Fans du Corsaire de l'espace, découvrez la nouvelle collection Hachette maquette Arcadia. Réalisez la construction du légendaire vaisseau pirate de 1M de long au montage facile.
L'Arcadia est le nom d'une série de sept vaisseaux spatiaux imaginaires appartenant à l'univers d'Albator. Il existe en deux modèles différents. Son capitaine est le pirate de l'espace Albator. Il apparaît pour la première fois dans le manga Capitaine Albator de Leiji Matsumoto.
Il s'agit d'un vaisseau vert kaki avec une imposante tête de mort qui occupe toute la proue. En plus des deux batteries de canons supérieures, il dispose d'une troisième batterie identique placée sous le vaisseau. Une batterie de lasers se trouve derrière la seconde tourelle. Il y a des lasers escamotables fixés sur les flancs et dispose de six tubes lance-missiles à l'avant. Il embarque des chasseurs « Spacewolfs » dont le lancement se fait sous le vaisseau. Il dispose aussi de drones, pour faire diversion, et de pinces d'abordage. Les versions 3 et 4 n'ont pas de « tranchoir de proue » comme l'Ombre de la mort. Par contre, la version 6 du vaisseau en possède une, héritée de la version précédente du vaisseau (qui est l'Arcadia bleu).
L'Arcadia bleu
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Jean Van HammeBruno TattiAvant Blake et Mortimer tome 2 sur 2
Christian Cailleaux (Autre)Schréder Etienne (Autre)/5 51 notes
Christian Cailleaux (Autre)Schréder Etienne (Autre)/5 51 notes
Résumé :
Le cruel Babylos III, empereur d'Austradie, ordonne au général Robioff, chef suprême de son armée, de s'emparer des Iles Noires et de son précieux gisement d'uradium. Ce métal rarissime, associé au fameux rayon « u », devrait en effet permettre de créer une arme apocalyptique. C'est le secret de cette arme que le professeur Marduk révèle au Grand Conseil de Norlandie, ennemi juré de l'Austradie. Mais outre la guerre qui se déclenche et les tentatives de l'adversaire... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (17)
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La Flèche ardente est la suite du rayon U de 1948 que j'avais pu lire et critiquer en octobre dernier.
La grande particularité de ce second opus est qu'il arrive dans nos bacs 75 ans plus tard et après toutes ces décennies, le pari semblait assez osé pour Jean van Hamme le scénariste et Bruno Tatti son dessinateur.
Si ce tome 2 s'inscrit dans la suite logique du premier avec la fameuse ligne claire chère à Edgar P. Jacobs, le scénario pour sa part n'ajoute malheureusement pas grand-chose à l'histoire originale. Seuls les nostalgiques seront heureux de retrouver les personnages de la première aventure et les monstres qui avaient fait le succès de la première bande dessinée du Maître Jacobs. Les autres lecteurs risques de s'ennuyer ferme tant l'histoire reste simple mais surtout légèrement surannée. Même si on peut aimer cette science-fiction du siècle dernier (les auteurs n'ayant pas voulu moderniser ce deuxième opus) il faut vraiment être un afficionado de Flash Gordon ou adepte des comics strips des années 40 pour s'accrocher à la lecture de cette BD.
Si les méchants sont biens méchants et les gentils… gentils, je resterai sur le plaisir que m'avait procuré l'original de 1943 et je refermerai ce succédané aussi vite que je l'ai ouvert.
La grande particularité de ce second opus est qu'il arrive dans nos bacs 75 ans plus tard et après toutes ces décennies, le pari semblait assez osé pour Jean van Hamme le scénariste et Bruno Tatti son dessinateur.
Si ce tome 2 s'inscrit dans la suite logique du premier avec la fameuse ligne claire chère à Edgar P. Jacobs, le scénario pour sa part n'ajoute malheureusement pas grand-chose à l'histoire originale. Seuls les nostalgiques seront heureux de retrouver les personnages de la première aventure et les monstres qui avaient fait le succès de la première bande dessinée du Maître Jacobs. Les autres lecteurs risques de s'ennuyer ferme tant l'histoire reste simple mais surtout légèrement surannée. Même si on peut aimer cette science-fiction du siècle dernier (les auteurs n'ayant pas voulu moderniser ce deuxième opus) il faut vraiment être un afficionado de Flash Gordon ou adepte des comics strips des années 40 pour s'accrocher à la lecture de cette BD.
Si les méchants sont biens méchants et les gentils… gentils, je resterai sur le plaisir que m'avait procuré l'original de 1943 et je refermerai ce succédané aussi vite que je l'ai ouvert.
Il faut le reconnaître, cette création s'adresse principalement aux nostalgiques des débuts de d'Edgar P. Jacobs, ça tombe bien, j'en fait partie. C'est avant tout une bande dessinée hommage.
“La Flèche Ardente” est la suite de “Le Rayon U”, écrit en 1943, republiée dans le journal Tintin en 1974, c'est là que je l'ai découverte. C'est un récit de science-fiction à la sauce Flash Gordon. Cette suite imaginée par Jean van Hamme reste dans les canons de l'époque, royauté clinquante, scientifiques barbus, femmes à la mode des années 50 aux coiffures hollywoodiennes, héroïsme caricatural un peu machiste, l'homme protégeant la faible femme. le graphisme appuie fortement sur ces traits, une ligne claire rétro, des couleurs posées en aplats avec des tons naturels recherchés, il y a un grain et une lumière qui apporte une atmosphère rustique, même le papier participe à cette nostalgie. Les formes, les silhouettes et la décoration sont totalement ancrées dans ce monde de science-fiction désuète, tout particulièrement les décors, faits d'ors et et de faste, contrastant avec l'architecture stalinienne austère et imposante. Quelques vignettes de Blake et Mortimer sont éparpillées dans l'intrigue, comme celle de Dagon plongeant entre les racines d'un arbre pour échapper au monstre préhistorique, aux fans de s'amuser à les rechercher.
L'intrigue n'est cependant pas des plus subtiles, pour ce qui est de l'aventure, c'est un peu trop typé, rien de nouveau de ce côté. On reste dans la référence aux stéréotypes de l'époque : beaucoup de rebondissements improbables, et un happy end de rigueur, c'est un peu léger, il faut bien le reconnaître, l'histoire est bouclée, objectif atteint, sa nécessité est très relative. Mais l'intérêt n'est pas là, il s'agit essentiellement d'un hommage, et de ce point de vue, on reste dans ce qui aurait pu être écrit dans les années 1940, les auteurs n'ont nullement cherché à moderniser l'histoire pour la mettre au goût du jour, au contraire, même les problématiques sont d'un autre temps, le conflit entre Marduk, adepte du progrès et Adji, respectueux des anciennes croyances, est révélateur : d'un côté comme de l'autre, il s'agit de visions ancrées dans les années d'après guerre. On a l'impression de lire une bande dessinée des années 40, un truc vintage au charme baroque, et personnellement, j'y ai trouvé mon bonheur.
P.S.
J'ai appris une chose en écoutant une interview de Jean van Hamme l'autre jour : les personnages féminins ont été exclus des publications jeunesses à cause de la loi qui y interdisait toutes illustrations pouvant provoquer la moindre concupiscence chez nos chères têtes blondes, expliquant l'absence de suite au Rayon U. Donc les auteurs n'ont désormais écrit que des histoires entre protagonistes masculins, d'où Alix et Enak, Spirou et Fantasio, Blake et Mortimer… On peut donc juger de la débilité de toute règle puritaine, oubliant que des jeunes filles peuvent elles aussi aspirer à lire des bandes dessinées, et amenant au paradoxe de faire passer ces histoires pour le témoignage de l'homosexualité refoulée de leurs auteurs. Je pense qu'il faut plutôt s'inquiéter de la santé mentale de ceux qui ont pondu de telles lois.
“La Flèche Ardente” est la suite de “Le Rayon U”, écrit en 1943, republiée dans le journal Tintin en 1974, c'est là que je l'ai découverte. C'est un récit de science-fiction à la sauce Flash Gordon. Cette suite imaginée par Jean van Hamme reste dans les canons de l'époque, royauté clinquante, scientifiques barbus, femmes à la mode des années 50 aux coiffures hollywoodiennes, héroïsme caricatural un peu machiste, l'homme protégeant la faible femme. le graphisme appuie fortement sur ces traits, une ligne claire rétro, des couleurs posées en aplats avec des tons naturels recherchés, il y a un grain et une lumière qui apporte une atmosphère rustique, même le papier participe à cette nostalgie. Les formes, les silhouettes et la décoration sont totalement ancrées dans ce monde de science-fiction désuète, tout particulièrement les décors, faits d'ors et et de faste, contrastant avec l'architecture stalinienne austère et imposante. Quelques vignettes de Blake et Mortimer sont éparpillées dans l'intrigue, comme celle de Dagon plongeant entre les racines d'un arbre pour échapper au monstre préhistorique, aux fans de s'amuser à les rechercher.
L'intrigue n'est cependant pas des plus subtiles, pour ce qui est de l'aventure, c'est un peu trop typé, rien de nouveau de ce côté. On reste dans la référence aux stéréotypes de l'époque : beaucoup de rebondissements improbables, et un happy end de rigueur, c'est un peu léger, il faut bien le reconnaître, l'histoire est bouclée, objectif atteint, sa nécessité est très relative. Mais l'intérêt n'est pas là, il s'agit essentiellement d'un hommage, et de ce point de vue, on reste dans ce qui aurait pu être écrit dans les années 1940, les auteurs n'ont nullement cherché à moderniser l'histoire pour la mettre au goût du jour, au contraire, même les problématiques sont d'un autre temps, le conflit entre Marduk, adepte du progrès et Adji, respectueux des anciennes croyances, est révélateur : d'un côté comme de l'autre, il s'agit de visions ancrées dans les années d'après guerre. On a l'impression de lire une bande dessinée des années 40, un truc vintage au charme baroque, et personnellement, j'y ai trouvé mon bonheur.
P.S.
J'ai appris une chose en écoutant une interview de Jean van Hamme l'autre jour : les personnages féminins ont été exclus des publications jeunesses à cause de la loi qui y interdisait toutes illustrations pouvant provoquer la moindre concupiscence chez nos chères têtes blondes, expliquant l'absence de suite au Rayon U. Donc les auteurs n'ont désormais écrit que des histoires entre protagonistes masculins, d'où Alix et Enak, Spirou et Fantasio, Blake et Mortimer… On peut donc juger de la débilité de toute règle puritaine, oubliant que des jeunes filles peuvent elles aussi aspirer à lire des bandes dessinées, et amenant au paradoxe de faire passer ces histoires pour le témoignage de l'homosexualité refoulée de leurs auteurs. Je pense qu'il faut plutôt s'inquiéter de la santé mentale de ceux qui ont pondu de telles lois.
Après le tome 1, bond dans le temps avec le deuxième (je n'ose pas dire second...) opus, réalisé presque un siècle après...
Rappelons : cette "suite" n'est pas indispensable, le "Rayon U" était une histoire complète se suffisant à elle-même. Elle avait le charme désuet des récits un peu datés. Ici, il fallait prolonger le récit en tentant un grand écart avec la modernité et une certaine installation de canons modernes de la bande dessinée.
Côté graphisme, on retrouve une ligne claire et des couleurs peut être moins marquées, dues sans doute à l'utilisation de l'ordinateur (en attendant l'intelligence artificielle).
Côté scénario, il s'emboîte bien dans l'histoire précédente mais la rupture imaginaire est violente. On pouvait déplorer le mélange préhistoire, civilisations perdues, modernité imaginée dans l'original. Ici, tout rentre dans l'ordre. Dans l'Ordre même. Les méchants sont cruels à souhait, les gentils sont tous animés des meilleures intentions. On croirait une guerre racontée par un de nos journaux télévisés. Embarqué. Côté gentils. C'est donc une bande dessinée pour adolescents, voire moins.
Le plus marquant est l'acceptation de l'incapacité de ce public à lire des textes. La marque de fabrique du précédent était cette description systématique de l'action qui accompagnait les vignettes, à "l'ancienne". Ici, c'est très lacunaire... Il est vrai qu'il n'y a pas grand chose à comprendre, c'est net, bien que des détails interrogent parfois. Blessé à la main, on saigne du bras juste après... Manque de soin? Fatigue?... Paresse? Dommage, la légitimité de cette fausse suite était justement de faire "à la manière de" ... par respect...
Enfin le pire : le coeur du scénario : de l'eau de rose. Amourettes croisées et camp du bien qui triomphe, c'est presque une insulte à l'intelligence.
Pour résumer : une bande dessinée destinée à un public jeune (très jeune) ayant vibré lors de sa sortie en 1943 aux aventures des précurseurs de Blake et Mortimer.
Rappelons : cette "suite" n'est pas indispensable, le "Rayon U" était une histoire complète se suffisant à elle-même. Elle avait le charme désuet des récits un peu datés. Ici, il fallait prolonger le récit en tentant un grand écart avec la modernité et une certaine installation de canons modernes de la bande dessinée.
Côté graphisme, on retrouve une ligne claire et des couleurs peut être moins marquées, dues sans doute à l'utilisation de l'ordinateur (en attendant l'intelligence artificielle).
Côté scénario, il s'emboîte bien dans l'histoire précédente mais la rupture imaginaire est violente. On pouvait déplorer le mélange préhistoire, civilisations perdues, modernité imaginée dans l'original. Ici, tout rentre dans l'ordre. Dans l'Ordre même. Les méchants sont cruels à souhait, les gentils sont tous animés des meilleures intentions. On croirait une guerre racontée par un de nos journaux télévisés. Embarqué. Côté gentils. C'est donc une bande dessinée pour adolescents, voire moins.
Le plus marquant est l'acceptation de l'incapacité de ce public à lire des textes. La marque de fabrique du précédent était cette description systématique de l'action qui accompagnait les vignettes, à "l'ancienne". Ici, c'est très lacunaire... Il est vrai qu'il n'y a pas grand chose à comprendre, c'est net, bien que des détails interrogent parfois. Blessé à la main, on saigne du bras juste après... Manque de soin? Fatigue?... Paresse? Dommage, la légitimité de cette fausse suite était justement de faire "à la manière de" ... par respect...
Enfin le pire : le coeur du scénario : de l'eau de rose. Amourettes croisées et camp du bien qui triomphe, c'est presque une insulte à l'intelligence.
Pour résumer : une bande dessinée destinée à un public jeune (très jeune) ayant vibré lors de sa sortie en 1943 aux aventures des précurseurs de Blake et Mortimer.
La flèche ardente a été publiée au printemps 2023 alors que depuis longtemps, plus personne n'espérait, ou plutôt n'attendait, le retour des aventures de ces héros d'un autre temps préfigurateurs d'autres au destin bien plus éclatant.
Jean van Hamme, nous régale avec un nouveau chef d'oeuvre, comme il a su redonner vie à Blake et Mortimer, il y a déjà… quelques années (ou plutôt décennies). Et ne serait-ce que revivre cela, cette lecture s'impose.
Le scénario est ici habile à bien des égards. Il offre une histoire plus complexe que le volume initial, développe les liens entre les personnages, donne corps au conflit qui oppose les deux nations, s'inscrit dans une certaine modernité (par le rôle des femmes notamment).
Comme si tout cela ne suffisait pas, l'auteur tente de respecter l'impératif de l'époque de la parution : opter pour une intrigue basée sur l'action de manière à accrocher le lecteur de semaines en semaines. Il faut encore compter avec des références habiles au premier volume et des retournements de situation pour avoir une idée de ce qui attend le lecteur… qui n'en espérait pas autant.
Tout cela est réussi et comme d'habitude, Jean van Hamme parvient une nouvelle fois à composer quelque chose qu'il est bien le seul à pouvoir créer. Pour cela il s'est éloigner de ses sentiers habituels pour notre plus grand plaisir.
Les dessins sont composés à quatre mains et pas n'importe lesquelles : Christian Cailleaux et Etienne Schréder. le résultat est impressionnant et nous fait remonter le temps et voyager à autre époque : celle des périodiques. Cette impression d'hommage est ici omniprésente. Manquent peut-être quelques références visuelles à l'oeuvre ultérieure de Jacobs… bien que certains passages fassent directement référence au rayon U.
Cette suite est un bel hommage, une réussite. L'intrigue peut s'arrêter ici mais à n'en pas douter, elle laisse également des portes à moitié fermées…
Jean van Hamme, nous régale avec un nouveau chef d'oeuvre, comme il a su redonner vie à Blake et Mortimer, il y a déjà… quelques années (ou plutôt décennies). Et ne serait-ce que revivre cela, cette lecture s'impose.
Le scénario est ici habile à bien des égards. Il offre une histoire plus complexe que le volume initial, développe les liens entre les personnages, donne corps au conflit qui oppose les deux nations, s'inscrit dans une certaine modernité (par le rôle des femmes notamment).
Comme si tout cela ne suffisait pas, l'auteur tente de respecter l'impératif de l'époque de la parution : opter pour une intrigue basée sur l'action de manière à accrocher le lecteur de semaines en semaines. Il faut encore compter avec des références habiles au premier volume et des retournements de situation pour avoir une idée de ce qui attend le lecteur… qui n'en espérait pas autant.
Tout cela est réussi et comme d'habitude, Jean van Hamme parvient une nouvelle fois à composer quelque chose qu'il est bien le seul à pouvoir créer. Pour cela il s'est éloigner de ses sentiers habituels pour notre plus grand plaisir.
Les dessins sont composés à quatre mains et pas n'importe lesquelles : Christian Cailleaux et Etienne Schréder. le résultat est impressionnant et nous fait remonter le temps et voyager à autre époque : celle des périodiques. Cette impression d'hommage est ici omniprésente. Manquent peut-être quelques références visuelles à l'oeuvre ultérieure de Jacobs… bien que certains passages fassent directement référence au rayon U.
Cette suite est un bel hommage, une réussite. L'intrigue peut s'arrêter ici mais à n'en pas douter, elle laisse également des portes à moitié fermées…
C'est un vrai et beau travail de faussaire que cette suite au "Rayon U". Seul problème, qui découle de l'original, mais il est de taille, c'est l'insigne faiblesse du scénario. Il est affligeant de naïveté : qui peut croire un instant au dénouement de cette histoire ? Je sais bien qu'il a été imaginé par un maître du genre, n'empêche que je n'y ai pas trouvé beaucoup d'intérêt.
critiques presse (5)
Quatre-vingts ans après la parution du mythique «Rayon U», le créateur de Thorgal et XIII lui donne une suite 100% rétro-nostalgique.
Lire la critique sur le site : LaTribuneDeGeneve
Inspirée du comics américain Flash Gordon, elle décrit un monde imaginaire où s’affrontent héros et tyrans pour la possession d’un mystérieux minerai, appelé uradium.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Ligne claire elle aussi absolue, trait volontairement épuré, ambiances et attitudes assez raides, bien entendu théâtrales : tout est fait pour respecter le style Jacobs ancien. Un exercice de style en quelque sorte, dont les auteurs se sortent avec efficacité et même brio.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Nous avons vraiment l'impression de lire une histoire écrite dans la période des années 1940. Tout est parfait dans cette intrigue : les dialogues, les textes, la façon d'être racontée. Van Hamme s'est réellement mis dans la peau de Jacobs pour cette aventure.
Lire la critique sur le site : Sceneario
80 ans après, une suite ce n’est pas rien car il fallait coller à l’ambiance de l’époque, sans trahir, ni rajeunir trop ouvertement, suggérer aussi que les personnages étaient bien les prédécesseurs de Blake, Mortimer, Olrik et Nasir pour attirer les lecteurs.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Citations et extraits (1)
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- Le noyau de ce bloc ne contenait qu'un centième de milligramme d'uradium pur. Vous comprenez qu'avec seulement quelques grammes de ce divin métal...
... NOUS DOMINERONS L'UNIVERS !
... NOUS DOMINERONS L'UNIVERS !
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