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Critiques de Bob de Groot (394)
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Léonard, tome 12 : Trait de génie

Publié en 1985, Trait de génie fait partie des albums-compilations de gags les plus inspirés de la série Léonard. S’il n’est pas ici question d’offrir une seule histoire, les historiettes présentées ici sont bien amenées.



D’emblée, le ton est donné ! Il y a de l’inspiration ici et effectivement quelques inventions de Léonard figureront parmi les grands classiques : la saint-Sylvestre, l’intelligence artificielle miniaturisée (déjà !), les premiers ordinateurs, les Jeux olympiques… Elles effacent presque les gags les moins réussis (notamment le dernier, qui nous laisse avec un sentiment de déception) ou ceux qui tiennent uniquement aux mésaventures qu’elles entraînent pour le disciple.



La galerie des personnages s’étoffe avec l’arrivée fracassante de Mathurine qui devient un personnage récurrent. Entre deux blessures, Basile nous étonnera en jouant au modèle... dans une séquence amusante et qui fera sourire plus d’un bédéphile. Tout au long de l'album les échanges sont par ailleurs assez savoureux, même si les jeux de mots se font assez rares.



Les dessins restent égaux à même. La rondeur si caractéristique de la série fait mouche. L’on pourra noter que la mise en page est classique, sans surprise à l’exception de quelques dessins au grand format (qui sont toujours appréciés mais assez peu nombreux).



Trait de génie est donc un grand classique de la série. L’un de ces albums que l’on lit et relit avec grand plaisir ! A consommer sans modération.
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Clifton, tome 2 : Le voleur qui rit

Turk et Degroot sont plus connus pour Robin Dubois et Léonard, séries à gags d'une ou deux pages en général. On retrouve dans celle-ci leur dessin clair, facile à lire, classique dans le style franco-belge. Greg a participé au scénario. Le héros, le colonel Clifton est un ancien de Scotland Yard, un peu acariâtre, très malin, personnage qui tient un peu de Sherlock Homes, un peu de Francis Blake et un peu de John Steed (Chapeau Melon et bottes de Cuir). J'aimais beaucoup retrouver ce personnage dans le Journal de Tintin dans les années 70, il faisait partie de mes préférés. L'enquête est bien foutue, les personnages plutôt comiques, et le côté très british (Chapeau Melon et bottes de Cuirs mais sans femme) donne du caractère à cette histoire.
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Léonard, tome 43 : Super-génie

C'est non seulement la dernière critique que je ais faire d'un Leonard mais ce sera aussi la dernière bande dessinée de Leonard que je vais lire.



Pourquoi?



Parce que si je prenais le temps de noter chaque gag, je constaterais qu'un fort pourcentage des gags se reproduisent numéro après numéro. Il y a de moins en moins de nouveauté.



Par contre, quelqu'un pour qui ce numéro serait sa première expérience, aimerait cette bande dessinée.
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Léonard, tome 43 : Super-génie

Super-génie est un album qualifiable de « moyen moins ». Ce tome peine à trouver son identité propre malgré quelques bonnes idées.



Comme d’habitude il n’y a rien à dire du côté des dessins ; le style reste immuable et ô combien sympathique. Voici une valeur sûre. Le scénario est en revanche assez perfectible.



Super-génie nous rappellera les grandes heures de Léonard, sans vraiment renouer avec cette époque glorieuse, l’histoire n’en demeure pas moins plaisante. Quelques francs éclats de rire aussi intenses que brefs viendront agrémenter la lecture. Les commentaires désopilants de Raoul, quelques gags bien conçus (dont un voyage dans le futur, la découverte de l’ubiquité, la réunion de la famille de Basile et les enseignements d’une certaine potion) retiendront l’attention.



Hélas tout cela est mis à mal par un comique de répétition qui comme d’habitude ne masque plus un déficit d’idées nouvelles. Je pointe ou je tire ? est à cet égard un symbole évident. Tirs de tromblon, coups et blessures, réveils tonitruants, hommages (élogieux ou non) rendus au génie s’allient pour venir gâcher le plaisir. A réserver aux fans, et aux nostalgiques de La guerre des génies.
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Léonard, tome 2 : Léonard est toujours un génie

Ce deuxième album insiste sur les difficultés récurrentes du Disciple à se réveiller à une heure décente. Léonard devra mettre en service diverses machines afin d'enfin y remédier.



On sourit en permanence et parfois en rit de bon coeur, la plupart du temps ce sont les bons mots et jeux de mots qui font mouche.

A lire de 8 à 88 ans.
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Léonard, tome 33 : Y a du génie dans l'air !

Dans ce 33eme album, Leonard décide d'étudier les phénomènes naturels, comme par exemple les tremblements de terre et les cyclones, donc comme vous vous en doutez le disciple va y laisser quelques plumes.... Heureusement, Léonard va aussi inventer l’assurance, mais le disciple aurait mieux fait de lire les petits caractères !

Cet album est vraiment très drôle avec un ensemble de gags de bon niveau, et une mention particulière pour le chat Raoul dont les remarques valent à elles seules une deuxième lecture de l’album.
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Léonard, tome 3 : C'est un quoi, déjà ?

Moi, j'accroche pas trop aux gags des bandes dessinées, de la série de BD "Léonard"...

Honnêtement, je ne trouve pas l'humour ( ou ce qui est censé en être ) que l'on trouve ici particulièrement drôle ; les gags me semblent plutôt banals, plutôt communs.

En revanche, j'aime bien les deux personnages principaux. Ils sont sympathiques, ont tous deux un caractère bien trempé ( dans leur domaine respectif ) et forment un duo haut en couleurs.

J'ai donc un avis mitigé concernant cet album de BD.
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Léonard, tome 26 : Génie or not génie ?

On ne peut pas nier une certaine redondance dans les albums de Léonard, néanmoins la lecture reste plaisante et drôle, ne serait-ce que grâce aux interventions du chat Raoul, qu'on prend beaucoup de plaisir à lire dans le coin en bas des cases.



Dans cet album, on peut remarquer la première histoire qui a inspiré le titre de l'album, puisque Léonard écrit une pièce de théâtre qu'il finit par vendre à un certain William Shakespeare. Il y a aussi le disciple qui explore les fonds abyssaux, avant que Léonard et lui ne s'engouffrent sur les autoroutes de l'information. Et bien sûr les gags habituels sur le réveil et la maladresse du disciple qui, bien qu'un peu répétitifs, font de cette série une valeur sûre .
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Léonard, tome 5 : Génie à toute heure

On retrouve un peu toujours les mêmes gags dans chaque album de Leonard, et celui-ci n’échappe pas à la règle avec une série d'expériences et de réveils douloureux pour le disciple.

Néanmoins, la première planche de l’album est originale puisqu’une voisine confie son bébé à garder à Leonard, qui va ainsi inventer le baby sitting.

A noter également une histoire de saison intitulée Rennes d’un jour, dans laquelle Leonard se rend compte qu’il n’est pas facile de remplacer le père Noël.
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Léonard, tome 2 : Léonard est toujours un génie

Malgré la grande inventivité du scénariste et l'existence de personnages attachants et haut en couleurs, je n'ai pas été convaincu par cette BD humoristique.

Effectivement, si, lorsque je lis une BD censée être humoristique, je reste du marbre tout du long, je considère qu'il s'agit d'une BD humoristique ratée. Or, les gags sont plutôt banals, et la grande imagination dont ils témoignent n'a guère suffit à me convaincre, et je n'ai jamais sourit ni rit.

Cette BD me laissa donc une impression mitigée.
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Léonard, tome 45 : Génie de l'insomnie

Traiter de l’insomnie dans le cadre d’une série qui est en perte de vitesse depuis plusieurs années, ne manque pas de sel. Hélas, il n’est pas vraiment ici question de second degré malgré quelques tentatives rapidement avortées.



Acquérir cet album dans le cadre d’une opération les Indispensables de la bande dessinée est une bonne idée, car l’album est loin d’être un bon cru. Comme trop souvent, voici un enchaînement de gags misant à fond sur un humour de situation éculé et un comique de répétition usé jusqu’à la corde. Bon certes, Lénoard remplacera – pour une fois – son disciple dans la conception de ses inventions, mais cette innovation fera long feu…



Quelques bonnes idées font toutefois plaisir à lire. Le thème de l’insomnie donne lieu ici à trois gags qui, sans offrir de continué, s’envoient quelques allusions les unes aux autres. A plusieurs reprises, les personnages s’affranchissent du cinquième mur et s’adressent directement au lecteur. Enfin, Yorick vit ici quelques aventures sympathiques, mais hélas sous-exploitées.



Bref, ce quarante-cinquième n’a de génie que le nom. S’il ne fera pas dormir son lecteur, il ne fera pas non plus date dans l’histoire d’une série qui mériterait de connaître une fin digne de ce nom !
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Léonard, tome 35 : Le génie donne sa langue au ..

Léonard va-t-il vraiment donner sa langue au chat ? Soyez rassurés : la réponse sera négative ! Hélas, les auteurs auraient pu se poser la question avant de lancer la rédaction de cet album peu inspiré.



Comme trop souvent, ce volume ne fait que reproduire des mécaniques bien connues des lecteurs, tout en proposant une première de couverture alléchante… sans qu’elle soit réellement justifiée. En l’état, la première historiette fait intervenir des chats, mais le traitement réservé à ce gag est franchement hasardeux. La conclusion aura de quoi vous faire hurler. Et le jeune public risque d’être tout aussi insatisfait malgré quelques gags qui pourraient exaspérer les défenseurs des animaux.



Ce premier gag est à l’image de ce qui a suivre. Il n’y a pas grand-chose à retenir ici. Comme d’habitude, Basile est en principe victime d’une maladresse qui devient le cœur de l’album. Il y a bien une exception… mais celle-ci est attendue car déjà vue ailleurs. Il y a également le passage obligé par une inversion des rôles. Tout cela a déjà été lu, relu…



Même les personnages secondaires semblent être en panne d’inspiration. Raoul tient presque toute la place mais ses facéties peinent à faire sourire. Bernadette est franchement discrète et Hamlet aux abonnés absents. Seule Mathurine parvient à sauver de justesse une ou deux situations si le jury reste indulgent.



Les dessins sont toujours aussi sympathiques. Nous sommes ci dans un univers que son créateur maîtrise. Toutefois, l’on peut s’interroger sur les choix qui ont été faits. Ainsi un dessin prendra tout une planche… afin de placer une blague de contexte assez facile. Tout cela reste assez léger.



Sans surprise, l’impasse peut être faite sur cet album qui n’apporte rien de nouveau à la série.
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Léonard - Intégrale 2 : Je pense donc génie !

Tirant profit de cette idée de proposer au public une encyclopédie des inventions de Léonard, le duo Turk et de Groot composent ce qui se révèle être une simple compilation de gags déjà connus. Il est nécessaire de lire le petit avertissement qui figure en page intérieure… au risque d'être sacrément déçu(e). La frustration est donc grande, notamment pour les adeptes et pour ceux qui ne se sont pas interrogés avant d'acquérir cet best-of.



Malgré cette impression de redite, les gags proposés ici figurent parmi les meilleurs de la saga. Un tri sélectif a été opéré et il se révèle plutôt efficace ! Il s’agit donc ici d’un album qui s’adressa essentiellement au public qui ne connaît pas cette série. L'album se révèle dense et permet donc de nous tenir en haleine pendant un certain temps. S'accorder une (sinon plusieurs) pause semble être une bonne idée pour lutte contre un effet de saturation. Si le comique de répétition tient une grande place, il n'est pas trop redondant : l'on nous a déjà habitué à pire.



Les dessins restent égaux à eux-mêmes : efficaces, amusants, typiques de la série. A une seule exception, toutes les historiettes démontrent une certaine maîtrise de la plume. La sélection des gags est également opportune : si tout le meilleur de Léonard n'est pas regroupé ici, il y déjà du très bon.

Même si cette compilation se révèle être une bonne surprise, elle n'en demeure pas un best-of qui apporte peu de neuf : deux gags. Les fans pourront donc être déçus, mais ils peuvent trouver ici un support pour faire connaître cette série, le bilan est donc assez mitigé bien que décevant.
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Léonard, tome 30 : Génie du foot

Léonard et son disciplus-simplex, toujours des aventures amusantes,mais pas pour le pauvre disciple qui se fait "trombloner" régulièrement aussi J'aime quand le disciple se rebiffe !

J'avoue aussi suivre, en parallèle, les aventures et dialogues du chat Raoul, c'est jubilatoire !

Un bon moment de détente en ce qui me concerne.

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Léonard, tome 36 : Le génie se gondole

Le Génie se gondole tire son titre du premier gag (presque une historiette) de ce trente-sixième album. Ce petit récit est sans doute le meilleur : dommage qu’il soit placé en tête de gondole et nous laisse progressivement aller à un agacement croissant.



Dans ce premier gag, le dessinateur innove quelque peu en intégrant Léonard et son fidèle disciple dans des tableaux connus dans un ensemble très réussi. Le trait particulier à la série est toujours aussi agréable et on ne s’en lasse pas, sauf que le scénario n’est pas à la hauteur.



En effet celui-ci se recentre sur sa ligne classique et n’évolue pas vraiment. Le réveil (douloureux), les maladresses (douloureuses) de Basile à l’œuvre puis une invention qui se termine mal : en quelques mots voici le schéma général qui lasse avant d’agacer (les tentatives de flagorneries, trop rapprochées y sont aussi pour quelque chose). Quelques innovations (le mystère de la page XIII), les jeux de mots et la prestation de Raoul permettent de sauver les meubles.



Depuis quelques temps la série s’oriente, de manière assez regrettable et hélas de plus en plus sensible, vers le genre du cartoon. Le prétexte de séduire un public jeune ne tiendra pas aux références au harem (sans oublier la promotion canapé et la discrimination) et à Hitler découvert dans l’ombre de Freud.



A quelques exceptions près (dont le gag consacré au Lac des cygnes, assez amusant il est vrai), voici donc un album qui brille par une seule histoire ! A réserver à un public préalablement averti ou en instance (voir de retour) d’un voyage vers Venise...
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Léonard, tome 1 : Léonard est un génie

Léonard est vraiment un génie.

Cette bd à gags est très drôle en elle-même et est en plus parsemée en seconde couche de références et de subtils traits d'humour, qui vont feront eux aussi immanquablement éclater de rire.

Le disciple est également devenu un personnage "cultissime".



La chute du dernier gag de ce tome intitulé "Et ta soeur?" vaut à lui seul le détour.
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Lucky Luke, tome 18 : Le Bandit manchot

Je replonge dans des lectures qui remontent à quelques années.



Le Bandit Manchot est deuxième Lucky Luke post décès de René Goscinny. Morris a confié le scénario et les dialogues à Bob de Groot, qui s'était illustré auparavant dans la série Léonard.



Le style Goscinny est inimitable, il est aussi difficile de créer une complicité comme Morris et Goscinny ont pu avoir. Il est très difficile de trouver d'entrée sa place et d'imposer sa patte son style, car le lecteur a ses habitudes, a ses repères dans le dessin mais aussi dans le texte. La difficulté était de ne pas faire du "Goscinny" mais aussi de ne pas reproduire l'univers verbal de Léonard. Mais il fallait aussi répondre au cahier des charges posé par Morris.



Donc ce premier opus commun laisse le lecteur sur sa faim. Dans cette aventure, on ne retrouve pas l'énergie et la verve des albums précédents. Finalement c'est assez plat mais cela se laisse lire car c'est Lucky Luke et on se reporte encore plus sur le dessin. La caricature de Louis de Funès vaut son détour. On retrouve les mimiques et les attitudes du comique français.



Ce n'est pas un Lucky Luke à mettre au sommet des aventures de ce cow-boy solitaire mais tout n'est pas à jeter.
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Léonard, tome 24 : Temps de génie

Pour moi Léonard est une bonne bande dessinée quand on veut se détendre. Les gags sont hilarantes et adore voir ce pauvre disciple ce faire toujours avoir par ce satanique Leonard. Le petit plus dans ce tome est le chat Raoul. Une bonne lecture dont je ne me lasse pas.
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Léonard, tome 30 : Génie du foot

Dans cet album, comme son nom l’indique, Leonard invente le football, avec le concours de son disciple qui va beaucoup souffrir tant à l’entrainement que dans les buts.

Malheureusement, seule la première histoire est consacrée à ce sport, alors que le filon aurait pu être un peu plus creusé je pense.

Les autres gags sont assez drôles, et même s’il n’y a plus vraiment de surprises au bout de 30 tomes, on sourit souvent.
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Lucky Luke, tome 18 : Le Bandit manchot

Morris ne voulait pas que Goscinny, son scénariste, fasse dans le même registre qu’Astérix au niveau des calembours, mais il a permis à de Groot de faire dans le même registre de gags que ceux de la série « Léonard » !!



Parce que du début à la fin, j’ai eu l’impression d’être avec l’inventeur Léonard qui en fait voir de toutes les couleurs à son pauvre disciple, vu les gags proposés.



Soit c’était des inventions loufoques et burlesques, dignes de Léonard, soit c’était Jolly Jumper qui chevauchait Lucky Luke, soit Louis de Funès (le Boss) qui chevauchait son imbécile de bras gauche, Double Six.



Cet album que je n’ai pas apprécié plus que ça, s’inspire de deux personnages bien réels que furent Adolphe et Arthur Caille, ces deux frères bricoleurs de génie avaient 26 et 21 ans quand ils montèrent leur première société, en 1888. Ils inventèrent, entre autre, de superbes machines à sous dont la « black cat ».



La première partie de l’album possède quelques gags drôles avec la mère des deux inventeurs qui ne supporte pas d’entendre un juron et que la présentation du bandit manchot (la machine à sous) dans les saloons des différentes villes traversées, dont la mention spéciale revient à la ville de Poker Gulch.



MAIS, une fois l’arrivée des deux méchants dont le Boss est la caricature de Du Funès, on sombre lamentablement dans le n’importe quoi, ça devient ennuyeux, l’humour vire à l’absurde non drôle et on à l’horrible impression que le scénariste est parti en vacances ou qu’il laisse l’album se terminer tout seul.



Un album en demi-teinte, qui commençait pas trop mal, même avec cette impression d’être dans un album de Léonard, mais à la moitié, par en eau de boudin, se récupérant juste sur les dernières cases.


Lien : https://thecanniballecteur.w..
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