J'ai davantage aimé ce tome 4 au tome 3. On se décentre de Ritsuko pour continuer l'enquête sur les 8 femmes d'Aoi. Place ici à la 3ème : Shiori Yokokawa, une agente immobilière qui subit, comme chaque femme, des remarques déplacées d'hommes (beurk beurk Monsieur Bandô) qui comptent sur la misère humaine pour avoir une relation (coucou Amour Placebo).
Elle aussi va tomber dans le panneau et se faire balader par Aoi. Elle tire tout de même son épingle du jeu en y trouvant son compte. Cela est tellement malsain et si réaliste au final. Encore une fois,
Akane Torikai nous propose un des multiples visages de l'amour fantasmé. Comme d'habitude, j'adore.
Au passage, le "mari" de Ritsuko vient, dans un sursaut d'orgueil, provoquer Koide et enclanche un processus d'auto-destruction (enfin, c'est ce qu'il dit...) qui semble prometteur. Affaire à suivre !