Grosse deception pour ce livre qui débute bien, on suit avec plaisir les recherches de Justine pour retrouver sa grand mère qu'elle n'a pas vu depuis dix ans dans Istanbul mais des qu'elle la retrouve et qu'elle tombe amoureuse d'un homme, alors la on plonge dans la guimauve avec des dialogues gnan gnan, des redites et on tourne vraiment en rond. On ne comprend pourquoi l'auteur a fait le choix de raconter l'histoire de la grand mère par un journal... ça ne fonctionne pas bien. Grosse déception par rapport a ce qui était écrit dans la quatrième de couverture.
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C'est mièvre, ils sont tous beaux, ils sont tous merveilleux, quelle déception !! Les jumeaux se comprennent au quart de tour parce qu'ils sont jumeaux bien sûr, Michael, un riche jeune homme, tombe bien évidemment fou amoureux de notre héroïne, dont la grand-mère est un modèle de générosité, de bonté, de grandeur d'âme... Bref, ça dégouline de bons sentiments. À fuir !
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Il y a quelques années, j'avais lu avec plaisir la saga familiale "Emma Harte". Tel n'a pas été le cas de ce livre-ci. Franchement, je me suis ennuyée, L'histoire n'est pas crédible et s'étire en longueur, les personnages sont mièvres au possible et quasi caricaturés. Seul moment intéressant du récit est le revnoi au passé (la vie à Berlin de 1938 à 1945).. Je ne recommande pas du tout cette lecture.
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Justine ouvre une lettre destinée à sa mère. Grâce à celle-ci elle découvre que sa grand-mère Gabrielle, qu'elle croyait morte dans un accident d'avion, est toujours en vie. Elle et son jumeau Richard décide donc de la retrouver. Justine part pour Istanbul où elle va finir par la retrouver et par découvrir ce qui les a séparé mais également le lourd passé de Gabrielle. Une histoire émouvante avec de la romance, de l'histoire. Facile à lire.
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Un coup de chance. Mais la vie est souvent comme ça. Faite d’étranges rebondissements, de coïncidences, d’accidents qui se révèlent être des bénédictions.
Le Bosphore était magnifique. Le soleil se couchait, les eaux bleu foncé du détroit se striaient de cramoisi, de rose et d’or, et le ciel s’enflammait à l’horizon. Il adorait cette heure de la journée. Les gens du cinéma lui avaient donné un nom. L’heure magique. Rien de plus vrai. Le monde était un endroit magnifique. Quel dommage qu’il fût aussi délirant.
Un volcan peut entrer en éruption et ensevelir une ville en quelques minutes. Les exemples ne manquent pas : les raz de marée, les tornades, les ouragans. Ils détruisent tout sur leur passage, en un éclair. On peut avoir une crise cardiaque et mourir avant de toucher le sol, ou encore être tué sur le coup par une voiture ou une balle perdue. Tout cela en un clin d’œil.
Les catastrophes frappent sans rime ni raison. En un instant, une vie peut se transformer.
L’histoire du monde était en fait une histoire de guerres. Depuis le début des temps. Il était convaincu que la volonté de se battre était dans les gènes de l’homme, qu’il s’agissait d’une compulsion à laquelle il ne pouvait résister. Il y aurait toujours des guerres parce que l’homme n’avait pas le choix. Et quelle que fût la raison avancée, elle se résumait à une chose, une seule. Le pouvoir.
Barbara Taylor Bradford's A Woman Of Substance 30th Anniversary