Une histoire sur l'amitié à l'école et le concept de la meilleure amie, qui a tendance à être très exclusif à un certain âge. J'ai eu du mal à m'accrocher à cette histoire, publiée dans la collection Mouche. Je ne trouve pas le texte si simple pour de la première lecture, d'autant plus que les personnages semblent assez « âgés » par rapport au public visé. On ne sait d'ailleurs même pas quel âge ont Mimi et Nat, ce qui est un peu dérangeant au vu de certaines conversations. Pas convaincant.
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Le thème de la meilleure amie et de la jalousie n'est pas nouveau mais ce roman adopte un ton juste, qui correspond bien à la façon de penser et d'être des enfants, préadolescents. Par contre je trouve que pour une première lecture dans la collection « Mouche », il y a un décalage entre le public ciblé et l'attitude, la façon de s'habiller des protagonistes. Nous ne savons pas leurs âges, elles sont à l'école primaire mais leur comportement fait penser à des jeunes filles de fin de primaire/début de collège.
Sans plus. A partir de 7/8 ans
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Tout est dans le détail chez ces jeunes filles qui s’habillent avec des vestes à clous et pleurent pour la mort de leur poisson rouge. Criantes de vérité, elles sont autant ancrées dans leur temps que symptomatiques d’un universel des 10-12 ans, bouleversé entre enfance, adolescence, confidences et grandes envolées.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Dominique Souton : Je (ne) suis (pas) à vendre (04/2010) .Mélanie Coste est mise au pied du mur : elle doit écrire le discours inaugural d?une exposition sur la sexualité, et pour cela (pense-t-elle) trouver un amant, la semaine même où elle a décidé d?arrêter de fumer, de boire et de manger. Difficile pour cette « professionnelle de la communication » de 40 ans, bourrée de symptômes. Psychanalyste, alcooliques anonymes, tabacologue, hypnotiseur, tous lui proposent leurs services. En vain. Amateur de vernissage, internaute, cadre sup, joueur en bourse, militant altermondialiste, aucun ne fait vraiment l?affaire. Comment va-t-elle s?en sortir ? Prenant exemple sur la comédie anglo-saxonne, Dominique Souton trempe sa plume dans l?acide et dézingue les clichés d?une pseudomodernité envahissante. En librairie depuis le 1er avril 2010
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