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EAN : 9782702183663
414 pages
Calmann-Lévy (12/01/2022)
3.78/5   9 notes
Résumé :
Un virus a transformé nos vies et ébranlé nos sociétés. Il a dramatiquement aggravé la situation des plus fragiles (les jeunes, les personnes âgées, les femmes et les plus pauvres). Il nous a fait prendre conscience de ce que science et philosophie essayaient de nous enseigner  : notre interdépendance vis-à-vis des autres membres de notre espèce et de toutes les composantes de la biosphère.

Ce livre, porteur d’espoir, est une invitation à passer à l’a... >Voir plus
Que lire après Et si nous ? Comment relever ensemble les défis du XXIè siècleVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Je suis bien embêté pour évaluer ce livre. Souvent, lorsqu'on attend beaucoup d'un livre, on est déçu et notre évaluation est beaucoup plus sévère que les livres dont on n'attend rien. du coup, je ne mettrai que 3 étoiles et demi à un ouvrage qui en vaut peut-être plus. Peut-être y a-t-il eu un malentendu entre ce livre et moi ?

Le point de départ est le titre « Et si nous ? », c'est aussi le point d'arrivée de l'ouvrage puisque c'est le nom du forum de François Taddéi auquel il nous incite à participer pour prolonger le livre.
Je trouve le titre assez maladroit car il ne reflète pas assez le contenu. « Et si nous… » plutôt que « Et si nous ? » aurait sans doute était bien meilleur. Cela peut paraitre du détail mais « Et si nous ? » évoque soit un roman à l'eau de rose, soit à l'opposé, un essai philosophique peu accessible nous incitant à développer notre instinct grégaire. « Et si nous… » (avec les points de suspension) permet de mieux comprendre l'objectif. Il représente le début d'une phrase et amène le lecteur à se projeter dans une situation.

Avec ce livre, je m'attendais à des expériences de pensée du type « Que se passerait-il si nous… » impliquant la mise en place d'idées ou d'actions concrètes et d'imaginer les conséquences.
Dans ce livre, il ne s'agit pas vraiment de ça. Son ambition, il me semble, est de présenter des initiatives inspirantes pour améliorer le vivrensemble et faire face aux nouveaux défis du XXIe siècle.
Prenons en exemple les titres des premiers chapitres pour ne citer que ceux-là : « Et si nous observions la fin d'une époque… », « Et si nous n'étions pas invulnérables… », « Et si nous nous respections… ». Ils m'ont semblé trop vagues, trop vastes et parfois trop naïfs et « bien-pensant »… Pourquoi pas « Et si on arrêtait la guerre… » ou « Et si on arrêtait d'être méchants… » pendant qu'on y est. Je ne crois pas qu'on fasse si bien avancer les choses en ces termes.
Pourtant, chaque chapitre contient des idées souvent intéressantes. La formation de biologiste de l'auteur me permet de comprendre l'origine de certains raisonnements et d'y adhérer facilement car ils me sont familiers. de plus, l'auteur a visiblement des valeurs et une vision de la société idéale très proches des miennes. Et je ne peux que saluer son intention de proposer un travail qui aide à la construction d'un monde meilleur. C'est toujours agréable de lire des gens qui pensent comme nous car ils ont les mêmes références, la même formation, les mêmes avis, globalement la même vision du monde mais cela a manqué ici trop souvent de concret sur la façon dont les choses peuvent êtres mises en place et devenir la norme. On a l'impression que Taddéi décrit la société actuelle (diagnostic) et sa société idéale mais il y a un chainon manquant : comment on passe de l'un à l'autre !
Je n'ai pas bien compris la structure générale du livre malgré les transitions (parfois abruptes) entre les chapitres et j'ai été freiné par l'impression de survol et le manque d'approfondissement de plusieurs sujets.
Finalement, « Et si nous ? » est une sorte de catalogue d'initiatives et de citations inspirantes. Il s'agit d'une véritable publicité nous invitant à lire les ouvrages cités et à se rendre sur le forum internet de l'ouvrage pour poursuivre la discussion. Cela m'a déstabilisé car je ne m'attendais pas à ça.

J'ai trouvé ce livre assez inégal : il contient de magnifiques moments comme cette belle histoire du raciste repenti Christian Picciolini ou le bouleversant témoignage sur Step Inside The Circle (une pratique consistant à faire reconnaitre en prison les blessures que les détenus ont reçu dans leur enfance). Quelques slogans bien trouvés comme « Penser fractal, agir viral » ou « le GPS des rêves » qui reflètent des idées structurantes, justes géniales mais il y a aussi des moments bien moins bons et que j'ai envie de dénoncer :

- le long chapitre sur le féministe contenant une litanie de statistiques pour dénoncer les comportements masculins, discours peu original car mille fois entendu. Malheureusement, je pense que cette façon d'aborder les choses n'est pas la bonne car à force de pratiquer des discours selon lesquels les hommes ne sont pas investis dans les foyers, sont des prédateurs sexuels, etc. Non seulement, on décourage les hommes qui ne sont pas comme ça et on envoie en même temps le message insidieux aux garçons en quête d'identité mâle, que s'ils veulent être des hommes, ils doivent désinvestir le foyer ou être prédateurs sexuels, car les hommes « sont comme ça » ! En bref, le discours classique du man-bashing est totalement contre-productif et j'aurais attendu de la part d'un biologiste, un discours un peu différent qui aurait pu expliquer comment la dominance masculine humaine peut provenir de la dominance masculine chez les primates : Mieux comprendre d'où vient un problème pour pouvoir mieux le résoudre. Ce chapitre fait des constats mais ne propose pas assez de solutions.

- le passage sur l'éducation où, on a, là encore, l'impression que sur le papier l'auteur a raison mais que ça ne peut qu'être l'avis d'une personne qui n'a jamais eu à gérer des classes de 20-30 élèves… On a envie de lui rétorquer : « vient bosser dans l'éducation pendant quelques temps et on en reparle après… ».

J'ai pour habitude d'indiquer dans mes critiques que la qualité d'un livre se reflète assez bien avec la quantité de citations que j'ai envie d'en extraire. Dans le cas de cet ouvrage, il y en a beaucoup mais la plupart des citations que j'ai sélectionné ne correspondent pas à des citations de l'auteur François Taddéi, mais de citations qu'il a lui-même incorporé à ce livre. En bref, des citations de citations… car le livre regorge de références, c'est son point fort.

C'est donc un livre qui peut plaire à beaucoup de gens, à condition que les gens sachent à quoi s'attendre. Ce livre n'est qu'une introduction à beaucoup de sujets mais il ne se suffit pas en soi. Il pousse à aller plus loin…beaucoup plus loin…
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Et si nous ? Chaque chapitre du livre commence par une question, quelques exemples qui m'ont marquée plus particulièrement :
Et si nous décidions que le masculin ne l'emporte plus sur le féminin ?
Et si nous prenions conscience de notre interdépendance ?
Et si nous transformions la bêtise collective en intelligence collective ?
Les sujets de réflexion sont nombreux et intéressants dans cet essai, par ailleurs bien documenté pour nous permettre d'approfondir notre questionnement.
J'ai appris, j'ai réfléchi, je me suis questionnée, sur mon opinion, ma participation, comment faire un peu plus pour interagir et aller dans le "bon sens". J'ai trouvé l'ensemble assez optimiste, on n'est pas du tout dans la complainte du "on va droit dans le mur et il est trop tard pour y changer quoi que ce soit" et, en ce moment particulièrement (42ème jour de la guerre en Ukraine), chaque brin d'optimisme est bon à prendre.
Les initiatives positives semblent nombreuses et il est vrai que la technologie nous permet de les connaître facilement pour s'en inspirer, le dialogue est possible avec tellement plus de personnes qu'auparavant. Bien sûr l'auteur parle du revers de la médaille, fake news ou complotisme se diffusant également bien plus aisément, charge à nous de faire le tri et d'utiliser notre esprit critique.
J'apprécie qu'une lecture me fasse réfléchir de cette manière, il en ressort toujours du positif.
Voici mes propres petits pas dont je suis assez contente du niveau d'avancement :
Et si nous arrêtions de manger des protéines animales ?
Et si nous arrêtions de surconsommer ?
Et si nous développions nos achats de seconde main ?
Et si nous nous investissions bénévolement ?
Je vais pouvoir réfléchir aux prochaines étapes avec la communauté Et si nous ?, je suis convaincue d'y trouver de grandes idées.
Merci à Babelio et aux éditions Calmann Levy pour cette inspiration.
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Livre très intéressant qui traite des actions qui pourraient être mises en place de manière individuelle mais surtout collectives pour améliorer notre vie quotidienne et la vie des futur citoyens de ce  monde. le sujet m'intéressait énormément a la lecture du résumé, puisqu'il traite du covid et de l'impact que ce virus a eu dans nos vies. Étant moi-même infirmière, le covid j'en entends parler tous les jours. Et j'ai pu voir l'impact sur les gens au quotidien. 

L'écriture est parfois un peu complexe ( ce n'est pas du tout le genre de livre que je lis habituellement ) mais l'auteur, de part des explications et les notes en fin de livre, se fait parfaitement comprendre. Livre très sourcé, ce qui nous permet de faire nos propres recherches. Ce livre est coupé en plusieurs parties et elles sont toutes reliées et très enrichissantes. L'auteur traite de plusieurs sujets, les fausses informations qui peuvent circuler sur internet, les sites d'informations coopératifs, la recherche d'objectifs communs aux différents pays, l'écoute des demandes formulées par les jeunes générations, les violences subies par les plus “faibles”. Et donc pas uniquement du covid, qui est au final le point de départ de la réflexion de l'auteur.
Le titre de ce livre est une question et je pense que c'est bien trouvé car tout au long de la lecture, de multiples questions me sont venues. “Comment je me positionne par rapport à un tel sujet?” , “Suis-je à l'écoute des autres et des problématiques qu'ils rencontrent?", "À l'avenir comment je vais intégrer mes futurs enfants à ce monde?” Mais au-delà des questions que je me suis posées, ce qui est intéressant c'est toutes les pistes de réflexions que nous donne l'auteur. 

En conclusion, à la suite de cette lecture, j'en suis sortie grandi et avec une envie de me renseigner sur plusieurs sujets. Et donc de lire plus de livres et d'essais sur ces différents éléments. Si au départ, l'écriture et le vocabulaire peuvent en effrayer certains, qui ont comme moi, l'habitude de lecture plus simple, je conseille quand même de continuer cette lecture instructive.
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J'ai apprécié ce livre mais c'est une lecture où le verre est soit à moitié vide soit à moitié plein, voir tout le chemin qu'il reste à parcourir, ce qui peut être démoralisant ou au contraire voir les individus qui chaque jour y croient et expérimentent avec optimisme.

Chaque chapitre évoque une thématique différente, que ce soit l'éducation, la lutte contre les injustices, etc... ils sont courts et l'écriture est fluide ce qui rend la lecture facile même si certains chapitres sont plus complexes que d'autres.

J'aime le titre "Et si nous ?" qui est une question, comme un champ des possibles dont je suis actrice, ce "nous" qui nous rappelle de ne pas attendre après les autres car les autres c'est moi.

L'auteur nous interpelle, et toi que fais-tu pour que les choses changent, pour faire un monde meilleur, pour tendre vers l'utopie ?

Le livre est très sourcé, ce qui est appréciable car il est ainsi possible de ce renseigner soi même et d'approfondir les sujets qui nous parlent plus que les autres.


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François Taddei est un chercheur français, et si nous ? comment relever les défis du XXIème siècle est son second livre dans lequel il traite de nos possibles pour demain.
Chaque chapitre offre à lire un défi possible pour un mieux vivre dans le temps, dans la société d'aujourd'hui. La locution « et si nous ? » sert de moteur à toutes sortes d'idées. Il ne défend pas des idées nouvelles mais des idées qui ont le vent en poupe aujourd'hui comme l'interdépendance des êtres humains, l'horizontalité de notre société, la société inclusive, la bonté naturel de l'être humain, l'altruisme, mais je crois malgré tout que l'essentiel du livre repose dans cette phrase « le défi majeur, peut-être, de l'être humain, notamment aujourd'hui, c'est d'apprendre à vivre avec celui qui est différent de lui ».
L'auteur cite de nombreux exemples détaillés pour corroborer ses idées. Chacun peut y puiser des solutions à mettre en pratique. Des pistes sont proposées dans plusieurs domaines pour faire évoluer notre société.
Le livre se laisse lire sans difficulté.
Intéressant !
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critiques presse (1)
LaCroix
14 septembre 2022
Le chercheur en biologie et en « sciences de l’apprendre » plaide pour repenser le partage des connaissances, l’intelligence collective et l’exercice de la citoyenneté.
Lire la critique sur le site : LaCroix
Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
(...) nous avons naturellement tendance au don et au partage . Mais à une condition, qui est tout sauf neutre : il faut que ce don ou ce partage s'effectue dans un contexte équitable ou crée une situation plus équitable. On retrouve ici le besoin d'équité, valeur fondamentale manifestée par Jonathan Haidt à travers les cultures.
Une des applications les plus simples et répandues de ce mécanisme concerne notre disposition à payer des impôts. Si le système est perçu comme juste , nous payons . Mais si nous avons l'impression que ces impôts sont utilisés au profit exclusif d'un petit groupe, ou si les autres trichent pour se soustraire à l'obligation, nous refusons ou tenterons à notre tour de tricher.
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Le jeune historien néerlandais Rutger Bregman va plus loin. Il tente de démontrer, dans "Humanité: Une histoire optimiste", que « la plupart des gens sont bons ». Selon lui , « les humains ne cherchent pas à s'entre-déchirer au premier drame , au contraire , en général ils s'entraident , ils se montrent altruistes , ils fraternisent » - ce qui s'est vérifié en bien des occasions au printemps 2020 , lors de la phase la plus dure du confinement . Mais ces attitudes « sont en fait si prégnantes , si enracinées en nous , si intimement liées à la nature humaine que nous n'y prêtons plus attention » . Choisissant Rousseau contre Hobbes, il multiplie les exemples de comportements altruistes dans des circonstances inattendues. Pourquoi , alors , tant de haine ? Car , selon lui , « on fabrique ce que l'on suppose chez l'autre - notre vision de la nature humaine pose est bien souvent une prophétie autoréalisatrice . Si nous construisons nos institutions autour de l'idée que les gens sont égoïstes, nous ne devrions pas nous étonner si les gens se comportent ainsi ». Construisons des cadres de confiance, et la bienveillance naturelle des humains l'emportera. Son espoir : « Nous arrivons à la fin d'une période qu'on peut appeler " l'âge néolibéral " et à la fin de la croyance selon laquelle il faudrait baser nos institutions sur l'idée que les hommes sont égoïstes ».
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(...)Pour ce faire, faut-il, comme le suggère le spécialiste des droits de l'enfant colombien Nicolás Brando, leur donner le droit de vote dès 16 ans voire avant ? Notez que, puisqu'il n'existe pas de critères biologiques permettant de définir l'âge du vote, on peut se demander quel serait l'âge minimum. Pourquoi, pour prendre en compte l'intérêt des nouvelles générations sur des sujets comme les impacts du changement climatique qui les concernent plus que ceux à l'espérance de vie plus réduite, ne pas aller jusqu'au bout de la démarche et donner à leurs parents un droit de vote dès leur naissance, quitte à offrir à l'enfant dès qu'il le souhaite de voter sur les sujets dont il comprend l'importance. Brando relève que les arguments avancés pour s'opposer à un droit de vote des jeunes ont déjà servi. Ils sont au nombre de quatre : l'incapacité à formuler un choix éclairé faute de facultés cognitives ; l'absence d'expériences sociales ou économiques suffisantes pour étayer un choix ; une trop grande malléabilité des jeunes esprits face aux manipulations ; le risque de déséquilibrer le jeu démocratique. Ces quatre arguments , avance-t-il , pourraient s'opposer à de larges pans de la population adulte en âge et en droit de voter .
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Il existe bien d'autres projets inspirants portés par de nombreux enseignants motivés. Ils restent malheureusement au mieux minoritaires , au pis marginaux , faute d'une formation adéquate des enseignants , que l'on recrute avant tout sur leurs savoirs disciplinaires , pas sur leurs compétences pédagogiques ni leur appétence pour la démarche scientifique . Rien ne sert de gloser sur l'école « émancipatrice » , qui s'initie à « l'esprit critique » et se prépare au « vivre - ensemble » , si rien - ou si peu - n'est fait pour que les programmes et les méthodes y préparent les enfants et les adolescents.
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C'est ce qu'on appelle l'effet nocebo (du latin " je nuirai ") . Vous connaissez l'effet placebo ? Eh bien, c'est le même, avec des effets négatifs. Il est mis en lumière de la même façon: on administre la même substance à deux groupes d'individus. Mais à la différence des expériences tendant à évaluer l'effet placebo , dans lequel tous les sujets croient qu'ils ont ingéré une substance qui va leur être bénéfique , on informe une partie du groupe d'effets secondaires potentiellement nocifs (risques de migraines, vertiges , etc . ) . Certaines personnes les ressentent alors, physiquement. Cet effet peut être puissant. La presse avait médiatisé en 2009 la plainte d'habitants de Saint Cloud contre Orange , dont les antennes de téléphonie étaient suspectées de produire des troubles du sommeil et de provoquer des saignements de nez , alors que ces antennes n'étaient pas encore activées ( elles n 'étaient même pas raccordées au réseau électrique ) .
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Videos de François Taddéi (8) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de François Taddéi
« Pire crise éducative jamais enregistrée », c'est ainsi que l'UNESCO a alerté sur le recul et les perturbations liées à la pandémie sur le domaine éducatif pendant la journée mondiale dédiée à l'éducation, le 24 janvier.
Depuis 2020 et partout dans le monde, des écoles ont fermé, entraînant des pertes d'apprentissage et de compétences qui se paient. L'UNESCO estime par exemple que cette génération d'élèves risque de perdre 17 000 milliards de dollars de revenus tout au long de la vie. Comment l'éducation a-t-elle été touchée par la pandémie et comment pouvons-nous rattraper les retards d'apprentissage ?
La sous-directrice générale de l'UNESCO pour l'éducation, Stefania Giannini et François Taddei, biologiste, chercheur à l'Inserm et directeur de Learning Planet Institut, étaient les invités des Matins de France Culture le 24 janvier 2022.
#éducation #covid19 #pandémie _____________
Découvrez tous les invités des Matins ici https://www.youtube.com/playlist?list=PLKpTasoeXDroMCMte_GTmH-UaRvUg6aXj ou sur le site https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-des-matins
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