Sophie Kinsella

A 29 ans, Samantha est sur le point d'être nommée associée dans l'un des plus célèbres cabinets d'avocats de Londres...oui, mais ça c'était avant...avant qu'elle ne découvre qu'elle avait fait perdre une très grosse somme d'argent à l'un de leurs clients en raison d'un simple petit mémo qu'elle n'aurait omis de lire. Il faut dire que lorsque l'on ne pense que travail, que l'on s'endort en pensant au travail, que l'on consacre toutes ses soirées et week-ends au travail, il y a de quoi péter un plomb, vous ne trouvez pas ? Oui, mais voilà, cette erreur-là, Samantha n'avait pas le droit de la faire mais c'est ce qui au final, va lui ouvrir les yeux et réaliser que jusqu'à présent, elle ne vivait que pour son travail alors que la vie peut être tellement belle si on prend la peine d'ouvrir les yeux et de regarder autour de soi.



Elle qui n'a jamais réussi à faire un œuf à la coque ni même cuisiné quoi que ce soit d'ailleurs (pour le ménage n'en parlons même pas), va se retrouver engagée comme bonne à tout faire par le Trish et Eddie Geiger en pleine campagne. Vous imaginez l'horreur ? Pour elle qui a toujours vécu à 200 à l'heure en plein cœur de Londres, se retrouver du jour au lendemain en plein nul part à devoir composer des dîners, faire le ménage et la lessive ? Improbable mais si au fond, elle retrouvait celle qu'elle est vraiment ? Celle qui se tapit depuis toujours au fond d'elle-même et à qui elle n'a jamais voulu laisser la voix étant donné que son rang le lui interdisait ?



Une bonne comédie avec une romance en plein milieu (Sophie Kinsella oblige), bref, un agréable moment à passer et surtout à se laisser vivre et à décompresser ! A découvrir !

On pourrai presque l'appeler la veuve noire car elle en a toutes les caractéristiques sauf une : elle n'est pas veuve.

En revanche, Fleur Daxeny, une belle femme épanouie, la quarantaine et toujours célibataire, Fleur compte bien le rester...Seule je veux dire mais cependant avec une coquette somme d'argent sur son compte. Ayant une enfant de 13 ans à sa charge et ne travaillant pas, il est légitime de se demander comment elle fait pour se constituer ce joli compte en banque. Tout simplement en se rendant au plus d'enterrements possibles de récents veufs, se faisant souvent passer pour une amie de la défunte et venant au secours de ce pauvre mâle en détresse avant de le plumer.

Ses indics : un couple d'amis homos de Londres dont son meilleur ami Johnny. Aussi, lorsqu'il lui conseille de se rendre aux funérailles d'Emily Fainour, lui assurant que son époux Richard est un très bon parti, Fleur se fit une fois de plus à son jugement sans imaginer que cet enterrement-là pourrait très bien être le dernier de sa vie et qu'il pourrait chambouler son existence mais pas de la façon dont elle le pensait au départ. Certes, il va s'avérer que Richard est un homme très riche mais elle ne pensait pas que sa fille Zara, lasse de toujours vivre entre deux yachts ou deux maison de campagne s'attacherait à sa nouvelle proie, et elle aussi d'une certaine manière. Lui-même père de deux enfants, Philippa, déjà bien installée dans sa vie et approchant le trentaine et Anthony, un adolescent de quinze ans. Il y a aussi la belle-sœur du veuf, Gillian qui va tout de suite accepter Fleur, n'en voulant absolument et étrangement pas en vouloir à ce dernier de se remettre si rapidement en ménage. J'emploie le mot "étrangement" à juste raison car quiconque se trouverait choqué qu'un homme décide de s'installer à nouveau avec une femme qu'il idolâtrait à peine cette dernière six pieds sous terre mais Gillian ne s'en offusque pas et ses enfants non plus. Se pourrait-il que Richard, qui avoue lui-même ne pas avoir très bien connu sa femme, découvre sous le visage de celle qu'il croyait être une "sainte" des traits de caractère qu'il aurait préféré ne jamais découvrir ? Est-on d'ailleurs sûr de connaître réellement quelqu'un même si l'on passe sa vie à côté de lui ou d'elle ?



Une comédie noire il est vrai car Fleur peut paraître, sous bien des abords, comme une femme sans cœur qui ne court qu'après l'argent (et c'est bel et bien ce qu'elle est) mais l'on a tous des failles...Richard arrivera-t-il a faire tomber ce visage de glace et à découvrir la personne qui se cache à l'intérieur ? Rien n'est moins sûr mais ce qui est certain, c'est que si Fleur, prend la décision de continuer à porter ses éternels tailleurs noirs (attention, toujours avec une petite note de couleur ou d'originalité afin de faire en sorte que les regards soient immédiatement attirés vers elle), Zara, sa fille, elle, a bien décidé que cette fois-ci il en serait autrement !



Un ouvrage propre aux écrits de Madeleine Wichham, alias Sophie Kinsella, qui se lit très vite et avec toujours beaucoup d'humour malgré le côté glauque de cette aventure. A découvrir !

Je ne m'attarderai pas trop sur cette critique.

En choisissant ce livre je me suis dit que ça allait être une lecture facile, de détente... Le moins que l'on puisse dire c'est que j'ai été très déçue !



Il y avait quelques bonnes trouvailles au début du roman, mais plus on avance dans dans l'histoire et plus l'auteure en fait trop. TROP , mais vraiment trop !! Trop de clichés. Les situations souvent trop tirées par les cheveux deviennent vite lassantes.



La protagoniste à force de se faire une montagne de pas grand chose, avec des réflexions dignes d'un croisement entre un canari et un poisson rouge. Un peu ça va, mais merci !!

Je remercie chaleureusement les éditions Belfond pour m'avoir permis de découvrir, via net galley, : Surprends-moi ! , le dernier roman Sophie Kinsella. Sans leur service presse, je ne suis pas certaine que j'aurais eu l'idée de lire ce roman car cela fait un petit moment que je n'ai pas lu un roman de cette auteure, dont je garde pourtant un bon souvenir.

Dix ans de bonheur sans nuage, deux adorables jumelles, une belle maison et des jobs épanouissants : Sylvie et Dan filent le parfait amour.

Un jour, ils vont à un rendez-vous médical de routine où ils apprennent qu’ils vivront certainement centenaires, soit soixante-huit belles années de vie commune devant eux. Sept décennies côte à côte ? Une éternité ! Et c’est le début de la panique…

Pour préserver la flamme, le couple lance le projet « Surprends-moi », fait de cadeaux inattendus, dîners surprises, séances photos sexy… et autant d’occasions de malentendus, aussi drôles que désastreux.

Mais les fous rires vont rapidement laisser place à d’étonnantes révélations. Et quand un scandale du passé resurgit, Sylvie et Dan en viennent à se demander : se connaissent-ils réellement ?

Surprends-moi ! est un très bon roman de Sophie Kinsella. Cela faisant un petit moment que je n'avais pas lu un roman de cette auteure et je suis ravie de l'avoir retrouvé, ce fût vraiment une très bonne surprise.

L'histoire est très bien trouvée. Les personnages principaux, Sylvie et Dan, m'ont beaucoup plu. Ils sont attachants et je dois avouer que quelque part, je comprend leur panique. Je ne la partage pas, je suis peut-être folle (je rigole :) mais cela ne me fait pas peur de passer encore 60 ans avec mon mari. On a déjà 20 ans de mariage derrière nous, 20 ou 40 de plus, pourquoi pas ! Mais dans un sens je comprend tout à fait la panique de ce couple, car quand même se dire qu'on va vivre 68 ans ensemble, ça peut faire peur.

Il y a énormément d'humour dans ce roman, remplit de bons sentiments. J'ai beaucoup aimé le dénouement et j'ai passé un très bon moment en compagnie de Sylvie et Dan.

Je vous invite à le découvrir à votre tour, et c'est avec plaisir que je mets cinq étoiles.

Un roman qui aurait pu être très bien, s'il n'avait pas été aussi caricatural .





Londonienne, Ava va réorienter sa vie rêvée en s'inscrivant à un atelier d'écriture, en Italie, tant qu'à faire...

Là-bas, rien de devra parasiter la création , aussi, auront-ils des pseudos et des vêtements identiques. Et c'est dans ce contexte, qu'Ava (désormais Aria) va rencontrer Dutch ( un pseudo aussi ) et vivre une magnifique et intense histoire d'amour qu'ils aimeraient bien continuer à Londres. Hélas, la levée de l'anonymat va révéler qu'ils n'ont rien, mais absolumenrt rien en commun.

Il aime les apparts design, les oeuvres d'art froides, vit en coloc avec deux potes geeks, et déteste son boulot.

Elle vit dans un capharnaüm, avec son chien (qui est une vraie plaie) et des meubles retapés et a pleins d'amis.

Arriveront-ils à passer au dessus de leurs différences ?





C'est un roman avec de jolis passages ( comme tous ceux sur leurs amitiés), mais qui m'est apparu très caricatural, très outrancier, concernant leurs différences.

Un peu , on aurait compris, mais là , c'est trop. Il est impossible que dans un tel contexte, ils réussissent à rester ensemble, on se demande ce qu'ils se trouvent, en dehors de leurs beautés respectives...Ils n'ont rien en commun et devront faire un pas (ou des pas ) l'un vers l'autre, s'ils veulent rester ensemble, mais je ne crois pas au changement de personnalité dans la vraie vie . Un seul des deux personnages change, l'autre met juste un peu d'eau dans son vin.



J'ai trouvé le personnage d'Ava fort impolie . Certes , elle aime son chien, qui n'est autre qu'une extension d'elle-même. Certes, les anglais adorrrrent les animaux, mais ce n'est pas une raison, pour l'imposer aux autres, surtout qu'il fait conn.. sur conn... . Il est insuportable, mais c'est un "gentil toutou"... je dois être trop française pour comprendre !





C'est la troisième fois, que je n'accroche plus autant avec les romans de Sophie Kinsella, dans lesquels je ne retrouve pas le pétillement de ceux de ses débuts et j'en suis la première désolée...

Pas le roman le plus drôle de Sophie Kinsella mais qui se laisse lire dans les bouchons ou sur un transat.



Nous avons deux couples anglais : Hugh et Amanda le couple sophistiqué et aisé ( crème solaire Lancome et baby sitter déjantée) et Philippe et Chloe plus simples avec des soucis ( restructuration dans le boulot de Philippe).



Ces deux couples ont un ami commun : Gérard. Petit plaisantin qui leur prête une somptueuse villa en Espagne à la même date.



Les deux couples vont devoir cohabiter surtout que Chloe et Hugh ont un passé en commun.



Plaisant sans plus. D habitude je m amuse davantage avec la plume de Sophie kinsella.

Une relecture qui fait du bien! De temps en temps, il est bon de se plonger dans les récits légers et drôles de Sophie Kinsella. Sur bien des points, Très Chère Sadie correspond à la recette habituelle : un loseuses pour qui on a de l'empathie, une famille particulière, un prétendant souvent très riche et craquant (forcément!) et une narration interne très distrayante qui ne manque pas de nous faire sourire, surtout quand l'héroïne s'emmêle les pinceaux dans ses mensonges et gaffes. Pour autant Très Chère Sadie sort du lot avec son côté fantastique. L'histoire ne tourne plus autour d'une fille mais bel et bien de deux, sauf que l'une d'entre elles est un fantôme plein de peps tout droit sorti des années 20. Et le personnage de Sadie a bel et bien pour ambition de bouger Lara dans ses habitudes!

Une lecture que je recommande pour tous les amateurs de chick-lit! Merci à @JohannaMedici de me l'avoir pioché dans le cadre de Pioche dans ma PAL juin 2018.



Pioche dans ma PAL juin 2018

Challenge Pavés 2018

Challenge Multi-défis 2018

Challenge 50 objets

Challenge Le tour du Scrabble en 80 jours.

Six femmes qui approchent de la quarantaine ont prévu de se retrouver autour d'un diner, afin de fêter leurs 20 ans d'amitié.

Mais la soirée ne va finalement pas se dérouler comme elles le prévoyaient, entre une tempête de neige qui va paralyser la ville et de vieilles rancoeurs qui vont ressurgir, leur amitié va connaître quelques soubresauts.



Les premiers chapitres présentent chaque femme et cela est un peu long car elles sont malheureusement assez caricaturales, il y a la femme d'affaires obnubilée par la perfection, celle qui vient de se faire plaquer, celle qui a toujours eu 10 kilos en trop et se lamente sur son sort, celle qui est sur le point d'accoucher....

Cette petite histoire m'a semblé fade, mal écrite, pleine de clichés et sans grand intérêt.

J'aime bien les romans de Sophie Kinsella, découverte avec l'accro du shopping. Je les lis systématiquement. Celui-ci est dans la veine de ce qu'elle fait habituellement (peut-être un peu trop !). J'ai eu l'impression de lire un copier coller de Poppy Wyatt est un sacré numéro (Mon préféré de l'autrice). Je suis donc un peu déçue par ma lecture (d'autant que j'ai trouvé l'héroïne plutôt agaçante). Si vous n'avez jamais lu Sophie Kinsella, allez-y les yeux fermés : l'histoire est plaisante et l'écriture fluide. Pour les autres, attendez-vous à lire une copie de ses romans précédents. Sympa mais sans plus.

En ce qui me concerne, je suis l'opposée d'une accro du shopping. Mais pourquoi donc ai-je entrepris cette lecture, me demanderez-vous ?

J'ai acheté toute une série de "Sophie Kinsella" d'occasion, dont "Becky à Manhattan"... pour m'apercevoir que Becky n'était autre que la fameuse "accro du shoppping". C'est ainsi que je me suis résolue à acquérir le premier tome de cette saga...

Eh bien, je suis très étonnée ! J'ai réussi à m'intéresser à cette "malheureuse" acheteuse compulsive, à rire, et à m'attacher à elle...

Bien joué, Sophie Kinsella ! Un moment très agréable de lecture ! Du coup, je lirai la suite la suite avec plaisir !

Une romance pimentée de fous rires sur le thème de la routine dans le couple.



Alternant entre drame et comédie tout du long, la comédie l'emportant haut la main d'ailleurs, ce roman m'a ravie. Je ne peux pas vous dire le nombre de fous rires dont j'ai été prise à la lecture des idées, des réflexions et des situations loufouques dans lesquelles se retrouve Sylvie, notre héroïne.

Après dix ans de bonheur parfait, Sylvie et Dan vont en effet se prendre un méga coup de stress lorsqu'à la suite d'un check-up médical, leur charmant docteur leur annonce qu'ils ont sans problème soixante-huit années à vivre ensemble. C'est le drame !

Comment faire pour vivre avec l'autre autant de temps sans s'ennuyer, se lasser ? Sylvie a l'idée de génie, celle de demander à son cher et tendre de se surprendre l'un l'autre ! Et c'est ce qu'ils vont faire, plus ou moins de façon heureuse, mais en tout cas très souvent tordante.



L'histoire est vraiment distrayante et follement drôle parfois (je vous passe la séance de photos qui me fait encore rire rien que d'y penser, sans compter les nombreuses fois où Sylvie ne va pas que frôler le ridicule, pour notre plus grand plaisir). Mais surtout, elle est très réaliste puisqu'elle aborde l'un des plus grands problèmes des couples : comment faire pour durer et se supporter jusqu'au bout ?

L'auteure utilise tout son talent pour dépeindre cela avec humour, mélo parfois quand les choses ne vont plus tourner à la rigolade et que la jeune épouse va se trouver prise à son propre jeu. Mais tout finira bien, ne vous inquiétez pas, et c'est ça le plus important !



Alors si vous aussi vous voulez passer un bon moment et vous marrer, lisez vite cette histoire !




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Ça se lit d'un seul trait, en un seul souffle, puis on se souvient d'une certaine Emma qui aurait pu être ma voisine mais elle est trop papier pour l'être, avec toutes ses petites manigances, maladresses et petits secrets, une fois sentant sa vie en danger dans l'avion, elle déverse tous ses secrets sur un inconnu...le ton est trop mièvre qu'on a l'impression de manipuler des personnages dans un jeu de ping pong...pas convaincue du tout!

Une acheteuse compulsive, dépensière, menteuse et assoiffée de nouveaux produits. Becky, vingt-cinq ans n'a pas peur des nombreuses factures que sa banque lui envoie. Conseillère financière ? Elle ? HAHAHAHA. C'est l'hôpital qui se fout de la charité ! J'ai dévoré ce livre en deux jours. Ce n'est pas de la grande littérature classique, mais le style est très personnel et très fluide. Ce livre se lit très facilement, et l'héroïne est très attachante, elle qui en achetant un cardigan gris, un livre de cuisine ou trois paires de lunettes de soleil à l'impression de faire un "bon investissement". Entre ses parents, sa meilleure amie, son patron et ses amours, Becky ne sait plus où donner la tête mais n'oublie en aucun cas son occupation favorite : le shopping. Effectuer ses courses de Noël en mars, se faire virer du magasin où elle est vendeuse au bout d'une journée, il n'y a qu'elle pour faire ça.

Bref, si vous voulez vous détendre et rire, je vous le conseille !

Ce livre est la lecture commune de notre forum pour l’été, de plus il me permet de valider deux challenges, donc je ne pouvais pas le manquer, mais la rencontre n’a vraiment pas été heureuse.



Lottie va déjeuner avec son ami Richard, elle est persuadée qu’il va lui demander sa main après trois ans de relation. On assiste à sa préparation dans les toilettes du restaurant, mais elle s’est trompée, Richard voulait lui parler de leurs miles d’avion et de leurs prochaines vacances. Lottie a acheté une bague pour son ami et elle est tellement outrée de la situation qu’elle le plaque immédiatement alors qu’il doit partir à San Francisco pour un voyage d’affaires. Sa soeur Fliss s’inquiète car après chaque rupture, Lottie se lance dans des projets voués à l’échec pour se défouler, ce qui ne va pas manquer. Fliss est en plein divorce conflictuel avec Daniel.



Quelques jours après la séparation, Lottie retrouve Ben son amour de jeunesse, rencontré à Ikonos quinze ans auparavant alors que tous les deux faisaient une année sabbatique après leur bac. Il ne se sont plus revus depuis cette époque mais décident de se marier. Lottie exige qu’ils ne se touchent pas avant la cérémonie, car elle a collectionné les amants et veut changer de méthode. Ils se marient précipitamment et décident de partir à Ikonos en voyage de noces en souvenir du bon vieux temps. Fliss fait tout pour faire capoter l’affaire. Avec son fils de sept ans, Richard et Lorcan le meilleur ami de Ben qui a un rôle important dans son entreprise, elle se lance à la poursuite des amoureux. Pas besoin d’en dire plus tant l’histoire est cousue de fil blanc.



Essayant toujours de trouver un point positif à un livre, je dirais que c’est son humour, il y a plusieurs scènes hilarantes. En particulier quand Lottie se prépare dans les toilettes du restaurant ou lorsque le maître d’hôtel, sur ordre de Fliss met tout en oeuvre pour pourrir leur nuit de noces, mais ça devient vite lassant, trop c’est trop. Il y a de nombreux rebondissements, mais qui vont tous dans le même sens.



Pour moi c’est l’exemple même de romance à fuir, digne de figurer dans le livre d’or du genre avec Delly et d’autres niaiseries du même style. Les situations sont invraisemblables, les personnages creux et franchement pas très malins. Lottie est particulièrement scandalisée de constater que les touristes ont envahi son île bien aimée et que les choses ne ressemblent plus au paradis de son souvenir. Malgré une évidente réussite professionnelle, elle semble complètement dépourvue de réflexion, quant à Ben il se rend compte après coup que ce n’est pas Lottie qu’il aime mais Sarah, rencontrée plus tôt sur l’île. Et tout est prêt pour le happy end qu’on voit arriver depuis le quart du livre. Ce genre de lecture relève juste de la perte de temps. Un bon roman avec un fond de romance qui traite de sujets intéressants, comme La révérence de l’éléphant, ne me dérange pas du tout, mais là il n’y aucun fond.
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Quand je lis un roman de Sophie Kinsella, je suis toujours sûre de passer un bon moment et de faire fonctionner mes zygomatiques (l’humour anglais j’adore !). Cela n’a pas manqué dans ce dernier opus qui relatent les idées plus ou moins farfelues de Dan et Sylvie, trentenaires mariés et parents de jumelles, pour pimenter leur relation, après qu’ils ont découvert qu’il leur restait 68 ans à passer ensemble. Mais se surprendre n’est pas toujours sans risque...Princesse Sylvie, femme enfant, m’a plutôt agacée au début du livre dans sa relation au père et dans sa manière d’être. Je lui ai laissée sa chance et j’ai bien fait car elle a su évoluer au fil des pages. Un roman rigolo (mais pas que) que j’ai lu avec grand plaisir.

Qu'est-ce que cela fait du bien de temps à autre de lire quelque chose de léger, certes, mais qui, mine de rien, amène néanmoins parfois le lecteur à se poser des questions sur lui-même avec des petites réflexions sur la vie extrêmement bien pensées et placées au bon moment. C'est toujours le même effet que cela me procure lorsque je m'aventure dans un des épisodes de notre incontournable Becky, euh pardon Rebecca Barndon.



Eh oui, on pourrait croire que notre ancienne inconditionnelle accro du shopping s'est assagie avec le mariage et surtout en devenant maman d'une adorable petite fille de deux ans et demi appelée Minnie mais il n'en est rien. Quoique, dans cet ouvrage, tout change...Après avoir vu les tapis rouges d'Hollywood, avoir connu la gloire, Becky est vite redescendu sur Terre en réalisant que tout cela avait bien failli lui ruiner son mariage. Ici, une fois encore Becky réalise très vite que le plus important dans la vie n'est pas forcément de faire sans cesse la Une de tous les magazines People pou encore d'avoir une garde-robe impressionnante, mais bel et bien la famille (autant celle dont nous avons héritée que celle que nous fondons). Dans ce tome, Graham, le père de Becky se fait la malle comme on dit, à travers les États-Unis parce que, explique-t-il, il a une affaire à régler. Mais quelle affaire ? De quoi s'agit-il exactement ? Lui qui a toujours été franc avec sa tendre épouse, pourquoi partir comme ça, sur un coup de tête sans rien expliquer à sa moitié ni même s'en s'être confié à sa fille ou à qui que ce soit d'autre ? Ah si, j'allais oublier Tarquin, le mari de Suze (la plus fidèle amie de notre héroïne, la copine de 3 heures du mat') qui l'accompagne dans cette aventure.



Jane, la mère de Becky et Suze, sa meilleure amie, toutes deux délaissées par leur mari sont bien décidées à apprendre le fin mot de l'histoire et à retrouver leur cher et tendre. Dans ce cas-là, cas d'urgence extrême, qui de mieux placée que Becky pour organiser un plan aussi extravagant que celui qu'elle va mettre au point ? Néanmoins, à sa décharge, preuve a déjà été faite que ce sont parfois les histoires à dormir debout qui matchent le mieux lorsque l'on veut obtenir un aveu de quelqu'un...enfin, encore faut-il avoir l'art et la manière de le faire. Cela n'est pas un problème pour Becky et elle est prête à relever le défi, même si ses plans ne se dérouleront pas toujours comme prévu et auxquels il faut ajouter de nombreux imprévus tels Alicia-la-garce-aux-longues-jambes mais à ce sujet, je ne voue en dirais pas plus...



Alors pour toutes les accros aux aventures de l'incroyable Becky et pour tous les autres (hommes ou femmes d'ailleurs, messieurs, ne vous sentez absolument pas exclus), une bonne lecture-détente idéale pour apporter sur la plage ou encore pour se détendre tout simplement quoique...Bref, à découvrir !

Une petite fille, Katie ,fait une mauvaise chute dans la piscine des voisins, elle est évacuée à l'hôpital .

Ses parents se déchirent, le couple est en train de se séparer...

Colére et consternation : qui surveillait Katie?

Les propriétaires de la piscine , les Delanay , des voisins , sont-ils responsables ?

Leur piscine est -elle encore aux normes ?

Un avocat, amant de la maman de Katie, désire profiter de la situation afin d'intenter un procès aux gentils voisins.

Une mére très naïve , un pére dépassé et fataliste, timoré, un avocat en mal de notoriété, arriviste et carriériste , une idylle entre deux personnages secondaires........

Bref, la lecture est lisse, agréable sans plus, parfois ennuyeuse, les personnages crispants et caricaturaux, la fin gentillette et prévisible .

Un ouvrage emprunté par hasard à la médiathèque (tant pis pour moi )léger, facile à lire, vite lu , vite oublié qui ne correspond en rien à ce que je lis d'ordinaire.

Je ne connais pas l'auteur.

J'ai passé un moment agréable avec ce roman de Sophie Kinsella.

Il y a une petite intrigue qui tient en haleine. On se doute dans quel sens le vent va tourner. Mais on ne sait pas comment concrètement l'histoire va se dénouer.

On rit peu par rapport à d'autres romans de Sophie Kinsella, mais ça ne m'a pas dérangée.

Par contre, problème de traduction peut-être, il y a un souci d'inversion des personnages de Roxanne et de Maggie sur la 4ème de couverture en version "pocket" ainsi que dans les premières pages du livre. Mais très vite, on peut prendre ses marques.

« Rebecca Bloomwood, journaliste, voudrait travailler pour Alette, un magazine de mode mais se fait embaucher par un magazine financier alors qu'elle est complètement accro au shopping et poursuivie par les créanciers. »



Une histoire loin d'être parfaite mais qui amène une certaine fraicheur! Même si, je pense, un public féminin aura bien plus d'atomes crochus avec ce roman, qui propose un univers un peu strass et paillettes, avec pleins de jolis vêtements, chaussures... et surtout qui soulève un véritable problème, celui de cette faculté à l'achat impulsif !



Rebecca Bloomwood a une fiche signalétique bien définie: entre vingt et trente ans, éditrice, journaliste, sévissant dans le milieu de la mode, elle a du style et un solide cœur d'artichaut! Elle lutte pour son succès professionnel, amoureux et contre ses névroses! Elle se débat parfois un peu à contre-courant, mais ce dynamisme et les différentes situations cocasses qui s'enchainent sont très agréables. Mais, surtout, elle n'est pas dupe et, en racontant, jette un regard amusé et tendre sur les femmes d'aujourd'hui. Car ce roman trouve aussi sa force en prenant appui et en se moquant des nouveaux comportements contemporains, la boulimie consumériste pour palier à la confiance intérieure.



J'ai donc été agréablement surprise, je m'attendais à beaucoup plus terre à terre, la curiosité étant initialement la seule motivation à me tourner vers ce roman! Les situations sont inventives et le scénario est bien ficelé. Ajoutez un petit pic envers les milieux d'affaires, la mode, la frime, le regard d'autrui, et finalement, la vie à crédit, et vous obtenez un équilibre à la fois surprenant et rondement mené.



Et même s'il a tendance à accumuler les clichés, j'ai trouvé le tout tellement drôle que ça passait tout seul! Becky Bloomwood déborde de vie et porte à bout de bras cette comédie, son personnage est bien travaillé et il caricature vraiment bien le thème qui est: L'accro au shopping!

Le jour de son enterrement de vie de jeune fille, Poppy Wyatt perd sa bague de fiançailles, celle que la famille de son futur mari, Magnus, se passait de génération en génération depuis des lustres. Cerise sur le gâteau, et encore plus dramatique, on lui dérobe aussi son téléphone portable. Elle se croit sauvée quand elle trouve au fond d’une poubelle un smartphone, appartenant à l’assistante d’un dénommé Sam. Elle décide alors de l’emprunter pour régler la situation de crise dans laquelle elle s’est, une fois de plus, fourrée.



À force d’argumentation et de démonstration (incluant une interprétation de Beyoncé revisitée devant un groupe de japonais sans voix), le propriétaire du téléphone finit par accepter de le lui prêter, à condition qu’elle lui transfère tous les messages. Les messages en question révèlent un étrange complot à l’encontre du malheureux Sam qui ne se doute de rien. Entre drame familial, recherche de bague et organisation d’un mariage qui annonce plus de pire que de meilleur, Poppy saura-t-elle tout gérer ?



Les gros plus :



Ce qui est bien quand on lit Sophie Kinsella, c’est qu’on lit Sophie Kinsella.



Pas de surprises donc : une lecture légère et fun, on rigole, on s’attache à l’héroïne et on tombe amoureuse du beau ténébreux, puis on s’émeut à la fin (qu’on avait bien entendu devinée).



J’ai beaucoup beaucoup aimé le concept des notes de bas pages à hurler de rire.



Les mini bémol :



Les héroïnes de Kinsella sont drôles et attachantes, généreuses à l’excès, passionnées et maladroites, mais Becky Bloomwood, Poppy Wyatt ou Lexi Smart, soit elles sont soeurs, soit c’est un peu toutes les mêmes…



Mais bon pour être franc, on s’en fiche, on adore quand même. Sophie Kinsella ne prétend pas écrire La Chartreuse de Parme (et ça tombe bien, parce que nous, on ne prétend pas vouloir le lire), Poppy Wyatt est un sacré numéro est donc à dévorer pour toutes les fans de l’accro au shopping, les romantiques et celles qui dorment avec leur smartphone sous l’oreiller, qui ne manqueront pas de s’identifier à l’héroïne. Parce que c’est là tout l’art de Sophie Kinsella, finalement, de résumer en un personnage hilarant n’importe quelle fille de moins de 30 ans, qui sait que oui, oui, un jour elle aura une carrière, un mari, des enfants et la paire de Louboutin qu’elle mérite, mais en attendant que le prince charmant et le job de ses rêves daignent pointer le bout de leur nez, autant lire des contes de fées et rigoler un bon coup.



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