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Corto Maltese tome 16 sur 16

Ruben Pellejero (Autre)Hélène Dauniol-Remaud (Traducteur)Hugo Pratt (Autre)Juan Diaz Canales (Autre)
EAN : 9782203221680
72 pages
Casterman (07/09/2022)
3.54/5   61 notes
Résumé :
Automne 1924, Corto doit retrouver son ami Steiner à Berlin. Mais à son arrivée dans la capitale allemande, il découvre que son ami a été assassiné ! Il se lance alors dans une enquête pour retrouver son assassin, et obtenir, sinon justice, au moins vengeance. Mais la fragile république de Weimar est déjà au bord de la guerre civile, entre espions communistes et société secrète d'extrême droite, et ils semblent tous vouloir l'empêcher de parvenir à ses fins. . .
Que lire après Corto Maltese, tome 16 : Nocturnes berlinoisVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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Corto Maltese est un personnage mythique de la BD espagnole. le marin traîne ses guêtres à travers ce monde du début du XXe siècle depuis le premier opus Corto Maltese, tome 1 : La Ballade de la mer salée réalisé en 1975.
Hugo Pratt, l'auteur originel est mort en 1995, laissant son héros orphelin. le personnage a été reprise depuis 2015 par Juan Díaz Canales (le scénariste de Blacksad, une référence!) et par Ruben Pellejero au dessin.
Première fois que je lis un Corto Maltese post Hugo Pratt. Première impression, brute avant même de me lancer dans la lecture, la couleur ça fait bizarre. J'étais habitué au noir et blanc pour les aventures de ce héros iconique. Mais, cette première étape franchie, on se plonge sans trop de difficulté dans l'intrigue.
Berlin 1924, Alors que la ville connaît l'effervescence des années 1920, avec la montée de l'extrême droite et de l'extrême gauche, de l'antisémitisme, mais aussi les spectacles délicieusement décadents, le marin enquête sur la mort de son ami Steiner et recherche son assassin. Il n'est pas le seul sur la piste. Corto met alors le pieds dans une (plusieurs!) machinations orchestrées par des sociétés secrètes, elles mêmes liées à des partis politiques.
Ses pérégrinations vont le mener à Prague où l'occultisme et la magie font bon ménages avec ce mystère qui s'épaissit. Il rencontre une jeune femme Lise qui semble l'aider, mais le souhaite-t-elle vraiment ? Et cette carte d'un jeu de tarot ésotérique que tout le monde convoite comme un trésor ?
Les pièces du puzzle finissent par se reconstituer de façon plus ou moins opaque.
Niveau scénario, on se laisse embarquer par l'ambiance de l'époque et ce mélange de mystère, de nonchalance, d'humour, de suspense, de magie qui fait la spécificité de cette série. C'est un peu trouble, on ne comprend pas toujours tout sur le moment, comme dans un roman noir où l'atmosphère prime sur l'histoire, ou comme dans les albums déjà scénarisés par Pratt lui-même.
Le personnage de Corto Maltese est plutôt réussi, mélange d'ironie, de distance, d'honneur, de séduction, de soif de liberté et de justice.
Les autres protagonistes sont plus superficiels et moins travaillés et ne retiennent que peu notre attention, même Lise est difficile à cerner. Il faut dire que le nombre de planches, environ 70 est peu pour un Corto Maltese. Tout va donc très vite. C'est à la fois un défaut (le manque de profondeur des personnages) et une qualité, le récit est très dynamique.
Niveau dessin, les codes de Corto Maltese sont plutôt bien respectés, sauf la couleur. J'ai retrouvé des planches admirables, pages 15 à 18 par exemples avec cette manifestation dans Berlin, sous les parapluies (superbe!), mais d'autres un peu plus faibles (pages 31 et 32 par exemple) avec cet intermède champêtre sans saveur.
En règle générale, toutefois, l'atmosphère de mystères, de secrets, de complots, de (légère) magie est très bien rendue, mais la couleur ne me semble pas rendre justice à ces dessins, elle n'apporte rien, au contraire.
Cet opus est quand même une belle surprise et une réussite. Sans être un coup de coeur magistral, il ressort de la lecture, un plaisir évident.
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Corto c'est l'amour de papier de ma vie. Et comme c'est une histoire d'amour qui remonte à loin, je reçois souvent des petits cadeaux à l'effigie du beau marin. Bref, Corto est un peu partout chez moi.
Par contre, je suis par principe, contre les reprises de personnages de BD après la mort de leur(s) auteur(s). Je n'avais donc pas acheté les Corto post-Pratt même si j'aime beaucoup le travail de Canales.
Mais bon, comme mon amour de Corto est de notoriété publique, ils m'ont été offert et les ai tous. (sauf celui de Bastien Vivès...mais c'est tout un débat). Mais si ils trônent fièrement dans ma bibliothèque, je dois vous avouer que je ne les avais pas encore ouverts.
En plus de mon sentiment exprimé plus haut, je dois dire que j'avais peur. Peur que l'étincelle ne soit pas présente.
Sur ce point, je suis rassurée, Corto fait toujours battre mon coeur un peu plus vite (ouf).
Pour le reste, la dynamique générale est très fidèle à l'esprit de Pratt même si j'ai trouvé l'ensemble un peu brouillon (mais il faut admettre que c'était déjà les oeuvres de Pratt). le dessin est également tout à fait dans l'esprit de l'auteur historique.
Maintenant, reste à savoir si cette BD a vraiment un sens en elle-même. Est ce qu'elle a un intérêt autre que celui de continuer à exploiter un nom (et en récolter les dividendes)? Je pose la question ici mais je pourrai la poser pour d'autres BD du même acabit...
On n'est pas ici sur un hommage où un auteur s'approprie un personnage qui ne lui appartient pas pour lui insuffler son propre style (pitié, ne faites pas ça à Corto, je vous en supplie).
On est ici plus sur un pastiche.
Je préfère, c'est vrai, mais je trouve que ça n'a pas vraiment d'intérêt. Ce n'est que mon avis personnel mais, même si on peut peindre comme Léonard de Vinci, peindre une Joconde de profil n'a pas d'intérêt pour l'histoire de l'art.
Continuer les aventures de Corto Maltese (ou d'un autre) n'a pas d'intérêt pour l'histoire de la BD.
Mais bon, pour ce qu'elle est, cette BD est quand même bonne. J'ai passé un bon moment de lecture tout de même...
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J'avoue que je préfère notre emblématique capitaine quand il navigue dans les mers chaudes. Cet épisode se passe entre Berlin et Prague. C'est le Berlin du début des années 20, des mouvements d'extrême droite très radicaux commencent à émerger dans un pays ou la confusion politique règne, Corto Maltese va enquêter sur la mort d'un ami juif. Toujours une pointe de magie vient se mêler aux affaires plus triviales, c'est la signature de la série, Notre Corto va traîner son flegme habituel dans des affaires bien sombres. C'est bien construit, bien rythmé (ça reste cependant du Corto Maltese, ce n'est pas non plus Indiana Jones), avec une intrigue qui tient la route. On sent cependant que Ruben Pellejero est moins à l'aise avec la ville de Berlin, le dessin est un peu trop fouillis, Il me manque quand même cet aspect épuré qui fait le charme de la série, à Prague, il s'en sort un peu mieux et de son côté, Juan Díaz Canales s'attache trop à l'histoire d'espionnage et à l'aspect historique et s'éloigne de la poésie du personnage, peut-être que cette aventure est un peu à l'étroit dans ses 72 pages. J'ai nettement préféré le tome précédent, le Jour de Tarowean, qui se passe dans le Pacifique, Cependant, ça reste un épisode plus qu'honorable.
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Berlin 1924, Corto et Roth vont au commissariat pour obtenir leur permis de séjour. Être étranger et sans papier à cette époque est plutôt mal vu en Allemagne, surtout quand on peut avoir des origines particulières. Se promenant dans le bâtiment, Corto tombe sur une série de photos dont une qui attire immédiatement son regard. le professeur Steiner est mort assassiné! Ni une ni deux, il prend la direction du bureau du commissaire. Une homme qui dans un premier temps refuse de l'entendre mais qui, dès qu'il entend le nom du professeur le fait immédiatement entrer pour le questionner. Ils sont en effet à la recherche d'un dossier qu'il aurait obtenu. Jeremiah Steiner étant mort, c'est une aubaine de tomber sur une connaissance qui avait justement rendez-vous avec! Quant à lui, Corto compte bien découvrir qui est le meurtrier !
Cet album est très ancré dans un contexte historique géopolitique bouillonnant. L'Allemagne est en proie à un nationalisme souterrain. L'antisémitisme est, en effet marqué au fer blanc. La jeune République de Weimar est fragile et on sait ce qu'il en adviendra quelques années plus tard.
Juan Diaz Canales choisit cette période entre deux eaux dans laquelle notre marin va évoluer. L'histoire est comme à son habitude bien contextualisée avec un soupçon de magie incarné par un mystérieux Tarot Visconti-Sforza. Société secrète et espionnage sont également à l'honneur dans cet album. Histoire que j'ai choisi de lire est en noir et blanc car cela correspond parfaitement à l'époque évoquée. Sombre est cette derniére dans laquelle, les ombres partent et viennent aux gré de leur envie avant que tout n'éclate. de plus, l'album commence très fort avec une illustration d'Hitler en prison suite à sa tentative de coup d'État ratée à Munich. Cette édition est donc parfaite pour cet album. Par contre, je conseille fortement de lire le préambule après avoir lu l'album. En effet, il contextualise le tout mais spoile très légèrement quelques personnages donc tant qu'à faire, autant le lire après !
En conclusion, "Nocturnes berlinois" est une aventure qui s'enchaîne à un rythme soutenu. Tous les codes de la série sont bien présents avec cependant, un peu moins de poésie. C'est à mon sens une belle réussite.


Lu et chroniqué sur izneo
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Eh bien, c'est la première fois qu'un album de reprise de Corto Maltese par Juan Díaz Canales et Rubén Pellejero emporte mon adhésion ! Il y a plein de choses qui ne vont pas, au niveau du scénario, des personnages ou du dessin. Mais il y a aussi plein de choses qui fonctionnent.

Tout d'abord, l'époque et les lieux choisis pour l'intrigue sont appréciables : l'Europe Centrale dans les années 1920, plus précisément en 1924. Avec notamment la République de Weimar et la montée du nazisme en Allemagne, la ville cosmopolite et trouble de Berlin, et la cité mystique et romantique de Prague. Une période à la fois terrible, qui a vu advenir la barbarie, et en même temps si riche et si complexe, avec tant d'illustres artistes et intellectuels… le parallèle avec notre monde actuel, pile 100 ans plus tard, où les totalitarismes regagnent du terrain partout dans le monde, n'en est que plus frappant.

Les auteurs ont, pour une fois, choisi peu de lieux où situer l'action, plutôt qu'enchaîner les destinations de rêve à la façon de James Bond. le résultat est double : cette BD possède une vraie atmosphère, sur le ton et visuellement, avec un charme indéniable. Et le rythme, malgré un nombre ridiculement restreint de 72 pages (pour un Corto Maltese), parvient à pleinement s'épanouir en dépit des nombreuses digressions. Ce qui n'était pas le cas des trois précédents albums du duo, qui enchaînaient les péripéties de façon mécanique sans jamais réussir à trouver un (bon) tempo d'ensemble.

Ensuite, j'ai souvent souri et même ri aux punchlines de Corto. Juan Díaz Canales use parfois de facilité dans les dialogues, mais la plupart des répliques de Corto sont réussies et dans l'esprit du personnage d'origine, enfin ! Rien qu'avec ça, on passe un bon moment en lisant l'album. Certes, les dialogues des autres personnages sont parfois un peu ratés, notamment pour les personnages vraiment secondaires, avec un ton trop contemporain ou un vocabulaire trop basique. Mais ceux de Corto et ses interactions avec d'autres personnages tiennent la route, ce qui joue beaucoup dans la perception de qualité de l'ouvrage.

Sur le fond, Díaz Canales a truffé son album de références ésotériques qui, cette fois, ne tombent pas comme une perruque dans la soupe. le début du 20e siècle regorgeait de sociétés secrètes et de factions rivales, d'un bord à l'autre de l'échiquier politique, les choix scénaristiques du scénariste sont donc crédibles. Qui plus est, Prague est par essence une métropole cabalistique, entre alchimistes occultes et mythe du Golem, dans le célèbre ghetto juif. Juan Díaz Canales explore ainsi des lieux peu traités par Pratt, tout en se fondant dans son goût pour la poésie et le mystère (on pense bien sûr à « Fable de Venise », entre autres).

Dommage toutefois que tous les personnages n'aient pas été suffisamment creusés et subtilement traités. le commissaire est trop caricatural pour intéresser ou pour inquiéter. Quant à Lise, elle est esquissée psychologiquement de façon trop superficielle pour sembler un personnage vraiment vivant et auquel on s'attache, alors qu'elle est essentielle à l'intrigue. Les autres protagonistes sont plutôt bien écrits en revanche.

Là où le bât blesse, c'est surtout au niveau du dessin, finalement. Fuyez la version colorisée, elle est hideuse. Les couleurs, pourtant de la main de Pellejero en personne, ont été choisies sans aucun goût et sans aucun sens graphique ou narratif, on dirait qu'elles ont été appliquées de façon aléatoire, tant elles jurent les unes par rapport aux autres. le trait de Rubén Pellejero, quant à lui, est toujours aussi inégal. le visage de Corto est souvent plutôt réussi et dessiné en entier (sic), ce qui me fait préférer un Pellejero à un Bastien Vivès, beaucoup trop paresseux, en dépit d'un coup de crayon plus original. Pellejero s'en sort plutôt bien aussi avec les autres personnages.

C'est dans les décors qu'il déçoit le plus, ceux-ci sont souvent à peine esquissés, et l'on peine à profiter de lieux aussi magnifiques que Berlin ou Prague, quel dommage… le découpage est parfois bancal et les attitudes des personnages sont assez figées, on est donc loin du dessin de Pratt… Et la partie rêvée est dessinée dans un autre style, mais qui hélas ne va pas du tout avec le reste du graphisme de l'album. C'était une bonne idée, mais le traitement est raté…

Pourtant, au total, les auteurs font le job, et cet album est à la fois ambitieux et cohérent. Même si le personnage de Corto Maltese reste en-deçà de ce qu'il était sous la plume d'Hugo Pratt, j'ai trouvé album assez envoûtant, ce que je ne pensais pas pouvoir dire d'un album de reprise de cette série tellement mythique… Allez, Juan et Rubén, continuez comme ça et je vais finir par reprendre espoir en cette initiative insensée de faire revivre Corto !
Lien : https://artetpoiesis.blogspo..
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critiques presse (6)
Sceneario
09 janvier 2023
Et cette version noir et blanc, permet d'admirer le magnifique travail de Ruben Pellejero. Les pages sont belles, toutes en lumières et en ombres.
C'est beau. Tout simplement.
Lire la critique sur le site : Sceneario
LaLibreBelgique
30 décembre 2022
Les auteurs débarquent le marin sur la terre ferme, en 1924, dans une république de Weimar chancelante.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
BDGest
21 novembre 2022
Sans réel défaut s’il n’était cette intensité des noirs qui alourdit plus qu’elle ne marque, ce seizième opus fait office de transition. Ne serait-il pas temps de dépasser les côtes de Mû pour explorer de nouvelle terres (ou mers) inconnues ?
Lire la critique sur le site : BDGest
Bedeo
17 octobre 2022
Avec une affaire de vengeance, de complot et de cinéma des années folles, le programme est chargé et, en dépit de quelques lenteurs, l’intrigue se tend et finit par se résoudre, avec l’ombre du tarot et du golem.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Sceneario
12 septembre 2022
Nocturnes berlinois est, au final, un très bon récit. Cette aventure de Corto Maltese offre bien des surprises aux lecteurs.
Lire la critique sur le site : Sceneario
LigneClaire
08 septembre 2022
Belle maîtrise de Pellejero encore plus près de son sujet. On aurait aimé aussi encore plus de Berlin, la ville encore intacte à l’époque dans les planches.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
A côté de Malá Strana, à cinq minutes à peine de la place Maltaise, se trouve l’île Kampa.
C’est une île artificielle traversée de canaux. L’un d’eux est appelé « canal du diable », un lieu surnaturel, où la légende dit qu’on peut retrouver les êtres qui nous sont chers après leur mort.
Mais je ne suis pas tout à fait sûr que le sortilège fonctionne encore. Les temps sont durs pour la magie.
De manière générale, les temps sont durs.
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Parfois la vie ressemble à mauvais scénario. Espérons au moins que l'histoire finisse bien.
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- Maintenant dites moi ce que vient faire à Berlin un certain Corto Maltese...
- Ce n'est pas facile de savoir ce qu'il a en tête, commissaire. Peu de gens le connaissent assez pour savoir ce qu'il pense...
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Vous êtes juif?
Seulement le samedi, et vous?
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La plus grande qualité de Corto est sa curiosité. Mais je dirais que c'est aussi son plus grand défaut. Il est possible qu'il soit sur la piste de quelque objet mystérieux et secret. Ou peut-être d'une bonne histoire qu'il ne connaît pas encore.
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Vidéo de Ruben Pellejero
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