Bernard Stern, dit Bernie, souhaitait devenir professeur dans une école d'une petite ville de campagne mais deviendra directeur d'un luxueux magasin de mode à San Francisco. Une rencontre tant attendue lui fera découvrir l'amour et les joies de la paternité mais un évènement douloureux bouleversera sa vie.
Bien, bien, que dire ? Un roman très (trop !) mélodramatique pour moi !
Les relations amoureuses que Bernie ait pu avoir avec les femmes les plus importantes de sa vie je les ai trouvées bien trop mielleuses, j'ai pour ainsi dire frôlé l'indigestion de bons sentiments ! Cependant, une partie du bouquin reste bouleversante et touchante.
Les personnages peuvent être pour certains d'eux caricaturaux (je pense à la maman de Bernie) et certaines situations sont peu crédibles. Un exemple, un homme braque une banque, se fait tuer par la police et ce, juste avant d'aller récupérer sa fille qu'il connaît peu… pour de l'argent, mouais pourquoi pas :/. Au moins, l'indésirable mauvais homme n'est plus là pour embêter le Bernie et le bonheur familial est retrouvé !
Le style est plutôt agréable et heureusement d'ailleurs car la dernière centaine de page a été difficile à terminer. Sans doute du en partie à toutes ces répétitions, l'ennui guettait.
Donc deux mots : au suivant !!!!
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Encore un !
Ce n'est pas mon premier Danielle Steel, j'en ai lu plusieurs donc je savais à quoi m'attendre en ouvrant un livre de cette auteure. Et ça n'a pas manqué. Encore des personnages beaux, riches, moraux. Encore une histoire cousue de fils blancs aux difficultés balayées à coup de gros billets et de deus ex machina quand l'argent ne peut plus rien. Oui, c'est encore l'histoire d'un drame et d'un happy ending. Et encore une fois, le livre est trop long. C'est un problème récurrent quand je lis du Danielle Steel, il y a des moments très pénibles où je subis le roman même si l'histoire m'intéresse.
La raison ? Les répétitions tout le temps, sans arrêt, toujours, encore et encore et encore. Ça se rabâche, les personnages adorent vous rebattre les rétines des mêmes choses ( Pas seulement dans ce roman précis, ils le font d'un livre à l'autre ! de vrais clones.). Des descriptions paraphrasées reviennent ainsi plusieurs fois au cours de la lecture. Si vous voulez, le rythme n'est pas lent, mais comme j'aime à le dire, on piétine en se disant qu'il reste beaucoup trop de pages. Dommage, avec un bon élagage et malgré les personnages à la Danielle Steel, toujours sortis du même moule, le roman aurait été bon, plutôt que de n'être pas mauvais.
Dommage, dommage !
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Tout d'abord, j'aimerais dire, que pendant toute ma lecture, je ne comprenais pas du tout le rapport entre le titre et l'histoire, car je ne trouve pas du tout que Bernard a une belle vie, mais plutôt le contraire. Et ce n'est qu'aux dix dernières lignes, que l'on y trouve une explication.
Pendant ma lecture, je suis passée par tous les sentiments, puisque les 100 premières pages, je me suis ennuyée (ce qui ne m'encourageait pas dans ma lecture) car sa vie se déroulait à une vitesse folle, on n'avait pas le temps de bien s'imprégner du contexte que cela changeait déjà. Ensuite la tristesse m'a emportée avec beaucoup de larmes, car le sujet de la maladie est abordée… puis le suspense et enfin la joie.
Ce livre me laissera donc un bon souvenir, et peut-être que je lirais d'autre Danielle Steel car celui-ci m'encourage vivement à en lire d'autres.
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J'ai vu le film avant de lire le livre. Je l'ai adoré. Par contre j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le livre.
Puis au fur et à mesure j'ai découvert une belle histoire avec des personnages merveilleux.
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Il lui tendit une petite boite emballée d'un joli papier cadeau, que Megan observa d'un air suspicieux.
- Qu'est ce que c'est que ça ?
- Un serpent à sonnettes miniature. Fais attention en ouvrant le paquet.