoncision. Suprême déshonneur. Pouvait-il exister une plus grande violence pour lui ? Hélas, alors que le convoi formé par les trafiquants d'opium venaient récupérer la récolte annuelle au village, une attaque des insurgés exigeant leur part de la tractation, détruit des masures du village et son père victime d'un accident cérébral, devient invalide.
La famille se voit contrainte de partir se réfugier dans une ville proche de Kaboul…
Comme on aimerait prendre ce gosse dans ses bras et lui donner toute l'affection dont il manque cruellement !
Opium Poppy révèle le terrible destin et l'impitoyable destruction de cet enfant abandonné à lui-même, pris entre la guerre et le trafic d'opium, entre son désir d'apprendre et les intimidations de toute sorte, entre son admiration pour son frère véritable tête brûlée et l'admiration qu'il porte à une trop belle voisine, dont l'issue tragique laisse sans voix.
L'auteur alterne avec habileté le présent, c'est-à-dire l'errance de Alam dans la banlieue parisienne, une errance d'enfant réfugié sans papier dans le froid et toujours la drogue, avec le passé dans son pays en guerre.
Bien qu'écrit en 2011, c'est un roman, hélas, toujours d'actualité qui traite avec talent et concision et sans aucune concession, de thèmes qui prennent de plus en plus de place dans notre monde contemporain, à savoir, la guerre, l'immigration, le trafic de drogues, l'insensibilisation des êtres et la déshumanisation.
On ne peut être qu'être effaré et pétrifié en découvrant ces enfances saccagées, ces enfances volées, ces enfances broyées issues de la tragédie de la guerre, de même qu'on est suffoqué en lisant le sort réservé aux femmes et notamment à celles qui tentent de braver le sort et cherchent à s'instruire.
Hubert Haddad s'attache à décrypter le processus qui conduit inexorablement ces enfants à perdre toute trace d'émotion et de sentiment, et à devenir prêts aux pires excès. Un engrenage qui semble sans possible retour en arrière.
J'ai été dès le début prise aux tripes par ce récit très dépaysant, absolument bouleversant et terrifiant sur ces enfances sacrifiées qui n'ont par conséquent aucun futur, aucun avenir.
Opium Poppy de Hubert Haddad est un roman plein de réalisme, qui interpelle, qui révolte, qui reflète la folie des hommes et qui laisse désemparé…
Ayant déjà lu Un monstre et un chaos de Hubert Haddad, me voilà à nouveau conquise par la plume acérée de cet auteur.

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Révolté ! Devant tant d'injustice, devant l'enfance massacrée, brimée, niée, écrasée sous le poids des guerres, de la violence et de la tyrannie.
Les beaux yeux d'antilope du jeune Alam, le petit héros afghan d'«Opium Poppy » ne reflètent rien d'autre que cette horreur née des corps déchiquetés, des jeunes filles vitriolées, des explosions, de la peur panique de mourir, des lueurs orangées des bombes éclatant sous le ciel bistre d'Afghanistan et des crépitements des mitraillettes.

Affligé ! Quel espoir forger pour ces enfants nés du chaos ? Alam l'afghan, Diwani la Tutsie, Yuko le Kosavar ou sa soeur Poppy la junkie, et « ceux du Mali, du Togo, ceux du Pakistan, les Kurdes d'Anatolie, les réfugiés blêmes du Caucase », « ils ont tous éprouvé le désastre de vivre ». Dans le centre d'accueil parisien où ils sont hébergés, entre les cours d'alphabétisation et la sollicitude des éducateurs, peut-être pourrait-on croire qu'existe enfin pour cette poignée d'enfants, une rémission dans l'horreur, une forme de miséricorde offrant l'amnistie à leurs jeunes coeurs si maintes fois brisés ?
Mais ils ne possèdent qu'une vague existence, pour le reste du monde ils sont déjà morts, leurs yeux ont vu tellement d'atrocités, leurs corps tellement subis de violence, leurs âmes tellement acculées au Mal régnant sur la terre, qu'ils ne survivent que grâce à la violence qui couve en eux, reproduisant les geste de brutalité, d'attaque, d'assaut guerrier, qu'ils n'ont cessé d'apprendre tout au long de leurs courtes vies. La nuit est en eux.

Choqué ! Devant la violence que ces enfants subissent au quotidien! Hormis quelques rares fulgurances de bonheur brut - la contemplation des fines chevilles et des cheveux aux reflets bleus de la belle « créature de lumière» Malalaï, la conduite des « chèvres et des brebis sur l'herbette des pentes » - Alam l'Evanoui, n'a connu que la barbarie depuis son plus jeune âge. Né dans une bourgade pauvre des montagnes afghanes, il a vu les siens persécutés par les clans ennemis se disputant sans pitié le pouvoir : le gouvernement et les forces alliées, les caïds et les trafiquants de pavot, les intégristes, tous revendiquant leur suprématie à coup de kalachnikov, de pistolets-mitrailleurs, de bazookas et de grenades.
Pour survivre il lui faut être enrôlé dans un camp de terroristes extrémistes ; Alam devient alors l'enfant-soldat qui n'a peur de rien, obéissant aux ordres avec le détachement et l'indifférence de l'enfance qui en trop vue.
Grièvement blessé, il est récupéré par un organisme médical international et transféré dans un camp de réfugiés duquel il s'enfuit. Au prix d'un long périple mouvementé, de Kaboul à l'Iran, de la Turquie à la Bulgarie et à l'Italie, il arrive à gagner Paris, mais le rêve occidental peut-il être à la portée du petit taliban, ou à celui d'aucun autre enfant clandestin ?
Alam s'enfuit encore, Alam s'enfuit toujours, parcourant les rues grises et anonymes du pays des droits de l'homme. « Privé d'identité autant que de ressources, il rejoint la foule perdue » des réfugiés et atterrit dans un no man's land tenu par des dealers serbo-croates pour lesquels il redevient l'enfant-soldat qu'il n'a finalement jamais cessé d'être…

Bouleversé ! de découvrir cette « foule privée d'horizons » à la périphérie des villes, ces enfants des rues gravitant à des millions d'années lumière de notre confort bourgeois, de nos prérogatives, et si proches pourtant… indigents, clandestins, survivants de l'horreur, que l'on côtoie avec indifférence, que l'on ne veut pas voir, qu'on se refuse de voir par peur, par facilité, pour conserver cette tranquillité d'esprit qui nous tient tant à coeur.

Ebranlé ! Par la langue lyrique, poignante et imagée d'Hubert Haddad, par sa puissance narrative d'une énergie et d'une intensité qui remuent les coeurs, par ses envolées verbales pleines de transport et de ferveur et par ses phrases éminemment poétiques et lumineuses qui ouvrent l'horizon sur un ciel calciné.
Très contemporain et à la fois intemporel, un texte dur, beau, déstabilisant, dont la syntaxe métaphorique et virtuose pourrait presque éclipser la gravité du sujet, si celui-ci, universel et marqué de tragédie humaine, ne se suffisait à lui-même.
En un va-et-vient entre passé et présent, c'est toute la route de l'exil et de la souffrance qui s'affiche, et l'enfance grillée comme « les fleurs de pavots exposées au vent qui souffle depuis les plaines d'Iran. »
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Comment parler d'un livre aussi poignant et quel livre ! Un véritable coup de poing auquel j'étais loin de m'attendre !

"Un air de folie creuse son visage. Alam songe aux déments des hauts plateaux, les rescapés des tueries, ceux qui assistèrent à l'incendie de leur maison, au viol de leurs filles, à la décollation des pères ou des fils à la hache."

A dire vrai les trois premiers chapitres ont eu bien du mal à attirer toute mon attention. Mais une fois le fil de l'histoire en main, quel bonheur ou plutôt quelle souffrance ! Je ne sais pas qui a le plus souffert en moi : la femme ou la mère que je suis ? ! En refermant ce livre, je suis restée dans un chaos profond. Une écriture violente, bouleversante. Une histoire tragique qui me laisse avec cette interrogation :

Dieu existe-t-il vraiment ?

Puis j'ai pensé à une citation que j'affectionne particulièrement recueillie dans « le choix de Sophie »

"La déclaration la plus pertinente faite jusqu'à ce jour sur Auschwitz n'était pas une déclaration, mais une réponse :
La question : "A Auschwitz, dis-moi, où était Dieu? "
La réponse : "Où était l'homme ? "

Mais alors, qui sont les hommes ? Si quelqu'un connait la réponse ! Je réalise aujourd'hui combien nous sommes ignorants du monde qui nous entoure. Étriqués dans notre petit confort, qui sommes nous réellement pour juger autrui sans connaitre, sans savoir ? La parole de Mahomet est-elle plus sainte que celle de Jésus ? Allah est-il le plus grand, l'Omniscient, sur cette terre ici-bas et dans l'au-delà ?

Dieu est en nous, comme le bien et le mal. Nous disposons des mêmes choix à la naissance mais pas des mêmes chances, c'est une évidence ! Ce livre n'excuse en rien toute cette violence mais il fait comprendre combien l'homme est manipulateur et combien il peut être manipulé.

« Pourquoi lui-même avait-il le pouvoir de sacrifier ou d'épargner des êtres constitués de plusieurs dizaines d'années d'existence sur cette terre et riches d'une foule souvenirs, de secrets, d'aspirations? On l'encourageait à jeter des bombes sur des visages et à se récrier de joie pour des motifs de sainteté ou d'honneur. »

Ce roman nous emmène tour à tour à Paris, dans les montagnes du Pakistan et sur les hauts plateaux du Kandahar en Afghanistan. Là-bas, les mots sont remplacés par des bombes. Les seuls rêves accessibles, sont les mirages produits par La Blanche qui se diffuse dans les veines meurtries. En guise de jouets, les garçons brandissent des kalachnikovs. Les paysans sont déchiquetés et brûlés. Les femmes sous leurs burqas sont vitriolées. Les jeunes enfants pleurent à l'ombre des cadavres. La seule source de chaleur dans ces existences vient des bombes qui explosent.

Alam, onze ans, grandit sur cette terre de désolation. Il est tiraillé entre la sagesse et la fascination que lui inspire son grand frère, contraint par la misère à rejoindre le djihad ou à finir en martyre.

« Qu'est ce que vous croyez ? Que je vais vivre comme vous dans la mendicité ? Vous osez me juger ? Dieu me guide vers la victoire ! »

Tout commence en France dans un centre de réfugiés pour enfants de toutes origines. L'auteur nous embarque dans la course effrénée d'Alam entre présent et passé. de Paris, terre promise mais aussi de désillusions, au Kandahar, terre aride uniquement baignée par le sang, nous suivons Alam parmi les rebelles, les insurgés, la vermine, la mort, le souvenir de la belle Malalaï et l'espoir qui s'étiole…

L'auteur m'a parfois un peu perdu mais uniquement par mon ignorance du monde arabe. Alam est toujours parvenu à me reprendre la main pour le suivre sur le chemin de sa vie et me faire comprendre ses sacrifices, sa croix et ses choix ! Mais est ce vraiment un choix ? N'est ce pas plutôt la fatalité ?

Dieu seul le sait…

Opium Poppy, un voyage à la fois fascinant par les paysages, les traditions, les cultures et bouleversant par la dure réalité des faits.

Lien : http://marque-pages-buvard-p..
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« L'amour ne pleure jamais comme pleure le sang ». C'est sur cette certitude que se base le roman d'Hubert Haddad, un récit tout à la fois tragique, réaliste et percutant.

En Afghanistan, au coeur d'un pays déchiré, un jeune garçon, 12 ans, est découvert inconscient après une salve de tirs. Dès lors, nous suivons une obsédante descente aux enfers. Celui qui se nomme Alam a tout perdu pendant la guerre, jusqu'à ce prénom qu'il a emprunté à son frère, qui lui, n'a pas survécu à la barbarie dont est capable l'homme. Alam entame une fuite vers un monde qui le déleste peu à peu de son enfance. Se sentant traqué comme une bête, n'ayant de place désormais nulle part puisqu'il n'a plus de famille, il termine sa route en banlieue parisienne auprès des drogués et des petites frappes. C'est ainsi qu'au contact trop précoce de la guerre et des adultes sans scrupules, l'enfant perd son enfance et son innocence. de ce fait, Alam devient une arme terrible parce qu'il est perdu.

C'est un roman qu'on lit d'un trait, qui prend à la gorge et qui bouleverse, 
soutenu par une écriture magnifique, à la fois très poétique et violente dans 
la précision des atrocités commises. Hubert Haddad ne nous épargne rien et dresse un catalogue de toutes les horreurs engendrées par le fanatisme.

Magnifique et terrifiant, Opium Poppy nous fait réfléchir sur le sort des enfants dans la guerre, l'accueil ou plutôt le non accueil qui leur est réservé en Europe, réfléchir sur notre monde cruel et injuste. Un roman qui sonne juste.
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Le prénom de l'enfant soldat, tout le monde l'a oublié dans son village d'Afghanistan, pour tous, Alan est devenu « l'évanoui », car à sa grande honte, la peur et la douleur l'on fait tomber dans les pommes le jour de sa circoncision.
Dans ce pays martyrisé par les guerres et la folie des hommes, il faut survivre, pourtant, il aimerait étudier et rêve d'un avenir meilleur.
Lorsque les talibans détruisent son village, Alan suivra sa famille dans les rues de Kaboul.
Après la disparition des siens, il cumule les petits boulots harassants, dangereux et peu rémunérateurs.
Et si son salut était auprès des rebelles, dans les montagnes ? là où seules les armes ont la parole, auprès de ces hommes prêts à tout pour assouvir leur idéal, même à transformer un enfant en bête féroce, sans émotion, ni peur, ni sentiment.
Après bien des drames, l'enfant sera pris en charge par le Croissant Rouge avant de se retrouver sur les trottoirs de Paris. Ne lui avait-on pas toujours dit que la France était le pays des droits de l'homme ?
Hubert Haddad nous donne à lire un texte magnifique et bouleversant sur la vie de ses enfants soldats à qui on a volé leur bien le plus précieux : leur enfance.
J'ai profondément aimé ce petit garçon, je l'ai suivi dans ses errances, ses interrogations, ses blessures, ses espoirs.
Le plus terrible c'est que des histoires semblables puissent exister et devenir banales au point de passer presque inaperçu dans un monde cruel.


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Citations et extraits (60) Voir plus Ajouter une citation
Les gosses étaient nombreux à tout risquer pour quelques afghanis. Comme partout où l’économie de guerre encourage les pires trafics, la pusillanimité des adultes s’appuyait largement sur cette main-d’œuvre privée de recours.
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Malalaï avait été conduite à l’hôpital, elle et trois de ses condisciples. Des individus en mobylette, masqués et casqués, les avaient acculées devant l’entrée du lycée. Arborant des pistolets à eau, ils avaient soulevé le haut des tchadris pour asperger leurs visages. C’était une sorte de jeu. Ils riaient tous aux éclats. Les pistolets étaient remplis de vitriol.
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Il ne veut pas faire un troisième dessin. Il secoue la tête. C’est trop de fatigue maintenant. « Tu le feras la prochaine fois » dit la pédopsychiatre du service d’hygiène attachée au Centre d’accueil. Elle range feuilles et crayons sans quitter l’enfant des yeux. La cicatrice sous l’oreille au lobe arraché ne manque pas d’expliquer son air farouche. Ce qu’il a vu, son corps l’affiche mieux que tous les tests à l’encre de Chine ou aux crayons de couleur.
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La ville est une maison démesurée qu’on se partage entre étrangers.
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Pourquoi faut-il ânonner sans fin la langue des autres et se taire, ravaler ses propres mots, ses chansons. Depuis sa capture, on le traite comme le rejeton de parents imaginaires. On lui apprend des choses irréelles. Les enfants ne servent qu'à plaire aux grandes personnes.
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Videos de Hubert Haddad (40) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Hubert Haddad
Avec Katerina Apostolopoulou, Caroline Boidé, Bruno Doucey, Mohammed El Amraoui, Hubert Haddad, Marie Pavlenko & Murielle Szac Accompagnés par le musicien Issa Hassan
Prenez le mot Grâce. Soupesez-le pour en estimer la richesse de sens. Puis déployez-le, en éventail, de manière à faire apparaître ses innombrables significations. Qu'y a-t-il au-delà de ce don accordé, de cette faveur ou non divine ? Un état, un moment, l'extase. Une supplique, une embellie, d'autres extases encore. Sans oublier ces vies que l'on épargne, ce coup souvent fatal, ces inquiétudes et cet accueil, le consentement ou le refus. Les uns disent « Grâce à Dieu », tandis que d'autres ne croient qu'en la chaleur d'une main dans la leur. Mais de textes en textes, de mots d'amour en chants des morts, de cimes en abîmes, les 118 poètes de cette anthologie entonnent sans relâche la grande partition de la vie. Et s'ils viennent de tous les horizons – si elles viennent, car plus de la moitié sont des femmes –, c'est pour dire d'une voix multiple et une : Gracias a la vida !
À lire – Grâce… Livre des heures poétiques, Anthologie établie par Thierry Renard & Bruno Doucey, éd. Bruno Doucey, 2024.
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