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Critiques de Simonetta Greggio (361)
La Douceur des hommes

Aimons. C'est ce que ce livre m'auras appris. Aimons, aimons-nous, aimons-les ! Je lis beaucoup de romans féministes ces temps, et je pense que celui-ci m'a ramené un peu de ce pays. Non, les hommes ne sont pas parfaits, parfois, on les déteste... mais on les aime aussi ! Que soit un amant, un mari, un père, un fils... nous aimons nos hommes. Alors certes, dans le livre, il est sujet d'amour romantique, érotique. Mais que la femme parfaite en ce qui concerne ce mot si mystérieux me jette la première pierre ! Simonetta Greggio m'a conquise par sa plume et par le portrait qu'elle dresse des relations de sa protagoniste. Je n'ai qu'un mot à propos de ce livre : aimons l'imperfection, vivons et pardonnons !

C'est un grand OUI pour cette autrice que je découvre maintenant, et que je vais probablement continuer à lire.

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Nina

Une très belle histoire d’amour, mais aussi d’amitiés, de drames et de jalousies. Ce livre démontre que l’on oublie jamais son premier amour, mais il ne tombe pas dans les clichés et dans la niaiserie.



Le début est un peu long, malgré la beauté de lettre d’amour d’Adrien qui permet de prendre connaissance de son enfance, de son adolescence et de sa rencontre avec Nina. À partir du moment où Adrien passe à l’acte, tout s’accélère et on en apprend davantage sur Nina, sur ce qu’elle a vécu et vit. D’autant que le frère d’Adrien et son meilleur ami viennent pimenter l’histoire.



Quelques points du livre sont un peu survolés et peu probables. Mais ça ne gâche en rien la lecture et la passion de ce livre. C’est un joli roman d’amour, bien écrit et avec une belle ambiance.
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Dolce Vita: 1959-1979

Construit comme un film, avec des flash-back, ce livre "d'investigation" se veut le roman noir de l'Italie dans la période 1959-1979; dans le désordre: affaires de moeurs, Brigades Rouges, mort de Pasolini, scandales finaciers, assassinats politiques, Vatican. N'en jetez plus !!!

l'ouvrage pullule d'indications, d'anecdotes et se retrouvent à des dégrés divers aussi bien Bardot, Mastroianni, Malaparte que la Loge P2 ou des personnages bien moins recommandables.

Mais ce n'est pas qu'un livre d'histoire ou d'enquêtes sur des périodes que, nous Français, nous maîtrisons moins bien (je me suis surpri à chercher qui étaient les personnages cités dans le livre).

C'est aussi un vrai roman tournant autour de 2 films majeurs de cette époque: la Dolce Vita de Fellini et le Guépard de Visconti.

L'ouvrage donne les clefs de l'Italie d'aujourd'hui, celle de Berlusconi le tragicomique puis Savini l'inquiétant à travers les confessions d'un jouisseur.

A la fois terrifiant, un superbe travelling sur un pays qui désarme l'autrice voire la désenchante sans qu'elle n'arrive à se départir de son amour profond.

Si on aime ce genre d'ouvrage, à découvrir séance tenante.

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Nina

Adrien a décidé d’en finir avec la vie. Pour y mettre un terme, il a recours à un mélange de médicaments. Mais avant d’avaler toutes les petites pilules colorées, le jeune homme prend sa plume pour écrire à Nina, son tout premier amour. Celle avec laquelle il a passé ses plus belles vacances lorsqu’il était adolescent. Celle qui a fait battre son cœur comme personne. Celle qui lui a filé entre les doigts. Celle qu’il n’a jamais cessé d’aimer.
Lien : https://commedansunlivre.fr/..
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Bellissima

Simonetta Greggio italienne, écrit en français et dans ce livre nous retrace son itinéraire sur fond de l'histoire italienne. Pas vraiment de fil conducteur, ses souvenirs arrivent, la famille et l'Italie toujours présente.

beaucoup apprécié les évocations de son passé.
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Bellissima

Troisième volet d’une autobiographie de l’Italie à travers le portrait d’une famille (apparemment) idéale dans les années 1970.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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Black messie

Depuis le temps que je souhaitais découvrir la plume de Simonetta Greggio, c’est chose faite. Peut-être pas dans le contexte que j’imaginais… mais la présentation « le roman est une métaphore des dérives dans un État de droit » est tout à fait justifiée. Il faut toutefois préciser que l’autrice a accusé un journaliste italien d’être le véritable monstre de Florence mais intouchable car protégé par la police et des organisations et sectes hors d’atteinte (elle a été poursuivie pour calomnie car elle n’a rien pu prouver). J’ai donc découvert Simonetta Greggio via le thriller et non la littérature dite « blanche »

Je ne savais qu’une seule chose : le livre était inspiré d’un fait réel qui avait bouleversé Florence du temps de ma jeunesse et qui avait fait peur à toute une génération d’amoureux en Toscane qui avaient l’habitude de se retrouver sur les collines des alentours… Le premier tueur en série italien…

Mais si le tueur en série est bien partie prenante de l’histoire – on se souvient qu’il n’a pas été arrêté – ce thriller nous plonge dans un thriller qui fait intervenir soit le tueur des années plus tard, soit un imitateur…

L’autrice donne la parole au tueur en série mais elle fait également parler le policier en charge de l’enquête, Jacopo D'Orto, un professeur américain Miles, au passé trouble qui enquête sur la disparition de sa fille, des membres d’une secte adorateurs de la Vierge Noire.. Il y a aussi une prostituée et amante ivoirienne dont la personnalité m’a beaucoup interessée. Les deux hommes, Miles et d’Orto ne sont pas si éloignés que cela … tous deux sont veufs, et ils ont des filles pour lesquelles ils s’inquiètent. Le rapport père-fille est très important et surtout un message : il faut que les femmes et les jeunes filles se réveillent et que les hommes du XXème siècle soient évincés des postes clés ou la corruption règne en maître. Un livre féministe au bout du compte.



Un livre qui nous fait redécouvrir Florence, qui nous parle de cette ville magique, qui rend hommage à ses artistes (Botticelli et son « Printemps », Dante…), mais qui nous relie aussi au XXème siècle à travers l’Album blanc des Beatles… Un livre qui nous parle de la mythologie, de la mythique Vierge Noire…

Mais aussi un livre qui est parfois très difficile à lire car il y a un grand écart entre les descriptions poétiques de la Toscane et les descriptions des meurtres et des scènes de violence ! Faut pas avoir mal aux yeux quand on visualise ce que les mots nous décrivent !

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Étoiles

Après avoir subi une grosse déception sentimentale, le grand chef aux trois étoiles, s'enfuit de Paris pour se retrouver dans un coin perdu dans le sud de la France.

Une histoire d'amour sur fond de marmite qui se laisse lire facilement. Ce petit recueil sent bon le thym, la marjolaine, la lavande, le basilic et donne, parfois, l'eau à la bouche. On passe un bon moment.
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Nina

C'est un livre poignant mêlant une histoire d'amour à la mort.

Ce livre relate bien l'histoire mais elle devient vite ennuyeuse ; de plus, la fin est à mon sens vite précipitée alors que le début jusqu'au milieu semble bien long.

C'est un peu un roman dit "classique" : l'amour et la mort unis.

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L'ourse qui danse

Un magnifique plaidoyer de respect de notre milieu de vie et de nos cohabitants de ce monde si solide et si fragile.
Lien : https://www.actualitte.com/a..
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L'homme qui aimait ma femme

Deux frères, Alexandre et Yann vont tomber amoureux de la même femme, Maria. Nous sommes au milieu des années 60, à Paris, ils sont tous les trois, étudiants. Nous suivons leur histoire jusqu'à nos jours. Histoire intime, tourmentée qui se mêle à la grande Histoire.

Très beau roman qui décortique la psychologie des personnages, qui fait réfléchir, qu'est-ce que tromper ? trahir ?

Beaucoup d'émotion dans ce roman que j'ai quitté à regrets.
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Les mains nues

: Emma est vétérinaire. La quarantaine passée, elle vit dans le monde rude de l'agriculture et des bêtes qu'on soigne...ou pas...des tristesses non dites car la nature est dure

Pourtant, elle a vécu la vie insouciante des jeunes parisiens

Jusqu'à perdre un amour.

Dont le souvenir ravivé est à la faveur de l'arrivée de Giovanni, un garçon homme de 14 ans.

Personne ne lui pardonnera.

Un roman qui laisse des traces sur un sujet rare.

Une auteure découverte grâce à Corinne et un livre emprunté en bibliothèque in extremis samedi 14 mars.
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Col de l'Ange

Une lecture simple et rapide. La beauté de cette histoire est l'amitié et l'amour de ces deux frères pour Blue depuis leur naissance. Après sa mort, Nunzio continue de veiller sur les personnes qui ont comptés dans sa vie.
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L'odeur du figuier

J’aime beaucoup cette autrice et me suis régalée avec les 5 nouvelles qui composent cet ouvrage, plus ou moins graves ou légères. Quoique sous une apparence de légèreté pour certaines le propos est grave. À découvrir
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La Douceur des hommes



A bord d'une Rolls-Royce Silver, deux femmes rejoignent le Sud. Menton, puis l'Italie. Fosca 87 ans raconte à Constance, ses amours. Les hommes, elle les a adorés, détestés, quittés ou épousés.

C'est un roman qui parle d'amour et de vie, de douceur et de désir. Mais également de manque, de loupé, de regret et de silence.

Rien de bien nouveau ou surprenant dans ce roman mais j'ai eu beaucoup de plaisir à le lire, une écriture simple et claire et douce aussi. Ces deux femmes sont attachantes et émouvantes chacune à leur façon.



lu en 2008.
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La Douceur des hommes

Partie pour un dernier voyage, Fosca et sa petite fille sillonnent les routes entre la France et l’Italie. Se déroule alors le récit des plus grands émois de Fosca, de ses relations libres avec les hommes de sa vie, aimés ou quittés. Avec douceur et bienveillance, la vieille femme sait dire ce qui a forgé sa vie et sa constante quête de liberté et d’indépendance, regrets compris. Tout est là, dans le chemin d’une vie à l’aube de sa fin et dans celui d’un autre de jeune femme, qui commence et écoute la sagesse parler, l’expérience conter, l’amour se passer. Un beau livre court qui sait émouvoir tant l’acuité des mots rend les souvenir incandescents, comme si nous les avions tous partagés et connus. Une invitation à aimer passionnément avant tout. (G.H.)
Lien : http://www.bnfa.fr/livre?bib..
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Les nouveaux monstres 1978-2014

Suite de Dolce Vita que j’ai moins aimé et qui m’a moins surprise et impressionnée. Néanmoins il est à lire lorsque l’on a apprécié le premier opus
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Dolce Vita: 1959-1979

Premier livre de cet auteur que j’ai lu et j’ai adoré tout en étant effarée par l’histoire sombre de l’Italie relatée ici. Édifiant. le roman écrit à plusieurs voix est passionnant
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Black messie

J'aime beaucoup cet auteur mais déteste avoir peur... néanmoins malgré le sujet je me suis lancée. Trop impressionnant pour moi, j'ai été happée, terrifiée et l'ai repris plus tard et de jour. Bref lu en deux fois tellement c'est puissant dérangeant captivant fascinant... le schéma narratif ingénieux y est pour beaucoup, augmente la tension, le drame, le suspense. Édifiant sur la réalité politique italienne...je dirais tout de même que tout comme pour les deux autres livres que j’ai lus d’elle, elle ne sait pas terminer ses livres et le moment du fin mot de l’histoire est à mon sens toujours raté et décevant
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Elsa mon amour

Si je connais de nom Elsa Morante, je n'ai rien lu d'elle. Cette biographie me sert donc d'introduction et je me promets de lire au moins la Storia très prochainement. Cette biographie est-elle désinvolte, amicale ou commérage?



De nombreux personnages, écrivains ou cinéastes,  apparaissent dans ce roman. Parfois furtivement, parfois ils ont droit à tout un chapitre et même plusieurs. Moravia, son mari est plutôt décrit comme compagnon d'écriture et de travail que comme amant ou mari. A la fin :  longue citation du Mépris, tel que Godard l'a filmé. Portrait vachard comme celui de Malaparte sous un jour peu flatteur.  Personnages mondains comme les  Agnelli, Virginia et Eduardo du temps du fascisme - personnages influents dans l'Italie d'alors. Avec beaucoup plus de tendresse : Anna Magnani,  Pasolini qui traverse le roman à nombreuses reprises. Très belle évocation de Leonor Fini. Plus équivoque, le personnage de Visconti avec qui Elsa a entretenu une relation plutôt univoque. Fellini, Pavese...combien d'autres? Toute une période de la vie intellectuelle italienne. Un peu "people" quand même. L'auteure a-t-elle évité l'écueil du commérage?



Histoire d'amour avec sa ville de Rome  où j'ai eu plaisir à y retourner :



On peut aussi faire une lecture historique, s'intéresser au rapport entre les intellectuels et les puissants au fascisme, s'intéresser à la façon dont deux écrivains juifs (à moitié mais les Allemands ne faisaient pas dans la nuance) ont traversé la période de la guerre.



Bizarre! je me suis plus attachée aux comparses qu'à Elsa elle-même. Peut être parce que ces amis faisaient partie de sa personnalité?



elle écrit aussi



"Pourquoi croit-on que les écrivains écrivent, si ce n'est pour prêter leur voix à ceux qui n'en ont pas - qui n'en n'ont plus?"



Comme si l'évocation de ses amis étaient l'essentiel de sa vie? Il faut vraiment que je lise dans le texte!








Lien : http://miriampanigel.blog.le..
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