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Emmanuelle Heurtebize (Traducteur)
EAN : 9782366582659
400 pages
KERO (12/04/2017)
3.46/5   28 notes
Résumé :
A 104 ans, Mlle Ona Vitkus pensait en avoir fini avec les sentiments. Mais l’arrivée dans sa vie si ordonnée d’un jeune garçon pas comme les autres va tout chambouler.Du jour au lendemain, la vieille dame se trouve embringuée au cœur d'une famille en plein tourment, et même dans un road trip inattendu et burlesque. Chemin faisant, elle découvre que la vie lui réserve encore bien des surprises, et, surtout, qu'elle a encore beaucoup à offrir à ceux qui croyaient avoi... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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Ne vous laissez pas attendrir par la couverture et sa quatrième car l'histoire qui est racontée dans ce livre est bien plus poignante et touchante qu'elles ne laissent l'imaginer. Lorsque j'ai reçu le résumé de l'ouvrage, je m'attendais à quelque chose de léger, amusant, joyeux et finalement... c'est tout le contraire.

Le titre original de ce roman est The One-in-a-Million Boy et je le trouve tellement plus cohérent et percutant. Parce que toute l'histoire va tourner autour de ce jeune garçon, dont on ne saura jamais le nom. C'est un garçon parmi tant d'autres, un boy scout de 11 ans obsédé par les listes, et plus particulièrement par les records du monde. Un garçon qui vient chaque samedi aider Ona Vitkus, une immigrante lituanienne de 104 ans. Un garçon qui va décider de faire d'Ona le sujet de son projet scolaire à propos des personnes âgées. de là, on en apprend énormément sur son passé, sur sa vie pendant les guerres mondiales, la Grande Dépression, les luttes féministes pour le droit de vote, sur ses amis, sa famille, etc. Il y a différentes narrations dans ce livre, mais je crois que c'est celle qui retranscrit les enregistrements pour ce projet que j'ai préféré. Non seulement il nous donne à voir le témoignage d'Ona et de son expérience du XXème siècle, mais cela nous permet également de nous rendre compte de l'évolution de l'amitié entre le garçon et la vielle dame. Si tout semble les opposer, c'est loin d'être le cas. Ensemble, ils vont combler le manque et l'absence qui les rongent en se lançant le pari fou de faire entrer Ona dans le Guinness des records.

Mais ce roman ne tourne pas seulement autour de ce duo. On retrouve également le personnage de Belle, la mère dépassée par les événements, mais surtout celui de Quinn Porter, le père trop souvent absent et empli de remords. Pour moi, son personnage est tout aussi important que celui du garçon. C'est lui qu'on voit évoluer le plus, et qui va notamment passer d'un état dont il a honte, à celui dont il ne peut être on ne peut plus fier. Si les thèmes principaux de cette histoire sont la séparation, la perte ou encore le deuil, l'espoir et la rédemption le sont tout autant et se matérialisent vraiment à travers le personnage de Quinn.

J'ai eu un peu de mal au départ à adhérer à l'histoire car on entre directement dans le vif du sujet, sans vraiment connaître les personnages ni les événements qui ont eu lieu, ce qui est très déroutant. Mais au fur et à mesure de ma lecture, je me suis vraiment attachée à ces âmes en peine. Et même si je n'étais pas très fan du côté Guinness des records, que je trouvais trop futile par rapport aux autres sujets abordés, j'ai compris par la suite à quel point c'était important et ce que cela représentait vraiment pour cette famille.

En conclusion, c'est vraiment une histoire émouvante dont le dernier paragraphe m'a brisé le coeur et à la fois fait sourire. Et je pense que c'est ce qui fait toute l'essence de ce livre : il est empli de chagrin mais aussi très réconfortant à sa manière. Merci aux éditions Kero pour cette belle découverte.
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Mon avis:

Lorsque les Editions Kero m'ont proposé de recevoir ce roman j'ai tout de suite accepté charmée par sa couverture toute douce qui laissait présager un roman feel-good comme je les aime. Je les remercie donc beaucoup pour l'envoi de ce titre.

Il s'agit d'un roman qui retrace la vie d'Ona Vitkus, une très vieille dame de 104 ans, qui peut paraître assez déstabilisant dans la manière dont il est construit. En effet Monica Wood va alterner tout du long les moments présents entre Ona et Quinn le père du jeune scoot disparu qui effectuait de petits travaux bénévolement chez elle, les moments passés entre le petit garçon et elle pendant lesquels il l'interviewait sur sa longue vie pour un devoir d'école et où il lui lisait des passages du livre Guinness World Records. Ce sont ces passages qui m'ont le plus déboussolé car il s'agit d'une interview à une voix, où nous n'avons à aucuns moments les questions du garçon mais uniquement les réponses d'Ona. Ce qui m'a également frappé dans le récit c'est que l'on a l'impression que cet enfant n'existe pas vraiment, il n'est jamais nommé autrement que "le garçon" comme un souvenir lointain, ce qui ne m'a pas permis de m'attacher vraiment à ce personnage. Même si on se rend compte que son enthousiasme enfantin réchauffe le coeur de cette vielle dame un peu aigrie, je n'ai pas ressenti les émotions vis à vis de leur relation et de la complicité qu'ils entretiennent auxquelles je m'attendais, et en ce sens j'ai été un peu déçue.

Finalement ce sont les moments entre son père et Ona qui m'ont le plus touché. A notre grande surprise ils vont entretenir une très forte amitié, alors même que c'est un homme qui n'est pas très doué avec les autres, notamment envers sa famille et surtout son fils qu'il n'a jamais vraiment compris et avec lequel il n'a jamais su comment s'y prendre. Musicien dans l'âme, très souvent absent, il a passé sa courte vie de père à essayer de lui faire aimer sa passion mais sans succès, son fils préférant les oiseaux. J'ai beaucoup aimé l'image même du père qui en faisant son deuil, essaie également de se racheter, d'honorer la mémoire de son fils en continuant ce que ce dernier avait commencé de son vivant. Même si son fils n'est plus là il continue à vivre à travers son père, qui petit à petit change au contact de cette vielle dame qu'il apprend vite à aimer. Ce sont finalement la solitude et les regrets qui vont véritablement les rapprocher, car malgré leurs différences d'âge ce sont deux personnages qui se ressemblent plus qu'il n'y paraît.

Malheureusement malgré cette belle leçon de vie, les jolis messages d'espoir et d'entre-aide suggérés, il y a énormément de passages qui m'ont paru longs, répétitifs, brouillon ou encore mal expliqués. Si j'ai aimé les extraits du Guiness World Records qui m'ont appris pas mal de choses et la volonté d'Ona de marquer son passage sur Terre, j'ai en revanche détesté les passages concernant la vie de Quinn et le milieu dans lequel il évolue. Je ne les ai pas trouvé intéressants et utiles pour l'histoire. Au contraire certains événements de la vie d'Ona à mon sens étaient intéressants mais pas suffisamment aboutis. Sa rencontre avec Laurentas son fils qu'elle n' a pas revu depuis de nombreuses années m'a laissait un peu sur ma fin car finalement elle n'aboutit à rien. En réalité c'est un roman qui avait beaucoup de potentiel, qui avait matière à réflexion notamment sur le temps qui passe, sur la nécessité de réparer nos erreurs et notre désir de laisser une trace avant de mourir, sur les petits moments de bonheur qui arrivent sans que l'on s'y attende, sur la complicité et l'amour qui peut naître entre des êtres très différents, mais qui à mon sens est mal construit et qui m'a malheureusement du coup parfois ennuyé.

Pour conclure:
Un roman construit de manière originale mais un peu trop désordonné pour me faire totalement apprécier les jolies messages d'amour, d'amitié, d'espoir et de pardon que Monica Wood voulait nous faire passer. Dommage.

Ma note: 12/20.
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Ce qui m'a tout de suite attirée avec ce livre, c'est sa très belle couverture. Avouez, elle fait rêver ! Entre l'illustration et le titre, on s'attend à un roman feel-good emprunt de poésie et de lyrisme. J'avoue que, suite à ma lecture, mon avis est plutôt mitigé.


L'écriture de Monica Wood ne m'a pas convaincue. Je l'ai trouvé plate, on ressent peu voire pas du tout les émotions qu'elle essaye de nous partager par le biais de ces personnages. A mes yeux, le roman souffre de nombreuses longueurs. La construction des chapitres est également assez particulière, alternant récit au présent, extraits d'enregistrements audio un peu plus anciens et listes de records (bien que j'avoue avoir apprécié ces petites « pauses » ludiques dans l'histoire). J'ai trouvé très dommage que l'auteure décide de partager avec nous seulement une partie de ces enregistrements audio. Il s'agit d'interviews d'Ona, répondant aux questions du garçon. Seulement, les questions du garçon n'apparaissent pas, nous n'avons le droit qu'aux réponses. Pourquoi ce choix ? Vraiment, c'est dommage et c'est déstabilisant. On a l'impression que l'auteure essaye d'effacer l'existence de ce garçon alors qu'il est la raison pour laquelle les personnages se rejoignent au départ. Il est la raison d'être de ce roman.

J'ai toujours eu un faible pour les histoires intergénérationnelles, quand chacun grandit et évolue au contact de l'autre. En plus de nous offrir de belles leçons de vie, ces romans sont généralement bourrés d'humour. Ici, si quelques passages ont réussi à m'arracher un sourire, la rigolade n'est pas au rendez-vous. On rencontre trois personnages en deuil, en reconstruction, qui luttent au quotidien pour (re)trouver une place, pour survivre tout simplement. En s'appuyant les uns sur les autres, ils reprennent peu à peu goût à la vie. Cette reconstruction est au coeur du récit. Si l'écriture de l'auteure avait été poétique , plus intense et un peu plus dynamique, je pense que je n'aurais pas été dérangée par le fait que cette histoire ne soit pas si « feel-good » que ça et qu'elle relate une évolution lente. Mais ici, la vie suit son cours paisiblement, leurs relations évoluent au fil des pages.. mais qu'est-ce qu'on s'ennuie ! Il y a très peu de rebondissements, mis à part peut-être sur les tout derniers chapitres, et les répétitions sont nombreuses. Si l'amitié entre Quinn et Ona est intéressante, elle n'est pas non plus complètement dingue. On ressent l'attachement qui se développe entre les deux êtres, la naissance d'une amitié, mais on dirait que l'auteure a peur de rentrer dans le vif du sujet et qu'elle se contente de nous décrire cette amitié de loin, de manière assez superficielle et, par conséquent, sans émotions.

Il y a tout de même quelques points positifs : les personnages et le réalisme de cette histoire. Les personnages sont attachants, notamment Quinn et Ona. J'ai eu un peu plus de mal avec Belle. Et, malheureusement, le garçon est inexistant (comme je l'ai dit précédemment). Ce sont des personnages qui ont souffert, qui ont des défauts et qui essayent de maintenir leur tête hors de l'eau. Ils sont humains. le fait qu'ils soient aussi crédibles m'a permis de relativiser de nombreuses choses dans ce roman. Notamment cette reconstruction trèèèèèès lente mais, au final, réaliste. Tout est plausible dans ce roman. Si seulement l'écriture de l'auteure avait pu nous faire oublier la lenteur du temps qui passe. Tristesse.

En résumé, ce roman proposait une histoire qui aurait pu être très émouvante, touchante et drôle. Malheureusement, l'auteure n'a pas su saisir ce qui s'offrait à elle sur un plateau d'argent et a choisi d'exploiter un axe qui ne m'a pas inspiré grand chose. Malgré des personnages attachants, l'écriture plate et le manque de dynamisme de ce roman ont un peu plombé ma lecture. Si l'auteure a essayé de nous communiquer un message (d'espoir, d'amitié ou que sais-je encore), il m'est complètement passé au-dessus. Dommage ! Si vous cherchez du feel-good, passez votre chemin.
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Ce roman relate l'histoire d'amitiés qui se créent dans des périodes de solitude et de deuil sans pour autant se vouloir larmoyant, et avec beaucoup d'espoir et d'humour.

Le rythme est plutôt sympa, entre le présent et les passages où Ona, 104 ans, raconte l'histoire de sa longue vie. Ce personnage est d'ailleurs très touchant. Sous son apparence de sorcière solitaire en fin de vie se cache une femme ayant de nombreux regrets et avec beaucoup de rêves et d'amour à donner. C'est finalement l'histoire de ses rencontres: les rencontres qui ont marqué son enfance et sa vie d'adulte ainsi que sa fameuse rencontre avec LE garçon puis sa famille.

Mes petits bémols sont plutôt sur le résumé qui annonce "un road trip inattendu et burlesque" et sur le titre qui promet des "surprises". Il y a en effet une petite virée en voiture, mais ce n'est pas la base du roman. de même pour les surprises: j'ai trouvé qu'il en maquait justement... J'ai beau avoir apprécié ce roman, je dois avouer qu'il y a quelques longueurs et peu de revirements de situation.

Mais voila, la fin est si touchante que l'on en oublie les petits moments d'ennui: ah, je l'ai tant aimé cette dernière page! C'est simple, ni trop triste, ni trop heureux mais suffisant pour que j'en ai les larmes aux yeux et le sourire aux lèvres!
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Il n'est jamais trop tard pour vivre.

Mademoiselle Ona Viktus, 104 ans, est une vieille dame assez revêche. Tous les samedis, un jeune scout, à condition qu'elle ne le renvoie pas car elle se montre assez difficile, vient nourrir ses oiseaux et lui tenir compagnie. Or elle est tombée sur “l'oiseau rare” avec le garçon (durant toute l'histoire il ne sera jamais fait mention de son nom), un enfant de 11 ans passionné par les records Guinness et les listes de 10. En l'espace de quelques semaines, il va tout bouleverser. Et lorsqu'après sa mort, son père viendra pour le remplacer, Ona va se laisser apprivoiser par Quinn. Tous deux vont cheminer ensemble grâce au garçon : Ona va découvrir que la vie a encore bien du charme et qu'elle peut encore éprouver des sentiments comme l'amitié, la compassion ; Quinn quant à lui va percevoir tout ce qui faisait la richesse de son fils qu'il a plutôt négligé de son vivant et Belle, la femme qu'il aime toujours mais dont il est divorcé, va trouver le courage de continuer à avancer.

Je remercie NetGalley ainsi que les Éditions Kero pour ce Service Presse. Je dois avouer que vu la couverture et le résumé, je m'attendais à une lecture plus légère et il m'a fallu plusieurs jours pour venir à bout de ma lecture. C'est très bien écrit et Monica Wood décrit toutes les émotions avec beaucoup de délicatesse et de sensibilité mais c'était beaucoup trop long. Et puis malgré les touches d'humour, j'ai trouvé l'ambiance pesante : Quinn plus préoccupé de ses concerts et de sa musique est passé totalement à côté de son fils et de ce dont avait besoin son épouse. À présent divorcé, il espère toujours qu'ils pourront se remettre ensemble mais elle a rencontré quelqu'un d'autre. Belle est totalement détruite par la mort brutale de son fils et est en pleine dépression. Ona n'a pas eu une vie heureuse non plus mais j'ai été désagréablement surprise par son manque d'affection lorsqu'elle rend visite à son fils Laurentas. La liste des records Guinness au début m'a amusée mais à la fin je trouvais lassant même si je reconnais l'importance de ces records dans la vie d'Ona. Les enregistrements sur sa vie étaient intéressants mais un peu trop superficiels. Et puis pourquoi n'avoir mis que ses réponses ? Je sais bien que le garçon est mort mais l'auteur en ne lui donnant jamais son prénom, en ne mentionnant pas ses questions en fait un personnage inconsistant alors qu'il est à l'origine de tout.

Au final une lecture qui pour moi manquait de dynamisme, à côté de laquelle je suis passée et qui m'a ennuyée.

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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Tu entends ça ? lui a dit un jour son père à propos des notes fantômes d'Eric Chapman. C'est comme si quelque chose surgissait de la mer. C'est à te couper le souffle.
Il a le souffle court, ses bras fatiguent, mais il tient le dictaphone bien haut, déterminé à tenir jusqu'à la dernière boucle de la bande. C'est le grand finale, le chorus matinal qu'il va apporter à son père qui possède une machine magique avec des boutons et des lumières. Dieu ne peut commander aux oiseaux de chanter plus bas, son père, oui.
Il demandera ça à son père, qui se dira : Tu n'es pas foutu de jouer un accord, qu'est-ce que tu peux bien comprendre aux variations de tonalités ?
J'ai écouté, lui répondra-t-il, et son père comprendra combien il s'est appliqué ; combien il a observé avec attention ; combien il a essayé. Il dira à son père que le chorus matinal est comme quelque chose qui surgit du souffle qu'il emporte avec lui.

p.393
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Il n'était pas un rêveur, quoi que puisse en penser Ona. Il était un besogneux. Un besogneux qui aimait la musique. Toutes les musiques : les sublimes trouvailles de ses idoles, oui, mais aussi les folksongs toutes simples, le glam metal, le blues du Mississippi, les chansons religieuses, le jazz manouche, les big bands, le rock, la macarena, la danse des canards, la chenille qui redémarre. Il aimait la musique d'un amour accablant, irrationnel et sans concession ; la musique - la pire comme la meilleure - était pareille à un enfant sur lequel il devait veiller.

p.340
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"J'ai été un très mauvais père."
Ona hocha la tête et dit sur un ton neutre : "Il y a pire.
- Comme quoi ?" Il voulait vraiment le savoir.
"Etre une mère juste passable, répondit-elle en avalant une gorgée de café. De mauvais pères, on en trouve à la pelle, sans même y prêter attention. Peu importe quel genre de père vous avez été - et je suis sûre que vous n'avez pas été si mauvais que vous le pensez -, vous avez sûrement fait de votre mieux, on ne demande pas plus à un homme.

p.231
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Elles étaient comme Louise, ces femmes : des personnes énergiques qui se complaisaient dans les situations de crise, qui se dressaient sans réfléchir contre l'outrage, qui prodiguaient des trésors d'affection au moment où on l'attendait le moins.

p.296
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elle avait l'impression de parler avec un garçon qu'elle aurait pu connaître quand elle avait onze ans. [...] Il y avait quelque chose de vaguement étrange chez lui, qui lui donnait l'air d'un visiteur d'un autre temps et d'un autre monde.

p.35
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Vidéo de Monica Wood
À 104 ans, Mlle Ona Vitkus pensait en avoir fini avec les sentiments. Mais l?arrivée dans sa vie si ordonnée d?un jeune garçon pas comme les autres va tout chambouler.
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