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François Truchaud (Traducteur)
EAN : 9782266048385
283 pages
Pocket (24/08/2005)
3.47/5   89 notes
Résumé :
L'eau du robinet était colorée, jaune, légèrement verdâtre.
Elle n'avait pas de goût. Juste une très faible odeur de poisson. Peut-être n'aurait-il pas dû en boire. La nuit, il fit un rêve stupide : il nageait dans une eau très sombre et il voulait remonter à la surface, mais cela lui était impossible. Parce qu'il n'y avait pas de surface... parce que cette eau se trouvait sous terre, sous des tonnes et des tonnes de roches... Le matin, la transformation avai... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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Avec le temps, mes amis sur Babelio, connaissent un peu mes goûts. Après mes lectures de Sire Cédric, mes deux amis Alberhenri ainsi qu'Éric, me demandent : «Pourquoi tu ne lis plus ton auteur favori Graham Masterton ?» J'avoue que je mets souvent mon écrivain préféré de côté, alors je décide de le lire, évidemment. C'est avec bonheur, que je débute mon livre «Les puits de l'enfer», que mon ami Éric me choisit.



Épouvante, Cauchemardesque, Burlesque

Je constate, que Graham Masterton possède le don de te montrer une autre réalité, comme lui, il veut bien te démontrer. Il t'offre ici, du grand Masterton, je reconnais amplement la belle plume, de mon géant. C'est vraiment sa signature, car il maîtrise autant son histoire, ses thèmes, ainsi que ses légendes. J'avoue, que c'est une de ses grandes marques. Il te livre également une histoire rocambolesque, que juste lui, est capable d'inventer. Tu es vraiment admirative, de son talent et de son art pour monter une histoire pareille. Tu n'oses vraiment pas croire, tout ce qui se déroule sous tes yeux. C'est inimaginable.

C'est donc l'histoire de Mason, qui est plombier, et qui est toujours en compagnie de sa chatte Shelly. Pour lui, elle n'est pas juste un animal, elle représente aussi une amie. On l'accompagne donc dans une inspection, lorsqu'il arrive sur les lieux, rien n'est comme d'habitude. La maison est remplie d'eau et il se rend compte que l'eau en est peut-être la cause. C'est avec Dan, son partenaire, qui tente d'élucider le mystère. Tu es vraiment surprise, terrifiée et stupéfaite, de la tournure des événements. Tu es toujours en haleine, car c'est un peu, une course contre la montre. Je ne vois pas de temps mort, tu parviens très bien à suivre l'histoire.

C'est intéressant les sujets qu'il aborde et il les intègre bien dans son récit. Pour moi, Mason, est un héros, même si on le qualifie, d'un plombier ordinaire. Il essaie coûte que coûte, de résoudre cette affaire, par tous les moyens, même s'il doit passer pour un fou, auprès d'un médium, de la police ou des autres intervenants.



C'est une histoire vraiment un peu folle, qui sort de l'ordinaire. Notre héros Mason est vraiment confronté, à quelque chose, d'inaccoutumé. On se croit, un peu, comme dans un film d'horreur, avec des scènes un peu sanglantes et à des trans-formations loufoques, qui nous laissent sans voix. Au cours de ta lecture, tu es vraiment captivée, tu suis très attentivement le déroulement, ainsi que l'enquête qui se poursuit. On se sent à la fois observé, traqué, et menacé, comme Mason, peut le ressentir, autour de lui. On s'aperçoit que son quotidien est chamboulé, depuis cet événement.

Pour terminer, je suis très satisfaite de ma lecture, que je dévore littéralement. Je suis trop curieuse, alors je ne lâche pas mon livre, car le suspense est très présent. Vraiment, il est incroyable ce Graham Masterton. Je reconnais bien là son écriture vigoureuse, avec un brin d'humour sarcastique, ainsi qu'une imagination débordante. Il réussit vraiment à m'évader, à me faire entrer, dans cet univers fantastique. Je suis toujours émerveillée par la richesse de ses histoires, qui me fait rêver à nouveau. Il est tel un magicien, qui m'amène dans des mondes parallèles, comme juste lui, sait si bien le faire.



En refermant mon livre, je me rends compte, que je dois lire plus souvent mes livres de mon auteur chouchou, car ça me fait un bien fou. Il sait saisir la magie, à travers ses mots et c'est seul le lecteur, qui peut la percevoir ou non. Lorsque je repense à cette histoire, je ne vois plus les plombiers de la même façon et surtout aussi l'eau qu'on boit. On prend conscience que c'est une source vitale, et si on ne pourrait plus en boire, qu'est-ce qu'on deviendrait ? Je remercie encore une fois Éric qui m'a choisi ce livre, avec lequel je passe un très bon moment. Ensuite, je vais lire le «Djinn» qu'Alberthenri me recommande aussi. C'est ça, les amis, ils ne veulent pas, que tu oublies tes livres, que tu affectionnes tant.

Graham Masterton se dépasse encore une fois et c'est un très bon cru. Il fait partie de mes livres préférés maintenant et il y a de quoi. Est-ce que je suis objective ici dit ?
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Chtulhu vous connaissez ?
C'est la fameuse créature fétiche de Lovecraft, un être immonde, vivant au fond des océans, une créature mythique impossible à décrire, mais dont la vue soulève le coeur et peut faire perdre l'esprit tellement elle est puante, abominable, terrifiante, bref, vous l'aurez compris, ce Chtulhu n'est vraiment pas le truc qu'on a envie de croiser par hasard.
Dans ce roman, le mythe de Chtulhu est revisité et tout commence par de l'eau qui a une couleur suspecte.
Un gentil plombier, qui au passage a fait des études universitaires et connaît bien les théories des grands psychanalystes, va enquêter pour découvrir pourquoi l'eau d'un puits est légèrement jaune et dégage une odeur étrange.
Il sera secondé par son chat, capable de détecter les démons, dieux anciens, ou créatures venant du fond des âges !
Tout va s'enchaîner très vite et d'une simple possibilité de contamination de l'eau, on va passer à la perspective de la fin du monde en 200 pages.
J'ai bien aimé ce roman vraiment distrayant, qui fait donc un gros clin d'oeil à Lovecraft, mais dans une version sacrément drôle.
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Je n'ai pas résisté longtemps dès qu'il fut intégré à ma PAL. Tel un toxico, je me suis jeté dessus en quête de savoureuses lettres sanguines. « Les puits de l'enfer » est l'un de ses premiers écrits. En début de carrière, Graham Masterton était en pleine période fougueuse d'écriture. Il sortait entre deux et trois livres par an. 1979 ne déroge pas à cette règle et paressait, cette année-là, « Le complot de Sweetman » – un thriller bien sympathique mais très loin de l'excellente plume du Maître – et « Le Sphinx » (pas encore lu).
Une mini déception vint lorsque j'ai ouvert ce livre. Comme pour ses premiers écrits, la narration se fait à la première personne.

Mason Perkins est appelé chez les Bodine. L'eau de leur puits est d'une étrange couleur. D'une teinte jaunâtre – rappelant l'urine –, ce liquide inquiète les possesseurs de ce puits.

Ce livre est un pétard mouillé. le début alléchant se transforme rapidement en un thriller fantastique aux nombreuses longueurs. Nous sommes bien loin du Masterton que j'aime. Plus je lisais et plus je regardais combien de pages il me restait. Cette platitude littéraire me surprend quand on sait que quatre ans plus tard, il signera l'un de ses meilleurs romans : « Le démon des morts ».
Je ne reconnais même plus le style percutant de l'écossais. Censuré ou sans panache, je ne retrouve rien. Ce livre est dépourvu de toute trace d'hémoglobine, de passages bien horrifiques comme j'ai pu m'enivrer sans jamais atteindre la gueule de bois. On retrouve toutefois un humour bien moins décapant qu'à l'accoutumé – j'ai en mémoire le mémorable « La nuit des salamandres ».
Ce n'est parce que je critique ce livre qu'il est mauvais. J'ai commencé par l'excellence avec cet auteur et j'ai comme une bouffée de nostalgie quand je ne retrouve pas l'écriture du Maître. Si je fais abstraction de mes attentes, j'avoue que l'histoire est intéressante. J'ai bien la complicité entre Mason et son chat Shelley. J'ai eu un petit sourire lorsque j'ai vu comme s'appelait son concurrent pour conquérir le coeur de la scientifique : Pigskin ( = face de porc).
Le dernier tiers est plus intéressant. L'auteur nous dresse un hommage à Howard Phillips Lovecraft avec le mythe de Cthulhu. L'histoire s'emballe et je retrouve une des forces de Graham Masterton : les descriptions de légendes. Je m'émerveille comme un étudiant qui écoute son professeur. La fin est haletante et j'ai du mal à m'arrêter. Les dernières pages sont envoûtantes, parfois perverses, mais sont un pur régal.

Nous avons là un Graham de faible facture (si on excepte ces 80 dernières pages) que je ne recommande pas comme première lecture pour découvrir l'auteur. Ce livre est fait pour les fans comme moi, de l'auteur, qui souhaitent avoir tous ses livres. Heureusement, l'écossais écriera, par la suite, des chefs-d'oeuvres.
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"Dans les profondeurs dorment des êtres sombres, inconnus et tout à fait infréquentables. L'un d'eux, grand parmi les grands, possède le pouvoir de changer les humains en des créatures abjectes, nées pour le servir. Il invente un virus terrifiant qui contamine peu à peu les eaux de la région. Et un homme du nom de Mason Perkins, plombier de son métier, va mener une enquête pour savoir ce qui arrive à ces gens aux comportement étrange..."

Maître Graham Masterton reste et demeure à ce jour, un des auteurs le plus Lovecraftien de la littérature d'horreur, avec notamment, des conteurs tels que Maître Stephen King, Brian Lumley ou aussi bien, Arnaud Codeville pour la France.
C'est sans aucune appréhension que l'on plonge directement au coeur d'une intrigue terrifiante. La trame est racontée à la première personne avec de surcroît, une écriture fluide. Nous sommes donc projetés dans la peau du personnage principal, Mason Perkins, tout en vivant les épouvantables évènements à travers son ressenti. Ce qui me plaît assez, surtout dans ce genre de récits captivants et remplis de suspense.
L'auteur de génie ne perd pas de temps, il aime que ses propres intrigues marquent les esprits de chacun des lecteurs.
Quelques détails peu ragoûtants vont même nous faire hérisser les poils. D'une manière ou d'une autre, lorsqu'on attaque un bouquin du génial et talentueux Tonton Masterton, il faut toujours s'attendre à ressentir des sensations fortes. Et ces "Puits de l'Enfer" vont nous mener très loin dans les Temps Anciens dans une ambiance horrifiquement crédible et très bien soignée. "Les Puits de l'Enfer" est une oeuvre qui oscille entre l'horreur avec un grand "H" et la science-fiction, puis par dessus tout (oui, toujours !),
une bonne dose d"humour 100% Mastertonienne.
Le seul reproche que je puisse faire, à part ces frissons et cette plume acérée, c'est le fait que l'ensemble de ses personnages ne sont pas particulièrement très attachant ni approfondi mais plutôt, antipathique et bourrer de défauts. Mais encore heureux, que le suspense et la terreur sont bel et bien au rendez-vous. La tension se met très vite en place, qu'elle devient de plus en plus oppressante, palpable, sans compter les quelques passages bien dégoûtants à se farcir.
Pour conclure en toute beauté, "Les Puits de l'Enfer" est un pur petit bijou d'épouvante au climat humide très bien écrit et rempli de suspense comme seul le Lovecraft écossais sait le faire. Grâce à sa propre plume tranchante, il nous mènera par le bout du nez là où lui il veut... et pour ça, on en redemande encore et encore. Les amateurs de sensations fortes seront, à coup sûr, aux anges.
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The Wells of hele
Traduction : François Truchaud

L'un des thèmes préférés du grand Lovecraft, qu'il a traité sous diverses formes et, de manière à notre avis magnifique et exemplaire dans "La Couleur Tombée du Ciel", était la contamination des humains par une entité venue des étoiles. Dans "Les Puits de l'Enfer", Masterton reprend l'idée mais l'adapte à sa propre nature d'écrivain - et aussi à notre siècle. Lovecraft, en effet, évoque rarement la science dans ses nouvelles. Une certaine forme de mathématiques, oui, dans "Par delà le Mur du Sommeil" ou "Les Rêves dans la Maison de la Sorcière", et la biologie et la chimie dans des nouvelles assez "classiques" comme "Herbert West, le Réanimateur", voire dans "L'Affaire Charles-Dexter Ward." le Solitaire de Providence était avant tout un poète et un rêveur qui adorait les cauchemars : l'aspect réaliste des sciences ne le séduisait pas.

Masterton, lui, sans être un fanatique des expériences menées par des savants brillants mais complètement fous, vit plus avec son temps. Il n'y a qu'à songer, par exemple, à la base de "Sang Impur" pour le constater. Dans "Les Puits de l'Enfer", il imagine une contamination extra-terrestre par infiltration dans l'eau des puits d'une communauté. Au risque de décevoir les fans de John Carpenter qui, devant ces lignes, pourraient imaginer (avec délices) un village entier de zombis contaminés , je rassure tout de suite les âmes sensibles : seules trois personnes le seront effectivement. Une quatrième mourra avant de l'être complètement.

En outre, Masterton laisse planer un doute sur la nature de la créature responsable de la contamination : animal dont l'espèce aurait disparu il y a des millions et des millions d'années et dont un spécimen serait parvenu à survivre, endormi dans les roches ? animal d'origine terrestre, même s'il était largement antérieur aux dinosaures ? ou animal-entité extra-terrestre qui aurait engendré certaines légendes - dont le mythe de Chtulhu si cher à Lovecraft ? ... Bon, c'est vrai, vu ce que cet être est capable de provoquer, fût-ce à distance, on penche plutôt vers l'entité extra-terrestre malveillante. Mais que voulez-vous, c'est la loi du genre. Wink

Comme souvent chez l'auteur, le récit est à la première personne. le narrateur, Mason Perkins, plombier de son état, se promène toujours avec son chat roux, Shelley. (Non, il n'arrive rien au chat.) Les personnages sont, dans l'ensemble, depuis la laborantine dont est amoureux Perkins jusqu'aux fermiers contaminés, assez peu conventionnels et cela ajoute au charme de ce roman qu'on lit sans déplaisir mais aussi, peut-être, sans passion. Un bon moment de lecture mais pas un grand. ;o)
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Citations et extraits (24) Voir plus Ajouter une citation
Il me regarda; son visage était indistinct dans l'ombre.
- Oui et alors ?
- Eh bien, si l'eau a fait cela à une souris... quel effet pourrait-elle avoir sur un être humain ?
- Je n'en ai pas la moindre idée. Il arrive des petits animaux, comme des souris et des rats, soient affectés par des produits chimiques ou certaines substances, alors que les êtres humains ne le sont pas. Songez à toute cette histoire avec la saccharine. On s'est aperçu que la saccharine était cancérigène lorsqu'on en donnait à des rats servant des cobayes, mais ce n'était pas la preuve indiscutable qu'elle avait le même effet sur les êtres humains. Il en va de même pour de nombreux micro-organismes qui peuvent être affectés gravement ou tuer des rongeurs, mais qui n'ont aucun effet sur les gens.
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[...] ... Je me baissai et écartai et écartai progressivement les mains. J'aperçus un minuscule museau rose, des moustaches marron, des oreilles roses et un dos recouvert de poils. Puis je vis autre chose qui me fit écarter mes mains de cette souris, si vite que je perdis l'équilibre et tombai. Je heurtai de l'épaule les placards sous le plan de travail.

- "Dan ! [Le laborantin.] Pour l'amour du ciel !" m'exclamai-je.

Dan se retourna et baissa les yeux, fixant le sol, là où j'avais laissé tomber la souris. Au début, il ne se rendit pas compte qu'il y avait quelque chose d'anormal, puis il regarda avec horreur et fascination la créature qui se tenait, toute tremblante et parcourue de frissons, sur le parquet verni, refusant ou incapable de bouger.

- "Mais que lui est-il arrivé ?" demanda-t-il doucement entre ses dents.

Il s'agenouilla près de la souris et la lorgna de plus près. La souris poussa de petits cris mais n'essaya pas de s'enfuir.

Cela ne lui était pas possible, bien sûr. Depuis la partie médiane de son dos jusqu'à son arrière-train, son corps était recouvert d'une sorte d'excroissance sombre et cornée, ce qui la faisait ressembler à un énorme scarabée noir. Même ses pattes de derrière avaient été affectées ; leur extrémité ressemblait à des serres rugueuses. Son dos et ses flancs luisaient étrangement, d'un vert foncé, et présentaient des aspérités. ... [...]
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[...] ... Je tournai le robinet et laissai couler l'eau. Au début, elle sortit tout à fait claire, mais après un petit moment, je commençai à noter une très nette coloration. Rien de saisissant, pas comme cette eau couleur de sang là-bas, à Kent, mais une sorte de jaune pâle et déplaisant. Pour parler crûment, on aurait dit de la pisse. Avec des gestes solennels, je remplis d'eau le bocal, puis le levai à la lumière.

- "Qu'en pensez-vous ?" demanda Jimmy.

Je haussai les épaules.

- "Pour le moment, pratiquement rien, excepté que l'on dirait qu'il s'agit d'un genre de substance minérale. Elle est plutôt claire."

Je reniflai l'eau : elle n'avait apparemment aucune odeur particulière. Je fis passer le bocal à la ronde, pour qu'Alison et Jimmy sentent également. Jimmy haussa simplement les épaules mais Alison huma une fois, puis elle renifla à nouveau et déclara :

- "Du poisson.

- Je vous demande pardon ?" fis-je.

- "Eh ! bien, je suis peut-être folle mais, pour moi, cette eau dégage une odeur de poisson."

Je tins le bocal sous mon nez et inspirai.

- "Non, je ne sens rien," lui dis-je. "Et vous, Jimmy ?"

Jimmy fit un nouvel essai mais il secoua également la tête. ... [...]
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Ce n'est pas étonnant. Des gens servaient le Diable et passaient des accords avec lui, et cela n'avait rien d'étonnant. Des gens avaient vénéré les dieux-bêtes vivant dans les montagnes de l'Atlantide sous les eaux, et cela n'avait rien d'étonnant.. Il y a toujours des moments de regret, de frustration, d'envie de quelqu'un ou de quelque chose que nous posséderons jamais.
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Je pense que, si le Diable n'existe pas, l'homme l'a néanmoins créé à son image et à sa ressemblance.

Dostroisvski

Depuis son lit de soufre, au point du jour, le Diable est allé visiter
Sa petite ferme douillette du Monde
Et voir l'état de son bétail

Southey
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Catherine Dufour, l'autrice du Goût de l'immortalité (Prix Rosny aîné 2006, Grand Prix de l'Imaginaire 2007), d'Entends la nuit (Prix Masterton 2019) et, plus récemment, de Danse avec les lutins (Prix Imaginales 2020) nous explique en quoi l'ordre des Bene Gesserit est… une… plantade. En gros. Si, si.
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