Ce court roman fut lu très rapidement, il ne fait que 128 pages.
Minette Walters nous décrit d'abord ce qu'elle pense être les interactions entre Elsie et Norman avant la mort d'Elsie, basé sur des faits bien entendu, mais comme si nous y étions : dialogues, attitudes et à côtés pour tous les deux.
Pour être honnête, quand j'ai appris qu'Elsie allait être la victime, je me suis dit "bon débarras !". Peu charitable, certes, mais elle était vraiment énervante et je me sentais un peu mal pour ce balourd de Norman.
Il faut ajouter que Norman était jeune, aussi, et que l'éducation de son père n'a pas dû être formidable ? Ou c'était juste sa personnalité. Ou vivre aussi durement aussi jeune l'a endurci - je n'aurais pas aimé vivre comme lui.
Bref, l'intrigue se développe et amène à l'inévitable pendaison finale.
Mais Norman était-il réellement coupable ? le doute est permis. Court, mais bien sympa !
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