Marie Pavlenko

Un album tout sympathique et une fin surprenante!

Deux garçons se confrontent dans leur école pour savoir quelle maman est la plus exceptionnelle... Mais l'un des deux à l'air d'avoir une maman formidable... je vous laisse découvrir la fin!

A partir de 4 ans.
Lien : https://www.instagram.com/ma..

Rita est au lycée, elle est jeune et très jolie. Sa chevelure rousse flamboyante (d’où la couleur de la magnifique couverture) attire tous les regards. Ceux des lycéens, bien sûr, ce qui est plutôt banal me direz-vous. Mais aussi, et nous le découvrons dans la deuxième moitié du livre, par des regards d’hommes plus âgés. Dans ces regards, Rita va y trouver une solution temporaire à sa précarité. Car, en effet, Rita fait aussi partie d’un foyer fracturé et à la dérive. A 16 ans, elle doit endosser le rôle de parent pour ses petites soeurs, son père s’étant suicidé en prison et sa mère souffrant d’une dépression.



Ce roman de Marie Pavlenko frappe fort et frappe juste : Rita est une adolescente à priori comme les autres avec ses émotions intenses et ses questionnements. A travers les témoignages de ses amis et de son professeur, son portrait “d’apparence” est dressé. On ressent toute la culpabilité de ses proches à n’avoir pas vu venir l’accident qui va révéler les fragilités de notre jolie Rita.



J’ai beaucoup apprécié la forme narrative du roman : l’alternance des points de vue, le rythme intense, ainsi que la parole donnée à Rita uniquement à la toute fin, comme une enquête qui ne se résout qu’à qu’une fois l’intrigue terminée. C’est un récit touchant, révoltant parfois mais criant de vérité.

Samaa et les siens vivent dans un monde hors du temps, probablement post-apocalyptique ou qui fait en tous cas sinistrement écho au changement climatique. Dans un vaste désert hostile, les chasseurs, exclusivement des hommes, nomadisent à la recherche des tous derniers arbres, devenus rarissimes et terriblement convoités. Désobéissant aux règles, Samaa suit la troupe, mais se perd (pour mieux se trouver).



Mi-conte initiatique mi-fable écologique, une belle histoire, très poétique, pour un message plein d'espoir, bien que les personnages / certains aspects du récit manquent un peu de profondeur (mais c'est sans doute le genre assez "parabole" qui le veut).

Quel plaisir de rencontrer cette bande de chats hauts en couleurs !

Pour parler des illustrations, j'étais un peu déçue à l'ouverture du livre que les dessins soient en noir et blanc. Mais à la lecture, me déception a disparu tellement les dessins sont craquants. Les minois de ces chats sont à croquer. Les expressions bien visible.



Côté histoire, c'est très plaisant. Les thèmes développés sont très intéressants et bien amenés (l'amitié, l'entraide et d'autres que je tairais pour ne pas divulguer l'histoire). cela amène le lecteur, petit ou grand, à y réfléchir et c'est très important.

Cette bande de chats est très attachantes. Chacun a sa personnalité et ses caractéristiques. C'est très bien fait.



Petit bémol pour moi, les apartés de l'autrice qui me faisaient un peu sortir de l'histoire. De plus je ne suis pas sûre que le message drôle soit toujours compréhensible pour les jeunes lecteurs.

Ce roman est une bulle de positivité et de bienveillance.

Deborah à un caractère incroyable, toujours là pour aider son entourage, faire les choses juste et du mieux qu’elle peut. J’ai adoré son franc-parler et sa capacité s’accepter et à s’aimer même quand elle fait des erreurs. Ses amis sont tout aussi importants, ils ont le même brin de folie que Déborah qui rend tout possible. Pourtant ils sont bien différents et attachants à leur manière.

La famille tient aussi un rôle très important dans ce récit. Malgré tout ce qui se passe entre eux, ils réagissent le plus souvent de manière assez mature et réfléchie. Ça fait plaisir à voir et ça donne de belles leçons de vivre ensemble.

L’amour est abordé de multiples façons et je trouve que ce roman est très riche et instructif sur ce sujet. Encore une fois, j’en retiens de belles leçons sur l’amour et sur la vie.



J’attendais beaucoup de cette lecture, le début était satisfaisant mais par la suite j’ai vraiment été touché. Et avec un peu plus de recul, je peux vous dire que ce livre à changer ma vision du monde et mes relations aux autres.

Marie Pavlenko a une plume juste incroyable, si simple et pourtant exceptionnelle. Je suis fan - j'espère que vous aussi...

J'ai adoré suivre le point de vue de Deborah et puis elle a de l'humour, les sujets plus profonds, plus graves sont traités avec légèreté. Certaines scènes sont juste à mourir de rire, vraiment!!!

Isidore a beau être déroutant, il est très attachant par son caractère étrange et son amour pour Déborah.

Tous les personnages sont géniaux, on les apprécie sans se poser davantage de questions.

L'art; les jeux de mots, appelés cadavres exquis; les livres et l'amour sont le résumé même de ce roman.

Une lecture inoubliable.

Très émouvante.

Un coup de cœur, ce livre est incontournable, je pense. Lisez, mais lisez-le !




































Lien : https://reverenattache.wordp..

J'ai toujours voulu lire Un si petit oiseau de Marie Pavlenko mais je n'ai jamais vraiment eu l'occasion. Ça fait déjà quelque temps qu'il est dans ma PAL...

Une amie m'a offert ce livre et avant de le lire, le thème principal, l'écologie, m'a beaucoup intrigué.

Samaa, le personnage principal, est une fille de 12 ans, qui comme tous les enfants, a des rêves. Comme elle est sûre d'elle, courageuse et peut-être aussi un peu têtue, elle est prête a tout pour les réaliser. Elle veut devenir chasseuse (comme son père, décédé), mais cette tâche est malheureusement réservée aux hommes de sa tribu. Elle va donc un jour les suivre, se perdre en plein milieu du désert et faire une rencontre qui changera ses idées et celles de sa tribu à jamais.

Samaa est très attachante (et guerrière) et j'ai beaucoup aimé la voir évoluer au fur et à mesure du roman.

Mais mon personnage préféré est l'Ancienne. Elle sait tant de choses que personne ne la croit, elle est prise pour une folle et est négligée. Malgré son absence dans une grande partie de l'histoire (elle apparaît juste au début de l'histoire), elle joue un rôle fondamental et influencera, à la fin du livre, les pensées de Samaa.

Personnellement, j'ai bien réussi à entrer dans l'histoire, à respirer le vent du désert et à ressentir la chaleur. Mais il est assez lent; il faut du temps pour comprendre ce que Samaa veut dire quand elle se réfère à de nouvelles choses qu'elle découvre (par ex.: les yeux --> une araignée).

En conclusion, ce roman est facile à lire mais c'est vrai qu'il faut un peu de temps pour s'adapter à son rythme. Son thème principal et la morale de l'histoire c'est l'écologie, une cause importante et sérieuse que pas tout le monde respecte.

C'est un livre engagé, vivant, inspirant et féministe que je vous recommande à tous.
Lien : https://livremoi.blogspot.co..

Je continue mes lectures de Marie Pavlenko, cette fois sur le thème de la nature.



C'est le monde de demain, où la Terre n'est plus que désert. Où on découvre un peuple, un camp. Les femmes s'occupent des enfants et font de la couture et les hommes chassent. Mais attention, chassent les arbres. C'est en échangeant les arbres contre nourriture et oxygène que l'ensemble du camp arrive à (sur)vivre.



On y découvre Samaa, adolescente qui aspire à mieux que sa vie tranquille. Elle rêve de suivre les pas de son père chasseur (mort lors d'une chasse). Elle quitte donc le camp et se retrouve coincée dans une trouée.



Une jolie dystopie, que j'ai trouvé poétique. Je me suis rapidement attachée à Samaa, j'ai aimé son tempérament, ses envies, ses réflexions.



J'ai trouvé un peu long et répétitif (mais en même indispensable au récit) la partie où Samaa se trouve dans la trouée.



Un joli moment de lecture.

Un livre qui se déguste comme un petit bonbon. Nous partons passer des vacances chez sa grand-mère avec Soledad mais contrairement aux apparences ce ne seront pas des vacances sans action au fond d'une campagne où il ne se passe rien. Tantôt touchant Tantôt inquiétant j'ai adoré ce roman !

Dans ce récit, on découvre la vie de Soledad qui, le Bac en poche, s'apprête à faire la fête avec ses amis durant l'été. Son grand-père venant de décéder, elle est poussée par ses parents à passer ses vacances dans un coin perdu des Pyrénées avec sa grand-mère. Une perspective peu réjouissante, mais c'est sans compter sur un retour à la vie rustique simple et sur un rôdeur qui va égorger des animaux de ci de là dans le village. On bascule alors dans un thriller avec un dénouement fantastique.



Un roman sympa à lire!

On suit Abi qui aura bientôt 20 et qui, suite à un accident de voiture, a été amputée du bras droit. On suit la phase d'acceptation de son nouveau corps tout au long du récit.



J'ai trouvé ça vraiment intéressant à lire ! C'est difficile d'imaginer une vie avec un seul bras quand on ne connaît pas ça. On fait quasi tout avec nos deux bras, nos deux mains, alors comment s'en sortir s'il ne nous en reste plus qu'un(e) ?



La douleur est là, constante, c'est quelque chose que je n'avais jamais réalisé à ce sujet. Je connaissais le bras fantôme, l'impression d'avoir encore son bras alors qu'il n'est plus là, mais je ne savais pas que la douleur pouvait rester autant de temps après l'opération.



On suit aussi l'entourage d'Abi, leurs réactions vis-à-vis de son état, et c'en est d'autant plus touchant.



Bref, je vous recommande vivement ce roman ! L'explication du titre : Abi s'intéresse beaucoup aux oiseaux. Je déteste la volaille, mais j'ai quand même été intriguée par quelques noms et je suis allée voir des photos sur Google.



C'est une histoire très touchante à lire absolument !
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Ce livre m'a plu parce que je l'ai trouvé très poétique et j'avais l'impression d'être le personnage principal même si le roman était écrit à la troisième personne du singulier. Il traite du handicap physique, de la liberté et permet de s'évader. Ce roman fait réfléchir sur la manière de voir le monde et nous place du point de vue des personnes amputées d'un bras ou d'une jambe qui ressentent souvent un manque dû à la perte d'un membre. En le lisant, on peut ressentir de la joie et de la tristesse. Je recommande ce livre à ceux qui aiment la poésie et la philosophie.

Je découvre l'auteur avec ce livre, et je dois dire que j'ai aimé son style, son écriture.



L'histoire de Soledad m'a emportée, j'ai aimé son côté anxieuse (peut-être me suis-je reconnue ?), j'ai aimé son histoire, sa famille, sa grand-mère qui ressemble tant à la mienne.



Son final fantaisie était pour moi inattendu et sûrement que je m'attendais à autre chose mais pourquoi pas après tout.



Une chose est sûre, je lirais d'autres livres de cette auteure.

J’ai beaucoup apprécié ce livre car il est très intéressant, il nous met dans la peau d’une personne handicapée. L’histoire est triste et émouvante.Un des inconvénients de ce livre est qu’il est un peu ennuyeux car il raconte toujours la même chose (vie quotidienne d’Abigail), mais cela est aussi un avantage car on suit tous ses agissements. Cependant, l’histoire est longue à lire car l’intrigue n’est pas le point fort de ce livre.

L'histoire de Samaa est bouleversante... un camp en plein désert où elle habite avec sa mère, sa tribu, et cette vieille femme qui n'en finit plus de mourir et de radoter sur un temps où les arbres étaient debout et attiraient l'eau et la vie. Dans le pays de Samaa, pas d'eau mais du sable, des bêtes féroces à l'affut, peu d'air, pas d'arbres, à part ceux que l'on chasse dans les trouées, de plus en plus rares, de plus en plus lointaines... C'est justement le rêve de Samaa, devenir chasseuse d'arbres, comme son père qui en est mort, comme son meilleur ami. Chasser l'arbre, le débiter en tranches pour le vendre en ville.

Avec ce qu'il rapporte on peut acheter des capsules hydratantes, des bouteilles d'oxygène, des barres énergétiques...

Le problème de Samaa, c'est qu'une fille ne peut rejoindre les chasseurs. Alors un jour, elle part derrière eux, en catimini, elle les suit, et se perd dans cet immense désert.

La rencontre qu'elle fera sera déterminante pour son avenir et celui des siens.

Une fable écologique, philosophique, littéraire, poétique, d'une beauté à couper le souffle, d'une humanité merveilleuse. Une de mes plus belles lectures. Un roman qui fait son chemin en nous et ne nous quitte jamais tout à fait.

Lilou : Abi a eu un accident de la route. Elle n'en ressort pas indemne. Elle est amputée du bras. Abi est triste et se déteste. Elle n'accepte pas son nouveau corps. Grâce aux livres, à la nature, aux rires et aux oiseaux, Abi va réapprendre à vivre.



Ce livre était triste mais la fin est heureuse.

Ce livre s’appelle un si petit oiseau, c’est écrit par Marie Pavlenko.



Ce livre parle d’une fille qui est victime d’un accident et qui a perdu son bras, histoire parle de sa dépression.



En vacances, Abigail est victime d’un terrible accident de la route qui lui fait perdre son bras. Mais grâce à l’amour des siens, grâce au livres, grâce à la nature, aux rire, aux oiseaux. Avec beaucoup de patience peu à peu, Abigail va réapprendre à vivre.



Je recommande ce livre aux personnes qui aiment les romans fiction et qui aime savoir comment les personnes avec dépression peut refaire leur vie.



Je crois que c’est un très joli livre qui parle de la difficulté de se reconstruire après un drame. Un sujet délicat traité de façon intime et touchante. L'auteure a su magnifier sublimement, avec une sensibilité extrême, cette symbiose entre Abi et la nature. Les descriptions sont de toute beauté.

Un si petit oiseau, métaphore pour désigner Abi et son envol, a été pour moi un véritable coup de foudre et je suis tombée immédiatement sous le charme des personnages. J'ai aimé cette écriture simple, énergique et si juste et me suis régalée à la lecture de ce récit d'une très grande humanité.

C'est un roman jeunesse qui génère d'intenses émotions, et, qui, même aux moments les plus sombres est empreint de luminosité. L'humour décapant dont fait preuve l'auteure participe grandement à cette réussite. Un livre aussi sur l'éveil à l'amour qui ne peut qu'inciter à aller à la rencontre de la vie.

Qu'elle peut être la vie d'Abi désormais ? Après un terrible accident de voiture, finies les études, fini son histoire d'amour, fini même de rire ? Ses parents et sa soeur ne savent pas comment s'y prendre pour lui redonner goût à la vie ; même sa tante à l'humour caustique ressent de la peine pour sa nièce chérie. Est-ce Aurèle, ancien copain de primaire, fan d'oiseaux, qui parviendra à la faire sortir de sa chambre ?

Genre : Roman / Sous genre : Tragique , Triste et légèrement parsemé de romance.



C'est l'histoire d'une jeune femme du nom d'Abi qui commence tout juste à s'épanouir dans sa vie quand tout à coup elle perd sa main dans un tragique accident de voiture.

Suite à cet accident elle doit totalement réapprendre à vivre.

Son mode de vie est totalement chamboulé.



Ce roman est super touchant , il nous parle de la douleur d'Abi , la douleur que lui procure l'absence de son membre.

J'ai aussi particulièrement aimé car il y a de la romance à la fin.

Ce roman m'a tellement plu que j'en ai fait une nuit blanche.

Sur 5 je lui mets 4,5 étoiles .

Kimberley G.

Beau, poétique, sensible, écolo... Il m'a fait encore plus aimer les arbres, les chérir. J'aime l'héroïne aventurière, et le climat général du désert qui fait voyager. Comment ne pas penser au Petit Prince de Saint-Exupéry, ou à la Nuit de Feu d'Eric-Emmanuel Schmitt ? Dans cette sécheresse, on ressent notre corps, et on a peur aussi. Une petite ouverture ce que pourrait être un monde où les arbres deviennent une ressources rares, pourchassées, et maternantes à la fois. Une belle réflexion sur le lien entre homme et nature.