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Citations de Catherine Cuenca (148)


"Je...
- Comment vous appelez-vous ?
- Etienne...", répond-il. Mais sa voix se brisez devant l'air stupéfait de la jeune femme.
Alors, il voit les mèches brunes éparse sous le chapeau, les yeux noirs, la peau mate, les pommettes hautes, le cou altier, la taille élancée serrée dans le tissue bleu clair de la robe, les bas noirs qui étoffent la minceur des chevilles et les jolis souliers.
"Marie-Pierre...", souffle-t-il.
Elle hoche la tête et ferme les yeux.
" Viens", dit-elle.
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- Il faut bien vivre en attendant de trouver le trésor de la Tête d’Or, dit-il avec un nouveau sourire.
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Une très belle histoire. Résumé : Les vacances s'annoncent mal pour Marianne et son frère Louis : leur père a décidé de les emmener en Normandie, pour une petite leçon d'histoire sur la Seconde Guerre mondiale et le débarquement du 6 juin 1944. Mais dès leur arrivée aux Ajoncs, la maison qu'ils ont louée, la propriétaire les prévient : la maison a connu un drame. Une jeune domestique qui y travaillait pendant la guerre se serait suicidée après avoir été tondue à la Libération. En rangeant ses affaires, Marianne découvre, caché au fond d'une armoire, un journal intime qui pourrait bien lui dévoiler ce mystère...
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- Ils trouveront n'importe quel prétexte pour justifier leurs crimes. Ce sont des lâches qui cherchent à se procurer sans effort de l'argent et des femmes, sans oublier le pouvoir... Bref, tout ce qu'ils n'avaient pas dans une vie normale. C'est pourquoi nous devons lutter sans répit contre eux. Nous devons lutter pour que les femmes, où qu'elles vivent, ne soient plus jamais les esclaves d'aucun homme.
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Oui, je sais que ces hommes ne valent pas la balle qui les transperce. Pourtant, c'est chaque jour que nous perdons l'un des nôtres en combattant ces fous qui agitent Dieu comme un étendard mais qui se rendent coupables des pires péchés en son nom.
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L'on a proclamé les droits de l'homme, mais l'on a imposé des devoirs à la femme sans lui reconnaître aucun droit. (Jeanne Deroin)
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- (...) Quelques personnes s'étaient rassemblées sur un balcon, au premier étage d'une maison qui n'existe plus aujourd'hui.
- Quelques unes seulement ? l’interrompt Jérémie. Elles devaient être bien grosses pour que le balcon s'effondre sous leur poids !
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Je travaille depuis l'âge de quatorze ans, monsieur, cela fait donc neuf ans que je me penche tous les jours sur un métier à tisser, dix heures par jour. Si ce n'est pas preuve de résistance, je ne sais pas ce que c'est ! (p.24)
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- Au lieu de nous reconnaître enfin comme leurs égales dans le sacrifice, les hommes nous renvoient à nos foyers. Ils nous demandent de nous soumettre à leur volonté, comme nous l'avons toujours fait, et de réparer l'immense massacre dont ils sont responsables en enfantant très vite de nouveaux soldats, la chair à canon de leurs futures guerres. Il est grand temps que cela cesse, mesdames! Il est temps qu'on cesse de décider à notre place et que nous choisissions, ce que nous, nous voulons.
Il est temps que la Française puissent voter! (p 87)
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- Tu es content, hein? lance-t-elle. Tu n'as jamais aimé me savoir aux manettes d'un tramway!
- Ce n'était pas ta place, rétorque sèchement Célestin. D'ailleurs, cet emploi n'était que provisoire et tu le savais. Alors, ce n'est pas la peine de pleurnicher. Demain, tu m'accompagneras à l'usine.
- Pour gagner deux fois moins que toi en faisant le même travail! proteste Agnès. Je ne veux plus de cette misère, c'est injuste! (p 60)
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Pourvu qu’elle me croie. Elle doit me croire, parce que, au fond, c’est vrai : Matthias est mort en héros. Les héros, je l’ai enfin compris, ne sont pas ceux qui tombent proprement, touchés d’une balle en plein cœur, comme je le pensais autrefois, mais ceux qui affrontent la mort tous les jours et qui l’acceptent. Ce sont les seuls, les vrais héros.
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Sur le chemin de la maison, je pleure presque de rage. Matthias ! Mon pauvre Matthias ! On crève sous les obus, noyés dans la boue ou dans les vapeurs mortelles des gaz, et pendant ce temps des types se la coulent douce à l'arrière, épargnés par la complaisance d'un ami médecin.
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Je trouve se livre trop bien j'ai lu le 1 et 2 eme TOME je le trouve génial surtout l'époque (oui je suis fan de la revolution 1789
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" Coûte que coûte nous devons marcher, baïonnette au canon... des camarades tombent avec un cri, parfois silencieusement; un obus explose à 500-600 mètre, nous avons une pensé pour ceux qui ne se relèverons jamais et nous continuons à avancer. "
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Marie-Azélie Latour était une jeune fille qui avait de l'audace et de la curiosité malgré son éducation bourgeoise. C'était elle qui avait séduit Léandre. Pourrait-il aimer Zélie, collégienne du XXIè siècle, en jean et en tee-shirt ?
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Si la guerre est un malheur, pourquoi tout le monde se réjouit-il?
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Certes, sa liberté de ton et d'action surprenait à l'époque où les femmes étaient considérées comme des mineures toute leur vie, d'autant plus que la Révolution n'avait pas changé grand chose : comme dans d'autres domaines, les sans-culottes avaient repris les idées des philosophes des Lumières au sujet des femmes, et ces idées ne prêchaient pas en faveur de leur émancipation ...
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L'amusement de Raoul s'évanouit aussitôt. Des ombres étranges se découpaient à la lisière du bois. Epaisses et hérissées de cornes, elles semblaient le guetter.
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Les exclus avaient toujours suscité la méfiance et la peur. Surtout en temps de malheur...
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Ne croyez pas que tous les mariages soient d'amour et les demoiselles heureuses de convoler, messire Gabin. Nous endurons souvent les choix qu'on nous impose.

[p85]
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