Tsukasa Hojo

Après un premier tome qui m'avait laissé une super bonne impression, on retrouve les nouvelles aventures d'Ai Kisugi dans ce tome 2 de la série Cat's Ai.



La jeune fille a repris ses activités de Cat's Eye, non plus en tant que voleuse, mais pour redonner du sourire aux gens en mettant ses dons au service des causes justes. Lorsqu'un vieil ami, M. Nagaishi, lui révèle une affaire de trafic d'organes dans un grand hôpital, Ai use de ses talents d'infiltration afin de démasquer les coupables et les faire traduire en justice. A sa grande surprise, le photographe Kei Narumi a eu exactement la même idée, voulant protéger les vies des enfants malades du centre qui attendent pour certains des transplantations.

Il y a aussi de nombreuses scènes mettent en avant la romance naissante entre Ai et Narumi, le tout avec une belle naïveté faisant la part belle aux bons sentiments, mais trouvant le ton juste pour éviter de tomber dans le mièvre.



Vivement le tome 3!

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Lecture du second tome que je dois à mon enfant. Il a décidé qu’il fallait que je lise aussi les livres que lui lit, car je pique parfois les livres de son grand frère.

On va pas se battre, le partage de livre, je suis pour à 100 % et je crains qu’une fois armé de son pistolet balles en mousse, il ne soit plus fort que moi 😅.



Je me rappel grâce au premier tome qu’un Manga se lit à l'envers, c'est moins perturbant au second tome.

Illustrations toujours en noir et blanc mais toujours aussi réussies.

Par contre, comme j’ai lu le premier tome il y a presque un an, il faut que je remette en tête les noms des personnages Manga qui sont des noms différents du dessin animé.



Là, je vois les fans de manga qui ont des corbeaux qui volent au-dessus de leur tête. 😁



Sur cet album, on reste dans la continuité du premier.

L’histoire n’était pas terminée, on reprend comme si de rien était et c’est là qu’est l’os !

Un an plus tard et pas loin de 200 bouquins entre les deux, moi j’ai zappé Miki et Mamouth, enfin Umbozu.

Je me remets vite dans le bain.

Par contre, il est fortement conseillé de commencer par le premier et de lire dans l’ordre.



Ce volume reste encore une fois très porté sur le sexe et je trouve dommage que le premier « emploi » de Ryo n’arrive qu’en toute fin de manga. Forcément, il appelle une suite et mon enfant m’a déjà collée le troisième à lire.

Même s’il se lit vite, je ne suis pas fan de Ryo mais plutôt de Nicky. Et puis, il faut dire que la musique fait beaucoup dans la réussite du dessin animé. Un peu moins la voix des méchants qui reste toujours la même avec le « il m’a fait bobo ! ».

J'avais hâte de poursuivre cette saga de manga.



Le récit est toujours captivant et c'est un plaisir de suivre les péripéties de nos trois soeurs. En plus, je trouve l'histoire variée même si le principe reste le même. Malgré les nouveaux pièges de la police, Cat's Eye parvient toujours à dérober les oeuvres d'art.



J'ai également beaucoup apprécié le nouveau personnage qui est introduit dans ce tome et le rôle qu'il va jouer dans la vraie vie de nos protagonistes ainsi qu'avec Cat's eye à qui il pourrait bien poser quelques soucis.



Le mangaka parvient à glisser de subtiles notes d'humour qui sont une pure bouffée de fraîcheur tout au long de l'intrigue.



Vous remarquerez tout de suite que les dessins ont un côté plus vieux (année 80) mais cela n'enlève rien à la beauté des illustrations et à leur réalisme.



Le récit est prenant et le dénouement final vous donnera envie de vous jeter sur le prochain tome.



Cependant, j'ai eu du mal avec une situation de l'histoire qui me semble peu probable, je ne peux malheureusement pas vous dire laquelle sous peine de vous spoiler.



Si vous aimez les mangas, l'humour et que vous avez envie de vous lancer dans une belle aventure, je ne peux que vous recommander cette saga.



J'ai rapidement lu les 242 pages de ce tome. Comme d'habitude, j'ai également pris le temps d'observer les dessins dans les moindre détails.



Pour le prix, vous pouvez vous procurer ce manga pour 10,99 euros ou pour 16,70 francs.



J'ai passé un bon moment de lecture mais une situation reste trop tirée par les cheveux pour être réaliste à mon goût. C'est pourquoi, je donne la note de 8 sur 10 à ce tome.
Lien : http://devoreusedelivres.ekl..

Etant née dans les années 80, je mentirai en disant que je ne connais pas le célèbre justicier de Shinjuku, vissée devant le club Dorothée que j'étais, étant gamine.

Mais j'avoue avoir été agréablement suprise. Car, on est loin de la version potache, édulcorée et censurée, du dessin animé de mon enfance.

Ce premier tome est noir, violent, sanglant. Même si le personnage de Ryo (alias Nicky) garde cet attrait pour les attributs féminins et son humour graveleux qu'il a toujours eu, les scènes sont plus crues que dans mon souvenir et quand il faut être sérieux, il sait l'être. L'ambivalence du personnage de Kaori m'a bien plu, un peu maladroite et pas très douée dans ce premier tome d'apprentissage, elle est néanmoins extrêmement déterminée. Le duo de choc commence à prendre ses marques et planifie sa vengeance contre le cartel de la drogue Teope.

Les pages mises en couleur dans cette édition spéciale sont remarquablement travaillées et les anecdotes sur l'élaboration du projet City hunter sont très intéressantes.

Hâte de poursuivre l'aventure dans les bas-fonds avec le tome 2.

Ce premier tome de la série met en place tous les personnages connus grâce au dessin animé passé dans les années 80 mais d'autres aussi qui ont été supprimés lors du passage à l'animé.

Pour ceux qui ne connaissent pas c'est l'occasion de découvrir 3 sœurs: Rui, Hitomi et Aï (Syllia, Tam et Alex en français) et leur quête; réunir les œuvres de leur père disparu depuis 15 ans. Elles ne font pas dans la légalité puisqu'il y est question d'une organisation criminelle qui aurait tenté de le tuer... Tout cela pour le malheur du fiancé d'Hitomi, Toshio, inspecteur de police de son état.



Vous l'aurez compris, gag en cascade sur fond d'enquête policière, de quiproquos amoureux et de jalousie avec l'apparition de l'inspectrice Mitsuko Asatani. Une série génial mais les dessins sont encore durs par rapport à ceux que l'on connait de Hojo.

Lecture de mon premier manga et je le dois à mon enfant !

Ado, j'aimais beaucoup regarder Nicky Larson, le dessin animé en Français. Je savais par mon frère que la version Manga Japonaise était bien plus portée sur le sexe et plus violente aussi.



Cette série télévisée repasse de nos jours à la télévision et les dessins animés actuels sont tellement pas terribles que j'ai autorisé mon enfant à découvrir Nicky Larson.

Il a adoré Nicky, Laura et son marteau et surtout Mammouth. Il a également adoré la version cinématographique de Philippe Lacheau et sa bande.

Il a donc voulu découvrir la version Manga.

Ma libraire m'a dit qu'il en existait plusieurs version et nous avons donc choisi celle-ci.



Attention, commentaires de novice :

Déjà, un Manga se lit à l'envers, c'est assez perturbant au départ !

Il est en noir et blanc ! Quel dommage, les illustrations sont très réussies.

Les personnages Manga ont des noms différents du dessin animé !



Là, je vois les corbeaux qui vous volent au-dessus de la tête. 😁



L'auteur choisit de faire commencer son Manga avec une femme qui est fan de City Hunter et qui va se retrouver dans la ville de Ryo (Nicky donc) suite à un accident de train ! et dans la peau d'une lycéenne.

C'est le côté un peu SF que je regrette.



Ce volume reste quand même très porté sur le sexe même si les termes utilisés reste soft.

Pourvu que les enfants ne cherchent pas le mot érection dans le dictionnaire ! Et à ce moment-là, il est finalement, peut-être, plus convenable pour eux, qu'il n'y ait pas de couleurs aux illustrations. 😅

Il ne se termine pas puisqu'il appelle une suite.

Ce qui peut agacer les petits impatients.



Ca représente quand même pas mal de pages à lire et la police de caractère n'est pas toujours très grande, sauf, par exemple quand Kaori (Laura) se déchaîne.



Est-ce que je lirai la suite ? Je ne sais pas encore. Ce premier volet est proche de mes souvenirs mais assez répétitif dans sa globalité. Ca manque de méchants qui veulent faire bobo à Nicky, enfin Ryo.

Personellement, j'aime cette nouvelle série de "Cat's Aï" , certes cela se rapproche plus d'un shojo avec des voleuses que l'oeuvre original de Tsukasa Hojo, mais je trouves l'histoire marrante et le graphisme est superbe donc je continue avec plaisir cette série !

Ce tome commence avec une nouvelle tentative d'assassinat à l'encontre du "petit prince". Mr Chen lui suggère donc de faire appel à la légende urbaine City Hunter. Ryo refuse comme d'habitude à cause de sa règle de ne répondre qu'à des demandes de femmes (mokkori ^^).



D'ailleurs depuis qu'il s'engage vraiment dans son rôle de père, il n'est plus trop question de mokkori et ce n'est pas plus mal je pense :-) L'auteur s'est enfin renouvelé au sujet de ses blagues :-)



A-Xiang va, quant à elle, répondre au XYZ du "petit prince", peut-être car elle commence à se prendre d'amitié pour lui... quoique ^^ Mr Chen en profite pour jouer les entremetteurs incognito ^^ Comment cela va-t-il se finir ? :-)



Quand le "petit prince" découvre qu'A-Xiang n'est pas amoureuse de lui et qu'elle ne veut pas tomber amoureuse à cause de sa "durée de vie" limitée, il décide de changer de vie pour se rapprocher d'elle. A-Xiang est devenue sa raison de vivre :-)



Mais A-Xiang découvrant ceci, elle en est furieuse et crie sur tout le monde même sur son père ^^ Ses mimiques, lorsqu'elle crie, sont vraiment rigolotes ou carrément flippantes, suivant les situations et les répliques de "petit prince" ou de Xin-Hong (dont l'amour n'est pas réciproque).



Superbe tome que celui-ci, rempli d'amour et de bonté (et d'un soupçon de mokkori ^^). Après que le commanditaire des assassinats sur le "petit prince" ait été arrêté, la vie reprend son cours. Le "petit prince" retourne à sa vie d'avant, il n'en oublie pas moins A-Xiang dont il est toujours très amoureux :-) Il a également pu rencontrer sa mère :-)



Certes, ce tome n'est pas une vraie fin. Une saison 2 d'Angel Heart devrait exister mais l'auteur semble avoir des soucis avec son éditeur :-( J'espère néanmoins qu'ils seront bientôt réglés et que l'on pourra lire la suite des aventures d'A-Xiang, du "petit prince", de prince Mao, de Fang-Yu, de Miki, de Ryo et de toutes les autres personnes qui se sont réunies autour d'A-Xiang, de Ryo et de Kaori :-) Cette petite famille arrive à mettre du baume au cœur à tous ceux qui croisent leur route, et nous compris :-)



J'ai vraiment beaucoup apprécié de lire cette série :-) Encore merci à Nekomusume de me l'avoir fait découvrir :-) Très belle découvert car j'adore le dessin raffiné de cet auteur, son humour et ses histoires pleines de cœur :-) Je trouve d'ailleurs que cette série est mieux construite que "City Hunter". Les histoires de Ryo se résumaient à des enquêtes policières pour des personnes inconnues. Alors que celle-ci porte sur des affaires qui sont liées de près ou de loin aux passés de Ryo, d'A-Xiang et de leurs amis. Cette série a plus un caractère familial que la précédente :-)



En d'autres termes, je l'ai adoré dans son entier et je vous la conseille vivement :-)



Bonne lecture à vous :-)

Le lien du tome 7 au 8 est la voleuse ressemblant à Cat's Eye!! Celle-ci demande à Ryô de l'aider à voler un bulbe de tulipe noire. A la silhouette et au justaucorps, la jeune femme ressemble à Cat's Eye mais son histoire est tout autre puisqu'elle vient d'une famille de voleurs. En fait, c'est juste une idée de récupérer :-( Le mangaka serait-il déjà à court d'idées ?...



Un des gags récurrents de ce manga concerne Kaori énervée et son marteau qui change de poids suivant les situations :-)



La partie dans le manoir est plus sombre que d'habitude mais cela a été très bien rendu grâce à la qualité des dessins :-)



Même les yakuzas ont droit au fameux coup de marteau de Kaori ^^ C'est qu'elle n'aime vraiment pas qu'on la prenne pour le "petit frère" de Ryô ^^



La dernière aventure de Ryô est vraiment la plus amusante des 8 tomes que je viens de lire. Il est sensé être le garde du corps d'une jeune femme, Yuki, à la demande du père. Mais au final, il va surtout s'occuper à lui donner des cours sur l'amour :-) Même si ses intentions sont bonnes (quoique ^^), les réactions de Yuki sont plus qu'improbables par moment. Pauvre Ryô ^^



Le gag le plus drôle étant, à mon sens, la ceinture de chasteté que Masa (un yakuza) et Kaori font porter à Ryô contre son gré. Ils veulent ainsi protéger la douce Yuki du "coucou" de Ryô. Yuki a été élevée en vase clos par son père, pour qu'elle ne soit pas "dé-purifiée" par le monde, et les hommes, extérieur ^^ Ce gag m'a vraiment fait rire aux éclats :-) Désolée Messieurs :-p



Bon... Au final, j'avais déjà lu ces 8 tomes. Quand ? Et combien ? Je sais plus ^^ En tout cas, j'ai été bien contente de les relire, ne serait-ce que pour en faire la critique :-) De ce mangaka, je préfère néanmoins ses séries avec les femmes en héroïne (non pas la drogue ^^ juste le féminin de héros ^^) :-)

Charmant, drôle, attachant ! On retrouve toujours avec plaisir ce trio de charme ! D'anciens personnages réapparaissent...Très bon tome !

Cat's eye, une de mes séries préférées depuis l'enfance, alors quand j'ai vu Cat's Aï, je me suis demandé: plagiat? suite? simple coïncidence?

Il s'agit d'une suite mais attention, pas de Tsukasa Hojo, mais avec son autorisation et même quelques conseils de sa part sur le scérario et le dessin...



Cette fois c'est Aï, comme le titre l'indique, qui est le personnage principal et non Hitomi (Tam pour les accro du dessin animé), les dessins ont beaucoup changé mais l'histoire aussi. Nos trois voleuses sont rangées et de retour dans leur bon vieux café, décidées à mener une vie normale... sauf que des voleurs utilisent leur nom, sans subtilité et allant même jusqu'au meurtre... quand en plus un journaliste utilise leur comptoir comme bureau, c'en est trop pour Aï et la tentation de mettre bon ordre dans tout ça est trop forte.



Les plus de cette série: Quand on a vraiment aimé cat'eye, c'est un bon moyen de prolonger la magie de la série, les thèmes chers à Hojo sont respectés: respect des valeurs familiales, humour, amours impossibles, triangles amoureux et quiproquos, Et bien sûr les filles sont toujours très sexy...



Les moins: Ce ne sont pas du tout les mêmes types de dessins mais finalement on arrive à s'habituer assez vite; le changement de personnage principal est un peu difficile à digérer et il faut voir à quel point ça peut être exploité, le fait qu'Hitomi soit vraiment reléguée à un rôle subalterne est assez dur, et les deux années d'absences sont pour l'instant un flou artistique qui sera peut être développé plus tard (j'espère en tout cas parce que sinon ça serait dommage) , le fait que certains personnages aient disparus (comme Toshio/Quentin) n'est pour l'instant pas expliqué, ni le fait qu'elles aient pu revenir au Japon vu leurs conditions de départ.



Bref une série sympathique qui a tout pour plaire, qui joue la carte de la suite d'une série à succès mais qui n'en est pas vraiment une non plus.

Je reste encore mitigée et il faut voir comment çà évolue je pense, mais les vrai fans de la série seront forcément déçus à un moment ou un autre à mon avis.

Totalement novice dans le royaume des mangas, je me suis lancée dans cette lecture sans préjugé ni idée préconcue. (dois je vraiment dire que je l'avais commencé par le début...comme un livre normal lol)

Mes premiers sentiments après quelques pages sont que d'une part, les personnages sont très beaux, bien dessinés. Que le ton de ce manga est léger et manie l'humour à juste dose.

A la fin de ce volume, je reste un peu sur ma faim, les histoires ne sont pas abordées vraiment en profondeur, et sont un peu simplistes.

Cependant "Sous un rayon de soleil tome1" reste un manga agréable et sympathique, avec un personnage principal attirant et attachant.

Merci à Babelio pour cette découverte !

L'histoire d'amour de Yang Fang-Yu se termine comme elle a été vécue, dans cette série Hojo n'aime pas que les choses se terminent bien j'ai l'impression mais ce n'est pour autant ni triste ni pitoyable. Ça découle simplement de la logique des personnages.

Lorsque qu'ensuite Kaori réapparait, les qui-proquo s’enchaînent et l'humeur redevient plus fantasque mais quels pièges nous a encore concoctés cet auteur facétieux pour nos héros? En tout cas A-Xiang veille et c'est l'occasion pour Falcon de faire resurgir de vieux souvenirs et de nous montrer une vulnérabilité toujours en contraste avec sa carrure.

Entre sentiments, action, loufoquerie et enquête, je suis toujours accro à cette série et le changement de saison n'a en rien entamé la qualité de ce manga.

Une série qui va bouleverser tout ce que vous imaginez savoir sur les stéréotypes masculins/féminins

Attention, si vous n’avez pas l’esprit très ouvert, ne lisez pas ce livre !!!

Masahiko, jeune étudiant, vient de perdre son père qui l’élevait seul depuis des années. Persuadé d’être sans famille, il se morfond devant la moindre représentation du bonheur familial…

Sauf que voilà sa tante qui vient frapper à la porte pour le ramener chez lui. Il s’agit en fait de la femme du frère de sa mère qui avait coupé les ponts… Masahiko hésite puis se décide pour une petite visite où il rencontre sa cousine Shion par qui il est très attiré. Il commence à vouloir rester chez eux mais Shion annonce qu’il doit connaitre le secret de la famille afin de décider si il doit rester…

Sauf que lorsqu’il a sous les yeux les secrets de la famille, il croit d’abord à une hallucination liée à l’alcool puis sous le choc s’évanouit et a une amnésie partielle… Ce qui obligera Shion à réitérer ses tentatives afin de lui ouvrir les yeux.

Enrôlé de force comme assistant dans l’équipe de mangaka de son oncle, Masahiko commencera à créer des catastrophes avant que Shion l’emmène fêter la fin du travail avec l’équipe et là il aura à nouveau sous les yeux le secret de cette famille étrange… qu’il ne pourra plus oublier cette fois.

Hojo nous conte là l’histoire d’une famille bien étrange qui, tout compte fait, est exactement la famille idéale. Une atmosphère tendre aimante et burlesque à la fois, un conte moderne sur la tolérance, ne pas s’arrêter au premier regard mais accepter l’autre comme il est. Voilà la leçon de ce livre.

Mais il reste un mystère : qu’est Shion ?

Bref une histoire totalement délirante mais qui touche à un thème sérieux, le travestissement et les implications de celui ci dans l'orientation sexuelle.

à réserver au plus grands

De passage chez mon dealer de manga préféré, je découvre sur l'étal des nouveautés le premier tome de la deuxième saison d'Angel Heart. Un petit bonheur puisque le changement d'éditeur japonais de la série créait un problème de droits pour l'édition française et aucune date n'avait été annoncée pour cette nouvelle saison. Alors forcément, quelle joie de retrouver la suite des aventure de mon Ryô chéri et de de sa turbulente fille A-Xiang.

Pour Tsukasa Hojo, la seule chose qui justifie l'appellation "saison 2" est le changement d'éditeur mais l'histoire s'inscrit dans la suite de la précédente, sans coupure particulière.



Nous retrouvons donc nos City Hunter chargés de faire disparaître un objet mais pas d'enquête cette fois, pas de confrontation avec une mafia, une triade, un gang ou un criminel notoire. Une simple affaire de cœur mais comme toujours, les affaires de cœur ne sont jamais simple. A-Xiang n'aura de cesse de réunir les amoureux.

l seconde histoire amorcée dans ce tome est celle de la terrifiante Fang-Yu ou plutôt de son fils qui est parti à la recherche de son père. Encore une fois il risque d'y avoir une histoire d'amour en fond mais des promoteurs immobiliers véreux étant impliqués dans l'affaire, nous aurons peut être droit dans la suite à quelques gags de la part de Ryô mais aussi quelques scènes plus sérieuses et musclées.

Ce tome continue sur le thème de la capoeira :-)



On retrouve le groupe et A-Xiang ainsi que Xin-Hong recruté depuis peu. Étant des adeptes des arts martiaux, A-Xiang et Xin-Hong apprennent aux autres membres du groupe des kata (enchaînements d'arts martiaux) afin de rendre leur danse plus technique.



Pendant leurs répétitions, des yakuza rappliquent pour casser l'ambiance et faire passer un message à Kana, ancienne délinquante et maintenant membre du groupe. Pour se débarrasser des yakuza, un membre du groupe décide de solliciter l'aide de la légende urbaine "City Hunter".



A-Xiang ne souhaitant pas dévoiler sa double identité aux membres du groupe, c'est Ryo et Umibozu qui vont au rendez-vous :-) L'ancien Chambellan Chen deviendra leur nouveau sponsor et verra un peu les choses en trop grand ^^



Finalement, A-Xiang retournera dans l'ombre après avoir dit au groupe qui elle était, de façon à pouvoir continuer à aider les gens comme elle le fait si bien :-)



La dernière partie de ce volume fera remonter des vieux souvenirs à la surface de la mémoire d'Umibozu lors d'un rencart multiple :-(



Ce manga aborde de nombreux thèmes différents, certains récurrents comme la guerre et les yakuza, et d'autres moins, comme celui de la danse, de l'homosexualité ou encore de la drogue. Des thèmes pouvant ainsi toucher tout le monde et peut-être essayer de faire bouger les mentalités :-) A moins qu'au Japon, ces différents sujets soient sans tabous et facile d'accès pour tout le monde. Mais c'est vrai que la France est un pays de râleurs pour tout et n'importe quoi... C'est rare de trouver ce genre de sujets développés dans nos BD européennes :-( On devrait peut-être prendre exemple sur certains pays d'Asie ^^ En bon entendeur, salut !! :-)



La suite au prochain épisode :-)

Ce tome commence par une nouvelle cliente pour "City Hunter". Celle-ci va chambouler leurs vies et va leur faire se remémorer de vieux souvenirs, dont certains douloureux.



Elle voulait faire rechercher sa sœur au Japon. Elles se sont perdues de vue petites après le divorce de leurs parents. Malheureusement, sa sœur est décédée 3ans auparavant.



L'histoire suit son cours avec A-Xiang qui apprend à grandir comme une jeune fille normale, en ayant les aptitudes d'une tueuse. Le graphisme est toujours aussi bien travaillé. Les gags les plus récurrents sont le "mokkori" et les coups de marteau :-)



La suite au prochain épisode :-)

Ce tome commence avec la fin de l'enquête de Ryô pour la jeune star de la chanson ^^ Un homme lui a envoyé des lettres de menaces. En faisant croire à cet homme que la jeune femme sort avec lui, Ryô l'oblige à sortir de son trou :-)



Grâce à son nouveau contrat concernant la protection d'un jeune garçon (Takuya Matsuoka) et de sa répétitrice (qu'es aquò ? ^^), Takuya fait comprendre à Ryô par des moyens détournés qu'il pourrait bien être amoureux de sa partenaire Kaori :-) Cela n'a pas l'air de déplaire à nos 2 héros ^^ mais encore faut-il arriver à l'exprimer clairement pour que ça se concrétise :-)



Mon gag préféré dans ce volume est le test subi par Ryô sans qu'il en soit conscient. Les "examinateurs" sont Kaori et Takuya, le but est de vérifier que Ryô ne touchera pas à l'accompagnatrice de Takuya :-) A votre avis, test réussi ou pas ? ^^



Tiens tiens... Une apparition de Cat's Eye dans la dernière partie de ce volume ? :-)



Je trouve que plus on va et plus les enquêtes sont plus intéressantes, plus complexes et qu'elles ont gagné en profondeur :-) Les dessins sont également très bien fait et bien travaillés :-) Reste à savoir si l'auteur va réussir à faire toujours aussi bien sur les 36 tomes de cette série, si cela ne va pas finir par s'essouffler faute de sujet intéressant à traiter... A voir si on me prête la fin de la série :-)

3 histoires dans ce recueil, avec un dénominateur commun cette fois : le conflit entre les américains et les japonais durant la deuxième guerre mondiale. Je trouve ces histoires intéressantes parce qu’elles m’ont permis de découvrir une vision de la guerre de 40 qui nous est méconnues puisqu’elle s’est déroulée très loin de chez nous, et que nous avons tous les yeux fixés sur les horreurs du nazisme. Ces histoires montrent que d’autres peuples ont soufferts, ou ont commis d’autres horreurs. Pensez aux Kleenex !

Aux frontière du ciel, des enfants sur un champ de bataille

Comment transformer des enfants de 16-17 en « dieux du vent », ces fameux Kamikazes, qui n’auront qu’une seule mission. Pourquoi le font-ils, comment le font-ils, comment réagissent-ils ? Comment leurs proches supportent-ils ? Une histoire trop courte pour comprendre mais qui permet d’aborder le sujet, qui est traité d’une façon poignante, il faut bien l’avouer.



La mélodie de Jenny

Des enfants envoyés dans un centre d’éducation délocalisé afin d’être épargnés par les bombardements de Tokyo, s’enfuient afin d’échapper aux mauvais traitements et à la malnutrition autant que pour rejoindre leurs mères. Un américain, vivant depuis des années au Japon, marié à une japonaise et papa d’une petite fille s’est enfui du camp de prisonnier dans lequel il avait été enfermé pour présomption d’espionnage, afin de rejoindre sa famille à Tokyo. De cette rencontre improbable va naitre une amitié. L’américain n’hésitera pas à se mettre en danger pour les enfants, il leur apprendra à jouer de la musique… On apprend cette fois comment était traités les résidents américains au Japon quand ils ont décidés de rester dans leur pays d’adoption, la haine contre un peuple et le non-respect des conventions de Genève par le Japon.



Le rêve américain

Cette fois c’est le point de vue d’un sportif japonais aux États-Unis qu’adopte l’auteur, avant guerre, juste après que le Japon ait quitté la SDN, les mouvements anti-japs commencent à voir le jour aux États-Unis. Malgré tout on propose quand même à Murakawa d’entrer dans la ligue américaine de Base-Ball. Réalisera-t-il son « rêve américain » ou bien la guerre viendra-t-elle tout détruire encore une fois ?

Cat's eyes est un manga créé par Tsukasa Hōjō (City Hunter alias Nicky Larson). Il raconte l'histoire de trois sœurs, Rui, Hitomi et Aï. Celles-ci tiennent un café durant la journée, le Cat's Eyes, et la nuit se transforment en d'audacieuses voleuses. Petite particularité, elles annoncent leur méfaits à l'avance à l'aide d'une carte de visite. Évidement, la police est sur leurs traces. L'un d'eux étant le petit ami de Hitomi qui tel un pigeon ne voit rien venir et lui fait visiter sans le savoir les lieux de futurs délits.



Malgré que le manga date de 1981 celui-ci n'a pas pris une ride. Le dessin est même plus beau que certaines nouveautés c'est dire le talent du mangaka. L'histoire peut paraître un peu simple, voir répétitive au début mais au fil des chapitres de nouveaux personnages arrivent et étoffent le casting. Un belle découverte pour ma part qui n'en restera pas là.



Lu et chroniqué via Iznéo