Ce nouveau poème de Pierre Torreilles se compose de "trois mouvements" : "Lumière guéable", "Imminences", "Margelles du Silence". L'ensemble s'ordonne selon un ordre qui fait penser à la musique, mais aussi à l'architecture. Derrière la beauté et la noblesse du vers, la délicatesse des paysages, des plantes, on entend l'écho d'une métaphysique qui rejoint les présocratiques grecs.