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Critiques de Bob de Groot (394)
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Léonard, tome 37 : C'est parti, mon génie !

C’est parti, mon génie !... pour un album de 48 pages, peu inspiré et répétitif.



Le ton est donné dès la première historiette. Celle-ci ressemble furieusement à du déjà vu et à un prétexte commercial pour appâter les fans. Quoi ? Basile sur le départ ?! Il faut absolument que j’en sache plus. Et bien rassurez-vous : vous saurez ce qui se passe et la conclusion pourra susciter une indignation légitime. Tout ça pour ça ? Sentiment d’autant plus justifié que Wilbur avait un potentiel suffisant pour être davantage exploité.



Que dire de plus sur le reste de l’album sinon qu’il végète ? La plupart des gags sont tirés en longueur pour parvenir à un dénouement prévisible qui ne suscite, au mieux, qu’un faible sourire. Raoul tente bien quelques facéties mais elles ne parviennent qu’à ralentir l’inévitable. Seule l’invention de la police d’assurance viendra apporter de la surprise, encore qu’elle se paie au prix d’un comique de répétition difficilement supportable. La seule véritable innovation tient ici à ce que Basile soit capable de damner le pion à son maître bien plus souvent que d’habitude.



Que retenir ici ? E bien pas grand-chose : les dessins si caractéristiques de la série demeurent envers et contre tout, un atout indéniable. La rondeur des traits, les petits gags et détails laissés en arrière fonds, tout cela reste sympathique même si l’effet de ces attentions est usé. Dommage qu’il n’y ait que des petites cases et aucune d’illustration de grand format, ce choix aurait été franchement le bienvenu pourtant. Certains jeux de mots sont assez savoureux, mais ils se font également rares. Basile se distingue également pour cette invention.



Une nouvelle fois, cet album confirme que les auteurs vivent sur leur acquis même si l’inspiration n’est plus au rendez-vous. Un petit conseil : ne vous laissez pas tromper par la première de couverture vous risqueriez d’être déçu(e)…
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Léonard, tome 4 : Hi-Fi génie

Les aficionados, comme moi, des aventures du génie Léonard et de son très "dévoué" disciple, savent que ledit génie soigne son égo et n'est pas à une contradiction près.

Dans cet opus, on voyage dans le grenier de l'inventeur prolifique (à défaut d'être toujours parfaitement génial) puis dans le temps ; on le voit aussi se débattre contre le "surendettement" (le mot n'est certes pas approprié car il ne l'a tout simplement pas encore inventé quand bien même il le pratique de manière éhontée). Par ailleurs, il essaie avec de grandes difficultés de mettre au point la stéréophonie et c'est ainsi que "I want to ride my bicycle" s'acoquine avec "Tee for two" et "Mon beau sapin" avec es cloches de Pâques. Oh surprise ! Il daigne accompagner son disciple à l'hôpital pour le meilleur et pour le pire de tous. J'ajouterai que le disciple, lui, de son côté, parvient enfin à inventer quelque chose : la machine à voyager dans le présent. On découvrira aussi comment Guillaume Tell en est venu a lancé une flèche dans une pomme et bien d'autres folies furieuses. Une fois de plus, les auteurs, Turk et De Groot font montre d'un véritable génie ; il faudra tout de même demandé à ces inventeurs modernes à quel carburant ils "tournent" pour être capable de faire naître en un volume : Médor Trufmol, militant protecteur des animaux ; le landau à double biberon inversé avec arbre à pavane en tête ; le leonaroïd, j'en passe des meilleures.

Faut-il encore vous dire que c'est sûr, le rire est garanti ?
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Léonard, tome 44 : Tour de génie

Tour de génie est une lecture de circonstance pour un début de mois de juillet et un cadeau éventuel pour un(e) adepte de la grande boucle. Ce quarante-quatrième album est une piste pour découvrir la saga Léonard, même s’il laisse une impression assez moyenne.



L’histoire relative au tour représente un peu plus de la moitié de l’ouvrage. Sa longueur apporte un petit quelque chose de plus travaillé que les gags habituels. Dommage toutefois que tout le potentiel scénaristique que l'on aurait pu attendre n’ait pas été pleinement exploité. Certaines répétitions ou passages convenus viennent ralentir le rythme ce qui reste assez désagréable.



Parmi les quelques inventions présentées en fin de volume, certaines retiennent l’attention (notamment celle du reportage ou encore l’invention de Basile), tandis que d’autre ne suscitent aucune réaction (le tube néon). Comme de coutume, les maladresses du disciple et l’égo de Léonard donnent lieu à des passages trop fréquents. Malgré de nombreux efforts, l’humour de Raoul n’est pas toujours suffisant pour faire oublier tout cela.



Un album moyen donc, qui aurait pu être bien meilleur mais qui reste assez bon malgré tout.
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Léonard, tome 42 : Le génie des grandeurs

Le Génie des grandeurs nous permet de découvrir les aventures de Léonard et de Basile sous une nouvelle dimension, pour le temps d’une historiette, qui aurait peut-être méritée d’être davantage travaillée. Fort heureusement, les gags suivants sont assez réussis.



A deux reprises, le Disciple parvient à nous surprendre en même temps que Léonard. Georges nous rappellera des souvenirs ! L’invention du journal à scandales, l’éducation d’un gros nounours pas en peluche et un peu de tourisme intergalactique viendront égailler cet album assez réussi. Les personnages secondaires (Raoul forcément, mais surtout Bernadette) méritent une attention pleine et entière. Chose assez rare, une planche complète est consacrée à Bernadette. Les jeux de mots sont absolument savoureux.



Malgré tout, si la bonne humeur est au rendez-vous, les faiblesses demeurent légions : Basile se blesse toujours de manière aussi répétitive que prévisible. Les onomatopées sont redondantes, tout comme certaines scènes déjà vues et revues. L’excuse du jeune public ne résiste pas à certains dialogues ciselés.



Voici donc un quarante-deuxième album sympathique, qui s’il ne brille par un génie débordant de nouveauté, mais qui nous réserve toutefois un agréable moment avec un certain génie…
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Léonard, Tome 38 : Y a-t-il un génie pour sauve..

La première de couverture est une invitation (réussie) à l'achat de cet album (qui l'est beaucoup moins). L'ennui c'est que l'impression ne perdure guère les premières pages passées.



La première historiette n'est qu'un ramassis de gag qui doit tout à un comique de répétition peu inspiré. La chute est absolument scandaleuse. Constat qui sera d'ailleurs fait à plusieurs reprises, bien que certaines conclusions soient plus prévisibles que d'autres.



Certains développements sont intéressants (ainsi l'on apprend comment le disciple arrive à se retaper entre deux sévisses). Le dernier gag joue même sur la longueur dans le temps, ce qui est bien vu même si le dénouement est trop puéril.



Fort heureusement, Basile vient par deux fois sauver une situation assez compromise. Ses efforts ne seront pas tout à fait vains d'autant que Minet-trip permet à Raoul de jouer au protagoniste au cours d'un sympathique périple (rempli de clichés, cela dit).



Un album donc particulièrement décevant malgré quelques bonnes idées. A acheter à prix réduit ou à acquérir en seconde main pour ne pas dire à éviter !
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Léonard, Tome 19 : Flagrant génie

Ce dix-neuvième tome des facéties de Léonard est une compilation que l’on peut qualifier de classique. Elle propose un format de gags habituel, tout en faisant le pari d’apporter quelques menues nouveautés.



Quelques gags s’élèvent plus haut (ou plus bas) que d’autres. L’un de ceux-là permettra au disciple d’inaugurer un cadeau de Noël qui vous consolera de tous les présents pas terribles qu’on a pu vous offrir. Voir Mathurine jouer les détectives est un moment plus plaisant que son remède contre l’insomnie. Raoul nous gratifie également de quelques bons mots et apparitions mais dans l'ensemble, sa présence est bien trop timide.



Rien de neuf sous le soleil, sinon le plaisir de profiter d’un moment de détente avec le style graphique cher à la série. Un album à réserver aux adeptes… qui peuvent toutefois être déçus de ne pas voir la première de couverture exploitée de manière plus approfondie. Argument de vente trompeur dites-vous ?
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Léonard, tome 1 : Léonard est un génie

Quand nous étions plus jeunes, ma soeur adorait cette BD. A l'époque, j'étais dans un trip plus ciblé Fantasy/Aventure/SF donc ces BD pleine de jeux de mots et de gags ne me parlaient pas trop.

Mais le temps a passé et comme mes horizons se sont agrandis avec le temps, je lui ai emprunté le tome 1, pour voir.

Je n'ai aucun regret de ne pas les avoir lu à l'époque et je ne lui emprunterai pas le tome 2.

J'ai trouvé ça poussif, pas drôle et ça manque singulièrement de finesse.

Maintenant, c'est un tome 1...ça s'améliore peut-être par la suite. Mais pour le moment je ne suis pas vraiment curieuse de découvrir le reste de la saga

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Léonard, Tome 22 : Cadeau de génie

Même si cet album commence par l’anniversaire du disciple, au cours duquel Léonard lui offre un cadeau improvisé, le vrai héros de cet album, c’est le chat Raoul, qui est plus caustique que jamais !

Sinon, l’album, d’un niveau moyen, alterne des gags courts et des histoires plus longues avec quelques belles trouvailles.
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Clifton, tome 9 : Kidnapping

Dans cet album, on change de dessinateur. Turk laisse en effet la série et c'est Budé qui prend le relais. La transition se fait dans la fluidité. Rien à signaler. Les personnages sont toujours sympa et notre colonel a un petit problème avec un de ses scouts dont le nom traduit de l'anglais signifie morceau de poulet (et ce n'est pas son nom totémique qui lui est en rapport avec le paon). Ce dernier, fiche d'un riche nobliau est enlevé et une rançon est demandée pour acheter des vases chinois de la dynastie dring... Bref, l'humour est toujours là, avec son caractère bon enfant dans une histoire très sympa. Clifton se fait même qualifié plusieurs fois de grand dadais à moustache en culottes courtes...
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Clifton, tome 3 : 7 jours pour mourir

J'aime bien cette série BD qui a la goût des séries d'antan avec un rien d'humour british et qui pastiche gentiment les films à succès du type James Bond. Dans cet épisode, Clifton fait l'objet d'une tragique erreur qui le condamne à fuir les meilleurs tueurs du service. C'est un retour vers les années 70 qui nous est proposé. Les deux tueurs ressemblent furieusement à Starsky et Hutch et l'album est émaillé de clins d'oeil à des groupes de rock. Clifton intègre même un groupe appelé Pig Floyd et sur un camion apparaissent les noms de Lenon et Mc Cartney. C'est une petite madeleine de Proust que j'ai bien appréciée.
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Léonard, tome 31 : Dodo de génie

Dodo de génie est un album qui contient de belles perspectives pour une série qui se caractérise par un certain essoufflement à force de trop exploiter les recettes qui ont fait ont fait son succès… il y a longtemps ! Hélas, ces nouvelles opportunités ne donnent pas ici toute la mesure de leur potentiel.



Les historiettes sont ici plus longues que d’habitude. Deux d’entre elles sont particulièrement longues (pour les standard de la série) et sont placées de manière stratégique : en début et fin de volume. La première, sans réelle surprise fait directement référence à la première de couverture. Sa chute est prévisible, ne justifie en rien tout le développement qui précède. Si le scénario offre du dépaysement, il est hélas pollué par des relents de colonialisme sur fond d’une critique du tourisme de masse, de la nourriture de masse et de l’inégalité de la répartition des ressources, le tout mal mis en scène… dommage ! Il ne reste que certains jeux de mots assez amusants. La dernière histoire permet à Léonard et à Basile d’entreprendre un nouveau tour du monde, sous prétexte d’une chasse au trésor. Ce scénario aurait mérité d’être mieux travaillé et s’achève sur une conclusion aussi triste que prévisible.



Les autres gags ne marqueront pas les esprits non plus. La plupart des historiettes témoignent d’un manque d’inspiration évident, ainsi la séquence de l’alphabet ou de la pierre précieuse. Comme certains l’auront compris, les auteurs ont allègrement pioché dans les albums précédents pour trouver ici de la matière. L’on pourra toutefois apprécier le comique de répétition (les blessures de Basile) moins fréquent… au point que Léonard est appelé à changer cet état de fait ! Les facéties de Raoul, Bernadette et Hamel ne retiennent pas davantage l’attention.



Les dessins restent égaux à eux-mêmes, sans innovation. L’on pourra regretter que certains gags n’aient pas été remplacés par une planche entièrement dessinée : tout est dit !



Cet album est donc un échec et l’on pourra facilement faire l’impasse. Dommage, car il y avait ici du potentiel. Qui sait, celui-ci sera-t-il exploité dans un avenir proche ?
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Léonard, tome 2 : Léonard est toujours un génie

Léonard invente, se creuse la cervelle, se triture les méninges. Tout est prétexte à rechercher la nouveauté, la solution, la trouvaille ultime. Qu'elle présente d'ailleurs un intérêt véritable...ou pas. Le lecteur, lui, devant une telle activation de neurones, peut débrancher momentanément les siens, et profiter des gags. Et pour un dimanche en début de soirée, c'est un bon plan, rien à dire..
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Léonard, tome 17 : Ohé, du génie !

Ohé du génie ! devons-nous plutôt entendre Ohé du génie ? Ou mieux encore : Y-a-t-il un génie dans cet album ?



Que les fans se rassurent : le principal intéressé demeure tel qu’à l’ordinaire : parfois ingénieux (bien que certaines « inventions », telle l’indigestion, frôlent le ridicule), fier de lui-même (cette facette-là demeure décidément un incontournable de tous les albums), autoritaire, colérique. Le gag de l’ampoule tente de nous apporter l’explication des doubles pages intérieures… et devient un classique. En revanche celui du téléphone et du répondeur est un bel exemple qui démontre que les auteurs sont en panne d’inspiration, même si la chute demeure savoureuse.



Le disciple fait de nouveau son office de cobaye, mais l’on peine à s’en émouvoir, tant celui-ci bascule dans la caricature. Ses déboires deviennent d’un prévisible… même si l’histoire consacrée à la chasse au Raoul est amusante elle fixe le cap d’un album qui est à deux doigts de sombrer dans l’univers du cartoon.



Outre les dessins et l’univers très particulier de la série, quel intérêt motive la lecture de cet album ? Et bien… heureusement que les personnages secondaires s’en donnent à cœur joie. Les remerciements s’imposent pour Raoul et ses amis dont les bons mots nous permettent de passer un moment qui reste agréable.
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Léonard, tome 3 : C'est un quoi, déjà ?

Léonard, tome3; un ensemble de gags toujours aussi drôles et de dialogues truculents, bien qu'inégaux. A nouveau quelques perles et donc quelques éclats de rire. Je n'avais pas été particulièrement enthousisate lorsque, enfant, je lisais Léonard, mais aujourd'hui, ces histoires prennent une autre saveur.



Dans ce tome, on admirera particulièrement la faculté de Léonard à s'aimer et admirer son propre génie. L'auto-satisfaction, il n'y a que cela de vrai!

A noter aussi quelques velléités de rebellion de la part du Disciple martyre.

Je ne m'en lasse pas.





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Léonard, tome 36 : Le génie se gondole

Comme son titre et sa couverture l’indiquent, l’album commence par une histoire un peu plus longue que les gags habituels, au cours de laquelle Leonard et son disciple se rendent à Venise à la recherche de la page 13 d’un vieux grimoire.

Mais si cette histoire est plutôt réussie, d’autres planches de ce 36eme tome m’ont laissée dubitative, notamment celles où Leonard invente le harem ou crée un dictateur.

Il reste néanmoins les classiques de la série, avec les malheurs du disciple, et un voyage dans le temps où Leonard invente à la fois la bourse et le délit d’inities.
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Clifton, tome 19 : Lune noire

Les aventures de Clifton se tournent de plus en plus vers une ambiance James Bond. Dans ce tome, comme dans le précédent, une héroïne a fait son apparition : il s'agit de Jade bien entendu. Du coup avec un duo, les auteurs peuvent jouer sur les interaction. Même John Steed avait son Emma Peel !

Le dessin est toujours très bon. Quelques jeux de mots assez sympa comme fish and chips alors que dans l'album précédent, nous avions Blake et Mortimer...

Contrairement à d'autres lecteurs, j'aime bien cette aventure où l'on se trouve dans une base secrète en Corée (très repaire des méchants dans l'esprit James Bond...)

L'introduction est plutôt bien faite.
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Léonard, tome 43 : Super-génie

Je n'ai pas lu les 42 tomes précédents, loin de là, mais juste quelques uns. Du coup, je suis moins touché par la répétitions des gags que certains lecteurs. Je pense que ces albums pour les apprécier, il faut en lire un de temps en temps, sinon, effectivement, on se lasse.

Du coup, moi j'ai trouvé celui-ci plutôt bon, notamment les gags où apparaissent Albert et sa clique. A noter, de nombreux clins d'oeil à Tintin avec chez Léonard un portrait de Tournesol ou encore une représentation de la célèbre fusée rouge et blanche.
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Léonard, tome 5 : Génie à toute heure

Des histoires plus poussées et plus rigolotes ! Enfin du mieux !
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Rantanplan, tome 13 : Le Grand Voyage

Il en parcourra du chemin ce cher Rantanplan dans cet album. Il passera du Far West à Paris... et toujours guidé que part son pif et son estomac. C'est qu'il a faim, et pas de flair ! Mais ça donne un petit bijou d'album. J'ai ri souvent de ces mésaventures ! A lire !
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Léonard, tome 32 : Magic génie

Magic-Génie tire son (manque) d'inspiration du premier gag sur lequel débute cet album. Il est à l'image de ce qui suit : une accumulation de gaffes misant sur un comique de répétition usé jusqu'à la corde et franchement puéril. La chute tombe comme un cheveu sur la soupe (le scénariste se serait-il endormi ?).



La plupart des gags sont plus longs que d'habitude, mais ils sont caractérisés par des situations déjà vues et revues à de trop nombreuses reprises. Seule l'invention d'une secte bien particulière apporte un peu d'eau au moulin. La dernière histoire nous permet de retrouver le Grand Albert et son disciple... dommage que le scénario ne soit pas à la hauteur.



Voici un album qui doit tout au travail du dessinateur. Raoul et Bernadette font de leur mieux pour sauver les meubles, mais ils ne suffisent pas à éviter le désastre. Et ce ne sont pas les autocollants offerts qui feront la différence.
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