Ce polar de J. J .Reboux est plus inspirant que le précèdent : "post mortem" qui ne m'avait pas plu ; si ce n'est qu'on se perd un peu dans la multitude de personnages et de faits relatés.
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(...) Je suis sûr que l'opération Sanglier Ardent vous aurait inspiré un brillant papier.
- Et les autres, c'était aussi votre idée?
- Le jeu, Botero, toujours le jeu.
- Le jeu? Mais il s'agir de meurtres, monsieur Chevassus ! D'innocents froidement assassinés.
- De grâce, ne venez pas me faire la morale avec votre massacre des innocents... Vous aussi, vous vous êtes laissée prendre au jeu, avouez-le.
Fernand Buron, le prétendu "pauvre con" du salon .Jean-Jacques Reboux a le sens du détail : pour son apéro célébration, il a pris soin de faire venir un homme se présentant comme le destinataire de la célèbre réplique.