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Critiques de Simonetta Greggio (359)
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Nina

Ce pourrait être une banale histoire d'amour mais au fil des pages nous sommes emportés par une narration sensible et très attachante.
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Nina

Une magnifique histoire...
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Femmes de rêve, bananes et framboises

Bien que le titre surprenne (intrigue ?) par son aspect léger, insignifiant, le contenu de ce recueil de nouvelles est mordant.

Ainsi, j’ai plongé au cœur de ces histoires savoureuses, singulières, troublantes, parfois cruelles et bouleversantes. « Os de lune » est de loin la plus féroce, et de ce fait, la plus déchirante.

Le tout est rythmé par un style d’écriture délicat et mélodieux.

Laissez-vous empoigner, vous vibrerez.

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L'odeur du figuier

on y parle d'amour, de retrouvailles, de solitude, de fins d'histoires... j'ai oscillé pendant la lecture entre vrais moment de plaisir, autour des belles descriptions d'une maison en bord de mer par exemple ( Acquascura) , ou des petits plats italiens, mais les histoires en tant que telles ne n'ont pas enthousiasmée plus que cela...



Bref, oui pour le cadre, moins pour les thématiques...
Lien : http://lecture-spectacle.blo..
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Étoiles

Hymne à la vie et à l'amour des bonnes choses. Ce livre n'est qu'un prétexte pour l'auteur qui tient apparemment à partager sa passion de la gastronomie avec ses lecteurs. Moi je n'y vois aucun inconvénient, sinon de sortir de cette lecture avec l'eau à la bouche et l'envie immédiate de savourer une belle et bonne assiette. Miam !
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Dolce Vita: 1959-1979

Une plongée très instructive et sans concession dans le passé récent de l'Italie à la suite de personnages tout droits issus de l'âge d'or du cinéma italien... Sous le romanesque pointent les contradictions d'un pays pas toujours très clair avec lui-même. Intéressant même si, personnellement, je préfère Simonetta Greggio dans un registre plus léger.
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Les nouveaux monstres 1978-2014

Peut être moins bon que la Dolce Vita, la mort de Malo laisse de côté un personnage haut en couleur. Le fil rouge est correcte mais peut être un peu prétexte.

Ce deuxieme opus est davantage porter sur les affaires politiques, la collusion avec la mafia, le Vatican. La corruption et les centaines d'attentats qui eurent lieu dans une Italie des années 80-90 maculée de sang.

De Berlusconi à Andreotti, en passant par Borsellino, Falcone, Aldo Moro, les BR, le tour d'horizon est dense et l'auteur tente des liens entre tous. Sont-ils toujours évidents?



Un roman qui nécessite un minimum de connaissance du sujet pour ne pas être noyé dans cette jungle historique très complexe et qui découragera les lecteurs non avertis.



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La Douceur des hommes

Franchement, ce livre m'a rasée! Je l'ai trouvé prétentieux, grandiloquent, bref sans intérêt

Je ne sais même pas si je suis allée jusqu'au bout!

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Nina

Je me suis laissée emportée par cette histoire...certes, un peu tirée par les cheveux... certes légèrement à "l'eau de rose"... mais un beau texte d'amour malgré tout. J'aurais ADORE lire ce livre à 20 ans! Il a très bien fonctionné sur la fleur bleue qui sommeille en moi!
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L'homme qui aimait ma femme

Décevant – mais pas déplaisant – tel est mon sentiment sur ce livre, qui ne laissera pas de souvenir marquant dans mon petit panthéon livresque. Comment ce livre a-t-il atterri dans mes lectures ? Ayant entendu l’auteur disserter sur l’amour dans l’émission la grande librairie, j’ai pensé que son livre avait l’air d’être intéressant. François Busnel, enthousiaste et brillant, comme toujours, le présentait comme un remake de Jules et Jim d’Henri-Pierre Roché (fichtre !) et cela avait bien sur attiré mon attention, moi qui ai lu il y a fort longtemps les Deux anglaises et le continent. Et puis la photo de Simonetta Greggio sur la couverture est engageante : joli sourire avenant et regard qui se porte sur quelque chose qui semble l’amuser, son livre peut-être ? Alors quand j’ai aperçu son livre à la bibliothèque, je n’ai pu résister à la tentation. J’ai donc débuté ma lecture de l’homme qui aimait ma femme, tout en lui faisant des infidélités, avec le récit de vie Le Second souffle de Philippe Pozzo di Borgo. En revenant vers lui, j’ai décidé de l’achever (le livre), pour pouvoir en faire cette chronique. La voici (ouf, quelle longue introduction, peut-être pour camoufler le peu de chose à dire…).

L’homme qui aimait ma femme présente un trio de personnages jeunes, beaux et prometteurs mais qui vont à leur perte. Deux frères, Alexandre et Yann vont aimer la même femme, Maria, au cours des années 60. Alexandre va finalement épouser Maria, tout en la trompant éperdument, tandis que Yann s’enfuit…

Sur ce canevas plutôt mince, l’auteur brode de petits chapitres sur les élans de jeunesse, les études de ses personnages, leurs émois amoureux et leurs pulsions de vie. Parallèlement, elle insère d’autres pages sur les amours de quelques personnages connus : Jung, Henri-Pierre Roché… L’auteure convoque aussi en toile de fonds des intellectuels qui vont marquer ces années des trente glorieuses, Lacan, Levinas, Derrida notamment, dont Yann et Alexandre lisent les textes. Et puis elle convoque aussi des écrivains comme Laclos, dont les liaisons dangereuses figurent en arrière plan du roman, Saint Augustin… Ces intermèdes distrayants éloignent un peu de l’intrigue et n’apportent pas grand chose. J’ai eu de temps en temps l’impression de remplissage plus que de nécessité vitale.

Au niveau de la narration, les personnages prennent la parole à tour de rôle, procédé intéressant mais je me perdais parfois entre les différentes voix. D’autant plus que l’une d’entre elles, Ellis, prend le dessus sur les autres (surtout sur la fin) en se positionnant comme la narratrice de l’histoire. On devine que derrière Ellis, se cache l’auteure, qui après avoir laissé ses personnages s’exprimer (et comme aucun ne tenait fermement la bride de l’histoire) se décide tout de même à orchestrer l’ensemble. J’aurais souhaité pour ma part une vision un peu plus marquée, des petites bulles de fiction un peu plus éclatantes, comme le moment où elle retrouve Alexandre, complètement sonné après le départ mystérieux de Maria. Et d’autres passages m’ont laissé perplexe. Comme celui où la narratrice laisse entendre que Yann est retrouvé mort dans un canot. Or un peu plus tard on le découvre bien vivant, cet épisode n’étant pas davantage évoqué.



Au final, ce roman se laisse lire mais franchement, ce n’est pas le nirvana ! L’ensemble manque d’homogénéité, de consistance. Les personnages sont falots. Dans les remerciements, Simonetta avoue s’être servie dans le vaste puits de l’internet pour nourrir quelques passages, notamment ceux qui concernent les personnages réels qu’elle évoque. Cette franchise est louable mais je ne peux m’empêcher de penser que ces « emprunts » rajoutent à l’impression de désordre que renvoie le roman.
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L'odeur du figuier

Cinq histoires,la quatrième de couverture l'annonce. Des odeurs,de l'amour,de la passion ,de la déception,du ressentiment,...la vie.

La passion dévorante de "Plus chaud que braise" ne trahit pas son titre. Ecrite à la première personne elle rend les émotions ,les ressentis plus palpables.

Je préfère m'installer dans un roman,même court, plutôt que de passer d'une histoire à une autre.

J'ai préféré les deux premiers récits.
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L'odeur du figuier

Tout commence avec une quatrième de couverture qui donne vraiment envie : « Cinq histoires dont le point commun est une odeur de figuier sauvage, une senteur d’été, d’enfance, de nostalgie, un parfum de délicieuse mélancolie, comme une chanson qui ramènerait à une époque oubliée. (...) » et pourtant petite déception.



« Acquascura », première nouvelle du livre, met en scène Chiara et Tsvi, un couple d’instituteurs qui profite, chaque année, lors de la période des vacances de la propriété de famille de la jeune femme. Enfant, elle s’y rendait chaque été et cette maison, bien qu’un peu délabrée était son seul lieu de mémoire. Dans cette nouvelle, on découvre la relation étroite que vit le couple. On pourrait penser que tout va bien car le couple s’entend à merveille mais on comprend vite que Chiara est au bord de la crise de nerfs car Tsvi n’a plus posé un seul doigt sur elle depuis un long moment. Les vacances semblent idylliques, bercées par l’ambiance balnéaire du petit village italien mais très vite tout devient dérangeant, presque cauchemar. Des fourmis envahissent la maison et les paisibles vacances sont perturbées, invivables. Ces fourmis seraient-elles la métaphore de la haine que Chiara porte à son mari ? Pourquoi s’immiscent-elles ainsi dans leur vie ? Je vous laisse découvrir la suite…



Mon avis :



Pour cette première nouvelle, j’ai été vraiment étonnée de la tournure du récit. Vu la couverture du roman, je m’attendais à voyager autour de la Méditerranée, me rappelant par la même occasion mes vacances en Italie et l’ambiance si particulière de « dolce vita » qui me reste en mémoire. L’auteure décrit tout de même très bien cet art de vivre à l’italienne mais les récits sont plus sombres que je ne m’y attendais. Je n’étais peut-être pas dans l’humeur adéquate pour lire ces nouvelles bien que cela soit toujours original de se faire un peu bousculer à travers ses lectures.
Lien : https://unbouquindansmabulle..
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Les mains nues

Bien apprécié ce livre pour son histoire, pour la qualité de son écriture et pour son rythme très cinématographique.C'est un joili portrait d'une femme de 43ans, vétérinaire dans un environnement difficile, qui"tombe amoureuse" du fils de 15 ans de son premier amour...tout cela abordé avec beaucoup de délicatesse et de pudeur.

Les personnages ont tous beaucoup d'intensité et d'humanité et on partage totalement les sentiments exprimés avec sensibilité.De très belles pages aussi sur la vie rude et difficile d'un vétérinaire de campagne.

Une belle histoire d'amour tendre et maladroit qui cherche à refermer les blessures du passé...agréable à lire.
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L'homme qui aimait ma femme

Critique disponible sur mon blog www.marcbordier.com :



Parmi les nombreuses nouveautés de la rentrée littéraire, j'ai choisi L'homme qui aimait ma femme de l'italienne Simonetta Greggio sur la foi de sa quatrième de couverture. Ce roman raconte l'histoire tragique d'un trio amoureux. Au début du récit, à l'automne 1965, deux frères, Alexandre et Yann, viennent de quitter leur mère et leur Bretagne natale pour étudier les lettres et la philosophie à Paris dans le quartier latin. Le cadet, Yann, fait la rencontre de Maria, "visage de Madone et corps voluptueux", dont il tombe vite amoureux. Il la présente à Alexandre qui, grand séducteur et amateur de femmes, va s'empresser de la séduire et de la lui ravir. S'ensuit alors entre les frères une rivalité complexe qui durera jusqu'au milieu des années 2000. Durant cette période, Yann l'intellectuel introverti et contemplatif ne cessera de désirer Maria . Il trouvera une consolation pendant quelque temps en se mariant avec une autre femme, Manon, avant que la disparition tragique de cette dernière ne vienne mettre un terme à son bonheur et précipiter son exil à New York. De son côté, Alexandre épousera Maria, mais ne cessera de la tromper avec des femmes de passage. Avec le retour de Yann en France, la concurrence entre les deux frères éclatera en conflit ouvert, jusqu'à les conduire à une fin tragique (que je me garderai bien de vous révéler ici).

Vous l'aurez compris, l'amour est le grand thème de ce roman. Il le revendique d'emblée, avec cette épigraphe tirée des Liaisons dangereuses : "Ah, croyez-moi, on n'est heureux que par l'amour." Par la suite, le récit s'inspire ouvertement de Jules et Jim, le roman d'Henri-Pierre Roché porté à l'écran par François Truffaut. De l'amour, il explore les multiples facettes : amour jaloux et transi de Yann pour Maria, charnel, superficiel et compulsif entre Alexandre et ses conquêtes adultérines, douloureux et cruel entre Maria et Alexandre, fraternel et parfois haineux entre Yann et Alexandre... Pour naviguer dans cette géographie subtile, Simonetta Greggio a habilement choisi une structure narrative composée de chapitres courts racontés chacun du point de vue d'un de ses personnages, dévoilant ainsi au lecteur leurs sentiments profonds comme s'il consultait leur journal intime. En toile de fond, c'est l'histoire sociale, économique et intellectuelle de la France des cinquante dernières années qui défile : mai 68, Althusser, Jankélévitch, les beatniks, le Mitterrandisme, le libéralisme... Le lecteur est tenu en haleine jusqu'au dernier chapitre et referme le livre à regret. Assurément, L'homme qui aimait ma femme est un de meilleurs romans de cet automne.
Lien : http://www.marcbordier.com
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Les mains nues

Les évocations du sentiment amoureux, de l’amitié, de l’interdit font de ce livre un joli portrait d’une femme.
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L'odeur du figuier

Je ne sais pas trop pourquoi ces cinq histoires ont été réunies sous ce titre et je trouve la 4ème de couverture plutôt mauvaise. Mais reste le plaisir de lire Simonetta Greggio à l'écriture si vive et douce et forte. Il m'a semblé d'ailleurs que ce livre éclairait ses précédents.
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Dolce Vita: 1959-1979

1960, La Dolce Vita de Federico Fellini est projeté en avant-première à Rome : ceux qui ne partent pas avant la fin huent copieusement. Et pourtant, pour ce que le film évoque, pour son parfum de scandale, le public se rue dans les salles et la Palme d’or vient le récompenser. Ce surprenant succès est à l’image du besoin de libertés qui va animer les années soixante et soixante-dix.



2010, le vieux prince Emanuele Valfonda convoque dans sa villa de l’île d’Ischia son confesseur, Saverio, fils d’employés de la famille devenu prêtre après une jeunesse agitée. « Malo » ne cherche pas l’absolution : il veut faire le point, dire ce qui doit être dit et faire une révélation à Saverio. Ce dernier ne goûte pas cette longue évocation de souvenirs et entretient une animosité tenace – et étrange – à l’encontre du prince.



Le riche aristocrate raconte sa vie débridée : les nuits mondaines, les rencontres inouïes, les femmes, les drogues… et au final, on sent poindre la tristesse de n’avoir pas su voir ce qui en valait vraiment la peine.

Plus que son parcours, c’est celui de l’Italie qu’il tente de nous décrire : son histoire culturelle bien entendu – en commençant par le néoréalisme et ses égéries –, mais surtout l’histoire politique, celle de l’après-guerre et des années de plombs. Se croisent alors les Brigades rouges, la mafia, Aldo Moro, les organisations d’extrême droite comme Ordine nuovo, Giulio Andreotti, la troublante loge franc-maçonnique P2, Pier Paolo Pasolini, le Vatican, Silvio Berlusconi… pour ne citer que les plus connus.

C’est certainement un aspect difficile pour le lecteur qui ne maîtrise pas l’Italie des cinquante dernières années : les acteurs sont mentionnés rapidement, vont et viennent dans le récit, sans explications conséquentes. C’est à mon sens le problème de Dolce vita : ni roman ni document, le mélange des genres ne sert pas le projet de Simonetta Greggio. Journaliste, elle a, avec l’aide d’une documentaliste, enquêté et rassemblé une masse d’informations pendant deux ans. L’idée étant ensuite de dégager les liens malsains, les imbrications terrifiantes (le poids de la P2 par exemple), les manipulations, et de donner les versions officieuses – tellement plus convaincantes que les officielles – de maintes affaires (Moro, l’attentat de la gare de Bologne…).

Tout cela, en alternant avec les souvenirs plus intimes du comte, ceux plus rares de Saverio, et leurs échanges en 2010…



Malheureusement, cette construction ne fonctionne pas aussi bien que prévu : les aspects romanesques sont en définitive assez attendus (on se doute bien vite du genre de révélation que veut faire don Emanuele), et les aspects documentaires insuffisamment détaillés nous laissent sur notre faim. Ils ouvrent des pistes passionnantes mais passent trop vite à la suivante. J’aurais en fait préféré un pur ouvrage de journaliste, fouillé et étayé.

Ce roman hybride n’en reste pas moins passionnant pour les nombreux éléments qu’il nous livre, pour les innombrables anecdotes, les extraits des textes de Franca Rame, etc.



Il faut admettre une limite de taille à mon jugement un peu dur : l’Italie est un sujet que j'affectionne, et cette période tout particulièrement. Il est donc fort possible que mon insatisfaction viennent de là; et que le lecteur moins concerné y voie un texte dans l’ensemble très cohérent apportant une bonne vision d’ensemble. Il est aussi possible qu’il s’y perde totalement ! J’attends des avis de lecteurs…




Lien : http://monbaratin.blogspot.c..
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La Douceur des hommes

Tout d'abord hommage à l'écriture vibrante et chaleureuse du premier roman d'un auteur italien écrivant en français. Livre aux personnages attachants, une Fosca octogénaire, riche d'expériences amoureuses qui livre à Constance (tiens, comme dans "L'Amant de Lady Chatterley" auquel l'auteur fait allusion lorsqu'elle introduit dans l'histoire, Olivier, le jardinier poète comme l'était Mellors) les fruits de ses rencontres et de ses douces amours. De belles phrases interpellantes où prédominent des envies féminines d'être mieux comprises, plus libres dans les choix et les désirs amoureux (l'histoire se répète). Sous les senteurs aillées de l'Italie et du Sud, sous les relents amers du bitume parisien, Simonetta Greggio nous envoie odeurs et couleurs qui se croquent à chaque étape de la vie. Elle ébauche et évoque la perte du désir et celle d'être désirée (je n'ai pu m'empêcher de penser à certains romans de Colette - "La fin de Chéri" - "La naissance du jour"). Sensualité à dévorer. Surtout ne pas laisser échapper une miette de la profusion à portée de mains, de lèvres et... d'amours. "Bouffer" la vie! "... la souffrance vient de la résistance au changement...", dit Fosca quelques instants avant de mourir. Rien que cette phrase, quelle leçon!



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Dolce Vita: 1959-1979

J'ai entamé ce livre en ne connaissant rien à l'histoire italienne. Alors parfois, les noms et les références, je ne les avais pas. Est-ce que cela m'a gêné dans ma lecture ? Absolument pas. Simonetta Greggio sait transmettre l'ambiance, les éléments importants de l'histoire italienne. Alors même si je n'ai pas retenu tous les noms, que j'ai compris certains éléments sur le tard, j'ai véritablement voyager dans le temps et dans l'espace. On s'imagine tellement les personnages, les lieux, le moments... les odeurs parfois, les sentiments beaucoup... la colère aussi. Qui sont les gentils ? Qui sont les méchants ? Nous sommes tous gris. Certains gris foncés. Que se cache derrière le masque de la Dolce Vita ? Cette période porte-elle bien son nom ?

Ce livre m'a fait beaucoup réfléchir. Ma  grand-mère est italienne, j'y vais tous les ans, je connais l'Italie... du moins c'est ce que je croyais. Ce livre m'a également permis d'ouvrir le dialogue avec ma famille, sur un passé dont j'ignorais l'existence. Et l'autrice... la question qui me reste en suspend est : qu'elle relation entretient-elle avec son pays d'origine ?

Bref, je n'irait pas plus loin, je laisse découvrir. Mais pour une fois, je mentionnerai que c'est un livre lourd à porter, parfois compliqué, qui demande de la concentration et qui parle beaucoup de politique et faits divers. Alors il n'est peut être pas adapté à tous les lecteurs
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L'ourse qui danse

Un petit livre entre poème et récit initiatique

Un jeune inuit séparé de sa famille et élevé et occidentalisé souhaite revivre comme ses parents et retrouver leurs pratiques ancestrales.Pour cela il va revêtir le costume traditionnel de son père et affronte la nature seul plusieurs mois.une magnifique rencontre avec l’Ourse

Ce livre est un plaidoyer en faveur du respect des cultures ancestrales , inuites dans ce petit roman qui se lit très facilement mais qui m’a ému
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