Le roman de
Joël Dicker, [...], n'est pas exempt de quelques défauts de jeunesse [...]. Ce qui n'empêche pas le lecteur, subjugué, impatient, littéralement accro, de tourner les pages frénétiquement, allant de surprise en surprise, ouvrant l'une après l'autre les boîtes du récit comme des poupées russes.
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