AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Leo (1054)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Neptune, tome 2

Voici l'épisode 2 de Neptune qui réunit Kim et de Manon qui se retrouve ensemble dans cette série pour de nouvelles aventures collectives. Visiblement, j'apprends par un petit stickers collés sur la couverture que c'est déjà la fin du cycle. On peut dire que c'est la parution la plus courte des cycles du Monde d'Aldebaran.



Mais bon, parfois, plus c'est court, meilleur est la consistance. J'avoue que je ne suis pas trop fan des séries à rallonge. J'ai par conséquent bien aimé ce cycle qui répondra à toutes les questions sur ce mystérieux vaisseau ayant parcouru la galaxie à la recherche d'un monde habitable à savoir le nôtre. Actuellement, ce vaisseau cylindrique tourne en orbite autour de la planète Neptune d'où le titre de la série. Mais bon, cette planète également bleu ne jouera pas de rôle déterminant.



Kim entraîne Manon dans une mission périlleuse de sauvetage des êtres humains capturés par ces extra-terrestres. On se rend compte que la menace se situe autour d'un ordinateur assez puissant pour contrôler des robots destructeurs et surtout des nanorobots mortels pour notre organisme.



S'il y avait un match entre Kim et Manon, c'est cette dernière qui remporterait la mise. On se rend compte que Kim a passé l'âge pour toutes ces conneries. Kim a manqué de discernement et cela aurait pu lui coûter la vie. Visiblement, c'est Manon qui va prendre la relève. Côté cœur, Kim a retrouvé sa relation avec Marc ce qui renoue avec les débuts de cette saga. La boucle est bien bouclée.



C'est toujours de la bonnes science-fiction qui a le mérite d'apporter de la crédibilité grâce à une intelligence des mises en situation. Tout est expliqué et cela tient debout comme par exemple les soucoupes volantes de forme ovale que nous avons beaucoup vu dans les années 50 en matière d'ufologie ou encore les enlèvements par des extra-terrestres. Je pense d'ailleurs que c'est l'un des meilleur scénario de toute la saga. Il est vrai que cet univers me fascine depuis des années déjà.



Et puis, au niveau du dessin, tout est parfaitement maîtrisé. C'est du grand art.



On ne peut que remercier Léo pour ce diptyque très réussi.
Commenter  J’apprécie          360
Les mondes d'Aldébaran - Cycle 2 de Bételgeuse,..

Après un 3ème tome poussif et ennuyeux, le cycle de Betelgeuse reprend de la vigueur avec ce 4ème volet. Dans « les cavernes » on retrouve la qualité essentielle de Leo, qui fait oublier son dessin médiocre, son imagination. En effet, il déploie ici une belle inventivité dans l’évocation de la faune et la flore de la planète. On croise moult créatures même si les rencontres sont parfois un peu rapides. L’intrigue s’attarde moins sur les bluettes sentimentales des protagonistes et se recentre sur son sujet. On se retrouve donc avec un vrai récit d’exploration, ce qu’on était venu chercher.



Commenter  J’apprécie          350
Les mondes d'Aldébaran - Cycle 1 d'Aldébaran, t..

Un peu plus de trois ans se sont écoulés depuis la fin du tome 2. Les personnages ont vieillis, où plutôt ont gagnés en maturité. Ce n’est pas plus mal car on laisse l’adolescence de coté ce qui plonge les personnages un peu plus dans la cruauté du monde qui s’applique sur Aldebarran.



Un troisième album un ton au-dessus des deux précédents, où les révélations vont bon train. On y découvre pour la première fois la Mantrisse, on nous révèle dans quelle dictature vivent les habitants d'Aldébaran et l’album se termine par une énorme révélation qui apporte encore plus de questions.
Commenter  J’apprécie          350
Les mondes d'Aldébaran - Cycle 2 de Bételgeuse,..

J’ai trouvé ce 3ème tome du cycle plutôt mauvais. Avec un titre pareil, « l’expedition », je m’attendais à un périple dépaysant et plein de péripéties. En plus Léo sait faire preuve d’imagination pour créer une faune et une flore originales et intéressantes. Hélas, le décor qui était riche de promesses est très sous-exploité dans ce volet et on rencontre finalement très peu de créatures. Il y a bien des rebondissements et l’intrigue avance un peu au cours de ce tome mais l’histoire est totalement polluée par des considérations sentimentales. L’auteur s’attarde sur les historiettes d’amour sans intérêt des personnages. Que c’est mièvre et creux ! Machin aime bidule qui aime truc… Cette fois le scénario ne vient donc pas sauver le dessin toujours aussi plat et rigide. La laideur des visages m’a encore plus frappée dans ce tome que dans les précédents, et tout particulièrement les visages féminins.



Bref, ce 3ème tome est raté mais je lirai tout de même la suite du cycle car j’ai quand même envie de savoir ce qu’il en est des iums, ces drôles de bébêtes aux allures de pandas extra-terrestres.

Commenter  J’apprécie          342
Les mondes d'Aldébaran - Cycle 3 d'Antarès, tom..

Nous avons decollé (!) et nous sommes enfin arrivés sur cette planète où la faune démesurée et agressive, ou, au contraire, minuscule mais toute aussi teigneuse, semble défier les lois (terrestres) de la nature...



Le voyage de trois mois fut tout sauf un plaisir...dans ce vaisseau spatial où dirigeants, équipage, scientifiques, colons sectaires et le groupe de Kim ont du se serrer comme des sardines dans une boîte surchauffée. Donc, ça a pété plus d'une fois ; les doctrinaires phallocentriques, protégés par l'autorité du même bord, ne supportant pas que les femmes de la groupe de Kim s'affichent dans/ avec des fringues laissant libre cours à tout fantasme mammaire. (l'auteur est bien un terrien mâle, finalement)



L'atterrissage de la navette, transportant, non seulement le plus gros du matériel pour un début de colonisation, or également des personnes très chères à Kim...a été un vrai plantage...

Et voilà, notre Kim, inquiète et furax (elle rêvait d'une aventure plus peinarde...pfff, qu'elle drôle d'idée !), repartie sur les chemins exoplanetaires.



Vous vous rappelez les marécages d'Aldébaran, infestés de créatures brutes et voraces ? ...et, bien...c'étaient des "pipis-de-chat" extraterrestres à côté de l'environnement Antarien !
Commenter  J’apprécie          340
Centaurus, tome 1 : Terre promise

Bram n’est pas bête, seulement inculte. Il faut l’aider.

-

Ce tome est le premier d’une pentalogie. Sa première publication est survenue en 2015. Il a été réalisé par LEO (Luiz Eduardo de Oliveira) & Rodolphe (Rodolphe Daniel Jacquette) coscénaristes, et Zoran Janjetov, dessinateur et coloriste. Ce trio a ensuite réalisé la série Europa, tome 1 : La lune de glace.



Dans une grande place du village, avec la forêt en arrière-plan, Abraham Roscoff, surnommé Bram, s’apprête à lutter à main nue, contre un ours muselé. L’ours se tient debout sur ses antérieurs, Bram attaque frontalement. Il enserre le cou de l’animal, le fait tomber à terre, passe derrière assurant sa prise autour du cou et commence à exercer une pression croissante. Dans la foule, les jumelles Joy & June Osmond observent le combat : June l’encourage, alors que sa sœur réprouve cette violence. Dans le ciel, un petit dirigeable blanc arrive à proximité du village. Joy demande à June de dire à Bram qu’il ne doit pas tuer l’ours. Sa sœur envoie un message mental à l’homme : il n’a jamais compris comment elle arrive à faire ça, mais il a parfaitement entendu le message à l’intérieur de sa tête, Joy ne veut pas qu’il tue l’animal. Il obéit bien sûr, il ferait tout pour Joy. C’est ce jour-là, e jour où il a lutté avec l’ours que sa vie a basculé. Car au même moment, arrivait dans leur village cette femme dans son petit dirigeable blanc. Bram va trouver les jumelles pour leur demander si elles ont aimé la lutte, et il leur dédie cette victoire. Joy lui demande de ne pas trop l’approcher car il sent l’ours : il décide d’aller prendre une douche. La femme du dirigeable arrive.



Ethel se présente à Joy & June Osmond : elle a été envoyée par le gouvernement et elle souhaite leur parler chez elle. Elle aimerait connaître leur mère, et qu’elles puissent parler toutes les quatre. Alors qu’elles vont pour entrer dans le pavillon, elles sont interpellées par le révérend Solers : il se présente à Ethel et lui dit qu’il aimerait participer à leur conversation si ça ne la dérange pas. Une fois installés dans le salon, Ethel explique qu’elle est venue chercher Joy & June pour les amener à la capitale. Leur mère Lucy y est opposée. Le révérend rappelle que la terre promise qu’il évoque dans ses prêches n’est pas une création de l’esprit : elle existe et ils se dirigent vers elle. Ethel poursuit : elle est un haut fonctionnaire du gouvernement et elle se porte garante de la sécurité des filles. Des événements importants ont eu lieu et les filles de Lucy peuvent aider, le gouvernement a besoin d’elles. June suggère que Bram les accompagne pour les veiller sur elles. Une fois arrivé, ce dernier est tout excité à l’idée d’aller à la capitale. Peu de temps après, Ethel, Joy & June et Bram ont pris place à bord du petit dirigeable et font route vers la capitale. Vu du ciel, la courbure concave du paysage saute aux yeux, et devant eux se trouvent une énorme structure métallique cylindrique qui s’élance vers les cieux.



LEO et Rodolphe avaient déjà collaboré sur une autre série de science-fiction composée de trois cycles : Kenya - Namibia – Amazonie. Le dessinateur avait déjà collaboré avec Alejandro Jodorowsky sur plusieurs séries : Avant l’Incal, Les technopères, L’Ogregod. Le lecteur sait qu’il a affaire à des créateurs confirmés. De fait, il ressent que chaque séquence est calibrée au millimètre, pour apporter les informations nécessaires à l’exposition de l’intrigue, en s’appuyant sur des dessins propres sur eux et descriptifs donnant à voir au lecteur, cet univers de science-fiction. L’intrigue suit un développement linéaire rigoureux : la présentation des principaux personnages : Joy & June Osmond avec leur relation entre elles, leurs capacités qui justifient qu’elles soient choisies pour la mission, leur mère pour les ancrer dans une famille, Bram avec sa force, son manque de culture mais pas d’intelligence et son courage naturel. Pus le lecteur côtoie un peu Ethel : sa manière de recruter doucement mais fermement les jumelles, son rapport de subalterne avec le gouverneur Korolev. Quelques pages plus, le lecteur fait connaissance avec deux autres membres de la mission : Mary-Maë Randolf coordinatrice générale et Pierre de Bourges et son chien Graal, grand spécialiste de la faune et la flore. Douze pages après, la coordinatrice présente les trois derniers membres de la mission Jenny Goldman, médecin, Richard Klein, ingénieur et pilote, Feng Liu, spécialiste de la sécurité. Chaque personnage dispose d’une morphologie et d’un visage bien distincts, la composition de l’équipe recouvrant une grande fourchette d’âge et d’origine ethnique.



L’intrigue se déroule de manière linéaire : recrutement de personnages novices, ce qui permet à ceux qui disposent de plus d’informations d’expliquer, et ainsi d’informer le lecteur de manière organique. La séquence d’ouverture ne donne pas beaucoup d’indications : un village de type campagnard avec ce qui semble être une église, des maisons à un ou deux étages de type seconde moitié du vingtième siècle, des collines très vertes et boisées, des tenues vestimentaires assez ordinaires, sauf pour la tunique et le pantalon pourpres du révérend Solers. Lors du vol en dirigeable, le lecteur peut voir la courbure importante du sol, le gigantesque pilier métallique et il sait qu’il se trouve dans un environnement de science-fiction. Il se fait la remarque de l’efficacité discrète de la narration visuelle qui montre avec évidence les différents lieux au point qu’il peut devancer une partie des explications qui vont être données quelques cases plus loin. L’intrigue repose sur un vaisseau-monde ayant voyagé pendant une très longue période et l’arrivée à proximité d’une planète habitable. En outre, les visuels impressionnent par leur évidence. La courbure du paysage vu du ciel présente une cohérence parfaite avec le relief des collines en arrière-plan dans la scène de combat contre l’ours. L’énorme tour métallique apparaît d’abord juste de manière très partielle : un petit morceau de son pied, en arrière-plan de la capitale. Puis quelques pages plus loin, le lecteur peut la voir dans son intégralité, et comme élément d’un réseau plus vaste. Quelques pages plus loin, une navette est sortie dans l’espace et le lecteur bénéficie d’un aperçu du vaisseau-monde.



D’un côté, les coscénaristes semblent légèrement à la traîne avec ce petit décalage entre ce qui est montré, puis expliqué ; de l’autre côté, l’histoire progresse à un rythme régulier chaque scène venant apporter soit une vue plus générale, soit un développement sur un point particulier. L’attention du lecteur est captée par ce combat contre un ours, puis l’arrivée d’Ethel et sa mission, puis le voyage jusqu’à la capitale, et les explications du Gouverneur Korolev, puis les révélations sur le vaisseau -monde et son histoire, etc. L’enchainement est impeccable et implacable, chaque séquence apportant une information supplémentaire qui vient répondre à une question de la scène précédente, et qui pose une nouvelle question fonctionnant comme une transition parfaite pour la scène suivante. Arrivé à la dernière page, il tarde au lecteur de découvrir ce que la mission sur la planète Vera va révéler. En scénaristes chevronnés, LEO & Rodolphe brisent cette linéarité à deux reprises : quelques cases consacrées aux circonstances de l’origine de cette mission et l’embarquement à bord du vaisseau-monde, ainsi qu’une intrigue secondaire. Celle-ci concerne tout d’abord les capacités extraordinaires de June, mais elle semble céder le pas à une autre. Il s’est produit une intrusion presque impossible à bord du vaisseau-monde alors qu’il voyageait à une vitesse gigantesque, et il semble que cette infiltration avait comme destination le village des jumelles.



En fonction de ses attentes, le lecteur peut être parfaitement contenté par ce récit clairement structuré, progressant à bonne allure de mystère en mystère. Il peut parfois être déconcerté par un choix ou un autre : les traits non signifiants sur les visages, ou le rôle très nébuleux de la religion à bord du vaisseau-monde, mais ce sont des détails. Il peut aussi trouver intriguant que les coscénaristes insèrent des allusions en passant à des thèmes plus consistants, ou au contraire s’agacer qu’ils ne les abordent pas de manière claire. Par exemple, le gouverneur dit en passant que les êtres qui vivent sur Vera peuvent accepter de les accueillir. Sinon, cela dépend de leur niveau de civilisation, mais peut-être que les voyageurs du vaisseau-monde pourraient s’y installer sans leur autorisation. Cette remarque évoque la question morale de la colonisation, mais ce point ne sera pas plus développé. June fait remarquer que Bram n’est pas bête, seulement inculte et qu’il faut l’aider : une observation sur les chances données à chaque individu, répétée quelques pages plus loin, mais pas développée, le lecteur sent bien que c’est une accroche pour un événement ultérieur. Arrivé à la capitale, Bram désœuvré se met à pourchasser un perroquet, scène oubliée par la suite : encore une balise probable pour la suite, mais insuffisante pour elle-même. Une équipe de maintenance revient d’une tournée de surveillance dans un endroit peu visité : le lecteur croit percevoir une forme de commentaire sur une société qui n’a pas assez investi dans les équipes d’entretien et de réparation pour pouvoir faire fonctionner tout ce qu’elle a construit, mais en fait ce constat ne sert qu’à introduire le mystère d’une intrusion restée indétectée des années durant.



Ce premier tome constitue une lecture un peu frustrante. Le lecteur y trouve exactement ce qu’il attendait. Son horizon d’attente est comblé : un vaisseau spatial, un voyage spatial, des mystères qui s’enchaînent, des personnages juste assez épais pour exister, un enjeu énorme en termes de vies humaines, la certitude d’un conflit physique à venir, des dessins très concrets donnant une consistance et une cohérence remarquable à chaque lieu, chaque accessoire, chaque personnage, chaque situation. Dans le même temps, il semble qu’il n’y ait que cela.
Commenter  J’apprécie          330
Les mondes d'Aldébaran - Cycle 1 d'Aldébaran, t..

Les aventures de Kim et Marc se poursuivent dans ce deuxième tome encore plus riche que le précédent. On suit nos deux amis qui chercher toujours à rejoindre Anatolie, la capitale de leur monde. Mais leur chemin est semé d’embuche et il faut dire que ces deux-là n’y mettent pas du leur pour se faciliter la tache. Surtout avec Marc, qui âgé de 17 ans ne peut pas trop résister aux charmes de certaines femmes.



Ce tome, intitulé « La blonde » nous présente une blonde justement, qui semble assez étrange, et qui fait parti d’un groupe, tout comme l’étranger rencontré dans le premier tome. On se rend compte que la politique d’Aldebaran semble très oppressante, et qu’elle ne laisse que peu de libertés a ses citoyens.



La narration est habilement mené, car on est toujours dans la peau de nos deux ados qui se retrouvent plongés dans un monde duquel ils étaient jusque-la éloignés en vivant dans leur petit village. Ayant 13 et 17 ans, ils se retrouvent confrontés a leur premiers ébats sexuels qu’ils tentent de gérer tant bien que mal.



Le bestiaire, tout comme dans le premier tome est vraiment travaillé, on en apprends énormément sur le monde d’Aldebaran. Les rencontre des trois créatures que sont la Caravelle, le poulpe des sables et un Amédée sont simplement géniales et démontrent toute l’imagination de l’auteur.
Commenter  J’apprécie          310
Les mondes d'Aldébaran - Cycle 1 d'Aldébaran, t..

Une belle conclusion pour le cycle d'Aldébaran. Après des aventures périlleuses, les héros vont enfin rencontrer la mantrisse .

Les dessins sont superbes comme toujours, et la fin donne envie de suivre encore les aventures des héros sur les autres planètes.
Commenter  J’apprécie          300
Les mondes d'Aldébaran - Cycle 1 d'Aldébaran, t..

Ce quatrième tome ne déroge pas à la règle, c’est bien ficelé, bien dessiné et les personnages sont toujours profondément humains.

Tout s'accélère dans cet épisode, les sentiments et les émotions éclatent, des décisions se prennent et on se retrouve plongé au cœur des mystères et des dangers de la planète, où la faune et la flore n'arrêtent pas de nous surprendre.



Driss et Alexa décident de franchir le pas et de former un groupe de disciples de la mantrisse. Les révélations vont bon train, et de nouvelles interrogations apparaissent juste avant d’attaquer le cinquième et dernier tome.



Un tome haletant, une fois de plus !
Commenter  J’apprécie          290
Les mondes d'Aldébaran - Cycle 2 de Bételgeuse,..

Dans cet album, une expédition part à la recherche des iums, pour mieux les étudier. Pour ce faire, ils descendent en bateau la rivière au fond d'un canyon. Le bateau est tracté par l'aérojeep.

Je ne vous ai pas encore parlé des moyens de locomotion. Ils sont pour le moins archaïques. On dirait des caisses à savon.

Bon, il fallait s'en douter, l'expédition ne se déroule pas au mieux. Sur cette planète, comme sur Aldébaran, quand les militaires s'en mêlent, rien ne va plus.

Quant au dictateur, car forcément dictateur il y a, je n'ai pas encore eu de ses nouvelles.

Peut-être dans le tome 4 ?
Commenter  J’apprécie          280
Les mondes d'Aldébaran - Survivants, tome 5

Ce dernier épisode de la série "Survivants" sous-titré "Anomalies quantiques l'est aussi de la longue, longue épopée des Mondes d'Aldébaran riche de 23 albums.

Ici après de nombreux sauts temporels, sur cette terre inconnue et ses iles, Manon et Alex sont séparés de leurs compagnons qui ont été fait prisonniers par des "sauvages" locaux (je mets le terme entre guillemets car, allez savoir si le terme convient vraiment).

Ils tombent sur d'autres peuples ainsi que d'autres créatures très, très antipathiques qui ne cherchent qu'à faire de ces deux jeunes gens leur casse croûte.

Il leur apparaît alors au détour d'une plage la Mantrisse que ceux qui suivent les mondes de Léo connaissent bien. Cette dernière leur envoie un vieil ami de la série : Sven, ancien amoureux de Kim Keller avec laquelle il a une fille.

Sven prendra en charge leurs déboires et les ramènera sur...Aldébaran, ce qui ne fait pas forcément leurs affaires.



Pour moi c'est le plus mauvais, et de loin, album de la série! Alors est-ce parce que les autres étaient excellents, est-ce de la lassitude de ma part ou tout simplement de l'auteur-dessinateur? Peut-être un peu de tout finalement. Il faut quand même dire que le scénario est particulièrement indigent, les aventures pitoyables et on n'avance pas, on (je) s'y ennuie à (presque) mourir.

Quand on a connu la flamboyance des albums de Léo je ne peux être que déçu, surtout pour un dernier album!

Les dessins sont, heureusement, toujours superbes mais les personnages, à force finissent par se ressembler, telles Kim et Manon, visages et corps.

Dommage!!

En fin d'album un entretien avec Léo laisse planer le doute: il y aura t-il ou pas une suite?

Je dirai oui. Il (Léo) ne va pas laisser ses héros loin de leur Terre natale. Mais ça n'engage que moi.


Lien : https://www.babelio.com/livr..
Commenter  J’apprécie          284
Les mondes d'Aldébaran - Cycle 2 de Bételgeuse,..

Me voilà arrivée au terme de ce cycle de Bételgeuse qui s’est avéré plutôt décevant. Tout ça avait pourtant démarré très fort avec un 1er tome très efficace qui promettait une intrigue passionnante. Hélas, la suite n’a pas été à la hauteur. Leo fait preuve d’imagination pour créer un monde intéressant, découvrir la faune et la flore de la planète est plaisant. Malheureusement ces aspects sont sous-exploités tout au long du cycle. L’intrigue qui promettait d’être prenante et intelligente en abordant des thèmes comme la colonisation et le spécisme se perd en donnant trop d’importance aux historiettes d’amour des personnages au détriment de l’histoire en elle-même. En retirant le superflu la série aurait gagné en intérêt et je pense que 3 tomes auraient suffi. Le 4ème tome, qui faisait preuve d’un peu plus de vigueur, pouvait laisser espérer que la série se conclurait sur une bonne note. Malheureusement ce n’est pas le cas, cet ultime volet est raté. On a bien des explications, qui ne sont ni enthousiasmantes, ni décevantes, mais tout ça est très mal amené. Et toujours ces histoires sentimentales ennuyeuses au possible, ces dialogues affligeants. Je n’ai jamais aimé le dessin de Leo, je le trouve médiocre et très figé. Ce sont les scénarios de Leo que j’avais apprécié sur la série Aldebaran. Ici, le scénario ne vient même pas relever le niveau.



Je vais donc abandonner là les mondes d’Aldebaran. Je ne lirai ni le cycle d’Antares ni aucune autre B.D de Leo. Trop déçue par ce 2ème cycle…

Commenter  J’apprécie          282
Les mondes d'Aldébaran - Cycle 2 de Bételgeuse,..

En 2018 j’ai lu le 1er cycle d’Aldebaran consacré à la planète du même nom. Je commence 2019 en m’attaquant au cycle consacré à Bételgeuse.



Ce nouveau cycle a les mêmes qualités et les mêmes défauts qu’Aldebaran. Je suis toujours très mitigée concernant le dessin que je trouve très figé. Les personnages sont toujours aussi peu réussis, tout particulièrement les personnages féminins dont les traits de visage sont peu attrayants.

En revanche, si le Leo illustrateur ne me convainc toujours pas, le Leo scénariste est encore une fois très bon. Il propose ici un tome d’entrée de cycle très réussi. L’intrigue est tout de suite intéressante et promet des développements passionnants. Et puis l’auteur déploie une belle imagination pour imaginer un monde foisonnant et riche habité d’une faune et une nature originales.



J’ai hâte de savoir ce qu’il va se passer par la suite. Très bon 1er tome de cycle.



Commenter  J’apprécie          280
Les mondes d'Aldébaran - Cycle 1 d'Aldébaran, t..

Ce 5ème tome vient clore en beauté une série bien réussie.



L'ultime volet démarre sur les chapeaux de roues. La traversée des marais est un grand moment d'aventures. On y rencontre plein de créatures plus ou moins dangereuses et une faune originale. Léo déploie une belle imagination pour créer cette nature exubérante.

La suite du récit permet de résoudre certains nœuds de l'intrigue, parfois de façon un peu rapide, le problème de la dictature est réglé par un deus ex machina qui, s'il a du sens, est un peu facile. Certaines interrogations concernant la mantrisse trouvent une réponse, d'autres restent en suspens et la créature reste assez mystérieuse. Je pense que cette fin assez ouverte est la meilleure conclusion que l'auteur pouvait proposer. Trop en dire, répondre à toutes les questions n'aurait pu que décevoir.



J'ai passé de très bons moments avec les 5 tomes d'Aldebaran. Si je ne suis jamais parvenue à m'habituer au dessin de Léo que je trouve vraiment moche, il est en revanche tellement bon scénariste qu'il est fort probable que je lirai Betelgeuse.
Commenter  J’apprécie          280
Les mondes d'Aldébaran - Survivants, tome 1

Merci aux 48h BD de m'avoir permis de découvrir cette série à prix réduit !

"Survivants - Anomalies quantiques" est une série parallèle au sein de la saga des "Mondes d'Aldébaran", portée par le prolifique auteur brésilien Leo, désormais bien connu des amateurs de bandes dessinées SF. Tout commence avec l'annonce par les autorités de la désintégration de l'astronef Tycho Brahe et de ses 2500 colons… Mais grâce à l'héröisme d'un membre d'équipage un groupe a échappé à la catastrophe et tente de survivre sur l'étrange planète sur laquelle ils se sont crashés : les Américains Mel Diggins, Shirley Harris, Pamela Griffith, les Serbes Goran et Helena Barjic, les Marocains Hakim et Djamile Nacer, l'Allemande Ilse Meyfrath, l'Italien Massimiliano Cassini, la Française Manon Servoz, le Chinois Cao Liang et le Brésilien Alex Muniz. Nos naufragés de l'espace sont des civils tout ce qu'il y a de plus banal, et ils vont devoir collaborer et mettre en commun leurs capacités pour s'en sortir, sauf que Manon apparaît immédiatement comme une femme d'action et que Max semble en savoir bien long à son sujet… Nous sommes donc plus dans un récit d'aventure cool raoul que dans un récit de SF pur et dur, et on se retrouve avec un agréable mélange entre le classicisme de Jules Verne et l'exotisme de Jack Vance qui m'a fait passer un bon moment. Mais qui dit survie dit relations de groupe compliquées, et à ce jeu là il semble que le personnage brésilien d'Alex Muniz est un peu le Gary Stu de l'auteur brésilien Leo : les Américains veulent prendre les choses en main et les Européens se laissent faire avant qu'Alex ne redistribue le cartes, et parmi diverses romances il tombe amoureux de la strong independant woman Manon qui est belle, intelligente et courageuse, mais surtout si mystérieuse… Ah ça, on sent que le relationship drama suit les codes des telenovelas et cela pourra plaire ou bien horripiler en fonction des goûts et des couleurs de chacun ! (parce qu'à la base ça ressemble déjà un peu à un "Tendre banlieue" de Tito dans l'Espâce ! ^^)
Commenter  J’apprécie          280
Les mondes d'Aldébaran - Cycle 2 de Bételgeuse,..

Voici le premier tome du second cycle des mondes d’Aldébarran. Nous retrouvons Kim, notre jeune héroïne dont nous avion suivi les aventures lors du premier cycle.



Une fois de plus Léo nous plonge dans un nouvel univers, avec une nouvelle planète, sa faune, sa flore et son imagination débordante. Car, il faut le reconnaitre, sans ça, cela resterai une histoire assez basique. Mais les diverses espèces que l’on rencontre apportent le truc en plus qui fait qu’on aime cet auteur.



Les dessins sont particulièrement soignés. Pour la faune et la flore, je précise, parce que pour ce qui est des visages, c’est toujours aussi catastrophique. Les hommes ressemblent tous à la poupée Ken (Il suffit de changer la couleur de cheveux) et pour les femmes c’est à peu près pareil. On les reconnait grâce a leurs coupes et couleurs de cheveux.



Hormis ce détail que l’on connais depuis le départ, c’est toujours aussi bien, à la fin du tome, l’intrigue est bien lancée et on à hâte que tout se mette en place dans le deuxième tome. De la vraie science-fiction comme on l’aime !
Commenter  J’apprécie          280
Les mondes d'Aldébaran - Cycle 1 d'Aldébaran, t..

Les choses se compliquent dans ce dernier tome. Le dirigeable a sombré dans les marécages et le groupe doit fuir à travers les dangereux marécages, peuplés de créatures terrifiantes.



Comme je l’avait dit lors de ma critique sur le tome 4, de nouvelles questions se posent, nous avons un bon nombre de réponses, mais il en reste encore quelques unes en suspens, notamment sur cette fameuse mantrisse.



J’aurais aimé plus de révélations mais, c’est souvent comme ça en science-fiction, il faut garder une part de mystère, c’est ce qui fait son charme.



J’ai hâte de ma lancer dans le second cycle, pour voir si on part sur quelque chose de nouveau ou si il y aura un suivi par rapport au premier cycle. En tout cas, si la qualité est toujours au rendez-vous, ce sera un pur régal !
Commenter  J’apprécie          281
Ultime Frontière, tome 3

On s'approche de la fin de la tétralogie. Tout s'éclaircit, permettant de nous conforter dans l'idée d'un scénario bien construit, cohérent.

Graphiquement, c'est toujours impeccable, précis, efficace.

Une bonne enquête sur fond de planet-opera et de visiteurs extraterrestres. Finalement, en remplaçant les quelques créatures exotiques par des vaches normandes (au hasard...), les auteurs auraient pu placer l'essentiel de l'intrigue sur Terre...
Commenter  J’apprécie          270
Ultime Frontière, tome 2

Les aventures de notre duo d'enquêteurs se poursuivent. Le tome 1 nous avait laissé sur sa supériorité technique par rapport aux gros beaufs locaux chargés de faire la sale besogne du propriétaire terrien patibulaire...

Retournement, ce dernier engage de vrais mercenaires venus d'ailleurs et connaissant nos héros. Je l'avais dit, c'est du western extraterrestre. Il était une fois sur Tau Ceti 4...

On commence à comprendre le nœud principal de l'histoire : il y a de la technologie extraterrestre en jeu...

Ce volume insiste beaucoup sur les relations interpersonnelles et les amourettes des uns et des autres.

Graphiquement, c'est beau, précis et agréable à lire.
Commenter  J’apprécie          270
Kenya - Saison 2 : Namibia, tome 5

J'ai lu toute la série et je donne, ici, mon avis pour les cinq tomes:



A la fin des années 40, Kathy Austin, agente secrète britannique, suite à ses aventures au Kenya, est envoyée en Namibie où il se passe des phénomènes que l'on pourrait qualifier de surnaturels. Sur place elle constate de visu, au risque de sa vie, d'étranges animaux dont la taille est disproportionnées par rapport au réel mais aussi des personnages censés être morts et enterrés qui ressurgissent à la surface comme étant vivants. On peu citer Herman Goëring notamment.

D'aventures en aventures, aidée par son ami Vladimir, voir Kenya, après de nombreuses tentatives d'élimination physique et persuadée que la terre est envahie par des extra-terrestres, elle confiera ses doutes au plus haut sommet, aux chefs d'états. A charge par eux de prendre les décisions qui s'imposent.



Leo c'est du tout bon pour moi, même si, ici, il n'est que co-scènariste. "Les mondes d'Aldébaran" reste un excellent souvenir. La précédente série "Kenya" n'était pas mal non plus.

J'ai eu un peu plus de difficulté avec cette série que j'ai trouvée un peu longue parfois. Les textes sont de bonne facture et, même, s'il y a des invraisemblances elles sont là pour justifier l'époque et les aventures. Cependant, je crois que 3 tomes auraient suffi, notamment au sujet des phénomènes paranormaux relatifs à une nouvelle église et un pasteur, manipulé par des gens sortis de nulle part, ayant le don de lévitation, pour moi deux, voir trois pages auraient été suffisantes. Le reste est parfaitement expliqué, au lecteur d'en faire son bonheur ou pas.

Comme dit plus haut c'est bien écrit et le dessin de Marchal est attirant, même si, pour moi, Leo est un crayon au dessus. Mais je ne jette rien j'ai eu du plaisir à lire et regarder certaines scènes et, j'avoue, qu'il y a du talent chez ce dessinateur car ne dessine pas une Bd qui veut, notamment quand il y a autant de réalisme qu'ici. La couleur et les premières de couverture sont aussi réussies que pour Kenya, Rodolphe étant le dessinateur. Personnellement le passage de témoin s'est bien passé et si, au départ miss Austin n'est pas autant ressemblante, la transition se fait plutôt bien par la suite.

Je ne regrette, pas malgré mes réserves, cette lecture
Lien : https://www.babelio.com/livr..
Commenter  J’apprécie          278




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Leo Voir plus

Quiz Voir plus

Connaissez-vous Leo ?

Luiz Eduardo de Oliviera, plus connu sous le nom de Leo, est

péruvien
brésilien
américain

14 questions
33 lecteurs ont répondu
Thème : LeoCréer un quiz sur cet auteur

{* *}