Et bien cette fois-ci n'est pas la bonne. D'habitude j'aime bien lire un
San Antonio pour me divertir de temps et temps et surtout pour rire. Avec "
Les prédictions de Nostrabérus" j'ai été déçue car malgré la performance de divination de Bérurier, j'ai trouvé certains passages longs et lourds.
San Antonio vient de recevoir le prix Nobel de littérature alors il est tout à fait normal qu'il se trouve en Suède. Ce qui est moins normal c'est qu'un membre du jury scatophage lui demande de rechercher
un tueur en cavale, Borg Borïgm. le directeur de
San Antonio s'intéresse également à l'homme et lui envoie Bérurier. Ils vont aller de merderies en partouzes jusqu'aux cadavres et la description du bordel n'est pas très drôle, malgré l'usage de "La pipe internationale comme moyen d'expression". Comme on dit, ça ne vole pas haut.
Et puis, j'ai eu l'impression que les jeux de mots tournaient un peu en boucle comme "Tu sais dans le fond mage n'est pas un métier difficile" et plus loin "Les déclarations du faux mage de tête me laisse songeur".
Bref, c'est la première fois que je ne termine pas un
San Antonio (il faut dire que ma PAL est haute) mais je n'ai pas dit mon dernier mot.