Un album très coloré , des dialogues très vulgaires et violents qui, je ne suis pas sûre servent l'histoire d'ailleurs, en parlant d'histoire un chat aurait dû mal à y retrouver ses petits.
Plusieurs autres tomes de la même série mais au regard du premier, je ne la continuerais pas.
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L'édition originale du premier tome d'Avant l'incal se nommait "les deux orphelins". On y découvre une partie de l'adolescence de John DIFOOL, le héros de l'Incal (qui verra peut être le jour eu cinéma). Nous faisons connaissance avec sa mère, son père, ses amis et les aristos qui s'encanaillent dans les bas quartiers et ont carte blanche pour attiser tous leurs phantasmes. on se promène aussi sur Suicide Allée où quotidiennement des habitants se jettent vers le lac d'acide.
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L'incal conte une histoire intéressante et assez profonde sur le sens de la vie. Mais Jodorowski a voulu frapper un grand coup pour la reprise de sa saga fétiche, bien des années après l'originale. Je n'ai pas aimé ce tome qui est le plus glauque de la série. L'auteur s'est lâché à grands coups de détails sordides de débauche (viols, tortures, scato...), qui n'apportent pas grand chose à l'histoire de fond, qui elle, reste intéressante.
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- Courage camarade ! Le clonage du prez est un échec total... Selon la rumeur, il agonise en ce moment même, prisonnier du corps pourrissant d'un nain d'Andromède... Les bossus et les techno-technos sont à deux doigts de s'étriper... Nous allons investir les niveaux supérieurs ! Beau chambardement que ce pillage-là, camarades ! Tu peux me croire !
- Qu'il pourrisse !
- Qu'ils crèvent tous autant qu'ils sont !
- Aux pauvres d'en bas les richesses d'en haut !
- Croot !
- Notre prez qui tombés des cieux donne-nous Notre ouiski quotidien.
- Donne-nous du crack et de l'héroïne d'aldébaran.
- De la poudre pour tout le monde
- Le prez est un père pour nous.
Hmm... L'atroce remugle : tabac froid, alcools tièdes, urine et aisselles chaudes ! Juste ce qu'il nous fallait !