Années d'après guerre, dans l'ouest de la France, Luis,
le fils de jean nous raconte sa jeunesse entre un père qu'il adule littéralement, une mère d'abord effacée puis hystérique, une tante et des grands parents médisants et petits-bourgeois, au sens très péjoratif.
Le fils de Jean aime les garçons et aimerait pouvoir aimer son propre père d'un amour autre que filial.
Drôle d'ambiance dans ce roman dans lequel il ne se passe pas grand chose. Une chronique familiale, le reflet d'une époque et d'une certaine société.
Je n'ai pas vraiment accroché, ni non plus décroché. Mon père s'appelait Jean, c'est la raison pour laquelle le titre m'a interpelé.
La lecture de ce roman n'était cependant pas indispensable.