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Citations de Catherine Cuenca (148)


Paris, 2 août 1818
Les bras chargés d’un plateau-repas, Mélia sort de la conciergerie et se dirige vers l’escalier. Le hall de la maison est noyé dans l’obscurité. L’œil-de-bœuf, au-dessus de la porte d’entrée, ressemble à une lune jaunâtre, suspendue dans le néant. Précipitée par de noirs nuages d’orage,
la nuit est tombée très tôt ce dimanche. Les ténèbres recouvrent le Faubourg du Roule alors qu’il est à peine dix- neuf heures.
Éclairée par la lumière d’une chandelle posée sur le plateau-repas, entre une tourte à la viande et un bol de pêches, Mélia s’engage prudemment dans l’escalier. Il
y a vingt-deux marches jusqu’au premier étage. Vingt-deux marches en pierre, incurvées, polies et rendues
glissantes par des décennies d’allées et venues. Il su t d’une maladresse pour dégringoler...
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Adelie, jeune étudiante en médecine, vit avec ses parent et sa soeur.
Son rêve. ..devenir médecin, mais ces études ne vont pas se passer comme prévu...
va-t-elle réaliser son rêve?
Une histoire d’amour naît entre adelie et antonin. ...
la guerre qui arrive va être un choc...
Les décisions qu’Adelie va prendre serons t-elles les bonnes?
J’ai bien aimé ce livre car j’ai adorée l’histoire entre Antonin et Adelie,le vocabulaire est assez spécifique.
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Le mur du fond est baigné d'une douce lueur dorée. Alignées contre le mur, trois petites bougies brûlent. Les trois flammes montent, droites, fines, à l'assaut de la nuit.
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Marie-Pierre penser à toi me réconforte,l'espoir de te revoir un jour sous un ciel meilleur me garde en vie.
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Son coeur se serre,l'angoisse le reprend,douloureux rappel de la réalité.
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Pourquoi ai-je accepté sa proposition?Pourquoi n'ai-je pas tourné les talons en emmenant Sara?Pourquoi n'ai-je pas écouté oncle Eugène?
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Pour nous en sortir ici, c'est en ça que je crois!
Henri! Qu'est ce que t'as foutu?
-C'est ces mitrailleuses... Dis, Etienne, tu vas pas me laisser tomber, hein?
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bon dieu, mais c'est qu'ils s'acharnent, ces salauds ! tonne Gaspard .
Un feu roulant d'artillerie les tien couches, impuissants, a quelques mètres de la tranchée ennemie.
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cher Etienne,

je vous envoie quelque provisions, en espérant qu'elles vous parviendront intactes. Comme j'aimerais que Noël soit une trêve qui vous redonne force et espoir ! je prie chaque jour pour vous.je vous embrasse affectueusement .


Marie-pierre
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Je veux croire que Willi a été soigné et qu'il a survécu.
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Tu as fini de lui farcir la tête avec ces horreurs?coupe ma mère; Tu ne vois pas qu'une guerre,c'est le pire des malheurs qui puisse nous arriver.
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Nous avons parlé longtemps, de Zola, de Maupassant, des frères Goncourt. Je n'ai pas vu l'heure passer. Soudain, le soleil m'a paru bien bas, et j'ai pris congé de lui un peu brusquement. A la maison personne ne s'est rendu compte de mon absence.
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Pourtant, c'est chaque jour que nous perdons l'un des nôtres en combattant ces fous qui agitent Dieu comme un étendard mais qui se rendent coupables des pires péchés en son nom.
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- Nous portons bien plus que l'honneur de nos familles, déclare-t-elle. Nous luttons pour libérer des populations, pour délivrer les femmes de la tyrannie. Toutes les femmes. Ce sera dur, cela prendra du temps, mais nous y parviendrons.
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Voter, c'est exister !
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Comme elle voudrait frapper ces hommes alignés là derrière leurs pupitres, sûrs de leur bon droit ! Ils ressemblent à son père pour qui elle n'était qu'une monnaie d'échange ; à ses frères, qui se moquaient bien qu'elle soit malheureuse  dans les bras d'un mari violent et inculte. Un objet, voilà comment ils traitent les femmes. Mais nous ne leur appartenons pas ! rumina-t-elle.
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- Voter, c'est exister !
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Ce sont les hommes qui ont défini les règles que nous suivons aveuglément. Il est absurde de nous plier à un code de conduite que nous n'avons pas choisi ! Si nous ne dépassons pas nos peurs, nous ne changerons rien à notre situation et les hommes continueront à décider pour nous ! (p.97)
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Les hommes ont voulu la guerre et nous l'avons endurée pendant quatre ans. Ils nous ont sacrifiées à leur jeu mortel, exigeant que nous soyons là pour les pleurer, les panser, les réconforter. Et nous avons été là. Nous avons permis, par nos sacrifices consentis et silencieux, que notre pays ne s'effondre pas. Mais que font les hommes, aujourd'hui ? (p.86)
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La paix revenue, les femmes qui avaient vaillamment remplacé les hommes à tous les niveaux de la société et dans tous les métiers étaient priées de rentrer chez elles. Sans aucune reconnaissance ni contrepartie pour les efforts consentis pendant quatre ans. (p.58)
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