La fille du médecin personnel de la Reine a disparu.
Malcolm Ivory va devoir enquêter très discrètement sur cette affaire. Il ne faudrait pas qu'un scandale éclabousse la Monarchie !
J'ai bien aimé retrouver les personnages emblématiques de cette série, même si ce volume m'a semblé un peu en dessous des autres, on devine assez rapidement ce qui est arrivé à la jeune fille et j'ai trouvé que l'intrigue trainait un peu en longueur.
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Sir Malcolm Ivory doit mener une enquête discrète d'une jeune fille disparue ,dont le père n'est autre que le médecin personnel de la reine d' Angleterre .Une adolescente est découverte assassinée dans un hôtel Londonien. Portant un autre prénom que la disparue mais elle est son sosie. Sir Malcolm devras enquêter dans le milieu de l'aristocratie la plus haute d'Angleterre .Beaucoup de rebondissement dans cette enquête policière .
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Les gens , au lieu de vivre leur vie , ne font que rêver un roman .
Qui racolait pour elle ses clients ? Il y a une organisation là-dessous , qui a pris cette jeune fille dans ses filets.
Si on met le doigt dans l’engrenage, tout le bras y passe.
Vous vous demandiez si elle attendait quelqu'un ou si quelqu'un se trouvait caché dans la salle de bains.
Né en 1931 dans les Ardennes, sous le nom de Jean-Paul Baron, Frédérick Tristan, auteur de plus de trente livres en soixante ans d'écriture, aime brouiller les pistes. Comme Fernando Pessoa, il a créé des hétéronymes qui écrivent à sa place, dont celui de Danielle Serréra, jeune poétesse suicidée à 17 ans. En 1983 il obtient le prix Goncourt avec « Les Égarés ». Membre éminent du courant littéraire de la Nouvelle Fiction identifié par Jean-Luc Moreau, il a notamment publié « le Dernier des hommes » (1993), « L'Énigme du Vatican » (1995), « Stéphanie Phanistée » (1997), ainsi que des romans policiers sous le nom de Mary London. En 2000, il reçoit le Grand Prix de littérature de la Société des Gens de Lettres pour l'ensemble de son oeuvre, rééditée par Fayard depuis 1997. Il a publié ses mémoires en 2010 : « Réfugié de nulle part » (Fayard, 470 p.).
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