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Critiques de Katherine Pancol (2723)
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Embrassez-moi

Comme j'ai peu de temps pour lire en ce moment, j'ai essayé de lire une vingtaine de pages par jour.

Si le début est très attirant, je me suis perdue dans tous les personnages par la suite.

Je reprendrai ce livre lorsque je serai en vacances.
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Les yeux jaunes des crocodiles

Voilà j'ai lu mon premier Katherine Pancol.



Tout d'abord, je dois dire que ce n'est pas du tout mon style de lecture, mais je venais de terminer Ensemble, c'est tout, d'Anna Gavalda et que ce livre m'avait enchanté (d'ailleurs depuis je le recommande à tout le monde), et je ne suis dis continue ce genre de livre peut-être qu'en fait tu es faite pour les lire.



Les trois quarts des personnages ne m'ont pas plu, même si c'était leurs rôles, en entendre parler pendant plus de 600 pages, ça ne la pas fait. Ils étaient déplaisants, excécrables et leurs attitudes horribles.



L'histoire n'était pas accrochante et je tournais les pages que pour finir vite ce livre et passait rapidement à autre chose et non pas pour connaître la fin.



Je ne pense pas continuer cette saga.



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J'étais là avant

Mon avis concernant ce roman sera aussi fin et mince que le volume du livre lui-même. La raison en est que l'ouvrage m'est tombé des mains, alors même que la démarcation du milieu n'était pas encore atteinte. Ayant déjà lu nombre de romans de Katherine Pancol, j'avais osé estimer que le niveau d'écriture, les émouvantes histoires et les attachants personnages étaient égaux dans chacun des volumes produits par l'auteure. Il n'en ai rien, la preuve est là : J'étais là avant m'a terriblement déçu, voire rebuté pour un moment de la découverte de l'auteure.



Le résumé aurait dû m'alerter : les phrases alambiquées, tordues, semblent aussi vides que l'histoire elle-même, réduites à néant, comme un rien posé sur du papier. L'entrée en matière est quelque peu osée, tranchant net avec les précédents romans de l'auteure. Car Katherine Pancol, quelque peu visionnaire, a écrit un préambule à la littérature érotique, qui s'installe, dès à présent, dans une nouvelle catégorie d'oeuvres littéraires.



Sans être choquante, elle parle, avec subtilité, du sentiment amoureux sous toutes ses formes, n'omettant en rien les allusions osées, perverses, à la limite du condescendant. La protagoniste, avec ses airs disgracieux, et hautains, s'est attirée l'antipathie de chacun des lecteurs. En farfouillant quelque peu sur Internet, je me suis rendue compte que, loin d'être la seule, la majorité des personnes ayant lus ce livre ont lutés pour en venir à bout.



Après une cinquantaine de pages lues, attendant encore et toujours le début de l'histoire, une petite once d'action ou de mouvement, je me suis moi-même résignée à abandonner, laissant vaquer, seule, dans ses pensées, la protagoniste du livre.



Un roman sans âme, ennuyant, que je ne recommande pas. Katherine Pancol a un talent, certes, mais J'étais là avant semble réellement avoir été bâclé, écrit dans la tourmente, dans la rapidité et l'imprécision. Lisez plutôt Un homme à distance de la même auteure, et vous découvrirez sa réelle maîtrise de l'écriture.
Lien : http://addictbooks.skyrock.c..
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Les écureuils de Central Park sont tristes le..

Bonjour,



J'ai eu envie de vous raconter une petite anecdote, car elle m'a fait plaisir, et je pense qu'elle pourrait peut etre aussi vous plaire.

Depuis début janvier, mon fils est hospitalisé, l'hopital se situe à 130 kilomètres de chez moi et donc je fais les trajets tous les jours pour passer la nuit près de lui.

Je partage mon temps entre voiture et transports en commun (train et métro)

Tout à l'heure, sortant du train, je saute dans le métro. Durant le trajet de quelques minutes, j'observe les mines pas très réjouies des voyageurs, une attire mon attention. Une dame, assise, le visage "heureux", "serein", tient dans ses mains un bouquin.

A la station suivante, elle descend, sans lacher les yeux de son roman, se rassied sur un banc pour attendre un autre métro. Sans quitter des yeux son livre, une couverture mauve, des lettres de toutes les couleurs, .... les écureuils de central park sont tristes le lundi. !!

Une fidèle lectrice, une de plus. ça m'a fait sourire intérieurement.

Nous étions donc 2 fans de vous dans ce grand métro

bien à vous

Françoise BETTE



Ah la la ! Un autre bonheur que vous m’offrez, Françoise !



Mais vous êtes magique !







Katherine Pancol



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Muchachas, tome 2

Comme je l'ai déjà dit dans la critique du tome 1 de "Muchachas", c'est avec une certaine appréhension que j'abordais cette nouvelle trilogie de Katherine Pancol et puis finalement l'histoire de Stella dont on faisait la connaissance m'avait émue. Malheureusement, plus aucune trace d'elle dans cette suite où l'on retrouve, à mon grand désespoir, les personnages de la précédente saga de l'auteure. Ras le bol de l'arrogance d'Hortense, des hésitations de Joséphine et du QI surdimensionné de ce pauvre Junior ! Seule, Calypso tire son épingle du jeu et m'a maintenue en éveil car j'ai eu l'impression que cet opus était uniquement du remplissage dans l'attente du dénouement. Pas d'événements importants, quelques petites touches disséminées ça et là qui font que le lecteur, et c'est là que réside tout le talent de l'auteure, va se ruer sur le troisième tome pour voir comment celle-ci va s'en sortir en unissant (j'espère !) les différentes histoires.



Restant encore dans l'expectative, j'accorde un 11/20. Deux solutions : soit cette saga se termine en "eau de boudin" et me dégoûte à tout jamais de Mme Pancol qui à mon avis, prend ses lecteurs pour des pigeons, soit elle réussit avec brio son pari et nous offre un final inattendu et alors elle remontera dans mon estime.
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Les yeux jaunes des crocodiles

Je visite très souvent les bibliothèque, mais aussi les librairies tel que la Fnac, Thèma etc.... A plusieurs reprise je me suis surprise à regarder la couverture de ce livre et son titre tout aussi étrange, mais je n'étais pas assez intriguée pour avoir l'envie de l'acheter, et voila que sur un vide grenier je le vois qui trône sur l’échoppe et à 0,50 cent, oui oui vous avez tout compris, je l'ai acheté et pour mon plus grand plaisir.

Car Katherine Pancol nous fait partager la vie et les turpitudes d'une famille comme les autres avec les bons et les mauvais moments, les trahisons et l'entraide, une magnifique leçon de vie, écrite d'une façon Magistral!

Il y à dans le livre tellement de nous, moi je me suis retrouvée dans la peau de Joséphine la bonne pomme ( j'ai aussi 2 enfants).

je termine par dire que j'ai découvert avec un plaisir immense ce livre et cet auteur. d’ailleurs je vais immédiatement commencer le deuxième tome.

Je m'en réjouie d'avance ;-)
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Un homme à distance

Je continue la série des "premiers" : Un homme à distance a été mon premier Katherine Pancol. Encore un phénomène de librairie testé !



En toute honnêteté, les mots qui me viennent à l'esprit quand je pense à ce livre sont : pas crédible !



Je n'ai pas réussit à croire à l'histoire que nous raconte Pancol. Non pas que le postulat de départ ne soit pas crédible, bien au contraire, mais la manière dont elle a construit et fait avancé son récit ne l'est pas du tout.



Autres détails qui m'ont gênée dans son écriture : c'est plein de lieux communs !!!! Sans compter toutes les figures de styles qui se voulaient percutantes mais tombent à plat en réalité...



Alors oui, lorsque l'amour devient passion, il nous fait vivre de grandes douleurs qui nous font grandir et nous laissent des traces à vie, certes. Un fait connu et accepté de tous mais traité sans grande originalité dans ce livre, à mon grand regret d'ailleurs.



Dans la première moitié du livre, les personnages parlent de livres. Le choix de l'intertextualité ici étoffe un peu le récit et lui donne de l'intérêt. Par contre, lorsqu'on regarde ce qu'il y a autour .... ça sonne bien creux !



Heureusement le livre est très court, donc la lassitude ne dure pas trop longtemps.

On ne me reprendra plus à lire du Katherine Pancol, c'est certain !
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Les yeux jaunes des crocodiles

J'ai adoré ce roman de Katherine Pancol : il est bien écrit, intéressant, captivant, rempli d'émotions et de sentiments divers et variés. On s’immisce dans la vie des différents personnages, on la découvre et on a envie d'en savoir encore plus, de découvrir d'autres parcelles de leur existence, de leur histoire. J'ai beaucoup aimé le fait que les différentes histoires se croisaient , les destins se rejoignaient parfois ou au contraire, se séparaient. C'est un très bon livre, je me suis régalé à le lire ! Je vais rapidement attaquer le second.
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La valse lente des tortues

une tranche de vie, écriture légère, personnages graves, loufoques, une histoire en "mouvements".

Mais le livre de K.Pancol que j'ai préféré, c'est : Et monter lentement dans un immense amour
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Les yeux jaunes des crocodiles

Les yeux jaunes des crocodiles de Katherine Pancol, Livre de poche

C'est l'histoire d'une femme qui a toujours vécu dans l'ombre des autres et qui décide de prendre sa vie en main quand tout bascule, c'est l'histoire d'un homme qui voit toujours trop grand et gâche sa vie, c'est l'histoire d'un homme mal marié et qui essaie de se libérer du joug de sa femme, c'est l'histoire d'une femme qui attend cet homme, c'est l'histoire d'une anglaise qui essaie d'échapper à son destin, c'est l'histoire d'une soeur qui croit que tout lui est du, c'est l'histoire d'une fille qui veut jouer dans la cour des grands...

Les histoires des personnages s'entrecroisent, et je n'arrivais plus à lâcher mon livre, j'étais sur les pas de Joséphine et j'attendais qu'elle se réveille, d'où mon sentiment de frustration parce que Joséphine, finalement, parfois, est bien trop gentille! Trop gentille de supporter son mari qui lui vole son argent, trop gentille pour supporter Iris qui la spolie, trop gentille pour supporter cette imbuvable Hortense, personnage vraiment odieux que je trouve raté, tellement elle est mauvaise, une vraie "garce"!

Mais finalement un roman qui vous donne envie de gifler un personnage, d'en secouer un autre, de pleurer avec un tel, n'est-ce pas un roman réussi? J'ai aimé, j'ai dévoré, mais vraiment donner une giffle à Iris et Hortense m'aurait soulagée!
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La clarinette qui parlait aux oiseaux

Ce que j’apprécie le plus dans cette collection est le verso de la première de couverture avec la page de découverte de l’instrument et ses indications « Dans la famille des clarinettes, il y en a une qui se nomme la clarinette d’amour ! ».



C’est le deuxième que je lis et je trouve toujours l’histoire belle avec de jolies illustration. La plume de l’écrivaine nous emmène en forêt écouter la symphonie des chants d’oiseaux accompagné du mélodieux son de la clarinette jouait par Djamila. L’enfant – qui lit ou à qui on raconte l’histoire – apprend différentes familles d’oiseaux : « Elle contemple les merles, les alouettes, les hirondelles, les coucous, les tourterelles. ». Et l’auteure cite Mozart et Brahms. Je vous conseille cette lecture !



Dans ce livre, je n’ai pas du tout accroché avec le jeu « Trouve un intrus bizarre dans chaque page ! », je précise que c’est dans chaque double page. C’était de trop selon moi, l’histoire intéressante et les belles illustrations captivent suffisamment.



La clarinette qui parlait aux oiseaux (2019)

de Katherine PANCOL et Jérôme PELISSIER

Éditions Hachette Jeunesse, collection « En avant la musique »
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La mariée portait des bottes jaunes

Katherine Pancol m’a toujours marqué par les titres de ses romans, et des personnages un peu loufoques. Ici, elle nous propose une saga familale dans le bordelais.

India et Louis sont deux jeunes enfants, qui sortent indemnes d’un accident de voiture. A la suite de cet accident, leur mère Muriel, les dépose au Château de Berléac. C’est la propriété viticole de sa famille, avec laquelle elle a coupé les ponts il y a plusieurs années.

Les personnages sont chacun à leur façon exubérants, excentriques, ils ont des caractères différents. Au fil des chapitres, ils dévoilent leurs secrets, leurs mensonges, leurs histoires d’amour, leurs sentiments . Un roman qui pourrait être une série télévisée telle que Dallas : amour, pouvoir et trahison. C’est une famille bourgeoise attachée à ses traditions et qui va être bousculée dans ses habitudes.

Il ne semble pas avoir de structure dans ce roman. Cela part dans tous les sens. Il y a des répétitions. Des rebondissements qui sont un peu rocambolesques à mon goût. A chaque début de chapitre il y a un petit résumé qui annonce ce que l’on va lire.

Je n’ai pas particulièrement accroché à la lecture de ce livre, j’avais nettement préféré la trilogie qui commence avec les yeux jaunes des crocodiles.
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Muchachas, tome 1

Je n'ai pas aimé cette derniere trilogie de Pancol, pressée on se demande par son éditeur pour écrire. .......
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La valse lente des tortues

ah la la quel bonheur ça a été de tous les retrouver…. qui ? les personnages des yeux jaunes des crocodiles de Katherine Pancol ! elle et ses titres complètement improbables et attirants pour moi !! lol ce coup ci c’est la valse lente des tortues…  C’est Jo, Joséphine que j’ai eu bien évidemment le plus de plaisir à retrouver…. elle et ses qualités dont elle ignore tout, elle et ses manques, ses faiblesses, ses hésitations, sa vie si chaotique et si belle à la fois, son chemin de vie qui va vers un éveil….

ce que j’aime dans les écrits de Katherine Pancol, c’est que cela parait tout simple, la vie…. mais qu’il y a énormément de bon sens dans ce qu’elle dit, honnêtement moi je m’y retrouve pratiquement tout le temps…. il y a aussi énormément d’humour ! un humour simple, fin, délicieux…. et puis ses personnages sont attachants (enfin presque tous lol)

et puis l’air de rien…. y a du suspens !! oui oui !

et là l’amateur de thriller que je suis, en a eu aussi un peu pour son compte !! délicieuse surprise.

en plus, les aventures de ses personnages se passe en partie à Londres que je connais depuis peu, mais dont je suis tombée follement amoureuse ! alors forcément, ça me plait…

bref que dire ? j’aime, j’aime, j’aime, j’adore !!!

et à peine terminé celui-ci que j’ai enchainé avec la suite « Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi ». Un titre pareil est fait pour moi…. mdr ceux qui me connaissent ne peuvent que le comprendre !!! lol

et …. et bien me revoilà partie pour de belles aventures…. je suis triste, moi, à l’idée que ce volume est le dernier de la saga… mais bon, pour l’instant j’ai quelques heures de lecture plaisir devant moi et ça me va !!

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Bed bug

D’habitude, je referme le dernier Pancol avec un sourire satisfait aux lèvres. Cette lecture fait habituellement office de baume au cœur, de « doudou » pour consoler mes émois sentimentaux si complexes. Cette auteure a le don de permettre au lecteur de se retrouver dans l’un des traits de personnalité de l’un ou l’autre de ses personnages, de s’identifier à lui et de réfléchir sur les conséquences prises par l’une des décisions de son double de papier.



Mais là, non. Je ressens plutôt un profond malaise. Parce que le sujet qui y est soulevé est certes mis en avant depuis le phénomène #Metoo, mais intrinsèquement conditionné, lié au destin, à l’histoire intime de chaque femme.





Ce qui m’a le plus frappée, c’est que la mère de Rose, la principale protagoniste de récit, se prénomme comme moi, Valérie, prénom généreusement distribué vers le milieu des années 70. Elle aime les mêmes films que moi : « Autant en emporte le vent » et « Thelma et Louise » ; des portraits de femmes fortes qui ont dû s’affranchir du pouvoir masculin. J’aurais pu m’identifier à elle, mais non. Ce portrait de mère si détachée de sa progéniture ne me parle pas !





Rose, la fille de Valérie, est une étudiante en biologie qui a toujours été passionnée par les insectes. Katherine Pancol a réalisé là un sacré travail documentaire tant les explications données sont complètes. Rose a réussi à faire de sa passion une vocation, un projet de vie : utiliser les connaissances entomologistes pour trouver une molécule révolutionnaire qui permettrait de guérir le cancer humain.





Pourtant son enfance lui échappe. Elle sent depuis toujours un blocage et subit de bien sombres cauchemars. Impossible pour elle de mener à bien une relation amoureuse. Elle vit avec sa grand-mère et sa mère, lorsque celle-ci veut bien les honorer de sa présence à Paris. Rose ne connaît pas son père. Elle n’en a même aucun souvenir.



Ses réminiscences enfantines se centrent sur une situation de petite fille utilisée comme faire-valoir par Valérie parce qu’elle est jolie, qu’elle obéit et travaille bien à l’école ; combien de fois l’a-t-elle supporté, regretté, honnis ?





Rose trouvera enfin les fils qui l’emmaillotent depuis si longtemps et l’empêchent d’avancer en partant en mission aux Etats-Unis. Elle découvre, et comprend alors qu’en tant que filles, en tant que femmes, nous avons subi un nombre incalculable d’outrages pour lesquels on nous a reproché de « faire des caprices de petites filles ». Ce n’étaient pas des caprices. Et il est temps qu’on lève le voile sur ces pratiques machistes d’un autre âge, sur cette domination masculine qui n’a pas lieu d’être. Et c’est très bien que des auteurs comme Katherine Pancol s’emparent du sujet pour en révéler l’ignominie, trop longtemps ancrée de génération en génération, à la manière d‘une malédiction inéluctable…





Au final, je fais le constat que les insectes femelles s’en sortent bien mieux que nous !

Un roman captivant et nécessaire.
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La Cornemuse enchantée

J'ai envie de vous présenter La cornemuse enchantée de Katherine Pancol (textes) et Jérôme Pellissier (illustrations).

Depuis quelques années des auteurs connus sortent des albums jeunesse chez Mac Donald, et La cornemuse enchantée fait partie de la collection.

Comme j'aime bien l'auteure Katherine Pancol, j'étais curieuse de découvrir cet album jeunesse. Cela tombe bien car je l'ai trouvé à 0.50 €, état neuf, sur un vide-grenier.

Depuis que Monsieur Pas-Trognon a interdit la musique au village, la pauvre cornemuse s'ennuie... Elle reste accrochée et prend la poussière.

L'arrivée de la joyeuse Djenna va tout changer !

La cornemuse enchantée est un album jeunesse charmant autant au niveau des textes que des illustrations.

C'est bien écrit, digne d'une auteure telle que Katherine Pancol. Facile à lire, à comprendre, avec une histoire simple mais très réussie qui montre qu'avec un peu de musique, un peu de folie, la vie est quand même plus jolie :)

J'ai apprécié les illustrations, elles aussi très chouettes.

Petit plus : un jeu ludique où il faut chercher un intrus dans la page, c'est amusant pour les enfants (.. et leurs parents ;)

L'ensemble donne un bon album jeunesse, je mets avec plaisir quatre étoiles :)

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Moi d'abord

Nous sommes le résultat de nos choix! Lire ce lire à quarante ans bouscule inévitablement les souvenirs de nos jeunes années, on revoit des choix faits dans les moments de troubles de l'adolescence, pendant des moments de fièvres amoureuses ou encore cette frénésie d'emboiter le pas dans la vie active, est-il qu'on se laisse influencer par l'extérieur et parfois tenter de prendre la mauvaise direction par rapport à soi. Si le personnage de Sophie a pu avoir des modèles auprès desquels elle a chercher à s'identifier, en plus bénéficier d'un guide en la personne de Monsieur Eduardo mais ce n'est pas toujours le cas, le temps qu'on cherche à se reprendre, il est parfois trop. Suivre son chemin est souvent parsemé de doutes qu'on a besoin d'un poteau contre lequel on peut prendre appui de temps en temps....

Un bon roman! Simple, érotique, vivant, d'une imagerie propre à Kathérine Pancol, pas assez enthousiaste mais la fin donne un sens profond au titre car nous sommes à l'embouchure d'une vie à une autre, il faut de la personnalité pour pouvoir décider!



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Nous sommes Charlie : 60 écrivains unis pour ..

Ce 7 janvier 2015, il y a eu un événement horrible, innommable et profondément choquant. Mais heureusement face à cela, on a vu une levée, une solidarité forte qui s’est opposée clairement aux actes de barbarie qui se sont produits . Et ce livre est né!60 écrivains unis sous la bannière de Charlie Hebdo… Pour ne jamais oublier ce jour si noir, pour rappeler à nos cœurs que tant de sang a déjà été versé pour nos libertés…



C’est avec une certaine émotion que j’ai lu ses textes, le cœur serré, les larmes au bord des yeux. Chaque auteur voit cet événement avec son expérience, et c’est intéressant de voir les mots qui en découlent. Les textes de certains sont plus vifs, d’autres plus philosophes, et du coup, ce recueil de textes est un fort et émouvant imbroglio d’émotions fortes et vibrantes. Personne n’a pu rester insensible face à cette barbarie, et chacun le démontre avec plus ou moins de force.



J’ai particulièrement été touchée par le texte de Christel Noir, je me suis sentie proche des mots de Fredéric Lenoir, j’ai aimé le ton de la poésie de Katherine Pancol, l’humour inversé de Eric Emmanuel Schmitt, et je me dis qu’il faudrait suivre les conseils avisés de Claude Halmos. Je ne cite qu’eux, mais en fait chaque auteur a su me faire ressentir une émotion, je n’ai gardé que les plus fortes, ce recueil a de quoi vous prendre aux tripes, c’est certain!



En plus, d’être un formidable élan de compassion et de solidarité de la part de ses auteurs contemporains , tous plus intéressant les uns que les autres, nous avons la chance de relire, de redécouvrir des textes forts de Victor Hugo, Diderot, Voltaire, qui sans leur courage et leur soif de liberté, n’en serions pas surement là aujourd’hui, à prôner haut et fort la Liberté d’expression.



Je voulais donc remercier les éditions Le livre de poche pour cette belle initiative.


Lien : https://fairystelphique.word..
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J'étais là avant

Un homme, une femme.

Chabadabada ?

Ils le souhaiteraient mais, tous deux intensément marqués par la relation destructrice qu'ils entretiennent avec leurs mères, l'une asphyxiante et l'autre peu aimante, ils vont s'en montrer incapables et se déchirer.



Comment les interactions mère-enfant influencent-elles la vie amoureuse de l'enfant devenu adulte ? Question a priori non dénuée d'intérêt et pouvant faire émerger de riches réflexions.

Ce n'est, cependant, absolument pas le cas dans cet ouvrage et, très rapidement, on se demande ce qu'on est venu faire dans cette galère.

Dans J'étais là avant, Katherine Pancol nous confronte, en effet, à une narration totalement désorganisée qui rend la lecture extrêmement fastidieuse et qui nous donne la sensation de tourner en rond. En outre, les deux personnages principaux, névrosés, loin de susciter la compassion, agacent et irritent.



Bref, une réelle déception !

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Muchachas, tome 2

Une histoire qui redevient légère avec les problèmes professionnels et de réussite d’Hortense, le concert de Gary, un peu de passé histoire de rappeler aux lecteurs la première trilogie et combien la culpabilité colle à la peau des mères, Joséphine, notre simplette moyenâgeuse qui s’aperçoit qu’elle est suivie. La femme battue et sa fille ont déserté le deuxième tome et franchement tant mieux. Le livre idéal pour une semaine harassante.
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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