AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Alain Ayroles (571)


"Victoire se fête, défaite se noie...
En toute occasion, bois !"
Commenter  J’apprécie          121
- Abusé par les traits d'un destin goguenard, je vis un gentilhomme... où n'était...qu'un renard. Une queue en panache, un penchant romanesque, j'étais bien le héros d'un roman...mais burlesque ! Je vous offris mon coeur sans voir... quel animal !.... que le vôtre battait, bien fort, pour un rival qui, lui, marche debout sans forcer sa nature et peut quand vient l'été, se passer de fourrure.
Dans votre choix, hélas ! vous ne vous mèprenez : sur ma face, une truffe... à son profil... un nez !
Vous ne pouviez aimer, vous si belle, une bête.Me voici sans amour...sans amis... sans planète. Mais je vous sais heureuse, et c'est là l'important.
Adieu, cher ange... Adieu. Je retourne au néant.
Commenter  J’apprécie          120
Messieurs, il ne nous reste qu'une chose à faire… Être drôles !

Commenter  J’apprécie          120
Boney Boone (à ses pirates) : Garçons, l'heure est grave !... Une chanson s'impose !

Commenter  J’apprécie          120
Don Lope : Ca va, Don Armando ? Vous vous en sortez ?
Don Armando : Ils sont encore un peu flous, mais je dégrise, je dégrise !
Commenter  J’apprécie          120
Mais que vaut la vie de celui qui ne sert à rien ?
Commenter  J’apprécie          110
Vous le reconnaîtrez sans peine : il est beau comme un dieu et me ressemble en tout point.
Commenter  J’apprécie          110
- Nous avons été mystifiés.
- Je le crains.
- Mais on ne mystifie pas impunément un pirate !
- Là, je suis d'accord avec vous.
- Tout ça va se payer !
- Ouais !
- Il va y avoir de la viande froide !
- Du sang !
- Des tripes !
- Des excuses !
Commenter  J’apprécie          110
L'île de Skillig Mor. Une horde de pillards fomoirés y a établi son repaire. Nous recherchons des volontaires pour évangéliser ces païens.
Commenter  J’apprécie          110
"GARULFO :
- Pourquoi ne pas plutôt imaginer une société dont les valeurs premières ne seraient plus l'argent, ni le travail, mais.. Je ne sais pas, moi... L'amour, par exemple.
LE PRINCE :
- Il est gentil.
GARULFO :
- Ne riez pas, ce n'est pas si sot. Un partage équitable des tâches et des ressources laisserait à chacun le loisir de s'instruire, de s'ouvrir, d'aller vers autrui pour acquérir la vraie richesse : un bien être bâti sur des relations harmonieuses avec le monde et ses habitants!
LE PRINCE :
- Mais oui, tu as raison! Le jour où je serai roi, je ferai en sorte que les choses évoluent en ce sens!
GARULFO :
- C'est vrai?
LE PRINCE :
- C'est pas permis d'être aussi con!" (P. 19-20)
Commenter  J’apprécie          110
"NARRATEUR :
- Dans le royaume de Bradelune, au pied des tours du château, en deçà de la ville, au delà des champs, à l'orée du bois, il y avait une mare. Et près de cette mare, vivait Garulfo. Garulfo était une grenouille.
GARULFO :
- Une grenouille! La peste soit de ces savants naturalistes qui vous baptisent une espèce sans lui demander son avis! Un œil mal exercé, abusé par ce nom trompeur pourrait malgré ma mâle prestance me croire du sexe faible.
FULBERT :
- Alors Garulfo, on soliloque?" (P. 3-4)
Commenter  J’apprécie          110
Soit on jase et rimaille
Ou bien, se tenant coi,
On s’escrime et ferraille.
C’est affaire de choix.
Commenter  J’apprécie          110
Eusèbe : Et moi qui croyait que vous étiez comme Messieurs de Villalobos et Maupertuis ! Que comme eux, vous étiez ne renoncez jamais. Que comme eux, vous aviez toujours un riant visage à présenter à l’adversité. Un beau geste face au malheur, un bon mot face au danger. Que comme eux, vous possédiez ce je-ne-sais-quoi qui permet les plus improbables victoires, et qui, quand on perd, empêche les méchants de triompher tout à fait. Cette chose que mes amis appelaient ...

Le Maître d'armes : LE PANACHE !
Commenter  J’apprécie          111
À lancer plaisamment dans les dents d’un rongeur
D’incisifs traits d’esprit, je ne suis point d’humeur.
C’est donc sans vers ni fard, lame au poing, langue en poche,
Que je vais, mon lapin, vous passer à la broche !
Commenter  J’apprécie          110
-Oh ! Je devine à la façon dont vous me dévisagez que ma physionomie ne vous est pas étrangère. Vous y reconnaissez peut-être quelques traits de mon père qui servit à vos côtés, sous Monsieur le Duc de la Force, aux sièges de la Bitche et de la Mothe.

-Le siège de la Mothe !... Jeannot !... Jeannot "Longues oreilles" !
Je nous nous vois encore rampant dans les ténèbres, un poignard entre les dents, le long des tunnels de sape qui firent tomber la citadelle ! Nous venions de bouter le feu aux charges lorsque les Lorrains, creusant une contre-mine, nous coupèrent la retraite...L'affaire se régla au couteau, à l'aveugle, dans des galeries trop étroites pour qu'un homme puisse s'y retourner !
Gravement blessé, j'aurai péri dans cet enfer si ton père n'était revenu sur ses pas pour me traîner à l'air libre avant que la sape ne s'effondrât !
Tu es le fils d'un héros. Mais cela ne te confère qu'un seul droit : celui d'être exemplaire.
Commenter  J’apprécie          110
- Un Lapin ?!
- Oui ! Un lapin ! Le plus terrible porte malheur qu’un navire puisse embarquer ! Je l’ai vu dans la cambuse avidement penché sur une botte de carottes !
- Livide tel un spectre il rode dans nos coursives ! N’entendez-vous pas son couinement démoniaque ?
- Il m’a dérobé une lime ! Sûrement pour affûter ses cruelles incisives !
- Maître Charpentier ! Fais-moi un cercueil !
Commenter  J’apprécie          114
- Les malédictions se conjurent, les maladies se soignent.
Commenter  J’apprécie          110
Maupertuis !... Toi et ta clique de renégats… Vous m'avez précédé sur cette île… Vous me précéderez en enfer !

Commenter  J’apprécie          110
Raïs Kader : Un deuxième colosse !
Armand : Seraient-ce là les prémices de quelque terrifiante gigantomachie ?... D'un duel de titans s'assénant dans un fracas de tonnerre de formidables coups de… de… Mais que brandit-il au juste ?
Don Lope : Une andouille… une énorme andouille !

Commenter  J’apprécie          110
Un pirate paniqué : Oui ! Le Hollandais Volant !
Un autre : Halé par le Kraken !
Et encore un autre : Ô lugubre catafalque gréé de suaires que vomit l'océan stygien !

Commenter  J’apprécie          110



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten


Lecteurs de Alain Ayroles Voir plus


{* *}