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EAN : 9782264083975
240 pages
10-18 (04/01/2024)
3.85/5   42 notes
Résumé :
« J’aurais été incapable d’expliquer pour quelle raison je m’étais mis à suivre Marcello. »

Voilà l’histoire de l’insistante et hasardeuse collision entre un étudiant tordu et un vieux loup de mer mystérieux. L’histoire de certains qui ont eu vingt ans en l’an 2000 sans trop savoir quoi en faire. L’histoire du fantôme de Marcello Mastroianni. D’un retour vers le futur. D’une enquête sans inspecteur Gadget. D’un jardin secret et d’une étrange tripotée ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Emprunt à la Bibliothèque Buffon- 3 novembre 2022

Une sorte de fable surréaliste, déjantée et poétique sur le " dur métier de vivre " pour un jeune homme , tentant de trouver du sens à sa vie !

Période où je m'immerge à nouveau dans la prose aussi colorée que réjouissante de Thomas Vinau ...

Nous allons être "embarqués " par les tribulations de ce jeune étudiant croisant par hasard , un vieux loup de mer...tout aussi marginal et hors du " jeu social " que lui- même !!...

"Parfois il n'y a que ça à faire. Sortir. Même si on ne sait pas pourquoi. Même si on ne sait pas où aller.Sortir. Surtout de soi. de son crâne tiède. S'échapper. Mes potes et moi on avait tous lu ce livre- là qui plaisait beaucoup à l'époque
" L'Éloge de la fuite".C'était un essai
d' Henri Laborit, un des seuls essais que j'avais lus jusqu'au bout.Et pour cause. le gars racontait que la fuite était était la meilleure solution. (...)
Pablo, Charles et moi étions méchamment d'accord.C'était prouvé scientifiquement, esquiver le monde était la solution. Fuir le réel avait été jouable jusqu'à présent. La plupart du temps en tout cas."

Le narrateur, un jeune homme, étudiant pas très convaincu, fait des petits boulots pour " survivre", entre présence épisodique aux cours, travail dans une friterie, glandouille diverses, fumettes et virées avec les potes !!...
Toutefois, il gamberge sur son avenir, sans grand résultat, en dehors d'un unique besoin irrépressible : celui d'écrire , encore et encore !..

......jusqu'au jour, où un " drôle d'oiseau" lui tombe dessus, au propre comme au figuré...Un vieil original, qui déambule dans la ville, qu'il croise plusieurs fois à la terrasse d'un café, buvant des " rosés ", en noircissant un calepin de notes et de dessins...Notre jeune narrateur, trop intrigué, se décide à lui suivre...Ce vieil original se glisse , en grimpant sur un mur , dans un parc clos, sauvage, mystérieux...

Et voilà notre étudiant transformé en " enquêteur "...trouvant les manies et les allées et venues du vieil homme, trop insolites !

Il ne sera pas déçu....il se retrouvera dans une sorte d'espace caché, protégé...tenant du jardin sauvage , du lieu magique de l'enfance et de l'arche de Noé; une sorte de domaine extraordinaire aménagé par " un savant fou" !!

Au fil de ses filatures, le narrateur a donné un surnom à " l' objet de toutes ses curiosités ": Marcello ( en songeant à l'acteur beau , ténébreux et mystérieux que représente pour lui, Mastroïanni).
..C'est ainsi, qu'au fil de la narration, le narrateur
( auteur?) nous fait partager sa passion des plus enthousiastes pour le cinéma, et plus particulièrement, celui de Frederico Fellini...

Une lecture singulière, pleine de fantaisie comme d'accents de gravité ...Un récit qui parle de façon débridée de questionnements existentiels , mais aussi des " solitudes urbaines"...Avec de magnifiques passages sur l'Écriture et ses pouvoirs...Les mots, transformant la réalité et surtout cette Ecriture qui " donne SENS" à notre jeune narrateur, en recherche...

Toutes mes excuses pour le très long extrait qui clôturera cette note de lecture...cependant j'y tiens, car il est parmi mes préférés, dans les abondants soulignements qui ont parsemé cette étonnante lecture !

"J'avais un carnet, pour poscaster et écrire deux ou trois lignes en tentant de capter quelques détails, de mettre un peu d'ordre dans tout ça. (...)
Ce n'était pas un hobby mais une nécessité. Il fallait que je prenne des notes , que j'écrive, que je marque et traduise pour capter, dans tous les sens du terme, quelque chose.Dans ces moments, je mettais ma foi et mes forces à me prendre pour Henry Miller ou Céline , Kafka, Maupassant ou Koltès et, étonnamment, je n'y arrivais pas.Mais j'essayais.Jusqu'à ce que je déteste le résultat. C'était le seul domaine dans lequel j'acceptais d'aller au bout.Parce que j'en avais besoin.Parce que c'était plus grand que moi, plus grand que les cailloux noirs dans mon ventre, plus grand que cette farce humaine et sociale, plus grand que l'horreur de l'injustice, plus grand que toutes les hypocrisies, même la mienne.Plus grand que mes peurs aussi.Parce que c'était beau et que ça me consolait, me faisait rêver, penser et sentir, me donnait l'illusion d'avoir une place et d'y être infiniment meilleur.

Parce que toutes les lumières et toutes les ombres se mêlaient dans les mots.Parce c'était la littérature, donc l'art, donc la seule vie qui vaille, l'unique construction humaine à laquelle je voulais bien croire.En secret."


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« Bien sûr j'étais un garçon légèrement bancal, gentiment tordu, un peu perdu sur les bords, mais j'avais appris à danser comme ça, à m'adapter, à observer. »
Voilà comment se décrit notre personnage.
Étudiant un peu branleur, qui préfère les nuits de fumette entre potes que les jours à l'amphi, contemplatif.
Un vieil homme l'intrigue et il le suit, découvre son univers et ses secrets.
Encore un excellent Vinau.
Mais ils sont tous excellents de toute façon.
Le décor change, on est en ville cette fois-ci.
Mais les personnages sont tout aussi touchants, la poésie tout aussi présente, les sentiments tout aussi à fleur de peau, l'imagination tout aussi délirante.
Cet étudiant tordu et ce vieux loup de mer baroudeur sont devenus des intimes et resteront à jamais dans nos esprits.
Merci de nous les avoir présentés Monsieur Vinau.
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Un récit au ton tendre et ironique où l'auteur décrit son quotidien, à vingt ans, dans sa ville...
Et un hommage attendri au comédien italien Mastroianni.

" Nous étions une bande d'amis un peu dingues, appliqués à ne faire que ce que nous voulions et en particulier rien. Tous doués, tous tordus, tous branleurs. Chacun avait des talents, qu'il exploitait mal, dessin, musique, philosophie, études, business. Chacun aimait pousser les limites et se défoncer avec ce qui passait. Chacun avait une entaille dans le myocarde ou un bout d'enfance déboîté. Une belle bande."

J'ai aimé cette lecture qui navigue entre rêve et réalité.
Une poésie tellement savoureuse, atypique et enveloppée d'humour.
Son regard existentiel sur son époque, sa lucidité, sa folie et une irrésistible envie de trouver un sens à sa vie.
A la lecture de ce livre, on perçoit une ombre de désespoir mais aussitôt une envie d'exister.

"Nous étions un beau matin d'avril. Je venais d'avoir vingt ans. Trop jeune pour être au RMI, trop vieux pour crever la nique. Ma situation étai critique et mon coeur en morceaux. J'avais trois passions, la défonce, l'amour et puis les livres. L'orde dépendait des jours. Aimer, rire et écrire étaient mes seules ambitions mais bien que j'y consacre toutes mes forces, je ne parvenais réellement à pratiquer aucune des trois activités.
J'étais inscrit à la faculté de lettres, que je fréquentais avec raison et parcimonie, afin de recevoir mes bourses.
Je travaillais dans un snack, une heure par jour, et sentais la frite les vingt-trois heures suivantes."


"J'avais un carnet, pour podcaster et écrire deux ou trois lignes en tentant de capter quelques détails, de mettre un peu d'ordre dans tout ça. le paysage, le ciel, la rue, les corps, mon coeur, ma tête, les pavés brillants, tout ce bordel emmêlé qui se gonflait et se dégonflait sans fin comme le ventre de Totoro, Tout ce bordel noueux et glissant à la fois, qu'on appelle la réalité. Je devais percevoir, ordonner, transcrire. Ce n'était pas un hobby mais une nécessité. Il fallait que je prenne des notes, que j'écrive, que je marque et traduise pour capter, dans tous les sens du terme, quelque chose.
Dans ces moments, je mettais ma foi et mes forces à me prendre pour Henry Miller ou Céline, Kafka, Maupassant ou Koltès et, étonnamment, je n'y arrivais pas. Mais j'essayais. Jusqu'à ce que je déteste le résultat. C'était le seul domaine dans lequel j'acceptais d'aller au bout. Parce que j'en avais besoin. Parce que c'était plus grand que moi, plus grand que les cailloux noirs dans mon ventre, plus grand que cette farce humaine et sociale, plus grand que l'horreur et l'injustice, plus grand que toutes les hypocrisies, même la mienne. Plus grand que mes peurs aussi.
Parce que c'était beau et que çà me consolait, me faisait rêver, penser et sentir, me donnait l'illusion d'avoir une place et d'y être infiniment meilleur.
Parce que toutes les lumières et toutes les ombres se mêlaient dans les mots. Parce que c'était la littérature, donc l'art, donc la seule vie qui vaille, l'unique construction humaine à laquelle je voulais bien croire.
En secret.

Et moi, la lectrice j'ai aimé, simplement, parce que c'était beau !










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« Je m'étais levé tôt, et je traînais pour me préparer à exister ». Fernando Pessoa.

Maître Vinau dans son arbre perché, Marcello à côté, tenait en son esprit une histoire…
« Marcello & Co » oscille entre réalisme et poésie.

Un jeune étudiant, un peu désabusé, fan de glandouille et d'herbe, préférant s'amuser, rire, écrire et lire, se confie sur ses frasques délirantes enfumées…et déambulations citadines.

Il mène sa barque frôlant la dérive mais navigant à vue grâce à la débrouille, il flotte…
Une errance souvent à plusieurs dans sa tête où les pensées se bousculent et partent en vrille plus ou moins joyeuse.

Une rencontre inopinée tombée du ciel (enfin, d'un arbre) survient dans sa vie et va réserver son lot de surprises farfelues.
Jusqu'au Jardin des Plantes il tente de suivre son Marcello comme Alice avec le lapin blanc.

Et c'est parti pour un chemin bordé de burlesques aventures, et de dérision mélancolique en mode argot. On entre dans un monde alternant réalisme et magie. Une atmosphère comme un étourdissement, ami consolateur, et du sens.

Le dernier roman de Thomas Vinau m'a semblé assez différent des précédents lus.
Un ressenti en demi-teinte.
*
« On peut rencontrer une personne dans une histoire, un personnage. (…) Un jour, quelqu'un, quelque part, invente une histoire. Il la raconte avec ses moyens, ses limites, son imagination. (…) Et un jour, quelqu'un d'autre, n'importe où, n'importe quand, sur la plage désertée de son île, reçoit cette bouteille à la mer. Lorsqu'il l'ouvre, un parfum étrange se diffuse autour de lui, qui vient donner à sa pauvre réalité une autre couleur, une dimension supplémentaire (…) »
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Un étudiant un peu paumé, pas très motivé, rencontre un homme pour lequel il éprouve une étrange fascination.
Il le suit, l'observe et lui donne le surnom de Marcello, car il lui trouve une véritable ressemblance avec Mastroianni.
Il m'est difficile d'en dire plus. Thomas Vinau ici offre le portrait d'un jeune à la recherche de son identité.
Cela se lit avec beaucoup de plaisir, les chapitres très courts se succèdent et les anecdotes amènent bien souvent de très bonnes remarques, et de nombreuses allusions aux films italiens joués par l'acteur. A noter également les excellentes citations entre les différentes parties du livre.
Ce n'est pas racontable, mais je ne peux que le conseiller. Pour moi, c'est de la très bonne littérature!
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
J'avais un carnet, pour poscaster et écrire deux ou trois lignes en tentant de capter quelques détails, de mettre un peu d'ordre dans tout ça. (...)
Ce n'était pas un hobby mais une nécessité. Il fallait que je prenne des notes , que j'écrive, que je marque et traduise pour capter, dans tous les sens du terme, quelque chose.Dans ces moments, je mettais ma foi et mes forces à me prendre pour Henry Miller ou Céline , Kafka, Maupassant ou Koltès et, étonnamment, je n'y arrivais pas.Mais j'essayais.Jusqu'à ce que je déteste le résultat. C'était le seul domaine dans lequel j'acceptais d'aller au bout.Parce que j'en avais besoin.Parce que c'était plus grand que moi, plus grand que les cailloux noirs dans mon ventre, plus grand que cette farce humaine et sociale, plus grand que l'horreur de l'injustice, plus grand que toutes les hypocrisies, même la mienne.Plus grand que mes peurs aussi.Parce que c'était beau et que ça me consolait, me faisait rêver, penser et sentir, me donnait l'illusion d'avoir une place et d'y être infiniment meilleur.

Parce que toutes les lumières et toutes les ombres se mêlaient dans les mots.Parce c'était la littérature, donc l'art, donc la seule vie qui vaille, l'unique construction humaine à laquelle je voulais bien croire.En secret.

( p.33)
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On peut rencontrer un film, un livre, une histoire, comme on rencontre une personne;
On peut rencontrer une personne dans une histoire, un personnage. Je parle d'une vraie rencontre. Un jour, quelqu'un,quelque part, invente une histoire. Il la raconte avec ses moyens, ses limites, son imagination.Il y glisse sa douleur et sa peine, sa colère, sa folie, son amour. Et un jour, quelqu'un d'autre, n'importe où, n'importe quand, sur la plage de son île déserte, reçoit cette bouteille à la mer. Lorsqu'il l'ouvre, un parfum étrange se diffuse autour de lui, qui vient donner à sa pauvre réalité une autre couleur, une dimension supplémentaire. Quelque chose qui l'apaise ou le console. Lui fait tourner la tête ou lui donne envie de rire.L'encourage ou le soutient. Quelque chose qui vient d'une autre dimension mais le relie plus sûrement aux autres. Même sur son îlot désert. Voilà le pouvoir d'une histoire.
Fabriquée de mots, de teintes, de notes.Elle te rencontre, t'embrasse, elle te remue et te touche comme un ami. Elle t'agrandit la cervelle...
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Parfois il n'y a que ça à faire. Sortir. Même si on ne sait pas pourquoi. Même si on ne sait pas où aller.Sortir. Surtout de soi. De son crâne tiède. S'échapper. Mes potes et moi on avait tous lu ce livre- là qui plaisait beaucoup à l'époque
" L'Éloge de la fuite".C'était un essai
d' Henri Laborit, un des seuls essais que j'avais lus jusqu'au bout.Et pour cause. Le gars racontait que la fuite était était la meilleure solution. (...)
Pablo, Charles et moi étions méchamment d'accord.C'était prouvé scientifiquement, esquiver le monde était la solution. Fuir le réel avait été jouable jusqu'à présent. La plupart du temps en tout cas.

( p.105)
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Ce qui est beau avec une ville, c'est qu'elle ne s'éteint jamais.On voit bien que c'est fait pour les gens seuls, pour les errants.J'allais d'un quartier à l'autre, d'une avenue à l'autre, d'un îlot à l'autre, sans logique et sans but.
(p.112)
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Je suis arrivé à la conclusion que mon domaine était une sorte d'annexe du Jardin des Plantes, autour de laquelle la ville avait poussé et qui avait été laissée là. C'était un miracle.En l'oubliant, le monde l'avait préservé, et ça le rendait merveilleux.

( p.140)
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« Nul dieu ne t'aidera, nul programme, nul parti, nul bulletin de vote, nulle masse, nulle unité. Je suis le seul capable de m'aider. Et c'est en moi-même que j'aiderai tous les hommes dont les larmes débordent. » B. Traven est Traven Torsvan qui est Berick Torsvan qui est Otto Feige qui est Hal Croves, qui est Ret Marut, enfin, je crois. B. Traven est né un an avant la mort de Karl Marx, enfin, je crois. B. Traven est un romancier allemand et un activiste anarchiste, un de ces hommes de l'ombre au petit chapeau rond qui font bouger l'histoire sans perche à selfie. […] Il a pris un nom différent partout où il a fait de la prison. Il a fait de la prison partout où il a incité à la révolution. […] » (Thomas Vinau, 76 clochards célestes ou presque, Éditions le Castor Astral, 2016)
« L'homme qui a tant fait couler d'encre dans les dernières décennies de sa vie est mort le 26 mars 1969 dans la ville de Mexico à des âges différents, non sans avoir épuisé plusieurs identités dont aucune ne paraît être la vraie. le succès des romans de Traven […] a déclenché une « chasse » à un individu qui ne se laissait pas photographier […]. La seule chose prouvée est que B. Traven ne fait qu'un avec Ret Marut […]. […] le proscrit réussira à débarquer, dans des conditions ignorées, sur les côtes du Mexique au cours de l'été 1924. La vie qu'il va mener sous le nom de Torsvan, ingénieur américain, pour être moins mystérieuse, n'en reste pas moins secrète […]. […] Cet apatride sans identité obtient finalement la nationalité mexicaine en 1951. […] Il faut considérer le romancier […] comme un aventurier écrivain qui a passé la majeure partie de sa vie à égarer les soupçons – pour mieux enfoncer les preuves de son humanité comme autant de clous dans les têtes molles du siècle. […] » (B. Traven, le gros capitaliste et autres textes, traduit par Adèle Zwicker, Éditions Libertalia, 2018)
« […] Quoique mes oeuvres soient traduites en dix-sept langues, je n'ai ni maison ni argent et je ne possède qu'un minimum de vêtements indispensables. […] » (B. Traven, Lettre à Solidaridad Internacional Antifascista)
0:00 - L'art des Indiens 4:27 - 2e extrait 4:45 - 3e extrait 4:59 - 4e extrait 5:32 - Générique
Référence bibliographique : B. Traven, le gros capitaliste et autres textes, traduit par Adèle Zwicker, Éditions Libertalia, 2018
Image d'illustration : https://www.gettyimages.fi/detail/news-photo/traven-schriftsteller-d-portrait-im-profil-undatiert-news-photo/537147851
Bande sonore originale : Bensound - Tomorrow Tomorrow by Bensound is licensed under a CC BY 4.0 Attribution International license.
Site : https://www.bensound.com/royalty-free-music/track/tomorrow
#BTraven #LeGrosCapitaliste&AutresTextes #LittératureAllemande
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