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Critiques de Gilles Legardinier (5239)
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Demain j'arrête !

Il y avait longtemps que je n’avais plus ri de bon cœur avec un roman. Ayant lu plus de la moitié dans le train, j’en ai amusé plus d’un. Choisi par le club de lecture, je n’ai eu aucun mal à entamer ce livre, déjà dans ma PAL. Une critique entendue lors d’une émission littéraire avait déjà retenu mon attention. Et franchement, je ne regrette pas une minute ce choix. C’est le livre idéal pour oublier le quotidien et passer un bon moment.



De prime abord, il ressemble un peu à de la chick lit, il en a la couleur (rose) et l’aspect (jeune fille de 28 ans, célibataire, cherche l’amour avec un grand A). Mais, et c’est là toute la nuance, il est écrit par un homme. On n’y retrouve donc pas le côté cucul de ce genre de littérature (pardon pour ceux qui aiment) mais bien l’humour qui le caractérise.



Derrière le texte, on sent que l’écrivain est un homme d’une grande sensibilité, observateur du quotidien et des petits riens qui tissent une vie. Même s’il dépeint ses personnages sans complaisance et avec une finesse psychologique très lucide, il témoigne d’une grande tendresse envers eux. Bien qu’ils aient des faiblesses et des failles, il nous les fait aimer et on se surprend à éprouver assez vite de l’affection pour ces héros de papier.



Auteur de polar, Gilles Legardinier a aussi le sens de l’intrigue et de la chute et sait garder l’attention du lecteur jusqu’au bout. Le style est rythmé, les rebondissements se succèdent et s’emmêlent sans lourdeur, ponctués de scènes d’une drôlerie jubilatoire. Il n’y a pas de temps mort et les pages se tournent sans peine.



Mêmes les remerciements de l’auteur sont généreux et touchants. A l’image des personnages, nombreux, qui construisent l’histoire.

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Demain j'arrête !

L'arrivée d'un nouveau voisin peut :



1) Être source d'ennui

2) Être une véritable joie, surtout s'il est beau et célibataire (oui, oui, c'est souvent dans les romans, ça !)

3) Les deux cumulés



Bien évidemment, l'arrivée du nouveau n'est pas passée inaperçue aux yeux de Julie, d'autant plus qu'il a un nom plutôt original :Ricardo Patatras. Mais si celui-ci a été remarqué, Julie n'a pas brillé non plus par sa méthode d'investigation pour savoir qui il était. On ne peut pas dire que la discrétion l'étouffe puisqu'elle s'est retrouvée prise la main dans le sac ou plutôt la main dans la boîte aux lettres du jeune homme. Mais qui est-il vraiment d'ailleurs. Il semble cacher quelques secrets...



Pourquoi donc n'avais-je pas lu ce livre avant ? Oh, c'est facile ! En général, lorsqu'on entend beaucoup parler d'un livre, j'évite de m'y ruer dessus car il me déçoit deux fois sur trois. Donc, j'ai laissé passer le battage médiatique et il a fallu qu'une amie le lise et me rassure pour qu'enfin je m'y mette. Et... je l'ai lu en quelques heures. Ce roman brille par son humour, par son style vif qui nous permet d'oublier pour quelques instants tous les petits tracas du quotidien. On devrait presque se le faire rembourser par la sécurité sociale. On en ressort rayonnant, avec un sourire jusqu'aux oreilles. Bref, il n'y a pas que la couverture de déjantée ! L'histoire l'est aussi. Et ce qui est extraordinaire dans tout ça, c'est de voir à quel point l'auteur a pu se mettre dans la peau et la psychologie d'une femme. On peut dire qu'il les a bien observées !



Ce livre figure dans mon top 10 des bouquins humoristiques ! Courez l'acheter !
Lien : http://www.lydiabonnaventure..
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Demain j'arrête !

un petit mot rapide, il y a déjà tant de critiques sur ce livre ...

j'ai vu que beaucoup de monde l'avait déjà lu ou avait envie de le lire, j'ai croisé la couverture avec son insolite chat à bonnet péruvien plusieurs fois, et j'ai craqué, j'ai fini par l'acheter ! et je ne l'ai pas regretté !

un livre amusant, sympa, un bon moment de détente



si vous aimez (au moins un peu) les anti-héros et les décalés genre Gaston Lagaffe, les vraies gentilles façon Amélie Poulain, le livre "Ensemble c'est tout", les histoires avec des mamies sympa, avec des personnages secondaires amusants (la galerie de copines de Julie, les Australiens invités au mariage de Sarah, Xavier et ses amis, ceux de la boulangerie ...), les personnages odieux qui finissent par récolter la punition qu'ils méritent, les scénarios déjantés comme dans "Saga" de Tonino Benacquista ... si vous n'aimez pas les bonnets péruviens ... ce livre est pour vous ! à lire
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Complètement cramé !

Je vais remercier les lecteurs de Babelio car grâce à leurs nombreuses critiques sur les ouvrages de Gilles Legardinier, j'ai enfin fait la connaissance de cet auteur. Sans le savoir, j'ai acheté "Complètement cramé!" en avril, au moment où ce titre à fait la une du club de lecture. Je ne savait pas trop dans quel type d'intrigue j'allais rentrer, le seule chose dont j'étais sûre au vu des avis positifs, c'est que j'allais passer un bon moment donc c'est sans appréhension que j'ai ouvert cette petite chose verte toute mignonne.



Andrew Blake, notre héros, ne supporte plus son quotidien en Angleterre. Ayant perdu peu à peu le goût de vivre après le décès de sa femme, il décide de partir incognito en France pour devenir majordome. Embauché au domaine de Beauvillier, Andrew est à cent lieues d'imaginer quelles sont les surprises qui l'attendent sur place...



J'ai été confrontée à un thème que j'aime beaucoup : le changement de vie et tout ce que ça implique dans le quotidien d'une personne. Gilles Legardinier met son expérience du cinéma dans ses romans et ça se sent dans la construction du récit. Pendant toute la lecture, j'ai eu l'impression d'être devant un film, les images défilaient dans ma tête à une vitesse hallucinante et je n'ai eu aucun mal à être happée par les péripéties d'Andrew et ses acolytes. Il faut dire que notre héros est un sacré phénomène, tendre et attachant, c'est le genre de personnalité qui donne le sourire, il est un peu l'ami que l'on aimerait avoir auprès de soi dans les moments difficiles. De plus, les autres protagonistes contribuent à renforcer le charme de l'histoire car ils sont tous plus sympas les uns que les autres malgré leurs blessures et autres accidents de parcours. C'était assez risqué de mélanger autant de caractères dans un seul roman mais je crois que l'auteur a gagné son pari. Complètement cramé est un cocktail de bonne humeur, rempli de vie,de bons sentiments. C'est frais, léger et ça donne la pêche!

Lecture parfaite dans les moments de déprime, ce roman redonne la foi vis à vis de nos semblables,nous fait comprendre que nos soucis ne sont peut être pas si graves car l'essentiel c'est d'être ensemble pour essayer de les oublier ne serait-ce qu'un temps. J'ai vraiment adoré ce roman que je classe sans hésiter parmi mes petits bonheurs, une histoire adorable qui fait oublier le moment présent en vissant un magnifique sourire sur les visages. Je renouvellerai l'expérience Gilles Legardinier avec enthousiasme, quand à vous, amis lecteurs si vous n'avez pas déjà succombé, n'attendez plus, foncez!

A lire !
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Demain j'arrête !

Dans le domaine littéraire, il y a des choses quasi impossibles à réaliser. 

Exemple : trouver un coiffeur à Delphine de Vigan.

Mais, a contrario, il y a aussi des choses beaucoup plus accessibles.

Exemple : devenir un auteur populaire.



Pour ce faire, il s’agit de se concentrer un minimum et de réunir dans un roman tous les ingrédients identitaires garantissant que votre lectorat se retrouvera dans vos personnages, rira de leur quotidien si semblable au sien et pourtant si facétieux et éprouvera pour eux un sentiment tout à la fois fait de nostalgie et de gratitude. Le tout, sur un thème porteur et universel – à défaut d’être original -, l’Amoooooouuuuuurrrrr.



Et surtout, surtout, tout (et n’importe quoi) qui puisse lui faire oublier une seconde le type qui se cure le nez assis en face de lui dans le métro, la grisaille de ce jour de boulot pareil à tous les autres et la certitude que même après un bon dodo, ce triste jour reviendra demain, toujours aussi gris.



Voyons donc ce qu’on a ici.

Un roman avec un chat en couverture.

Comment le lecteur pourrait-il humainement ne pas craquer quand toutes les statistiques prouvent que le chat EST l’accroche visuelle qui met TOUT le monde d’accord, même les allergiques aux poils, car oui, il est rare d’éternuer et de développer un eczéma simplement en regardant une photo (sauf si vous regardez une photo de Delphine de Vigan au réveil, bien sûr).



Ensuite…

400 pages (ah oui, quand même, y a du remplissage) dont la trame tient dans un mouchoir de poche, je vous laisse deviner ? L’Amoooooouuuuuurrrrr, bien sûr !



En bref, pour le fond :

5% de sexisme (c’est fatal quand un auteur croit qu’il peut se mettre dans les baskets d’une nana)

+ 15% de crises de fou rire (des vraies, j’en ai pleuré)

+ 40% de guimauve (très, très sucrée et très, très écœurante)

+ 40% de lieux communs (très, très lourds et très, très lassants)



En bref, pour la forme :

1% de syndrome "Amélie Poulain"

+ 1% de syndrome "Bridget Jones"

+ 1% de syndrome "Ensemble, c’est tout"

+ 97% de clichés et d'aphorismes à la con



Hop, là-dessus, un coup de baguette magique éditoriale, et qu’est-ce qui sort du chapeau ?

Non, pas un lapin, vous n’avez rien suivi… C’est tout doux, ça fait miaou : un CHAT !



Roman de plage idéal. Ni un mauvais moment, ni un moment inoubliable. Vite lu, vite oublié.

Inoffensif.

Miaou.





Challenge de lecture 2015 – Un livre d’un auteur qui a les mêmes initiales que vous

Challenge ATOUT PRIX 2015 / 2016

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Demain j'arrête !

Idéal après une série de romans noirs, thrillers, et autres polars! Quelle bouffée d'oxygène et de bonne humeur!



Julie est une jeune femme célibataire , accumulant les gaffes et bévues que ce soit dans son travail ou sa vie sentimentale. Après avoir abandonné ses études pour un gougnafier qui se prenait pour un artiste, elle se retrouve employée dans une banque et pas vraiment heureuse avec ce job. Tout bascule avec l'arrivée d'un nouveau voisin, beau gosse, et apparemment libre. La conquête démarre, mais que cache ce mystérieux personnage, trop parfait pour être honnête?



Entre Bridget Jones et Susan Mayer des Desperate housewives lorsqu'elle s'amourache de Mike Delfino, on prend un grand plaisir qui peut aller jusqu'à l'éclat de rire tant les situations sont cocasses. La mise en parallèle des réparties de rêve et de celles réellement dites est particulièrement réussie.



Les personnages sont bien campés sans sombrer dans la caricature et l'on y reconnaît voisins ou relations dans leurs excès et leurs petites manies qui peuvent faire rire ou agacer.



Tendresse, amitié, compassion : beaucoup de sentiments positifs qui mettent du baume au cœur.


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Et soudain tout change

Les récents romans de Gilles Legardinier sont comme des virus. Ils se propagent de manière exponentielle de personnes à personnes par simple contact (verbal).



A la grande différence des virus habituels, le virus « Legardinier » ne se multiplie pas par division et est excellent pour la santé. Il booste le moral, fait travailler les zygomatiques et les glandes lacrymales.



Le virus « Legardinier », version 3, dite souche « Orange », est une nouvelle souche plus communément appelée ESTC « Et soudain tout change ». Elle produit clairement les mêmes effets que les précédentes souches « Rouge » et « Verte ». Pourtant sa composition est sensiblement différente des précédentes versions ; origine commune, constituants différents.



Cette fois-ci le virus se présente sous la forme d’une adolescente de terminale qui se pose 1000 questions sur sa vie et la vie en général.



Une fois de plus, la mutation « Legardinier » fonctionne à merveille. L’auteur arrive à se fondre dans son personnage et dans cet environnement lycéen avec autant de facilité et autant de crédibilité que lorsqu’il nous contait les histoires d’une jeune femme dynamique ou d’un vieux chef d’entreprise anglais. Ce talent protéiforme est absolument bluffant, tout sonne absolument juste et vrai.



Lorsque je lis un roman de Gilles Legardinier, mon entourage le sait. C’est l’un des rares auteurs à me faire m’esclaffer bruyamment aussi régulièrement (un vrai métronome du bon mot) et à faire couler une (ou plusieurs) larmes sur mes joues.



Et qui d’autre est capable avec tant de talent de nous faire rire par une phrase et nous émouvoir profondément dans la suivante (et vice versa) ? Cet équilibre instable est magnifiquement maintenu tout au long de ce nouveau roman.



Une histoire pleine de fraîcheur, entre nostalgie des années lycée, insouciance des jeunes années, questions existentielles de cette période de la vie et petites « philosophies du bonheur » made in Legardinier.



Le ton est parfait, tantôt léger, caustique ou poignant. L’auteur arrive, à l’aide de personnages bien campés, à nous faire rire même de sujets graves, et à nous passer des messages plein d’un optimisme qui éclaire la grisaille ambiante.



Un récit simple mais où la magie opère à chaque page. Avec Legardinier, les chiens ne font pas des chats (quoi que, à lire son intrigue…) et la version « Orange » succède dignement aux précédentes souches virales.



Tout est émotion dans ce bouquin, jusqu’à la traditionnelle postface où l’auteur se livre pour nous toucher définitivement au cœur.



Mon médecin est formel, ne vous faites surtout pas vacciner contre cette souche « Orange » qui va se révéler indispensable pour bien passer l’hiver. Et comme lors de toute attaque virale, prévoyez des paquets de mouchoirs !



En plus par la faute à Gilles Legardinier, me voilà marqué, devenu un inconditionnel de l’œuvre de Jérôme Chevillard et ardent défenseur de la cause des canards mâles.
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Demain j'arrête !

Comment dire ? Ce livre est tout simplement une superbe bouffé d'oxygène ! J'ai été très agréablement surprise que cet ouvrage soit l'oeuvre d'un homme tant j'y reconnaissais une écriture féminine. Mais, comme le dit l'auteur dans les toutes dernières pages, celui-ci est dédié à toutes les femmes qui l'ont soutenu durant sa vie mais aussi, tout simplement, à nous, les femmes ! Attention, messieurs, que cela ne vous empêche pas d'avoir la curiosité de découvrir ce livre car ce serait vraiment dommage !



Julie est une jeune femme de 28 ans qui va sur ses 29 (tout comme moi, qui les aurai dans neuf jours...coïncidence ?), célibataire et qui travaille dans une banque. Sa petite vie est bien réglée même si elle ne s'épanouit pas pleinement dans son travail (heureusement que ses amies sont là !) jusqu'au jour où un nouvel arrivant emménage dans son immeuble, un certain M. Patatras. Oui, je vous le concède, le nom prête à rire et c'est d'ailleurs ce qui a réveillé la curiosité de Julie. Bien décidée à savoir qui se cachait derrière ce nom ridicule, Julie est prête à tout pour savoir qui est ce mystérieux voisin.

Cependant, cela ira bien au-delà qu'une simple banale rencontre entre voisins car aussitôt qu'elle le voit, Julie est sous le charme. Cependant, comme un loup peut se cacher parmi les brebis, Julie apprendra bien vite qu'il faut se méfier des apparences et sera bien décidé à percer le secret sur cet homme qui, maintenant, fait en quelque sorte parti de sa vie. Qui est-il vraiment et pourquoi est-il aussi réservé sur son passé ?



Un roman léger, très agréable à lire, qui nous réserve bien des surprises et qui ma prodigua une véritable sensation de bien-être tout au long de sa lecture ! A lire !
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Une chance sur un milliard

j'ai tendance à ne pas lire la quatrième de couverture... car ou elle en dévoile de trop ou alors on est a coté de la plaque. Alors pour des auteurs en qui j'ai confiance comme Gilles Legardinier (et bien d'autres ) je zappe et je lis.

Mais j'avoue que je me suis fait peur car les premiers chapitres ont eu du mal a m'embarquer... pour ensuite me faire voyager dans le monde de l'auteur.



J'ai encore une fois adoré cette comédie, j'ai ris bien des fois aux éclats (le coup de batman j'ai adoré).

Et puis Legardinier a cette faculté de décrire des choses qui existent, réelles. je pense que cet auteur a une connaissance de l'être humain assez extraordinaire.

"Je n'ai porté cette montre que très exceptionnellement, quand j'avais vraiment besoin de convoquer la chance. Ce genre d'amulette ne fonctionne que lorsque vous êtes assez en panique pour croire qu'à travers un objet, celui qui vous aimait peut encore vous protéger. La dernière fois, c'était pour ma soutenance de thèse. Elle a parfaitement joué son rôle"



Cette citation c'est exactement moi avec une magnifique montre a gousset ayant appartenu à mon père ( d'ailleurs je n'ai que quelques photos, cette montre et un jeu de boutons de manchette lui ayant appartenu) décédé lorsque j'avais 6 mois.

En fait on s'attache aux choses parfois, c'est un besoin.

Hormis cet exemple là, il, y en a plein d'autres.. ou chacun je pense pourra se retrouver.



Cet auteur a aussi la faculté, très simplement de donner le sourire avec des sujets forts, des sujets qui te montrent que la vie ce n'est pas toujours si compliqué et qu'en revenant parfois a l'essentiel on peut se trouver ... a condition d'être en paix avec son passé.



C'est aussi des personnages , simples, comme toi et moi, a qui il arrive des tuiles... et rien que ces personnages c'est déjà tout un monde chez Legardinier.



Donc après un début un peu difficile j'ai adoré cette comédie qui m'a emportée, qui m'a fait rire, et qui te donne envie et besoin de voir le verre a moitié plein.
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Complètement cramé !

Quand un vieil Anglais un peu allumé (notez que je ne dis pas cramé), seul, veuf, ne voyant plus sa fille, rencontre une vieille Française très aristocratique, seule, veuve, ne voyant plus son fils, en endossant un métier d’emprunt, majordome d’un manoir ; quand la cuisinière de ce manoir, un peu acariâtre, seule, célibataire, se dispute avec le régisseur un peu bourru de ce même manoir, seul, célibataire ; quand la jeune femme de chambre, un peu enceinte, se retrouve seule, abandonnée par son amoureux, jeune homme se posant « des questions sur sa vie » ; quand un chat, très angora, rencontre un chien, très youplala ... et bien, tout ce beau monde ne peut EVIDEMMENT que donner libre cours à une tonne de bons sentiments, bien sirupeux, bien dégoulinants. Ajoutez une autre tonne de dialogues à l’humour forcé où la feinte DOIT se trouver à quasi chaque ligne, et vous aurez compris, vous m’aurez comprise, j’ai peu aimé, et ce n’est pas peu dire. Et pourtant, dieu sait que j’aime ce qui est décalé et déjanté.



Bien sûr, c’est gentil, bien sûr c’est positif, bien sûr je suis d’accord avec cette philosophie de la vie. Mais qu’est-ce que ça m’a semblé lourd ! Autant l’humour que l’amour, tout nous est expliqué, rien n’est laissé au hasard. Celui qui n’aurait pas compris que tout va finir bien et même de la façon la plus parfaite possible (tant pis, je dis la fin) doit sans nul doute se recycler dans la lecture intensive de romans donneurs-de-leçons-assénées-avec-rire-et-larmes.



A sa décharge, il faut dire que j’ai un peu souri, justement à partir du chapitre 33 traitant de la souris (non, rassurez-vous, je ne cherchais pas à faire de l’humour), et puis aussi lorsque les animaux de compagnie sont décrits, avec beaucoup de fraicheur. Mais bon, ça ne suffit pas pour que j’explose de joie. Alors, complètement cramé ? Non, tout à fait refroidie.





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Mardi soir 19h

La couverture de ce roman m'a déjà fait marrer... Gilles Legardinier aime prendre ses lecteurs a contre courant. On était tellement habitué aux chats.



Je sais que avec cet auteur je vais passer un très bon moment de lecture. Léger, drôle, mais malgré tout avec souvent une belle leçon de vie mais sans prise de tête.



Ici la leçon était jolie, mais j'ai surtout aimé certaines répliques. Et puis quel bel hommage à nos infirmières. Elles en voient des vertes et des pas mûres.



Une belle lecture dépaysante, récréative, a mettre entre toutes les mains. Un roman qui redonne le smile, et espoir en la nature humaine.
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Complètement cramé !

Après le grand succès de « demain j’arrête ! », il était logique que Legardinier remette le couvert. La question était de savoir quelle allait être la recette proposée.

L'auteur aurait pu tomber dans la facilité et proposer une resucée du précédent roman.

Que nenni, ce Legardinier est décidément intelligent et un auteur chaudement recommandable. L'histoire de ce roman n'a rien à voir, le ton est toujours drolatique, mais différent.

Place à un personnage anglais et un humour plus fin, à l'anglaise. On devient très rapidement tout aussi dépendant de ce récit et de ses personnages tellement chaleureux.

Une grande place est donnée à l'aspect humain et à l'émotion, ça dégouline de bons sentiments (sans jamais coller aux dents), ça irradie de belles pensées (sans aveugler au point de coller mal au crane), bref tant de pensées positives font un bien fou !

Car l'auteur sait y faire, et sa plume joyeuse et pleine de bons mots rend cette lecture éminemment sympathique.

De la littérature populaire au bon sens du terme.
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Mon tour de manège

"Tu me fais tourner la tête

Mon manège à moi c'est toi

Je suis toujours à la fête."

Quand tu me tiens dans tes bras " Edith Piaf, Mon manège à moi.

Amandine a des amies ( le club des "Patates"). Elle en a gros sur la patate, car elle n'a pas d'amoureux.



La jeune femme a pourtant reçu un héritage de son père naturel : "La Cabane aux Ecureuils"! Un papa dont elle ignorait l'existence ( Christophe Bellanger ) et voilà que son père nourricier et sa maman se refilent la patate chaude en refusant d'en parler à Amandine...



"Son enthousiasme retombe comme un flan sur le carrelage", car "La Cabane aux Ecureuils" est occupée par une bande de fêtards? "

Un homme va pisser devant sa "maison" et Amandine lui lance une boîte de raviolis...



"Je suis fichue, j'ai tué un mec avec une boîte de raviolis"..pur boeuf!

Amandine va ramasser l'inconnu et le réconforter en lui tenant chaud dans les fourrés...toute la nuit.

Au réveil, le jeune homme est encore étourdi et a faim...

- "Je vais faire chauffer l'arme du crime. Tout ira bien." Fait Amandine

-Tu vas faire quoi?"



Il y a 3 chats A, B, C et l'amiral Nelson, un chien !l Un demi-frère, l'ami bricoleur,= un ex collant à souhait, la méchante belle-mère qui veut la Cabane aux Ecureuils et un voisin qui est... sur ce manège.



"Ne faites pas comme moi. Soyez libre. Cette vie n'est qu'une attraction de fête foraine...Ne laissez votre place à personne, car vous n'aurez droit qu'à un seul ticket...C'est votre tour de manège. "



Laissez vous emporter par ce tour de manège et peut-être pourrez vous, comme Amandine, attraper le pom-pom, le tournis et le Bonheur de vivre...

"Tourne manège, mon joli manège

"Tourne et retourne doucement

Emmène-nous sur tes chevaux de neige

Au pays de l'enchantement" le Manège enchanté, Tournicoton, tournicoti !
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Demain j'arrête !

J’ai beaucoup ri, mais vraiment beaucoup, des tribulations de Julie Tourel, dont l’imagination et le cœur vont s’enflammer après sa rencontre avec le dénommé Ricardo Patatras. On peut dire qu’elle en a de l’imagination, notre agent première classe JT, pourfendeuse des empêcheurs de tourner en rond, des chats persifleurs, et des monstrueuses coquilles Saint Jacques ! quant à son cœur, il est grand comme ça ! Tellement grand qu’il la mène par le bout du nez et lui fait commettre pour notre plus grand bonheur les pires idioties. En cela, elle est assistée par toute une bande de copines galvanisées par son appétit de vivre et ses folles extravagances. Des copines qui sont à son image, un peu foldingues, un peu sentimentales, et très attendrissantes ; des copines qui toujours sont ballotées entre une rupture amoureuse et leur recherche frénétique du Grand Amour, ce qui ne les empêche pas de jeter un œil intéressé sur les fesses des mauvais garçons… Mais dans ce livre, il n’y a pas que des situations totalement farfelues et des répliques hilarantes… Il y a aussi de la tendresse, beaucoup de tendresse entre ces copines qui se serrent les coudes face aux adversités et aux monotonies de l’existence, entre Mohamed et Madame Bergerot, nos deux fringants capitaines d’industrie, entre Madame Rouland et Julie qui jusque bout entretiendra son jardin suspendu.

Un très bon livre que je conseille à celles et ceux qui jettent un œil sceptique sur ce genre de littérature et aux derniers qui sont passés à côté.

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J'ai encore menti !

Viens de commencer ce roman. Stop.

J'en peux déjà plus...Stop.

Trouve le début poussif, pleins de phrases "philosophie-de-comptoir" , un ton artificiellement guilleret. Stop.

Essaie de m'accrocher . Stop.

Ne comprend pas (médicalement parlant) pourquoi l'héroïne a perdu la mémoire pour certaines choses compliquées, et a toute sa tête pour d'autres. Stop.

Ne supporte pas le personnage principal. Stop.

Ne suis pas sensible à l'humour de l'auteur . Stop.

D'ailleurs, me rend compte que de cet auteur , je n'ai aimé que sa première comédie " Demain j' arrête". Un titre prémonitoire ...

Sur le sujet de l'amnésie , avais adoré une comédie de Sophie Kinsella. Ne me souviens plus exactement du titre . Un truc avec "... la mémoire qui flanche".

" Lexi Smart a la mémoire qui flanche", voilà, c'est ça.

Stop.

Ferait mieux d'arrêter ma critique, ( qui n'en est pas une), avant de me faire lyncher par les fans de Legardinier et ils sont nombreux ! Pourquoi , son humour ne marche plus avec moi ? . Stop.

Allez promis, " Demain , j'arrête ! ", de lire du Legardinier si c'est pour en dire des bêtises … Stop.

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Ça peut pas rater

Voici donc le retour de Gilles Legardinier, en version carmin cette fois-ci. Il faut dire que le début de cette aventure voit l’héroïne du roman se fâcher toute rouge contre son ex compagnon et les hommes en général.



Oui, le fil rouge de ce roman est la relation de couple, avec ce personnage principal tirant à boulet (rouge) sur la gente masculine.



Ceux qui connaissent l’œuvre de Gilles Legardinier ne seront pas dépaysés par cette nouvelle fournée. On y retrouve sa marque de fabrique et son talent unique pour mélanger rires et émotions. Une tessiture qui lui est propre, avec quelques variantes, comme ce ton plus mordant qu’à l’accoutumée.



A force, on se dit que la recette est éculée, qu’il ne peut plus proposer la même qualité pour nous raconter ce genre d’histoires et qu’il va se prendre les pieds dans le tapis (rouge).



Mais non, mine de rien, Legardinier défie les règles de l’univers (c’est Einstein qui doit se retourner dans sa tombe). Car l’auteur arrive sans cesse à se renouveler et à nous passionner alors qu’il gravite toujours autour des mêmes thématiques. Oui, il est un peu magicien avec sa manière de nous parler de relations humaines sans jamais lasser et toujours avec cette profonde et sincère gentillesse qui le caractérise (c’est une qualité et non un gros mot comme certains le pensent !).



L’écrivain et l’homme ont des valeurs et portent une profonde attention à l’humain, à ses failles et ses vertus. Et puis ça ne l’empêche pas d’agiter parfois le chiffon rouge, comme au début de ce roman.



Avec les querelles de couple en terrain de jeu, Gilles Legardinier nous fait à nouveau passer par toutes les couleurs de l’arc en ciel. Même s’il est moins émouvant que son précédent roman (Et soudain tout change), on traverse à nouveau de nombreux états. On est touché par les personnages, on est obligatoirement concerné par le discours et on rit à (rouge) gorge déployée tout du long.



J’ai même eu l’impression que l’auteur s’amusait encore davantage à travers ce récit et ces personnages (si c’est encore possible) ! Certains passages frôlent le burlesque et sont proprement jouissifs (toujours avec verve et subtilité, on n’est pas dans le gros rouge qui tache).



Et puis, l’ami Gilles reste notre Docteur Feelgood à tous. Il nous parle d’amour ou d’amitié avec tellement de simplicité et de justesse qu’on ne peut que l’en remercier. Oui le remercier de nous distraire tout en nous rappelant que les hommes viennent de la terre et les femmes… tout autant.



Cette nouvelle couleur amarante s’apparente donc bien à une nouvelle et formidable réussite. Avec Ça peut pas rater !, Gilles Legardinier est toujours au top, tellement loin de la lanterne rouge. Ne boudez pas ce bonbon acidulé, il est excellent pour votre santé.
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Complètement cramé !

C'est frais , c'est drôle, c'est rudement bon quoi !!



Andrew Blake , soixantenaire anglais et chef d'entreprise n'en peut plus de sa vie professionnelle. Il décide de tout larguer et de devenir major d'homme. mais il tombe sur une sacrée maison. La patronne est assez réservée, la cuisinière coincée et bougonne, la jeunette qui fait le ménage a des soucis de cœur et le gardien ....



Enfin Andrew va vivre une sacrée aventure, pleine de rebondissements, de belles rencontres ou des amitié vont se créer grâce à des situations plus drôles les unes que les autres. C'est léger, mais au final pas tant que ça, l'auteur arrive a placer des situations pas toujours évidentes là au milieu. Ce n'est pas moralisateur pour un sous, mais on se retrouve parfois dans des leçons non pas de morales mais de bons sens.



J'ai beaucoup apprécié le fait qu'on puisse se reconnaître dans quasi tout les personnages... et d'envier certaines bêtises que j'aurais aimé faire.

Et puis les réparties dans les dialogues sont juste un régal.



Un très bon moment de lecture, facile, rapide, plaisant, plein d'humour et d'amour de la vie

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Une fois dans ma vie

Trois amies en quête du bonheur, Eugénie la gardienne du théâtre, Céline, mère célibataire affublée à un homme marié et Juliette, la bimbo qui s’éprend de son garagiste.

Gilles Legardinier nous dresse un beau portrait de l’amitié et des valeurs humaines telles que la solidarité, l’entraide, l’espoir et le courage. Tout n’est pas simple pour ces trois femmes. Eugénie se pose des questions sur le sens de sa vie, Céline se confie aux confessionnal au sujet de ses déceptions de cœur et de ses peurs pour son fils. Quant à Juliette, elle s’accroche à tous les signaux pour avancer vers le chemin étoilé de son cœur.



Les personnages masculins sont aussi un beau cadeau bien épicé et pétillant où ils frisent néanmoins à certains moment le ridicule par leurs excès d’épicurisme. La scène de la vache et du cheval est folichonne à souhait pour peu qu’on ait accès au second degré.



Un roman qui m’a tantôt fait sourire parfois même beaucoup rire mais tantôt soupiré tant certaines scènes m’ont semblé burlesques.

Toutefois, je suis ravie d’avoir réussi à lire jusqu’au bout mon premier Gilles Legardinier, d’avoir découvert une plume rafraîchissante, légère, qui distille des messages philosophiques à la pelle mais arrive à nous attacher à ces personnages qui veulent tracer leur route avec ce qu’ils ont et ce qu’ils sont. Quelques pages en moins n’auraient pas été superflues, pour une fois dans ma vie, je ferai avec, me concentrant sur l’effet vitaminé que m’aura procuré cette lecture. Pas si mal après tout.
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Le premier miracle

Certains tuent le père, lui a noyé le chat ;-). Gilles Legardinier n’est pas homme à se laisser momifier dans un genre unique, et pas question pour lui de nous proposer éternellement la même recette. Cet homme a plus d’une corde à son arc, et Le premier miracle en est une preuve éclatante.



Rassurez-vous, le chat n’est pas réellement mort (il y en a même un dans ce roman qui pisse sur les paillassons, c’est dire).



Là où habituellement un auteur de thrillers s’impose des contraintes (histoire mortellement sérieuse ou résolument loufoque), la vérité de Legardinier est ailleurs. Ce roman est un mélange assez inédit. Une alchimie entre thriller, aventure, humour et amour. Un procédé particulièrement instable que l’écrivain arrive à parfaitement équilibrer.



L’histoire qu’il nous conte est d’une ambition folle, tout en ne perdant jamais de vue l’aspect divertissement. Une intrigue incroyablement dense, totalement crédible, « malgré » l’humour omniprésent. Une aventure unique et ludique, à la fois contemporaine, historique et humaine.



Gilles Legardinier nous entraîne dans un voyage à travers le monde, l’Histoire et les sentiments, à la recherche d’objets sacrés et ésotériques. Le tout aux côtés de Services Secrets (très, très secrets) et de personnages absolument épatants.



Une histoire d’une réelle profondeur, qui emmène le lecteur loin, très loin. Un propos qui l’est tout autant, alors qu’on s’amuse pourtant comme des petits fous tout au long de ces 500 pages. Une alchimie miraculeuse, je vous l’ai dit !



Legardinier a la faculté de déstabiliser le lecteur en l’amusant quand il ne s’y attend pas. Avec ce roman, l’auteur n’a rien perdu de sa verve légendaire et de son humour décalé, capable de changer de simples mots en or.



Le premier miracle est un roman lumineux et profondément humain, qui nous fait découvrir des pans entiers de l’Histoire de l’humanité tout en nous bringuebalant à travers une aventure singulière.



Vous n’en reviendrez pas de l’étonnante histoire qui est racontée et de la somme de boulot qu’a dû demander ce livre. Un travail de recherches incroyable, que l’auteur a su parfaitement digérer afin de nous concocter une intrigue impossible à lâcher.



Gilles Legardinier est décidément un auteur hors normes, capable de proposer des blagues les plus enfantines tout autant que des passages plus sérieux et particulièrement bien écrits. Le premier miracle, porte bien son nom, tant son caractère lumineux tient du prodige. Ou comment étancher sa soif de surprises et de connaissances tout en se distrayant. Et de l’art de nous rappeler qu’il faut admettre de ne pas tout savoir pour avoir une chance d’apprendre.



Un dernier mot sur les personnages, d’une humanité rare. Ce sont bien eux les plus importants dans les romans de l’auteur. Les joutes verbales, entre un scientifique désinvolte et une agent des services secrets très particulière, sont un régal de tous les instants. Des êtres qui prennent chair et auxquels on s’attache irrémédiablement.



Avec Le premier miracle, Gilles Legardinier nous emmène dans une aventure différente, en se proposant de nous guider par la main. Croyez-moi, vous pouvez le suivre les yeux fermés, ce roman est de l’or en barre.
Lien : https://gruznamur.wordpress...
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Demain j'arrête !

Il s'agit d'une lecture attendrignone*, sans conteste !

Lu par une bonne dizaine de mes babéliamies, ce livre aux 1200 avis rassemblait de plus un large suffrage, de quoi m'intriguer et me tenter malgré un thème très éloigné de mes lectures habituelles...

Assez vite ce livre m'a donné l'impression de fouler une "terra incognita", d'être entré par erreur dans le vestiaire des filles, de découvrir un univers jusqu'alors vraiment inconnu, en un mot vivre le temps d'une histoire dans la tête d'une nana vraiment "barrée" et attachante.

Julie a "foiré" lamentablement sa dernière relation amoureuse "sérieuse" et se retrouve en manque affectif sévère, elle va se révéler capable du meilleur et surtout du pire pour y remédier, or il se trouve qu'un nouveau locataire vient d'arriver...

Si j'ai eu le sourire quasiment tout le temps, je n'ai pas pu non plus m'empêcher de me demander où commençait et finissait la caricature, il y a les copines du "club" des célibataires qui semblent toutes aussi déjantées qu'elle et qui se réunissent pour leur déjeuner mensuel.

Il y a les échanges avec sa meilleure amie et le regard que porte Julie sur ses congénères, les stratagèmes plus ou moins avouables pour tenter d'arriver à ses fins, autant de choses amusantes et intrigantes.

Le fait que l'auteur soit un homme m'amène à me demander si les femmes s'y reconnaîtront ou reconnaîtront certaines de leurs amies ou copines, j'avoue que je suis curieux de savoir.

Il s'agit d'une lecture légère qui aura atteint le but de me divertir, un bon moment sans prise de tête parfois un peu 'too much", mais à l'arrivée une comédie vraiment sympathique.

* Petit clin d’œil à l'un des "running gags" du livre.
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