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EAN : 9782290037355
285 pages
J'ai lu (11/01/2012)
3.09/5   11 notes
Résumé :
Je me nomme Aurèle d'Angarande, je suis magicien.
Autrefois, ce seul titre suffisait à entrouvrir bien des portes, à faire se courber bien des puissants. Mais ce temps est révolu. Aujourd'hui, plus personne ne peut s'enorgueillir d'être magicien. Moi excepté. Je suis le dernier d'entre eux." Dans un monde où religieux et chevaliers se livrent une lutte sans merci pour le pouvoir, Aurèle d'Angarande s'est exilé d'Anoth au moment où sa guilde en a été bannie.>Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Que dire sur ce livre, à part qu'il est génial ?!

C'est l'histoire d'Aurèle d'Angarande, un magicien, qui est le dernier représentant de la guilde des magiciens avec son valet Alboin. Tous deux vivent seuls dans le château de Fontgrande, la où jadis tous les magiciens vivaient en communauté, éloignés de la ville fortifiée d'Anoth. Mais le temps de la magie est révolu, désormais ne restent que la religion et la chevalerie, qui règnent sur la ville en la personne de Gui de Longroi alias le Faucon Noir, et du cardinal Thored. Tous deux veulent le pouvoir sur Anoth et se tirent constamment dans les pattes, au grand dam des habitants qui ne savent plus à quel saint se vouer car ils se retrouvent pris dans le "conflit" des deux partis. Aurèle ne quitte jamais son château, il y vit en autarcie avec Alboin, ils ne se rendent jamais au village car ils n'ont pas encore digéré la façon dont les habitants les ont traités lors du déclin de la magie (on les accusaient d'hérésie et ils risquaient le bûcher). Cependant, Aurèle continue d'observer Anoth grâce à sa longue-vue, ce qui constitue d'ailleurs l'une de ses seules occupations. Il rêve également de redorer le blason de la magie, et vit dans ses souvenirs de la belle époque, désolé que toutes les connaissances ancestrales des magiciens disparaissent avec lui. Ainsi, lorsqu'un meurtre éclate à Anoth, il décide de transgresser les règles qu'il s'était imposées et de retourner dans la cité, bien décidé à résoudre ce meurtre et les suivants qui ne tardent pas à arriver. Il espère, grâce à ses talents de magicien, découvrir le meurtrier avant les chevaliers et les religieux, pour enfin démontrer que la magie c'est bien, et attirer de nombreux nouveaux disciples.

Dans ce livre, on est tout de suite plongé dans l'ambiance médiévale (le dernier des magiciens, la petite cité fortifié, le château, les chevaliers, la religion très présente, les villagois...) et j'ai vraiment adoré.

Le premier chapitre commence par une présentation du narrateur, puis vient tout de suite après le premier meurtre. Les chapitres sont montés en parallèle entre la narration d'Aurèle et celle de l'auteur, qui nous raconte ce qu'il se passe là où Aurèle n'est pas. Il y a un climat un peu angoissant lors des meurtres, car à chaque fois, quelques minutes avant de mourir, les victimes trouvent un mot annonçant leur mort, et les cadavres sont toujours retrouvés avec une expression d'effroi sur le visage, comme s'ils avaient vu le Diable en personne.

Le Faucon Noir et le cardinal s'emparent donc vite de l'affaire et c'est à celui qui la résoudra le premier. Forçément, Aurèle vient mettre son grain de sel, armé de ses pouvoirs et de sa grande intelligence. Il enquête en secret, se rendant au village à l'aide de ses "Bancs de portage", une invention géniale, car il suffit de s'asseoir sur un des bancs et de prononcer une formule magique, pour se retrouver sur l'autre banc, qu'on aura au préalable placé là où on voulait se rendre. le genre de truc que tout le monde rêverait d'avoir quoi.

Quant à ses pouvoirs, ils sont assez sympas aussi : il sait ouvrir n'importe quelle serrure, ce qui lui sera utile bien plus souvent qu'à son tour, et peut s'introduire dans l'esprit des animaux (généralement les corbeaux) afin de voir ce qu'ils voient et de les commander. Ce qui lui sera utile aussi, surtout qu'il y a plein de corbeaux à Anoth, comme par hasard. Vous imaginez la même chose à Paris ? On n'aurait que des pigeons à commander, c'est... naze !

Son valet l'aide un peu dans son enquête, par exemple quand Aurèle cherche des points communs entre les victimes etc., et s'occupe aussi de leur assurer de quoi subsister puisqu'ils vivent loin du village.

On suit donc l'avancée de l'enquête d'Aurèle et de celle de Guy de Longroi et du cardinal, et forçément devinez qui avance le plus vite ? Et oui, c'est Aurèle, qui grâce à sa longue vue repère assez vite où viennent d'avoir lieu les meurtres et peut donc récupérer sur place des indices avant tout le monde. Mais on assiste à un retournement de situation, et ça va chauffer pour le magicien !

C'est vraiment un livre super, on se demande vraiment ce qui tue les victimes, car ça n'a même pas l'air d'être humain (on fait même appel à des exorcites !). Pourtant, quelques chapitres avant la fin j'avais deviné qui (ou quoi) se cachait derrière les meurtres... Dommage donc, mais la fin en elle-même est assez surprenante, j'avoue que je ne m'y attendais pas, et je la trouve vraiment bien ! Surtout la toute dernière phrase où Aurèle s'adresse directement au lecteur (je ne vous la dit pas car ça vous gâcherait le plaisir, ce serait dommage) !

En tout cas je vous le recommande chaudement !
Lien : http://bibliothequedejill.e-..
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Je referme à peine ce livre et je suis partagée. Je vous conseille de le lire, car il est vraiment génial et pourtant, il manque quelque chose pour être pleinement satisfaisant.

Le monde du livre nous présente trois factions : celle de la chevalerie, celle de la religion et celle de la magie, bannie depuis longtemps par décret papal. Les deux guildes restantes se vouent une haine féroce tandis que l'ordre des magiciens se meurt. Ces trois mondes que tout oppose sont très bien décrits, tant par leurs défauts que par leurs qualités. le gros point fort de ce roman est l'immersion totale qu'il nous transmet, une fois ouvert, on se laisse flâner à Anoth, on tente d'aider Aurèle à trouver le responsable de ces meurtres.

La plume de l'auteur est splendide, riche et soignée, elle nous emporte dans son univers médiéval doté d'un soupçon de fantasy et de thriller. Sincèrement, nous avons droit à de belles images, de l'émotion, des descriptions fines et imaginées, le lecteur laisse son esprit voguer et imaginer le reste. C'est agréable à lire, fluide et sympathique, un vrai régal. le mélange des différents genres opère, cette vague de meurtres nous interpelle, j'ai pris mon temps pour rechercher des indices, des pistes...

C'est là qu'intervient le point faible, le manque d'actions. Nous sommes devant un récit qui multiplie les hypothèses, les indices, les idées, comme Aurèle, on a dû mal à démêler le vrai du faux. D'autant plus que le titre est très annonciateur : Trahisons et Faux-Semblants. Nous avons donc des retournements de vestes, des coups bas, des faux-semblants, en somme l'intrigue est bien ficelée, l'auteur nous emmène d'un bout à l'autre, laissant son meurtrier se dévoiler meurtre après meurtre. Jusqu'à la révélation finale, surprenante. Surprenante ? Oui et non. J'avais des doutes au départ sur une personne en particulier, mais comme je l'ai dit plus, l'auteur parvient à nous faire faire des détours incroyables avec de faux coupables. de ce fait, en voyant le meurtrier s'annoncer, j'ai ressenti de la surprise, mais celle-ci n'aura duré qu'un instant, puisque j'avais des doutes au départ.

Malgré le manque d'actions et le coupable légèrement prévisible, je me suis tout de même régalée avec ce récit, notamment en raison de son style, mais aussi grâce à ses personnages. Ils présentent tous leurs histoires, leurs secrets, des points forts et des points faibles, ils sont facilement identifiables et je me suis attachée à eux. le protagoniste principal est Aurèle, un magicien, j'ai bien aimé suivre ses pensées, l'enquête qu'il mène est prenante, on ressent facilement ses émotions en raison de la narration à la première personne du singulier. Sa relation avec Alboin, son domestique, est forte, touchante, Alboin est d'ailleurs un personnage qui m'a bien amusée, il est très travaillé contrairement à ce que l'on pourrait croire, il est très intéressant. le cardinal Thored est mystérieux, on ne sait pas tout sur lui, mais il semble cacher tellement de choses, il est sûr de lui, c'est un religieux très impressionnant. Gui de Longrois est certainement mon préféré, j'adore sa personnalité sombre et mystérieuse aussi, on ne sait pratiquement rien de lui, sauf qu'il est craint et respecté. le Faucon Noir, son surnom, est le chef des Paladins, il est perspicace, Anoth lui tient à coeur, il est droit et un peu fier. C'est un antihéros, il est loin d'être un saint, il cherche par tous les moyens de discréditer Thored, c'est un personnage charismatique sur lequel j'aurais bien aimé en savoir plus.

La forme du livre est bien pensée. Nous alternons des chapitres du point de vue d'Aurèle – à la première personne du singulier – et des chapitres nous présentant d'autres personnages (Gui, Thored, Meriel, etc.), mais à la troisième personne du singulier. de ce fait, nous obtenons un récit complet, une intrigue très prenante et au compte-goutte, des informations capitales sur le meurtrier, son mode opératoire, son physique... C'est un autre atout que j'ai apprécié.

En somme, nous avons une histoire qui mérite d'être lue. Pour plusieurs raisons. Une intrigue captivante, un mélange de genres étonnants (fantasy, médiéval, thriller) qui n'est pas sans rappeler l'excellent Au nom de la Rose. La plume de Ludovic Rosmorduc est sublime, fluide et très travaillée, elle nous amène au coeur d'Anoth et de ses problèmes. Les protagonistes sont complets et soignés, l'alternance de différents points de vue fonctionne à merveille. Et même si je regrette certaines lenteurs, je dois avouer que c'est un très bon roman et qu'il m'aura fait passer un agréable moment. Je lirais volontiers d'autres romans de cet auteur.
Lien : http://la-citadelle-des-livr..
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Une bonne lecture ^^

Le lecteur découvre donc le dernier des magiciens, Aurèle d'Angarande, qui n'a pas quitté Fontgrande depuis des années. Il tente de classer les travaux des anciens magiciens. Et il y a du boulot. Il vit reclus depuis que l'Église a rejeté la magie et a accusé les magiciens d'être hérétiques. Cette même Église qui désire tant prendre le pouvoir les villes et les âmes des sujets mais qui trouve encore de la résistance dans l'ordre des Chevaliers qui ne sont pas prêts de laisser la place. Religion et Chevalerie se livrent une lutte sournoise et sans merci pour le pouvoir. Tout est bon pour damer le pion à l'autre.

Pendant, ce temps, à Anoth, une série d'assassinat a débuté et terrorise les citoyens. En effet, c'est d'abord le corps sans vie d'une jeune femme qui est retrouvé un matin glacial. Son visage s'est crispé en une horrible grimace d'effroi. Même si rien ne semble indiquer un meurtre, son expression elle convainc le seigneur Gui de Longroi, chef des chevaliers, et le cardinal Thored qu'il s'agit bien d'un assassinat. Mais qui peut être responsable de ce crime ? L'église s'en prend à l'absence de vigilance et au défaut de sécurité dans la gestion de la ville par les Chevaliers. Quand au Faucon Noir, le seigneur de Longroi, il penche plutôt pour le Diable en personne… Alors que chacun s'organise pour découvrir la vérité, un second corps est retrouvé le lendemain matin, celui de l'architecte Guildebert. Encore une fois, il ne semble pas de trace de lutte, pas d'indice matériel, mais son visage s'est figé dans une expression de terreur.

Le magicien Aurèle voit alors l'opportunité de redorer le blason de la magie. S'il parvient à découvrir le coupable, peut-être que de nouveau le peuple et ses dirigeants se tourneront vers l'art de sa guilde… L'enquête du magicien va le conduire en ville et à la rencontre de personnages inquiétants, chacun possédant un bien étrange comportement… Dans quoi, Aurèle a-t-il mis les pieds ?

J'ai passé avec Trahisons et faux-semblants un bon moment de lecture. J'ai apprécié le personnage principal, Aurèle, le dernier magicien. On ressent son désespoir et sa résignation. La magie n'est plus la bienvenue. Les magiciens sont morts peu à peu ou se sont reconvertis. Il n'y a plus que lui pour entretenir les connaissances et pour que tous les enseignements magiques ne tombent dans l'oubli. Mais Aurèle a aussi besoin de distraction. C'est pour cela qu'il espionne un peu la ville de loin et surtout qu'il décide d'enquêter sur les meurtres qui se passent en ville. Et puis, il doit se prouver à lui même qu'il est encore vaillant et capable.

L'histoire est bien construite et le roman se lit facilement. Personnellement, j'ai trouvé qu'il y avait un peu trop d'indices qui m'ont permis de deviner avant la moitié du livre qui est coupable. Ensuite, le tout était de découvrir comment et pourquoi. Je regrette un peu que le récit n'est pas été plus long afin de développer un peu plus le côté magique et les sorts que peut réaliser Aurèle. Et en même temps, je comprends qu'on n'en ait pas forcément plus. En effet, la guilde des magiciens est déchue, plus personne à part Aurèle ne pratique encore la magie et peut lancer des sorts et il ne peut pas tout savoir ou tout appliquer. En réalité, le choix de l'auteur illustre le déclin de cet art.

L'entrée en piste de nombreux personnages secondaires est très réussie, elle permet de semer le doute dans l'esprit du lecteur. Sentiment accentué par une double narration. le point de vue d'Aurèle, on s'attache ainsi à ce personnage qui nous livre ses impressions et ses états d'âme. Et le point de vue omniscient qui nous permet d'assister aux différents meurtres. Ainsi, il y a beaucoup de mobiles et de possibilités quand à ce qui provoque cette série de mort. le lecteur fait alors ses pronostics quand à la fin de l'intrigue.
J'ai apprécié les descriptions des deux pouvoirs en place, le cardinal et le chevalier en chef. Leur façon de voir les choses paradoxalement différentes et pourtant similaire. Vers le même but : nuire à l'autre afin de gagner plus de pouvoir. Certaines choses n'ont pas changé depuis le moyen-âge, les fonctions et costumes sont justes différents…

La fin m'a plu, j'ai beaucoup aimé la dernière phase d'ailleurs. Mais je l'ai trouvé peut-être un peu rapide. La confrontation entre les personnages ne dure pas assez longtemps à mon goût. Toutefois, c'est une lecture sympathique (même si le fond est bien sombre) qui m'a permis de découvrir un auteur que je relirai avec plaisir. Son style est agréable, fluide et précis.
Lien : https://lesdecouvertesdedawn..
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J'avais pas mal entendu parler de l'auteur de ce livre. J'avais donc hâte de découvrir l'un de ces romans.

J'avoue que j'ai un avis mitigé à la fin de ma lecture.



La plume de l'auteur est vraiment des plus agréables. Elle est fluide. le roman peut se manger en une journée sans soucis. Il n'y a ni lourdeur, ni lenteur, mais le tout manque peut-être manque un peu de dynamisme. Mais j'avoue que je m'attendais à quelque chose de plus « rapide » : le rythme est vraiment une appréciation personnelle.

Dès le début, on est bien encré dans le monde mis en place par l'auteur. J'avais vraiment l'impression d'être au Moyen-âge sans pour autant me retrouver dans un récit historique. D'ailleurs, l'ambiance a un petit quelque chose du « Nom de la Rose » (je parle du film, car je n'ai pas lu le livre) qui est très appréciable.

Les noms des personnages contribuent énormément à l'immersion, car ils sont tous des consonances anciennes : Aurèle, Eusébius, Alboin… L'auteur n'a pas prit partie d'utiliser de vieux noms encore utilisés. Je n'ai rien contre des récits à l'ambiance médiévale avec des personnages qui se nommeraient Richard, Jean, Marie, etc.



Ce roman est un roman policier assez bien fait avec un héros principal assez sympa (un vieux!!!!) Aurèle. le récit est découpé en deux parties : le récit que fait Aurèle de ses investigations, et un du point de vue omniscient.

L'univers et l'ensemble des personnages sont bien travaillés. On comprend les motivations, les gouts et les aspirations de tous les hommes et femmes que rencontre notre héros. Ils sont tous très variés. D'ailleurs, petit coup de coeur pour soeur Blanche.

Ces nombreux personnages entraient le lecteur dans des luttes de pouvoir, des ambitions personnelles et des aspirations aussi étranges qu'inavouables.



Malgré les bons points, j'ai été un peu déçu pour une simple et bonne raison : j'ai très vite découvert le coupable et les raisons de ses meurtres.

Je n'arrive pas à faire la part des choses : est-ce l'auteur qui n'a pas réussi son coup ou est-ce moi qui suis l'esprit complètement tordu ? Dur à dire surtout que c'est un livre jeunesse.

Et puis, je n'ai pas tellement apprécié la fin, un peu trop « manichéenne » à mon gout. le héros m'ait apparu trop gentil et trop droit dans ses bottes. Un peu de perversité bordel ! Mais bon, c'est un livre jeunesse.



En résumé, « Trahisons et faux-semblants » est un livre avec une très bonne ambiance, écrit avec une plume très agréable. Mais avec un petit manque de suspense (eh oui, c'est moche de tout capter à moins de la moitié du livre) et une fin en demi-teinte.

Mais perso, j'aimerai bien découvrir d'autre livre de cet auteur.
Lien : http://xian-moriarty.over-bl..
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ce roman de Ludovic Rosmorduc qui dans le premier tiers de son récit est prenant ce qui me faisait croire que j'avais découvert un auteur prometteur. Mais la suite est insipide et si je l'ai fini c'est par respect pour lui, car malgré tout, c'est un bon roman jeunesse.
Au début nous faisons connaissance avec le dernier Magicien, Aurelle d'Angarade, qui vit dans un château fort au dessus de la cité d'Anoth ou l'Eglise et les chevaliers de l'ordre des Paladins se disputent le pouvoir après avoir discrédité la magie et l'ordre des magiciens
Désormais la magie est interdite et passible du bûcher si elle est prouvée.
Mais une série de crime sans mobile se produisent dans la cité, et le plus curieux, c'est l'absence de cause naturelle au trépas des victimes.
Toutes ont le visage crispé dans un rictus de terreur due surement a la vision de ce qui les a tués
Aurelle décide alors de sortir de sa retraite pour traquer l'assassin.
Et c'est la que le soufflet retombe et ou je n'ai pas retrouvé le plaisir que j'ai eu au début de l'histoire. L'intrigue n'en est plus une, même moi qui ne suis pas très fort a ce jeu j'avais compris, a ce stade qui était coupable et le reste du bouquin se perd en fausse piste.
A réserver a des jeunes lecteurs de fantasy
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Jamais je n'aurais cru, en commençant cette enquête, que ce serait le trop grand nombre d'indices amassés qui me poserait difficulté !
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Quel crédit accorder à un sentiment qui ne repose sur rien de tangible ?
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La malice est présente en chacun de nous, telle une graine qu'il faut empêcher de germer et d'éclore.
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Comme si, inconsciemment, il parvenait à capter dans l'air un flux de signaux invisibles et immatériels.
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