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Citations de John Grisham (752)


Ils ont dû se passer le mot vite fait, bien fait : Dépêchez-vous ! Grand-mère a des millions en banque. On est sur le testament, mais elle veut le refaire. Venez vite ! Il est temps d'être gentil avec grand-mère !
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(quand on se demande si tel ou tel juré sera favorable ou défavorable)
Et Angel Weese ?
- Elle fume et elle est noire. Une chance sur deux
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Très bon livre. Captivant dès la première page. Je le recommande vivement, vous allez passer de bonnes heures. Ce que j'ai beaucoup aimé :
- style d'écriture très limpide
- les chapitres ne sont pas très long : on peut donc arrêter sa lecture régulièrement pour la reprendre plus tard
- il n'y a pas des tonnes de personnages, on n'est pas perdu dans l'intrigue.
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J'ai lu presque tous les livres de John Grisham, je me suis un peu lassée du genre ces dernières années, j'ai été agréablement surprise par ce livre,j'ai eu un immense plaisir à le lire.

Ce livre qui nous capte dès les premières lignes, j'ai retrouvé le grisham que j'aime.

Une immersion complète dans le milieu carcéral américain, les tribunaux, les avocats, manipulation, vengeance, trafic de drogue, d'argent, protection des témoins, ...

Connaissant l'auteur j''attendais avec impatience les surprises du dénouement.

Un excellent thriller juridique qu'on ne lâche pas avant la fin.
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― Thomas! Réveille-toi!
Elle augmenta le son qui devint assourdissant. Le Président souhaitait le bonjour aux téléspectateurs.
― Thomas! cria-t-elle en se penchant vers lui.
Callahan repoussa les draps du pied et se dressa sur son séant en se frottant les yeux. Elle lui tendit le bol de chicorée.
Le Président avait une nouvelle tragique à annoncer. Malgré ses yeux fatigués et sa figure de circonstance, sa voix de baryton était vibrante de confiance. Il ne regardait pas les notes devant lui. Il plongeait son regard dans l'œil de la caméra et expliquait au peuple les événements bouleversants de la nuit.
― Merde alors! marmonna Callahan.
Après l'annonce des assassinats, le Président se lança dans un éloge dithyrambique d'Abraham Rosenberg qu'il qualifia de figure légendaire. C 'était une rude épreuve, mais il demeura impassible pendant qu'il retraçait la carrière éminente de l'un des hommes les plus haïs des États-Unis.
Callahan fixait l'écran, bouche bée. Darby ne parvenait pas à en détacher son regard.
― C 'est émouvant, murmura-t-elle.
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Ike était l'oncle de Theo, et le frère aîné de Woods Boone. Avant la naissance de Theo, Ike avait créé le cabinet Boone & Boone avec Woods et Marcella. Il avait été avocat fiscaliste, l'un des rares en ville. Selon les quelques éléments que Theo avait pu glaner sur le sujet, les trois avocats avaient entretenu une relation agréable et productive jusqu'au jour où Ike fit une bêtise. Une grosse. Si grosse qu'il fut radié du barreau. [...] Ike s'occupait encore de fiscalité, mais à un niveau inférieur. Il n'était ni avocat ni comptable. mais comme il devait bien travailler pour vivre, il préparait les déclarations d'impôts pour des salariés et des petites entreprises. Son bureau se trouvait au premier étage d'un vieil immeuble du centre-ville, au-dessus d'un snack tenu par un couple grec.
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- Vous travaillez ? demanda-t-elle.
- Non. Très peu d'épouses travaillent. Nous n'avons pas de soucis financiers et nos maris ne nous aident guère avec les enfants. Mais il ne nous est pas interdit de travailler.
- Interdit par qui ?
- Par la firme.
- J'espère que non.
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- Dommage, Votre Seigneurie. Il fallait tenir votre langue. À trop vouloir montrer les dents, on finit par se faire mordre.
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«Un des avantages de la prison est qu'on a le temps de réfléchir.»
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Il avait été tenté de dire à sa sœur ce qu’il s’apprêtait à faire, mais elle risquait de mal réagir, de le supplier de renoncer. Elle serait affolée, paniquée. Ils allaient se disputer, ce qui ne leur était pas arrivé depuis des années. Ce meurtre allait bouleverser leur vie. D’un côté, il avait pitié d’elle, se sentant dans l’obligation de lui exposer ses raisons. Mais aucun argument n’était recevable. Essayer de se justifier serait peine perdue, et même contre-productif.
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Si la fumée du tabac provoque le cancer du poumon, comment se fait-il, docteur, que si peu de fumeurs en soient atteints ?
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Un avocat comme moi est contraint de travailler dans l’ombre. Mes adversaires ont des insignes et des uniformes qui les protègent, ainsi qu’une administration qui a plus d’un tour dans son sac. Ils ont prêté serment de servir la loi, mais puisqu’ils trichent et mentent à la moindre occasion, je suis contraint de faire comme eux.
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Aucun associé en activité ne facture moins de soixante heures... la plupart au tarif minimum.
- Cela fait beaucoup.
- C’est l’impression que ça donne, mais les apparences sont trompeuses. Un bon avocat peut travailler huit à neuf heures et en facturer douze. Ce n’est pas très honnête envers le client, mais c’est une pratique courante. Les grands cabinets se sont bâtis à coups d’honoraires gonflés. C’est la règle du jeu.
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Les gros cabinets juridiques avaient le culte de l'inefficacité : plus d'heures, plus d'honoraires !
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Écrire, par définition, est une activité sans garde-fou. Il n'y a pas de limites. Pas de patron, pas de supérieur, pas d'horaire ni de pointeuse pour imposer sa tyrannie.
On écrit le matin, on écrit la nuit. On boit quand on veut.
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Mais ces gens avaient un point commun : c'étaient tous des passionnés. Ils aimaient les livres, la littérature, les écrivains, le monde de l'édition, ils ne comptaient pas leurs heures et appréciaient leurs clients qui étaient à leurs yeux une espèce particulière et noble.
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Quand Pete sortit du bureau du pasteur, son revolver toujours à la main, il tomba nez à nez avec Hop. Il leva le canon vers le visage de l’employé, prêt à tirer. Hop se mit à genoux et le supplia :
— Pitié, missié Banning. Je n’ai rien fait de mal. J’ai des enfants, missié Banning !
Pete baissa son arme.
— Tu es un brave homme, Hop. Va prévenir le shérif.
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- C'est quoi, sa maladie ?
- Aucune idée. Être une femme, je suppose. C'est un monde d'hommes, Joel, n'oublie jamais ça. Si un mari influent considère que sa femme est instable, dépressive et que ses hormones lui jouent des tours, il peut la faire enfermer pour un certain temps.
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Et tous les accusés, aussi méprisables soient-ils, aussi odieux que soient leurs crimes, ont droit à un avocat.
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Gardy ne sait même pas où se trouve cette église. De plus, il n’a jamais mis les pieds dans le moindre édifice religieux. Sa mère le confirme. Les gens du coin le leur reprochent assez… les Gardy sont des « athées pratiquants ».
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